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JOURNAL OFFICIEL * Année 1977. - N" 5 A. N.

Samedi 29 Janvier 1977 *

JOURNAL OFFICIEL

DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

DÉBATS PARLEMENTAIRES

ASSEMBLÉENATIONALE

CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958

5° Législature

QUESTIONS

REMISES A LA PRESIDENCE DE L'ASSEMBLEE NATIONALE

ET RÉPONSES DES MINISTRES AUX QUESTIONS ÉCRITES

QUESTIONS ORALES AVEC DÉBAT

(Art. 133, 134, 135 et 137 du règlement.) impôts (taxation des dépenses somptuaires et contrôles fiscaux sur les grosses fortunes).

35175. - 25 janvier 1977. - M.Baliangerappelle l'attention de

M. le Premier ministresur l'injustice croissante de la société fran-çaise. A un pôle une minorité de privilégiés de la fortune accroi

s- sent leurs richesses qu'ils affichent avec un cynisme insolent alors qu'a l'autre pôle seize millions de Français vivent dans la misè re,se privent pour pouvoir se nourrir, se loger, se vêtir, assurer

l'éducation de leurs enfants. Le Gouvernement prône l'austéritéaux seconds pour permettre aux' premiers de s'enrichir davantage ;

il les culpabilise pour qu'ils se sentent responsables le la crise,de l'inflation du chômage que les premiers, tenant tous les leviersde commande de l'économie, ont se.cité par une politique axée

uniquement sur la recherche effrénée du profit. Une telle situation

est profondément immorale. 11 est immoral que M. Hersant, magnatde la presse )24 quotidiens et magazines), patron notamment duFigaro et récemment acquéreur deFrance-Soiravec des fonds d'ori-gine inconnue, invite plusieurs centaines de personnes pour une

croisière fastueuse, autour du monde, dont le coût atteint au moin s

* (2 Li600 millions d'anciens francs. Ces sommes sont vraisemblablementinscrites en frais généraux au bilan de l'entreprise et non assu-jettis au moindre impôt. Dans le même temps les équipementssociaux inscrits au budget de l'Etat diminuent; la France manquede crèches, d'écoles, d'hôpitaux. Le Gouvernement réduit la consom-mation populaire. Il est immoral que les careets mondains d'unepresse spécialisée dans l'idéologie du rève étalent complaisammentles fêtes fastueuses dont chacune coûte plus que ce qu'un ouvriergagnera dans toute sa vie, alors que des chômeurs doivent attendreplusieurs mois avant de toucher une indemnité, que des millions

de personnes âgées peuvent à peine survivre avec une -pensiondérisoire, que se multiplient saisies et expulsions contre les pluspauvres. Il est immoral, dans le-même temps où des artisans et

des commerçants sont soumis à des contrôles fiscaux tatillons, vexatoires, humiliants, que de grandes sociétés comme la sociét

Dassault pratiquent l'évasion et la fraude fiscales légalement, impu-nément. Des pans entiers de l'économie sont bradés. L'Eiat donnedirectement des milliards aux trusts pour investir à l'étranger, spé-culer contre le franc, perpétuer une politique de gaspillage desressources nationales, qui a déjà créé un million et demi de

chô-meurs. Devant cette situation scandaleuse qui exige un changement

profond de notre société, 11 lui demande, à tout le moins, s'ilcompte prendre des mesures pour que ces dépenses somptuairesne puissent échapper à l'impôt, que les contrôles fiscaux soient axés

en priorité absolue non sur les travailleurs indépendants mais sur les grandes sociétés et les gros possédants. 9 424

ASSEMBLEE NATIONALE

29 Janvier 1977

mn_

QUESTIONS ÉCRITES

(A •t. 139 et 133 du reglement.)

