[PDF] [PDF] Le sens caché des fleurs Symbolique et botanique dans - Numilog

View - Download [PDF] Le sens caché des fleurs Symbolique et botanique dans - Numilog

Previous PDF

Next PDF

Retrouver ce titre sur Numilog.com

Le sens caché des fleurs Retrouver ce titre sur Numilog.com

Retrouver ce titre sur Numilog.com

ALAIN TAPIÉ

Le sens caché des fleurs

Symbolique &

botanique dans la peinture du XVIIe siècle ADAM

BI RO Retrouver ce titre sur Numilog.com

Avec la collaboration de :

Sam Segal Odile

Delenda Caroline Joubert Françoise Mardrus Anne-Marie Bouve de Panthou

Coordination

Anne

Cathala

Cet ouvrage a reçu le soutien de : la Ville

de Caen la Société des Amis du musée des Beaux-Arts de Caen le Conseil régional de Basse-Normandie

Frontispice

1.

Ambrosius Bosschaert le Vieux.

Bouquet de

fleurs dans une arcature de pierre s"out,i-tiiit sur un paysage. Huile sur cuivre, 23,5 x 17,5 cm. S. b. d. : AB en monogramme. Paris, musée du Louvre.

CD 1997,

2000 Société nouvelle Adam Biro,

28,
rue de Sévigné, 75004 Paris ISBN : 2-87660-292-X N° d"éditeur : 0291

Dépôt

légal : octobre 2000 Imprimé en Italie Retrouver ce titre sur Numilog.com

Sommaire

Avant-propos

il - SAM

SEGAL Une symbolique du Bien et du Mal - 17 -

ODILE DELENDA

La nature divine sous l"emblème des fleurs

23 -

ALAIN TAPIÉ

La nature, l"allégorie - 33 -

La tradition chrétienne -

57 -
La

Réforme - 85 -

La botanique - 107 -

La mythologie

- 133 -

Répertoire

de la symbolique florale - 147 -

Catalogue des illustrations

149 -

Bibliographie

- 153 -

Index des peintres

155 -

Identification^dçs

fleurs / \ - /.5S " * . Retrouver ce titre sur Numilog.com

Retrouver ce titre sur Numilog.com

Retrouver ce titre sur Numilog.com

vérité photographique tel que le XIXe siècle nous l"a légué, qui fait précisé- ment des innovations techniques le garant de cette vérité.

En

conclusion, nous dirons à ceux qui doutent encore de la part symbo- lique des compositions florales qu"elles relèvent plus de l"imprégnation que de la signification, comme si le bouquet, la corbeille, la guirlande comme un paysage, un microcosme du monde, s"offrant à la méditation, nous contrai- gnaient à percevoir le message que quelques clés suffisent à transcrire sous nos yeux. La passion naturaliste et la passion romantique se rencontrent dans la même mélancolie où nous plonge notre incapacité à saisir les choses tangibles. Souvenons-nous des paysages de Jacob Ruysdael aussi près de la vérité locale de chaque fragment de nature que de la compréhension globale des choses et dont Louis Gillet disait, dans La Peinture aux XVIIe et XVIIIe siècles : " Le monde n"est pas à ses yeux une puissance muette. Les larges lieux communs qui naissent invinciblement du spectacle des choses, le senti- ment qui nous étreint devant la vie universelle, l"idée de son hostilité ou de sa bienveillance, le contraste de l"éternité des forces naturelles et de notre brièveté, la tristesse de l"éphémère qui se compare à ce qui dure, les mille images que nous présentent de notre rapidité les saisons et les jours, la nuit qui vient, les eaux qui fuient, les feuilles qui tombent. Il inventait le senti- ment moderne de la nature. » ALAIN TAPIÉ Conservateur en chef du

