[PDF] Propriété - Définition (voir démonstration 01)





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Extrait de cours maths 3e Multiples et diviseurs

I) Multiples et diviseurs. Un multiple d'un nombre est un produit dont un des facteurs est ce nombre. Un diviseur du produit est un facteur de ce produit.



NOTION DE MULTIPLE DIVISEUR ET NOMBRE PREMIER

On en déduit que S est un multiple 3. III. Nombres pairs impairs. Définition : Un nombre pair est un multiple de 2. Un nombre impair 



3ème : Chapitre1 : Nombres entiers et rationnels 1. Multiples

Multiples diviseurs : définition. 1.1 Définition a et b sont deux entiers naturels (non nuls). SI a=b×c avec c un entier ALORS on dit que b est un diviseur 



PL CIRODDE - Note sur la théorie du plus grand commun diviseur

Ce produit sera le P. G. C. diviseur demandé car il est clair qu'il satisfait à la définition du n° 6. 8. Examinons actuellement le cas où les quantités 



GELE2112 Chapitre 2 : Circuits résistifs simples

Définitions : noeud et boucle. Lois de Kirchhoff. Diviseur de tension. Diviseur de courant. Pont de Wheatstone. Gabriel Cormier (UdeM). GELE2112 Chapitre 2.



3ème : Chapitre1 : Nombres entiers et rationnels 1. Multiples

Multiples diviseurs : définition. 1.1 Définition a et b sont deux entiers naturels (non nuls). SI a=b×c avec c un entier ALORS on dit que b est un diviseur 



PGCD ET NOMBRES PREMIERS

Le plus grand diviseur commun à 60 et 100 est 20. On le nomme le PGCD de 60 et. 100. Définition : Soit a et b deux entiers naturels non nuls.



Sans titre

Dans ce chapitre on ne considère que des nombres entiers naturels. 2.1 Diviseur



Propriété - Définition (voir démonstration 01)

Soient a et b deux entiers naturels non nuls. Un entier naturel qui divise a et qui divise b est appelé diviseur commun à a et b. L'ensemble des diviseurs 



Les nombres de Lucas et Lehmer sans diviseur primitif

par définition de mr r n'est pas un diviseur primitif de ˜un et si mr = n

Comment calculer les diviseurs?

Dans notre cas, on doit trouver tous les diviseurs. La solution est de parcourir tous les nombres qui sont inférieurs à n-1 et on décrémente jusqu'à 1. Si le reste de la division de n sur n-i vaut 0 alors on affiche ce nombre.

Quel est le diviseur d'un nombre entier?

Le diviseur d'un nombre entier est égale ou inférieur à ce nombre. Par définition, un diviseur d d'un entier n si et seulement s'il existe un nombre k tels que : dk = n. Par exemple, 5 est le diviseur de 20 car 5 x 4 = 20. Dans notre cas, on doit trouver tous les diviseurs.

Qu'est-ce que le diviseur ?

Le mot “ diviseur ” a deux significations en mathématiques. Une division est effectuée à partir d’un “ dividende ” et d’un “ diviseur ”, et une fois l’opération terminée, le produit du “ quotient ” par le diviseur augmenté du “ reste ” est égal au dividende. En arithmétique, un “ diviseur ” d'un entier n est un entier dont n est un multiple.

Quelle est la différence entre le diviseur et le dividende ?

Dans l’opération 12 ÷ 4 = 3, le nombre 4 est appelé le diviseur et le nombre 12 est appelé le dividende. Dans ce treillis, on a identifié les diviseurs premiers dans des cases bleues et les diviseurs primaires dans des cases bleues ou orangées. On voit ainsi rapidement que 72 comporte 12 diviseurs en tout.

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Propriété - Définition (voir démonstration 01) Démonstrations des propriétés d'arithmétique 1 Propriété - Définition (voir démonstration 01)

Soient a et b deux entiers naturels non nuls.

Un entier naturel qui divise a et qui divise b est appelé diviseur commun à a et b. L'ensemble des diviseurs communs à a et à b possède un plus grand élément que l'on appelle le

plus grand commun diviseur de a et b, on le note PGCD(a ; b).

Démonstration 01 (retour au cours)

a et b sont deux entiers naturels non nuls.