Article 139 du règlement :

"1.Les questionsecrites sont rédigées, notifiées et publiées dans

lesconditionsfixées par l'article 133. En outre, elles ne doiventconteniraucune imputation d'o-dre personnelà l'égard detiersnonrnetnentdesigues;

<2. Les réponses desministresdoivent être publiéesdanslemoissuivant la publication des questions.Ce délaine comporteaucuneinter:uptton ;

"3. Dansce délai. tes ministresont toutefois la taculte soitdeddel arer par écrit que l'intérêt public ne leur permet pus derépondre,soit, â titre exceptionnel, de demander . pour rassembler les éléments

de leurréponse,undettesupptennentairequi nepeutexcéderun

171015

n4 .Lorsqu'unequestionecriten'a pas obtenu derepensedansles délais susvisés. son aiteatest invité par le président del'Assemblée ù luttaire con nitres'il entend ou non lacenvertir enquestion orale Dans la négative,leministre compétent dispose d'un

délai supplémentaire (l'un mois;

n5 Danslecas oui la question écrite esttransformée en questionorale,celle ci prendrangdans les conditionsprévuesaudernier

alinéa de l'article 133;

e6. Font l'objet d'un rappelpublieau Journal officiel les ques-tionsecritesauxquellesil n'a pas étérependu dans les délais prévusauxcliteas2. 3 et 4 du présent article;

e7. Letextedes questions écrites est reproduit dans les rappels.Il est connnutiiquéaux auteurs desquestions en niémetempsquele rappelleurest notifié.n

QUESTIONS ECRITES

REMISES A LA PRESIDENCE DE L'ASSEMBLEE NATIONALE

PREMIER MINISTRE

Etectiansnnnucipales(participation éventuelledu président du Conseil corstittitio nel auxprochainesélections à.Paris).

35099. - 2.9janvier 1977. - M.Chandernagorrappelle à M.lePremierministre qu'en vertu de l'article 3 de l'ordonnance organiquemodifiée du 7 novembre 1958 les membres du Conseil constitutionnelprêtent serinent devant le Président de la République. Cette prestationde serinent comporte l'engagement de respecter les obligations quis'imposent aux membres dudit Conseil et spécialement celles quisont déterminées par le décret n" 59.1292 du 13 novembre 1959 etqui ont pour objet de garantir leur indépendance et la dignité deleurs fonctions. Selon ce décret du 13 novembre 1959, " les membres

du Conseil constitutionnel ont pour obligation générale de s'abtenirde tout ce qui pourrait compromettre l'indépendance et la dignitéde leurs fonctionsn(art 1"') tandis que les membres du Conseil

" s'interdisent en particulier pendant la durée de leurs fonctions

(. ..1d'occuper au sein d'un parti ou groupement politique tout postec.e responsabilité ou de direction et, de façon plus générale

, d'yexercer une activité inconciliable avec les dispositions de l'article 1°'ndu même décret (art. 2). Or, il lui fait observer que selon les infor-mations diffusées largement dans la presse, et notamment dans Le

Monde du 18 janvier 1977 (page 36'), le garde des sceauxluiauraitadressé, le samedi 15 janvier 1977, une lettre relative à la pré

para-tion des élections municipales à Paris. Selon la presse, le ministrede la justice aurait suggéré de confier au président du Conseil

constitutionnel

ala mission de vont`--tuer des listes d'union de lamajorité dans la capitalen.Et, toujours selon la presse, le garde dessceaux aurait souligné, dans sa lettre, que " la personnalité d

eM. Roger Frey peut contribuer à la réalisationnde l'union de lamajorité à Paris. Dans ces conditions, et compte tenu, d'une part,des dispositions législatives et réglementaires qui s'imposent auxmembres du Conseil constitutionnel - et plus particulièrement à

son président - et qui sontrappelées ci-dessus et, d'autre part,des informations diffusées dans la presse en ce qui concerne lecourrier de M. le garde des sceaux, il lui demande de bien vouloirlui faire connaître: 1" si les faits ainsi rapportés par la presse sont

exacts et si le garde des sceaux lui a effectivement suggéré de

demander au président du Conseil constitutionnel d'intervenir dansles prochaines élections municipales de Paris pour remettre del'ordre parmi les fcrmations de la majorité

; 2" dans l'affirmative,quelles mesures il compte prendre pour rappeler le garde des

sceaux au strict respect des texte, qui garantissent l'indépendancedes membres du Conseil constitutionnel et la dignité de l'une des

principales institutions de ia Constitution de 1958. Eiiseigiemnent "priserte position du parlementsur lesécolesprieéee).

35101. - 29 janvier 1977. - M. Maujoüan du Gasset, faisant échoà l'intervention télévisée du Président rie la République en

date du17 janvier 1977, demande à M. le Premier ministre s'il n'a pas l'in-tention de demander un scrutin public au parlement sur l'écoleprivée, de façon à clarifier ta position de chacun, et dans l'affir-mative, suivant quelles modalités.

Etablissenientsscolaires (conséquences financières de l'augmentation du prix des denrics alimentaires,.

