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Dans un deuxième temps nous focaliserons notre attention sur les liens entre les méthodes coopératives appliquées en classe et l'apprentissage réel des élèves 

  • Qu'est-ce que la coopération en classe ?

    La coopération se définit comme l'ensemble des situations où les élèves produisent ou apprennent à plusieurs, impliquant du partage de désirs et de la générosité réciproque. Elles ou ils œuvrent ou agissent ensemble.
  • Comment coopérer en classe ?

    Il est possible de compléter cette présentation de la coopération par la pratique du travail en groupe. Elle correspond à un système d'organisation du travail par l'enseignant qui incite les élèves à interagir au sein d'un petit groupe pour réaliser une t?he identifiée.
  • Pourquoi la coopération à l'école ?

    La Coopération à l école a pour objectif d'amener les citoyens de demain à vouloir résister aux menaces qui pèsent sur la démocratie, à lutter contre les dangers de l'exclusion et leur donner le désir de vivre ensemble.
  • Des rôles peuvent être distribués, échangés, testés… Le développement des capacités d'écoute fait partie des préalables à la coopération et à la confiance mutuelle. Si chacun a l'occasion de s'exprimer et d'être écouté (et donc d'écouter les autres par corollaire), la dynamique de groupe est plus constructive.
Faire coopérer les élèves en classe. Pourquoi ? Comment ? Faire coopérer les élèves en classe. Pourquoi ?

Comment ?

" C'est à plusieurs que l'on apprend seul. », François Le Ménahèze1 Constats de départ relevés dans le dossier de synthèse (Cnesco (2017) intitulé " Différenciation pédagogique : comment adapter l'enseignement à la réussite de tous les élèves ? » •Aucun élève n'apprend de la même manière et au même rythme, mais tous doivent acquérir les mêmes connaissances et compétences. •Les enseignants doivent donc être en mesure d'identifier et de gérer les écarts cognitifs, langagiers et culturels entre les élèves, d'adapter leurs pratiques aux rythmes d'apprentissage des élèves, c'est-à-dire de mettre en oeuvre, dans leurs classes, ce qu'on désigne par de la différenciation pédagogique. •Les résultats issus de la recherche incitent à la prudence et mettent aussi en évidence des conditions nécessaires pour la mise en oeuvre d'une différenciation pédagogique bénéfique à tous les élèves. •La différenciation pédagogique ne signifie pas la différenciation des objectifs pédagogiques qui conduit à un creusement des inégalités scolaires. Ainsi, l'entraînement des élèves sur des tâches à automatiser est nécessaire mais ne doit pas faire perdre de vue les habiletés de plus haut niveau pour tous les élèves. Une baisse du niveau d'exigence est contre-productive pour la réussite des élèves. Il s'agit alors de proposer une palette diversifiée de manières d'arriver au résultat, sans pour autant abaisser le niveau des tâches demandées. •Les travaux de groupes et/ou les travaux individuels permettent à l'enseignant de se libérer momentanément de la gestion collective de la classe et d'être plus disponible pour accompagner un ou quelques

élèves.

Conclusion la coopération entre élève est un moyen efficace de réaliser une différentiation pédagogique bénéfique à tous les élèves.

1Le Ménahèze F., Coopérer pour apprendre, Editions ICEM, n°48, Nantes, 2005. Cité

par Sylvain Connac in Apprendre avec les pédagogies coopératives, ESF éditeur,

2015.Les éléments ci-dessous sont issus du livre de Sylvain Connac Apprendre avec

les pédagogies coopératives, ESF éditeur, 2015 ou de conférences du même chercheur sur le sujet.

Que signifie coopérer ?

" Nous entendons par coopération toutes les situations où enfants et adultes, réunis en communauté de recherche, mettent à disposition de tous, les richesses individuelles, échangent leurs connaissances et développent en même temps des attitudes méta-cognitives ».

Quand coopérer ?

Les situations de coopération [...] peuvent intervenir à tout moment, excepté pendant les temps d'évaluation et ceux où il est nécessaire que les enfants soient centrés individuellement sur leur tâche.