musée des Beaux-Arts de Caen Retrouver ce titre sur Numilog.com

Retrouver ce titre sur Numilog.com

3. Daniel Seghers. Allégorie du Goût. Huile sur toile, 78 x 59 cm. Dunkerque, musée des Beaux-Arts. Une symbolique

du Bien et du Mal SS u

Moyen Âge, la plupart des formes de l"existence étaient saisies comme le support d"un contenu symbolique. Dans L"Art religieux au XIIIe siècle en France, Émile Mâle écrivait : " Dans le monde, tout est symbole : le soleil, les constellations, la lumière, la nuit, les saisons nous parlent un langage solennel. » Le symbolisme était très fortement relié à la chrétienté et la vie quotidienne était largement imprégnée par la religion. Cette place décisive, la religion devait la tenir durant les siècles à venir tout en renouvelant cependant sa signification après la Réforme, en par- ticulier dans l"Europe du Nord. Cette transformation ne fit toutefois que déplacer l"accent du culte marial vers la figure centrale du Christ à laquelle le symbolisme était rattaché, de l"amour vers la foi et la doctrine. Progressi- vement, une partie du symbolisme glissa de la sphère sacrée vers le monde profane, pour disparaître plus ou moins au cours du XVIIIe siècle. Il est donc nécessaire pour comprendre le XVIIe siècle de mesurer les fortes implications de la religion. Un principe général semble dominer toute l"existence humaine, l"idée que la vie terrestre est une préparation de la vie après la mort. Seule une existence pieuse permet l"accès au Paradis et à l"éternité. L"opposition entre la vie terrestre, matérielle, temporelle, et la vie céleste, spirituelle, éternelle, est présente dans toute la littérature comme dans les arts visuels. Sous des formes originales, cette division essentielle se retrouve aussi bien chez Dante que dans l"œuvre de Jérôme Bosch, tandis que Pierre Brueghel l"Ancien s"emploie à la dépasser en jetant une passerelle vers la vie quotidienne. Aux Pays-Bas, Pieter Aertsen, après avoir enduré la fureur iconoclaste, développait une formule nouvelle ; il choisissait ses objets et ordonnait les figures principales de telle sorte que la scène dans son ensemble pouvait être interprétée soit in bono, soit in malo. Selon le contexte, la plupart des objets possèdent un contenu symbolique différent et peuvent être compris positive- ment ou négativement. Une même figure, selon la manière dont elle est représentée, sera perçue dans un sens tantôt spirituel, tantôt matériel, ou Retrouver ce titre sur Numilog.com

encore érotique. Il était plus courant cependant de distinguer, dans une même représentation, la signification positive ou négative des scènes par des symboles appropriés, comme en témoignent les nombreuses peintures et