35115. - 29 janvier 1977. - M. Haesebroeck attire l'attention deM. le Premier ministre sur l'augmentation sensible, en un an, desdenrées alimentaires nécessaires au fonctionnement des cuisines de

nos établissements scolaires (et hospitaliers(. C'est ainsi que l'augmen-tation sur: les petits pois fins est de 28 p. 100, les haricots Princessede 54 p. 100, les lingots du Nord de 7G p. 100, les pàtes da G p. 100,le riz long de 81 p. 100, le café de 106 p. 100, l'huile de 19 p. 100,la viande rouge de 11 p. 100, le pain de 13 p. 100 et l'eau minéralede 10 p, 100. Or, l'augmentation des tarifs scolaires attribuée pardécision ministérielle est de 4,20 p. 100 en septembre. Comment lesintendants et économes de nos établissements scolaires vont-ils

pouvoir continuer à donner aux élèves une nourriture suffisante

sur tous les plans. Sait-on qu'actuellement la très grosse majoritéde ceux-ci disposent d'un volant de pourcentage à 6,75 francs parjour, pour nourrir les élèves et bien souvent. .. de grands élèves.[I lui demande ce qu'il compte faire pour éviter une situation quidevient catastrophique dans les internats de nos établissementsscolaires.

Régions(répartitiondescréditsdestinés à laarésorption des zones d'ombrese). 35149

. - 29 janvier 1977. - M. Cornet demande à M. lePremierministre de bien vouloir lui préciser quelles sont les parties du

territoire français auxquelles seront affectés les crédits voté

s àl'article 5 de la loi de finances rectificative pour 1977 et qui sontdestinés i. la résorption des zones d'ombres.

Rarliodiffs.sioiet télévision nationales(montantdesapports del'Etatau bilandeLa Société françaisedeproduction).

35165. - 29 janvier 1977. - M. Le Tac attire l'attention de M. lePremierministre sur la différence de présentation et de chiffres

qui apparaît entre le bilan de la Société française de produ

ction au31 décembre 1975, tel qu'il a été déposé le 22 décembre 197d augreffe du tribunal de commerce et le même bilan figurantalapage 34 du fascicule annexe au projet de loi de finances pour 1977.C'est ainsi, par exemple, que le bilan annexé au projet de loi definances fait état de373,35millions de francs d'apports de l'Etatau1d'janvier 1975 alors que le bilai inscrit au greffe du tribunal

de commerce évalue à 380,51 millions de francs ces apports et pré

cise qu'ils se répartissent entre 244,8 millions de dotations accordéespar décret du 31 août 1976 et 135,17 millions de francs suivantdes décrets restant à prendre. On est en droit de se demander pour-quoi ces intéressantes indications ont été réservées au t

ribunal decommerce et n'ont pas été fournies aux parlementaires lors del'examen du projet de loi de finances.

Radiodiffusion et télévision nationales (ressources des sociét

és).

35187. - 29 janvier 1977. - M.Ràlitetient à se faire l'écho auprèsde M.le Premier ministredes problèmes d'importance nationaleposés aujourd'hui par les programmes des sociétés de radio et detélévision de la R. T. F. Incontestablement les Françaises et !es Fran-çais se plaignent de ce qui passe sur le petit écran. Cette opinionconverge avec les revendications des artistes-interprètes et des ré

ali-sateurs de télévision. En effet, les uns et les autres demandent unvolume de créations télévisuelles françaises plus important

qu'aujour-d'hui et garanti. Devant ce mouvement associant téléspectateurs etprofessionnels de la télévision le Gouvernement a été contra

int deréagir et a annoncé l'avènement d'une télévision à la française.

29 Janvier 1977

ASSEMI3LEE NATIONALE

4tj

Mais il a ajouté aussitôt: il n'y a pas suffisamment d'argent et rlfaudra augmenter la redevance. C'est très clairement le sens de la

phrase inscrite dans le protocole d'accord issu du conflit des artistes-

interprètes et rejeté par l'immense majorité de ces derniers:eCetteprogression de la diffusion en 1978 et 1979 entraînera une augmen-

tation parallèle de la production en fonction de la confirmationdes ressources supplémentaires correspondant à ln progression pré