Les différentes formes de la coopération :

•L'aide : un enfant reconnu comme expert vient apporter ses connaissances à un camarade qui en a manifesté le besoin. •L'entraide : deux ou plusieurs enfants se réunissent pour tenter à plusieurs de résoudre un problème ou une difficulté. •Le tutorat : un enfant, reconnu expert, accepte, pour un temps donné et avec un objectif précis, d'accompagner un de ses camarades afin qu'il devienne autonome dans le domaine du tutorat. Le tutorat revêt un caractère institutionnel que l'aide et l'entraide n'ont pas forcément. Il est possible de compléter cette présentation de la coopération par la pratique du travail en groupe. Elle correspond à un système d'organisation du travail par l'enseignant qui incite les élèves à interagir au sein d'un petit groupe pour réaliser une tâche identifiée. Travailler en groupe, c'est accepter de voir le champ de ses préoccupations s'élargir et, en même temps, pouvoir intégrer une communauté de ressources plus large que son cercle naturel. Généralement, le travail en groupe s'achève lorsque la tâche est réalisée, ou lorsque les conditions de la rencontre n'ont pas permis le travail.

Pour chacune de ces déclinaisons, celui qui aide et celui qui est aidé,

bénéficient à égale mesure des portées pédagogiques de la coopération. Celui

qui est aidé reçoit l'information qu'il lui manquait pour développer son

apprentissage. Généralement, ce n'est pas l'intervention de celui qui aide qui va permettre l'apprentissage. Elle va plutôt servir de déclencheur lorsque l'activité intellectuelle n'a pas encore pu débuter, de relanceur lorsqu'un blocage est apparu ou de soutien à poursuivre les efforts, les motivations intrinsèques n'étant pas suffisamment fortes à ce moment-là. En recevant une donnée manquante, celui qui est aidé peut poursuivre son travail sans avoir à attendre que l'enseignant se libère ou que la réponse soit donnée collectivement. Ainsi, la coopération se présente aussi comme une réponse à l'ennui scolaire.

Comment faire coopérer les élèves ?

La coopération nécessite une véritable intervention didactique. Il semble indispensable d'organiser et de conduire des séances d'entraînement à l'entraide et au tutorat en début d'année scolaire. Cette formation à la coopération scolaire tend à faire reconnaître par les élèves les principes de base de l'entraide : on est plus compétents à plusieurs que seul, on devient plus performant en étant soutenu que critiqué, on apprend mieux si l'on construit soi- même ses réponses. Il s'agit aussi de déterminer les contours d'une déontologie du tuteur et du tutoré, où l'on découvre notamment que la coopération se fait essentiellement selon un principe de parité : expliquer ou aider ne rend pas supérieur mais plutôt abaisse, s'il est question de soutenir. " Un tuteur n'est pas un "chef" qui commande celui qu'il aide. Il est là pour l'accompagner et répondre à ses questions. Les élèves peuvent bâtir un document qui rappelle les idées forces de ces fonctions coopératives (Cf. images ci-contre et ci-dessous). Le travail de groupe fonctionne mieux lorsqu'il est précédé d'un temps de travail individuel, au cours duquel chaque élève réfléchi au problème posé au groupe. Cela permet aux enfants qui manquent d'assurance d'avoir quelques notes à livrer au groupe et de ne pas avoir à improviser une prise de parole. Cela donne également du temps à ceux qui sont plus lents dans l'analyse des consignes ou dans la lecture d'un texte. Ils sont ainsi plus efficaces dans le travail de groupe et suivent mieux les échanges. Pour un fonctionnement optimal des groupes il faut que chaque membre ait un rôle à y jouer. Dans les premiers temps, l'enseignant peut préciser les différents

rôles nécessaires à la réussite du groupe, voire distribuer les rôles aux élèves

(rédacteur, ambassadeur ou chargé de la restitution, gardien du temps, responsable de la gestion du bruit, ...). Un outil pour réguler la coopération entre élève : Le Tétra aide. Imaginé par Bruce DEMAUGÉ-BOST en 2005, il est à l'origine pensé pour favoriser l'aide dans le cadre d'une classe coopérative. Dans ce cadre-là chaque élève doit disposer d'un tétra aide sur le modèle ci-dessous : Chaque sommet du solide correspond à un état de l'activité de l'élève : Le sommet vert signifie : " Je travaille seul et n'ai besoin de personne ». Le sommet bleu signifie : " J'aide ou je suis aidé par quelqu'un ».

Le sommet jaune signifie : " J'ai une question

non urgente » : elle ne m'empêche pas de travailler, ou je souhaiterais faire corriger un exercice. Dans tous les cas : " Je souhaiterais que l'enseignant (ou un camarade) passe quand il sera disponible. » Le sommet rouge signifie : J'ai une question urgente. Sans réponse je ne peux pas poursuivre mon travail.quotesdbs_dbs30.pdfusesText_36
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