Mise en page 1
L'un ou l'autre des médicaments suivants pris sans ordonnance : barbituriques
La consommation pharmaceutique en 1991 - Evolution 1970-1980
Lorsque les patients acquièrent des produits sans ordonnance des hypnotiques barbituriques (1
Les Psychotropes
26 mai 2012 de détournement d'ordonnances ... sans ordonnance (pharmacies deviennent réputées pour cela + ... Contrairement aux barbituriques
Comment mettre en œuvre une sédation profonde et continue
1 et les directives anticipées ou à défaut
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26 févr. 2015 Comme de nombreux autres barbituriques le phénobarbital est un ... intensivement
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19 nov. 1972 la catégorie r tranquillisants » sans plus de distinctions
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21 févr. 2018 Prescription limitée à 28 jours en toutes lettres sur ordonnance ... La kétamine est chimiquement incompatible avec les barbituriques et le ...
GESTION DE LUSAGE DE SÉDATIFS HYPNOTIQUES NON
hypnotiques non barbituriques similaires pour les problèmes de sommeil. d'atténuer l'anxiété et les problèmes de sommeil sans le recours aux médicaments ...
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE
20 mai 2015 Traitement des épilepsies partielles: crises partielles avec ou sans ... neuroleptiques; barbituriques; autres anxiolytiques; hypnotiques; ...
Barbituriques - Ginadorg
enzymatique des barbituriques Les barbituriques sti-mulent les enzymes des microsomes hépatiques accélé-rant ainsi la biotransformation de nombreux médicaments et diminuant leur taux plasmatique et leur efficacité C’est le cas de la vitamine D des anti-vitamines K des contraceptifs oraux de la phénytoïne
RENSEIGNEMENTS D'ORDONNANCE INJECTION DE PHÉNOBARBITAL
Comme de nombreux autres barbituriques le phénobarbital est un dépresseur non sélectif du système nerveux central (SNC) qui peut produire tous les degrés de dépression de la sédation légère et de l’hypnose à l’anesthésie générale au coma profond et à la mort
Est-ce que les barbituriques peuvent être obtenus sur ordonnance ?
Les barbituriques ne peuvent être légalement obtenus que sur ordonnance. La possession non autorisée de barbituriques est passible de cinq ans d’emprisonnement. Les barbituriques sont des sédatifs qui, à petites doses, aident à se détendre et à être plus sociable.
Comment prendre des barbituriques ?
Les barbituriques se présentent sous la forme de comprimés ou de gélules, à prendre par voie orale, mais les personnes qui les consomment de façon illicite réduisent les médicaments en poudre, qu’ils ajoutent à un liquide pour se l’injecter en intraveineuse
Quels sont les différents types de barbituriques ?
L'un des barbituriques les plus répandus est le phénobarbital. Ces médicaments anciens autrefois très répandus en médecine (environ une cinquantaine de barbituriques utilisés depuis la fin des années 1800) sont aujourd'hui très peu nombreux et ne sont plus retrouvés que dans la prise en charge de l' épilepsie ou en anesthésie.
Quels sont les symptômes de manque chez les personnes prenant des barbituriques à petites doses ?
Les symptômes de manque chez les personnes prenant des barbituriques à petites doses incluent l’anxiété, l’insomnie et la nausée. Avec des doses plus fortes ou une consommation prolongée, les symptômes de manque incluent des attaques, des hallucinations et des pensées suicidaires.
La consommation pharmaceutique
en 1991Evolution 1970-1980-1991
Thérèse Lecomte iblio n° 1030
Décembre 1994
Toute reproduction de textes, graphiques ou tableaux est autorisée sous réserve de l'indication de la source et de l'auteur.
En cas de reproduction du texte intégral ou de plus de 10 pages, le Directeur du CREDES devra être informé préalablement.
- AVERTISSEMENT -Ce travail
se situe dans le prolongement des études de consommation pharmaceutique faites à partir d'observations effectuées auprès des ménages.On présente ici les résultats de l'enquête décennale sur la santé et les soins médicaux de
1991 et on présente des données d'évolution en partant des résultats des enquêtes de 1970
et de 1980. L'enquête de 1991 a été réalisée par l 'INSEE sous la responsabilité de Pierre Mormiche et de Cécile Bonnaud, et pour la partie médicale par leCREDES sous la responsabilité de
Catherine Sermet.
Arié Mizrahi a bien voulu relire ce texte et proposer quelques modifications. L'informatique a été réalisé par Franck Laferté. La relecture et la mise en page ont été assurées par Valérie Legros-Collard,Nathalia Batard et Patricia Darfeuille.
Th LECOMTE
La consommation pharmaceutique en 1991 CREDES - Décembre 1994Evolution 1970-1980-1991
Th LECOMTE
La consommation pharmaceutique en 1991 CREDES - Décembre 1994Evolution 1970-1980-1991
SOMMAIRE
Th LECOMTE
La consommation pharmaceutique en 1991 CREDES - Décembre 1994Evolution 1970-1980-1991
Th LECOMTE
La consommation pharmaceutique en 1991 CREDES - Décembre 1994Evolution 1970-1980-1991
Pages INTRODUCTION ........................................................................CHAPITRE 1 Consommation pharmaceutique en 1991-1992........................................................5
1.1 Consommation par personne........................................................................
................................71.2 Consommation selon l'âge et le sexe........................................................................