-citée. » Or cette augmentation de la redevance est totalement injus-

tifiée car il y a de l'argent.. Tout le monde doit savoir que lessociétés de radio-télévision française, et avant elles l'0. R. T. F., n'ont

jamais touché un centime de subvention de l'Etat. Mais l'Etat aassujetti la redevance à la T. V. A. au taux de 1'7,6 p. 100 frappantainsi une taxe d'un impôt. Précisons d'ailleurs que, puisqu'il s'agit

d'un domaine intéressant la culture et l'information, la T. V. A. devrait être à un taux réduit. L'usage est 7,5 p. 100 pour la culture et pour l'information, même la loi gouvernementale récente sur.a

presse n'a pas osé aller au-delà d'un taux de 2,1 p. 100. Qui plus est,des informations de bonne source font apparaitre que les sociétés

de radio-télévision auraient fait cette année ries bénéfi

ces évaluésselon ces informations à l0 milliards d'anciens francs. Etant dessociétés à caractère industriel et commercial elles sont sou

mises à

l'impôt sur les sociétés et devraient donc verser à l'Etat 50 p. 100de ces bénéfices. Ainsi, pour faire face à une tâche d'intérêt national,

à savoir un développement de la création télévisuelle fra

nçaise, leGouvernement veut en appeler à une augmentation de la redevance,alors qu'il gagne des sommes exorbitantes en frappant cette rea,-

vance de la T. 7. A. et les bénéfices des sociétés d'un impôt de50 p. 100. Il apparaît que la seule référence aux bénéfices des so

ciétés

permettrait dès maintenant de garantir ce que réclament dans l'inté-rêt des téléspectateurs, dans _'intérêt national, lei artistes-inter-prètes et les réalisateurs. Il lui demande de lui communiquer: 1" la

somme exacte de T. V. A. rapportée à l'Etat par les sociétés de radio-télévision française; 2" le montant exact des bénéfices des sociétésde radio-télévision et l'impôt qu'elles doivent par conséquent payerà l'Etat. Il lui demande en outre,dans une première étape: d'auto-riser les sociétés à consacrer leurs bénéfices à une a

ugmentatiots du volume de la création télévisuelle française, de renoncer

palconséquent, en tant que Gouvernement, au prélèvement de l'impôtsur ces bénéfices; dans une seconde étape: d'appliquer à la rede-vance la T. V. A. à un taux réduit.

Maisons des jeuneset de la culture (subceutionnetnent des trnrauxde mise enconformitéau titre de lasécurité rte la maisonde laculture d'Amiens).jour, concernant les projets d'aménagement du littoral dans lesdépartements méditerranéens et en particulier sur la Côte d'Azur;

suite aux in,tructions données aux préfets, parues auJournalofficie! du 6 août 1976, pour la protection du littoral et des rivage

s,et après la publication par la direction départementale de l'équi- pement des Alpes-Maritimes du rapport Alexandre Meinesz-Jean• Robert Lefevre concernant 1 <. inventaire des restructurations et les impacts sur la vie sous-marine littorale des Alpes-Maritimes et de

Monaco M. Barel rappelle à M. le Premier ministre que la mut.tiplication anarchique des projets d'aménagement (ports de plai-

sance, terre-pleins, digues, plages alvéolaires) se poursuit sur laCôte d'Azur et notamment dans les Alpes-Maritimes. Devant le

caractère irréversible des nuisances provoquées par cet amén a- gement, devant l'ampleur de la dégradation décrite dans le rap- port suscité et avant qu'un point de non-retour ne soit irrémé-

diablement atteint, M. Virgile Barel demande: rue soit réaliséd'extrême urgence un plan d'oecupation du domaine public mari-

time situé entre 0 et moins 20 mètres; que soient déterminés des critères de saturation pour la plaisance (surface de port et nombre de bateaux par kilomètre de côte); que soient protégées les der- nières richesses sous-marines épargnées, par la création et l'entre- tien de très nombreuses petites réserves sous-marines enrichies. Tant que ce., mesures n'entrent pas en vigueur, il demande que soit suspendue toute autorisation d'endiguage sur le littoral méditer-ranéen.

Pensions deretraiteciviles et militaires

(mesures en faveurdes personnels civilsdu G. A. M.).