gravures

allégoriques de la fin du XVIe siècle et du XVIIe. Le modèle inventé par Aertsen exprimait soit un message chrétien, parfois complété par un texte ou une référence biblique, soit des thèmes plus communs tels que la tentation, le péché, la sensualité, la fortune ou le pouvoir. Ses suiveurs, en premier lieu Joachim Beuckelaer, se tourneront davantage vers la peinture profane. La critique récente a pourtant trop insisté sur la seule interprétation de l"amour sensuel, notamment dans les nombreuses scènes de genre de la peinture du XVII" siècle. Nous n"en voulons pour preuve que la signification attribuée dans les portraits à l"œillet, souvent interprété comme un symbole du mariage et de l"amour entre deux personnes. C"est oublier les nombreuses représentations aux siècles précé- dents de la Vierge à l"Enfant avec un oeillet. Depuis Jan van Eyck et le premier tiers du XVe siècle, il existe de nombreux portraits qui ne font guère allusion au mariage. L"explication en est simple et peut être trouvée dans les différents noms donnés à cette fleur : le mot grec latinisé en Dianthus (fleur de Dieu), le nom français œillet de Dieu, l"anglais carnation ou l"allemand Nagelein. Fleur divine, l"œillet était aussi un symbole de la Passion du Christ par sa ressemblance avec la forme du clou, le clou de la Croix. Dans les portraits, il exprime la foi et l"espérance en Dieu ou dans le Christ. Que van Eyck ait pu l"utiliser montre assez son contenu religieux, la signification profane de ces objets symboliques restant inhabituelle alors. Van Eyck asso- " ciera parfois à l"œillet une autre fleur, elle aussi attribut du Christ, la giroflée. Les sources médiévales dont nous disposons concernant le symbolisme floral restent limitées. Le Moyen Âge connaît peu les fleurs exotiques et n"emploie que peu d"espèces pour la décoration des jardins, des intérieurs ou des églises. La symbolique prenait appui essentiellement sur les vertus médi- cinales, sur le nom même des fleurs ou sur leurs traits caractéristiques. Selon la " doctrine des signes » (Signaturlehre), les formes des différentes parties de la plante sont comme autant d"indications livrées par Dieu sur ses vertus thérapeutiques. L"hépatique avec ses feuilles trilobées était un remède contre les affections du foie et, plus généralement, les fleurs jaunes étaient utilisées contre la jaunisse. Dans les arts visuels, de telles significations pouvaient devenir métaphoriques. Le pissenlit, qui servait à guérir les maladies des yeux, pouvait être compris comme une incitation à mieux voir, c"est-à-dire à tendre vers une vie plus chrétienne. Le lys blanc, l"ancolie et l"iris sont les fleurs qui apparaissent le plus souvent dans l"art religieux aux XVe et XVIe siècles. Elles incarnent au mieux les différentes manifestations de la pensée symbolique. Le lys, comme les autres fleurs blanches, est par sa couleur un symbole de pureté. Dans une Annonciation, il devient le parfait symbole de l"Immaculée Conception. Sa corolle en forme de trompette renforce l"idée d"une proclamation. L"ancolie est le symbole du Saint-Esprit. Ses cinq pétales sont comme cinq colombes, d"où le nom anglais columbine, la colombe représentant elle-même l"Esprit Saint dans une Annonciation ou un Baptême du Christ. Les feuilles trilobées Retrouver ce titre sur Numilog.com

de l"ancolie rappellent enfin la Trinité, tout comme la fleur d"iris. Symbole de majesté, l"iris a donné naissance à l"héraldique fleur de lys, signe de royauté ; en relation avec le Christ et Marie, il est le symbole de la majesté divine. Cependant beaucoup d"autres significations s"attachent au lys, à l"an- colie et à l"iris, que le contexte seul permet de reconnaître. Ainsi, le lys blanc tenu par un saint signifie généralement la pureté mais, dans les mains de l"archange Gabriel, il prend un sens particulier. Depuis l"Antiquité, la rose est un symbole d"amour ; elle reste de nos jours un gage d"affection. Mais l"amour peut s"exprimer selon différents degrés et recevoir plusieurs interprétations. Il peut être divin ou spirituel, intellectuel, platonique ou sensuel. Associée à Vénus et à Cupidon, la rose désigne très souvent, mais non pas toujours, l"amour sensuel ; associée à Marie ou au Christ, elle signifie l"amour divin ou la charité. La rose rouge, en particulier lorsqu"elle porte des épines, exprime la Passion du Christ ou le désir ; la rose blanche représente la pureté de l"amour. Ce ne sont là que quelques exemples.