Considérons l'ensemble

D(a ; b), ensemble des diviseurs communs à a et b. Le nombre 1 est un diviseur commun à a et b.

D(a ; b) est donc une partie non vide de IN.

De plus on sait que tout diviseur commun à a et b sera inférieur ou égal à a et à b.

Donc D(a ; b) est une partie finie de IN.

D(a ; b) a donc un plus grand élément que l'on peut obtenir en rangeant dans l'ordre croissant (ou

décroissant) les éléments de D(a ; b). C'est ce plus grand élément de D(a ; b) qui est noté PGCD(a ; b)

Propriétés

(voir démonstration 02)

Soient a et b deux entiers naturels non nuls.

On a PGCD(a ; b) a ; PGCD(a ; b) b ; PGCD(a ; b) = PGCD(b ; a)

Si b divise a, on a PGCD(a ; b) = b , en particulier PGCD(a ; 1) = 1 et PGCD(a ; a) = a Démonstration 02 (retour au cours)

a étant un entier naturel, on sait que tous les diviseurs de a sont inférieurs ou égaux à a.

PGCD(a ; b) est un diviseur de a, donc PGCD(a ; b) a

b étant un entier naturel, on sait que tous les diviseurs de b sont inférieurs ou égaux à b.

PGCD(a ; b) est un diviseur de b, donc PGCD(a ; b) b

Il est immédiat que les diviseurs communs à a et b, sont aussi les diviseurs communs à b et a.

Donc PGCD(a ; b) = PGCD(b ; a)

Si b divise a, alors b est un diviseur de a

Mais b est aussi un diviseur de b

Donc b est un diviseur commun à a et b ,

PGCD(a ; b) étant le plus grand des diviseurs communs à a et b, on a donc PGCD(a ; b) b Or on a vu précédemment que PGCD(a ; b) b

On en déduit :

PGCD(a ; b) = b

En prenant b = 1, et comme 1 divise a, on a PGCD(a ; 1) = 1 (résultat qui est par ailleurs évident)

En prenant b = a, et comme a divise a, on a PGCD(a ; a) = a (résultat qui est par ailleurs évident)

Propriété

(voir démonstration 03)

Soient a et b deux entiers naturels non nuls. Soient q et r le quotient et le reste de la division euclidienne de a par b. (On a a = b x q + r )

Alors Si r = 0, PGCD(a ; b) = b

Si r 0, PGCD(a ; b) = PGCD(b ; r)

Démonstrations des propriétés d'arithmétique 2

Démonstration 03 (retour au cours)

a et b sont deux entiers naturels non nuls. q et r sont le quotient et le reste de la division euclidienne de a par b.

On a a = b

x q + r avec q IN , r IN et 0 r < b

Si r = 0, alors a = b

x q avec q IN , donc b divise a et par conséquent PGCD(a ; b) = b

Si r 0,

Considérons d un diviseur commun à a et b.

On peut écrire r = a - b

x q Comme d divise a et b, on en déduit que d divise r Donc d est un diviseur commun à b et r. On a donc D(a ; b) D(b ; r) Considérons d un diviseur commun à b et r.

On sait que a = b

x q + r Comme d divise b et r, on en déduit que d divise a Donc d est un diviseur commun à a et b. On a donc D(b ; r) D(a ; b) On a donc démontré que D(a ; b) = D(b ; r) Le plus grand élément de D(a ; b) est donc aussi le plus grand élément de D(b ; r) c'est-à-dire PGCD(a ; b) = PGCD(b ; r) Propriété - Algorithme d'Euclide (voir démonstration 04)

Soient a et b deux entiers naturels non nuls.

On définit la suite r

n d'entiers naturels de la façon suivante : r 0 = b ; r 1 est le reste de la division euclidienne de a par b

Pour n 1 : si r

n = 0 alors r n+1 = 0 si r n

0 alors r

n+1 est le reste de la division euclidienne de r n-1 par r n

Alors il existe un entier n

0 tel que r n 0

0 et pour tout n > n

0 , r n = 0

On a PGCD(a ; b) = r

n 0

Remarque

En effectuant ainsi des divisions euclidiennes successives: de a par b, puis du diviseur par le reste, ...

le premier reste non nul est le PGCD de a et de b. C'est l'algorithme d'Euclide

Suivant les nombres a et b, le nombre d'itérations à effectuer peut être plus ou moins grand.