....................71.3 Les classes thérapeutiques consommées (Cf. en annexe 1 la classification utilisée) ...............12
1.3.1 Structure de la consommation (Cf. graphique n° 6 et tableau n° 3) ......................................12
1.3.2 Etude détaillée du contenu des classes thérapeutiques (Cf. tableau en annexe 1)..............15
1.3.3 Les classes thérapeutiques selon l'âge et le sexe.................................................................16
1.4 La prescription........................................................................
1.4.1 Données globales (Cf. tableau n° 4)........................................................................
..............191.4.2 La prescription des différentes classes thérapeutiques.........................................................20
1.4.3 La prescription selon l'âge du consommateur........................................................................20
1.4.4 La nature du prescripteur.......................................................................................................21
1.5 Le mode d'acquisition (Cf. tableau n° 9) ........................................................................
.............231.6 Les taux de remboursement........................................................................................................25
CHAPITRE 2 Evolution de la consommation pharmaceutique.................................................28
2.1 Evolution selon l'âge et le sexe...................................................................................................30
2.2 Evolution de la nature des produits consommés, en nombre de conditionnements
par personne et par an (Cf. graphique n° 15 et tableau n° 15)...................................................34
2.3 Evolution de la prescription ........................................................................
.................................352.4 Le mode d'acquisition........................................................................
ANNEXE 1 Données de consommation par classes et sous-classes thérapeutiques...................44
ANNEXE 2 Données de consommation par classes thérapeutiques selon l'âge et le sexe..........53
ANNEXE 3 Consommation selon l'âge et le taux de remboursement ...........................................87
Liste des tableaux et des graphiques....................................................................................................91
Th LECOMTE
La consommation pharmaceutique en 1991 CREDES - Décembre 1994Evolution 1970-1980-1991
- I -Th LECOMTE
La consommation pharmaceutique en 1991 CREDES - Décembre 1994Evolution 1970-1980-1991
RESUME
- II -Th LECOMTE
La consommation pharmaceutique en 1991 CREDES - Décembre 1994Evolution 1970-1980-1991
- III -Th LECOMTE
La consommation pharmaceutique en 1991 CREDES - Décembre 1994Evolution 1970-1980-1991
La consommation pharmaceutique varie fortement avec l'âge : élevée chez le très jeune enfant, puis relativement basse jusqu'à 40 ans, elle ne cesse de croître à partir de cet âge. Les femmes sont plus consommatrices que les hommes, excepté chez les moins de 2 ans.4 classes thérapeutiques constituent 50 % des acquisitions :
€ les thérapeutiques cardio-vasculaires (20 %) € les antalgiques et antirhumatismaux (13 %) € les thérapeutiques de l'appareil respiratoire (9 %) € les antibiotiques, anti-infectieux et antiparasitaires (8 %)91 % des conditionnements sont acquis sur prescription médicale. L'automédication est donc très peu
développée et ce sont surtout les adultes jeunes qui la pratiquent. Près de 84 % des conditionnements prescrits et acquis sont le fait des omnipraticiens tandis que 16 % sont acquis à la suite d'une prescription de spécialiste. En moyenne, une ordonnance comporte 3,2 produits différents. Sur 100 boîtes acquises avec ordonnance, 43 le sont en tiers-payant total. Le tiers-payant partiel est peu utilisé.60 % des conditionnements acquis avec ordonnance sont remboursables à 70 %.