35279. - 29 janvier 1976. - M. Ballanger demande à M. le Premierministre de bien vouloir réparer l'omission commise au préjudice

des personnels navigants.du groupement aérien du ministère de 'l'intérieur en faisant compléter le décret du 21 janvier 1971 e tl'arrêté interministériel du 30 juin 1971 pris pour son applicati on demanière à ce que les services aériens commandés exécuté s par les personnels depuis la création du groupement d'hélicoptères du service national de la protection civile soient déclarés comme ouv rantdroit à des bonifications au sens de l'article L. 12 du code des pen-

sions civiles et militaires. En effet, les personnels civils du G. A. M.,malgré leurs compétences et leur dévouement, sont privés du

bénéfice des bonifications à pension. Cette mesure réglementaire

est d'autant plus choquante que ces personnels civils effectuentles mêmes services que leurs collègues militaires. Aussi il lui

demande de mettre ttn terme à cette injuste situation dans lesplus brefs délais.

35207. - 29 janvier 1977. - M. Lamps attire l'attention de M.lePremier ministre sur le refus successif du ministre des affairesculturelles et du ministre de l'intérieur d'accorder une subvention

pour les travaux de mise en conformité au titre de la sécurité

de lamaison rie la culture d'Amiens. Ces deux ministères estiment en effetque les travaux concernant la maison de la culture ne sont pas de

leur domaine. Ces travaux qui sont en fait imposés par l'évolutiondes normes ministérielles en matière de sécurité devraient ê

tre

considérés comme des travaux neufs pour lesquels une subventionest habituellement accordée. En conséquence il lui demande de bien

vouloir réexaminer cette question afin qu un des deux ministres puisse accorder la subvention demandée.

Enseignement supérieur (frais de scolarité

dans les écoles dè commerce privées).

35214. - 29 janvier 1977. - M.Dupuyattire l'attention le M.lePremier ministresur les difficiles conditions de vie des étudiants desgrandes écoles. Dans les écoles de commerce priva•,' notamment, lesfrais de scolarité ont connu de nouvelles hausse. .. Désarmais leurmontant atteint des sommes insupportables pour les élèves et leurs

familles (9950 francs à l'E. S. S. E. C., 5 610 francs à H. E. C.,E. S. C. P., et dans les mitres écoles dépendant de la chambre decommerce de Paris, 4000 francs pour les écoles de province). Laprise en charge par l'Etat du fonctionnement de ces écoles s'imposedonc afin que soit mis fin à ce scandale. En conséquence il luidemande quelles mesures il envisage de prendre pour remédierà ce problème.

Aménagement du territoire (littoral méditerranéen). 35267

. - 29 janvier 1976. - Suite à sa question orale numéro 16736concernant la protection de la faune et de la flore sous-marinesdu littoral méditerranéen face aux projets d'aménagement de lacôte; suite à sa question écrite numéro 33218, sans réponse à

ceRentes viagères (revalorisation).

35303. - 29 janvier 1977. - M. Krieg attire tout particulièrement

l'attention de M.le Premierministre sur la situation des rentiers-

viagers pour lesquels les efforts consentis dans le budget de 1977sont notoirement insuffisants puisqu'ils ne permettent même pas

de maintenir leur pouvoir d'achat, pourtant déjà très souvent limité.Certes, les rigueurs nécessaires du plan de redressement actuellement

en cours ont lourdement pesé sur les mesures qui ont été prises

,mais il convient néanmoins de ne pas perdre de vue que lesrentiers-viagers sont dans leur immense majorité des personnesâgées, démunies d'autres ressources et pour qui les rigueurs de la vieactuelle sont infiniment plus à craindre que pour les autres citoyens

de ce pays. Il semblerait, par voie de conséquence, parfaitementjustifié de ne pas attendre l'examen et le vote du budget pour 1978

pour prendre en leur faveur des mesures de réajustement qui neseraient en fait que des mesures de justice et celle-ci seraient

parfaitement bien venues dans un collectif pour 1977 qui nemanquera pas d'être déposé au cours clos prochains mois.

ECONOMIE ET FINANCES

Rilun: (conséquencespourles Antilles du nouveau tarif).

35098. - 29 janvier 1977. - M. Sablé appelle de manière pa:ti-culièrement pressante l'attention de M.le Premier ministre (Écono-mie etfinances) sur les graves conséquences résultant pour la pro-duction rhumière des Antilles de l'adoption de l'amendement n' 28à l'article 11 du projet de loi de finances, dit Amendement Hardy

(séance du 26 octobre 1976, Assemblée nationale), et qui a modif iéle texte du Gouvernement relatif aux droits indirects sur les

alcools et aux tarifs du droit de consommation prévus aux articles403 (3', 4' et 5") et 406 A (1",2°, 3"et 4") du code général des impôts.