Sachant que PGCD(a ; b) = PGCD(b ; a) on aura toujours intérêt à prendre b a

Démonstration 04 (retour au cours)

a et b sont deux entiers naturels non nuls.

La suite r

n d'entiers naturels est définie par : r 0 = b ; r 1 est le reste de la division euclidienne de a par b

Pour n 1 : si r

n = 0 alors r n+1 = 0 si r n

0 alors r

n+1 est le reste de la division euclidienne de r n-1 par r n

Supposons que pour tout entier n, on a r

n 0

Alors pour tout entier n, r

n+1 est le reste de la division euclidienne de r n-1 par r n D'après l'encadrement du reste dans une division euclidienne on a r n+1 < r n

On a alors r

1 < r 0 donc r 1 < b donc r 1 b - 1 r 2 < r 1 donc r 2 r 1 - 1 donc r 2 b - 2 On pourrait alors démontrer par récurrence que pour tout n r n b - n

On aurait alors r

b+1 b - (b + 1) c'est-à-dire r b+1 -1 ce qui est absurde puisque r b+1 IN

En supposant que r

n

0 pour tout entier n, on aboutit à une contradiction.

Démonstrations des propriétés d'arithmétique 3

Il existe donc un entier n tel que r

n = 0 Considérons l'ensemble E des entiers n tels que r n = 0 Cet ensemble est une partie non vide de IN. Elle a donc un plus petit élément n 1

On a donc r

n 1 = 0 et d'après la définition de la suite (r n ) il est immédiat que r n = 0 pour tout n n 1

Posons n

0 = n 1 - 1

Puisque n

1 est le plus petit élément de E, n 0

E donc r

n 0 0

De plus si n > n

0 on a n n 1 et par conséquent r n = 0 donc r n = 0 pour tout n tel que n > n 0 On a vu que lorsque r est le reste non nul de la division euclidienne de a par b, on a

PGCD(a ; b) = PGCD(b ; r)

En utilisant cette propriété avec les éléments de la suite (r n ) pour n n 0 on peut écrire :

PGCD(a ; b) = PGCD(a ; r

0 ) = PGCD(r 0 ; r 1 ) = PGCD(r 1 ; r 2 ) = ... = PGCD(r n 0-1 ; r n 0

Comme de plus r

n 0+1 = r n 1 = 0 , cela signifie que r n 0-1 est divisible par r n 0 et donc PGCD(r n 0-1 ; r n 0 = r n 0

On a alors obtenu PGCD(a ; b) = r

n 0

Propriété (voir démonstration 05)

Soient a et b deux entiers naturels non nuls.

L'ensemble des diviseurs communs à a et à b est l'ensemble des diviseurs de leur PGCD.

Démonstration 05 (retour au cours)

a et b sont deux entiers naturels non nuls.

Notons D = PGCD(a ; b)

Soit d un diviseur de D. d divise D et D divise a, donc d divise a d divise D et D divise b, donc d divise b.

Donc d est un diviseur commun à a et b.

Tout diviseur du PGCD est un diviseur commun à a et b. Soit d un diviseur commun à a et b. (on peut supposer que b a) Si b divise a, alors PGCD(a ; b) = b, donc D = b, donc d divise D

Si b ne divise pas a.

Écrivons la division euclidienne de a par b, a = b x q + r avec 0 < r < b

On a D = PGCD(a ; b) = PGCD(b ; r)

Si r divise b, alors D = PGCD(b ; r) = r,

D'autre part puisque d divise a et b, alors d divise r = a - b x q, donc d divise D Si r ne divise pas b, on peut alors recommencer l'opération. Or, d'après l'algorithme d'Euclide, on obtiendra D = PGCD(r n-1 ; r n avec r n le dernier reste non nul, c'est-à-dire avec r n diviseur de r n-1 . Donc D = r n A chaque étape on pourra écrire que d divise r i et par conséquent d divise r n

On aura donc démontré que d divise D.

Tout diviseur commun à a et b est donc un diviseur de leur PGCD. L'ensemble des diviseurs communs à a et b est l'ensemble des diviseurs de leur PGCD.quotesdbs_dbs30.pdfusesText_36
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