Lorsque les patients acquièrent des produits sans ordonnance, 42 % des boîtes ont un taux de remboursement nul. L'observation de la consommation pharmaceutique sur longue période (1970-1991) permet de dégager les principales caractéristiques de son évolution :la consommation pharmaceutique par personne a progressé, tous âges réunis, plus pour les femmes
que pour les hommes. En nombre de conditionnements, la croissance de la consommation a été fortement marquée pour les personnes âgées de 60 ans et plus. Evolution du nombre de boîtes par personne et par an selon l'âge 0102030405060708090100
0 102030405060708090100
AgeNb. de boîtes par personne et par an
19911980
1970
- IV -
Th LECOMTE
La consommation pharmaceutique en 1991 CREDES - Décembre 1994Evolution 1970-1980-1991
Cet accroissement de la consommation est dû pour l'essentiel aux thérapeutiques cardio-vasculaires
mais aussi aux antalgiques, aux antibiotiques, aux hypnotiques et psychotropes et aux hormones.Sur longue période, le comportement du médecin prescripteur varie peu : c'est la fréquence du
recours du malade au médecin qui explique une bonne part de l'accroissement de la conso mmation pharmaceutique. - 1 -Th LECOMTE
La consommation pharmaceutique en 1991 CREDES - Décembre 1994Evolution 1970-1980-1991
INTRODUCTION
- 2 -Th LECOMTE
La consommation pharmaceutique en 1991 CREDES - Décembre 1994Evolution 1970-1980-1991
- 3 -Th LECOMTE
La consommation pharmaceutique en 1991 CREDES - Décembre 1994Evolution 1970-1980-1991
L'enquête nationale sur la santé et les soins médicaux, réalisée d'avril 1991 à avril 1992, auprès d'un
échantillon de 20 417 personnes fournit de multiples données : d'une part sur les enquê tés eux-mêmes, qu'ils soient consommateurs de soins ou non pendant les 3 mois d'enquête et d'autre part sur
les recours aux différentes catégories de soins ; on peut ainsi établir une estimation de la
consommation 1 pharmaceutique par personne, de façon globale mais aussi par classesthérapeutiques car le relevé des données concernant les produits pharmaceutiques était effectué à un
niveau très fin : nom de médicament, nom du laboratoire fabricant, forme de produit, quantité achetée,
mode d'acquisition, prix payé, etc... Chaque présentation acquise était donc identifiée et était
regroupée avec les autres présentations de même action thérapeutique. Nous avons retenu, pour ce
travail, la même classification que celle utilisée pour les enquêtes nationales de 1970 et de 1980, ce
qui autorise des études d'évolution.L'extrapolation de la consommation observée à la population totale et à une année entière n'atteint
pas le niveau de consommation tel qu'il est éval ué à partir des données de la production et de ladistribution ; en effet, le champ de l'enquête exclut les "ménages collectifs» tels que les maisons de
retraite, où vivent des personnes ayant une consommation supérieure à celle des personnesenquêtées ; par ailleurs, les ménages enquêtés peuvent oublier de déclarer certaines de leurs
consommation, de façon volontaire ou non ; enfin parmi les ménages ayant refusé de participer à
l'enquête certains l'ont fait du fait de la présence de grands malades parmi les leurs. Aussi convient-il
de retenir des données présentées dans ce rapport, plus les données de structure que les données
de niveau de consommation.1 Le terme de "consommation» correspond à une acquisition d'un produit, qu 'elle soit suivie ou non de
l'administration/ingestion de ce produit. - 4 -Th LECOMTE
La consommation pharmaceutique en 1991 CREDES - Décembre 1994Evolution 1970-1980-1991
- 5 -Th LECOMTE
La consommation pharmaceutique en 1991 CREDES - Décembre 1994Evolution 1970-1980-1991
CHAPITRE 1
Consommation pharmaceutique en 1991-1992
- 6 -Th LECOMTE
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- 7 -Th LECOMTE
La consommation pharmaceutique en 1991 CREDES - Décembre 1994Evolution 1970-1980-1991
1.1 Consommation par personne
Parmi les 20 417 enquêtés, 13 238 ont acquis au moins une fois en trois mois de la pharmacie soit un taux de consommateurs de 65 pour 100 individus (Cf. tableau n° 1).En trois mois d'enquête, la consommation moyenne par individu a été de 7,3 boîtes soit 33,3 boîtes
par an et a entraîné une dépense de 1 227 francs annuelle soit un prix moyen de la boîte de :
36,84 francs.
A ces acquisitions de produits faites pour des individus déterminés il convient d'ajouter 3 070 boîtes
acquises pour "les besoins du ménage", c'est-à-dire pour plusieurs personnes du même ménage. Ce
nombre représente 1/2 boîte par ménage en 3 mois.Tableau n° 1
Principales variables caractérisant la consommation pharmaceutique, selon le sexeTaux de
consom. en 3 mois 2Nb de boîtes
acquises en3 mois/conso
Nb de boîtes
acquises en3 mois/pers.
% des boîtes acquisesNb de boîtes
acquises3 en1 an/pers.
Dépense/
pers. en3 mois
% de la dépenseDépense
extrapolée 2 personne/an Prix moyen de la boîte Hommes 58 10,32 5,94 38,6 26,40 226,84 40,5 1021,98 38,69 Femmes 72 12,06 8,64 61,4 39,83 305,34 59,5 1421,02 35,68 Total 65 11,31 7,33 100,0 33,30 267,31 100,0 1226,87 36,84Total (yc boîtes acquises pour les
besoins du ménage) 7,48 --- 33,94 270,48 --- 1 240,27 36,141.2 Consommation selon l'âge et le sexe
Bien entendu la consommation varie fortement avec l'âge : élevée chez le jeune enfant, puisrelativement basse jusqu'à 40 ans, elle croît régulièrement à partir de cet âge : au delà
de 80 ans le nombre de boîtes acquises par personne est le double de celui des enfants de moins de 2 ans (Cf. graphique n° 1). En terme de dépenses la croissance selon l'âge est assez identiqueà la croissance en nombre de
boîtes (Cf. graphique n° 4).quotesdbs_dbs27.pdfusesText_33[PDF] les métropoles et leurs habitants 6ème evaluation
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