De ce fait, les eaux-de-vie relevant du tarif général produites à

1 partir de certaines matières et bénéficiant de l'appellation d'origine

426

ASSEMBLEE NATIONALE

29 Janvier 1977

en garde concernant tes difficultés suscitées au niveau de Bruxell es, la commission mixte paritaire adopta définitivement l'amendement Haedy que le Sénat avait, à bon droit, supprimé. Inadmissible au nive .-mu des principes, le caractère discriminatoire de cette disposition législative va immanquablement accélérer la mévente du rhum déjà enregistrée au cours des dix dernières années au pro fit des alcools étrangers, réduire le prix de la tonne de canne payé au xpetits planteurs et aggraver la crise persistante de l'économie antillaise. Or les appréhensions exprimées par 31. le ministre délégué auprès du Premier ministre lors des débats à l'Assemblée sont de toute évidence fondées sur un ensemble de règlements dont l'application peut être à tout moment requise par nos partenaires

du Marché commun. il lui demande, dans ces conditions, si, avantla contestation qui ne manquera pas de s'élever à Bruxelles, leGouvernement n'aurait pas politiquement et moralement intérêt,sans attendre les injonctions des autorités de la Communauté éc

o-

no.r'-•ue européenne, à prendre spontanément l'initiative de déposersur le bureau de l'Assemblée nationale un nouveau projet de loiportant abrogation d'une disposition intempestive qui atteint nos

régions d'outre-mer dans un secteur vital de leurs économies.

Pensions de retraitechiites et inilitoires

(personnelscivils du groupementaériendruministèrede l'intérieur).

35100. - 29 janvier 1977. - M. Mesmin expose à M.le Premier

ministre (Economie et finances) que, dans l'état actuel de la régle-,mer,tation et en vertu des dispositions de l'article R. 20 du code

des pensions civiles et militaires de retraite, les personnels civilsdu groupement aérien du ministère de l'intérieur G. A. VI.( se trou-

vent exclus du bénéfice des bonifications prévues à l'articl e L. 12 ddudit code. Cette situation est d'autant plus choquante que ces per- sonnels civils effectuent le même service que leurs collègues mili taires. Il lui demande quelles me,ur'es il envisage de prendre

pour mettre fin à cette anomalie et s'il n'envisage pas de modi-fier l'article R. 20 du code des pensions civiles et militaires deretraite (décret n" 71-74 du 21 janvier 1971( de manière à ce

que les services aériens commandés exécutés par les personnels c ivilsdepuis la création du groupement d'hélicoptères du service natio- nal de la protection civile ouvrent droit à des bonifications au sens de l'article L. susvisé.

Taxeprofessionnelle(docteurs vétérinaires).

35103. - 29 janvier 1977. - M. Jean Brocard expose à M.le Pre-mier ministre (Economie etfinances) la situation des docteursvétérinaires au regard de l'imposition à la taxe professionnelle. Unarrêt du Conseil d'Etat du 12 juin 1974 a considéré comme salaires

les rémunérations perçues par les vétérinaires sanitaires participant aux opérations de prophylaxie obligatoire de la tuberculose et de

la fièvre aphteuse; ces rémunérations sont fixées par arrêté pré-fectoral et elles peuvent être intégralement supportées par les

éleveurs (fièvre aphteuse) ou partiellement prises en charge par l'Etat (tuberculose bovine et brucellose(. En faisant référence à cet arrêt du Conseil d'Etat qui a considéré que ces rémuné

rationsétaient des salaires, il semblerait que leur montant ne devrait pasêtre pris en compte en 1976 pour le calcul de la valeur brute de

la taxe professionnelle et qu'il convienne dans le cas concernédes vétérinaires assurant la prophylaxie obligatoire de distinguer

entre les revenus considérés comme salaires (hors taxe profession -nelle) et les revenus ressortant de la catégorie des bénéfices

noncommerciaux. Il est demandé à M. le ministre délégué à l'économieet aux finances de faire connaître son interprétation sur le pro-blème soulevé.

Manuelset fournituresscolaires(T. V. A.applicable).

35105. - 29 janvier 1977. - M.Honnetexpose à M.le Premierministre (Economie et finances)que sous la signature de M. leministre délégué, en date du 15 décembre 1976, une lettre ci

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