Il

n"est pas toujours aisé de préciser la signification des fleurs à partir des sources écrites. Mais certaines plantes souvent représentées dans la peinture, comme le fraisier, sont utilisées de toute évidence dans un sens symbolique. Par ses traits caractéristiques - des tiges courtes et rampantes, des feuilles trilobées, des fleurs blanches, des fruits rouges et sucrés poussant au prin- temps - il devient le symbole de la pureté, de l"humilité, de la Trinité, de l"Annonciation et, parce qu"il renaît après l"hiver, il est un des signes de la Résurrection ou encore du Paradis. Ces espèces apparaissent également dans les bordures " mille fleurs » des manuscrits enluminés, accompagnées de quelques fleurs parfumées ou médicinales comme le borage. On y rencontre très souvent des papillons et d"autres insectes, parfois une libellule peinte avec un tel sens du trompe-l"œil qu"on croirait observer une créature vivante sur la page. Les oiseaux et les insectes ailés, comme les papillons et les libellules, symbolisaient l"âme capable de s"envoler au Paradis après une existence terrestre consacrée à la foi et à la piété. Dans un autre contexte, ils deviennent une image de l"esprit s"élevant dans les airs. À l"opposé, les mouches et les coléoptères désignaient le monde terrestre corruptible et voué à la décomposition. La symbolique peut s"appliquer aux plantes et aux fleurs en général ou bien à certains genres seulement, voire à certaines espèces. Dans de nombreux tableaux, les fleurs dans leur ensemble viennent composer une unique signification ; elles peuvent également représenter, dans leur variété même, la richesse de la création et exprimer la ferveur divine. Par leur vie courte et leur fraîcheur fugace, elles symbolisent encore la nature transitoire (en anglais transcience) de l"existence humaine, aussi brève au regard de l"his- toire ou de l"éternité. Les fleurs blanches expriment la pureté, les fleurs penchées, l"humilité. Quant aux plantes médicinales, elles peuvent signifier la délivrance ou le salut. La signification particulière des espèces était courante aux XVe et XVIe siècles, elle devient accidentelle dans le tableau de fleurs du XVIIe siècle. Retrouver ce titre sur Numilog.com

Parfois cependant une fleur se détache nettement au sommet d"un bouquet et recouvre alors un sens spécifique. Face au symbolisme présent dans l"œuvre d"art, une interprétation univoque est rarement possible ou légitime. Il est probable que les artistes ne se laissaient pas enfermer dans le respect scrupuleux des codes, abandonnant au contraire au spectateur le soin de préciser le sens selon ses connaissances et son propre jugement. Si la Bible était la principale source, les livres d"em- blèmes moralisants de la fin du XVIe siècle et du XVIIe fournissaient d"autres informations sur certains thèmes et significations. Comme en témoignent quelques-unes des introductions rédigées pour ces recueils, textes et illustra- tions possèdent souvent plusieurs niveaux d"interprétation, profane et terrestre, moral et intellectuel, ou bien religieux et spirituel. Mais là encore, on peut se demander si les peintres ont jamais appliqué à la lettre de tels préceptes.

Les natures

mortes semblent assez bien traduire des idées courantes à l"époque, en particulier l"idée que la vie ici-bas doit préparer à l"existence dans l"au-delà. Le thème de la vanitas est de ce point de vue essentiel ; la Vanité contient en fait deux types de signification distincts, le caractère frivole de la vie et sa nature éphémère. Leur association manifeste le néant de l"existence humaine que traduisent plusieurs passages de l"Ecclésiaste. La Vanité recouvre à la fois la recherche de la considération, des honneurs, de la victoire, la poursuite de la richesse et du pouvoir ; désirs vains, car la vie n"est que temporaire. La conscience de cette brièveté nous commande, avant qu"il ne soit trop tard, de mener une vie bonne afin d"obtenir l"éter- nité. Cette exhortation est souvent traduite par contraste. Le caractère transitoire de la vie est exprimé dans les compositions florales par les fleurs, la vie terrestre par des animaux rampants, comme l"es- cargot ou la chenille, la vie céleste par des papillons et des libellules. Dans les bouquets du XVIIe siècle apparaissent parfois des symboles d"éternité comme le romarin ou la santoline (petit cyprès), plantes consacrées au mort et dont le parfum se conserve longtemps. La similitude avec le cyprès est, dans ce dernier cas, frappante. Par sa forme élancée, son feuillage persistant et toujours vert, le cyprès passe depuis l"Antiquité pour un symbole de l"éter- nité ; il est encore aujourd"hui l"arbre du cimetière. Dans la plupart des cas, le tableau est la formulation d"une alternative. Il nous fait prendre conscience du choix que nous devons sans cesse accom- plir. L"existence ici-bas s"oppose à la vie céleste, l"actuel à l"éternel, le maté- riel au spirituel, le sensuel à l"intellectuel, l"excès à la modération, la vanité à l"humilité, le mensonge à la sincérité, la paresse à la diligence, la superstition à la religion : Mal contre Bien. Cette alternative n"est pas seulement figurée dans la nature morte, on la trouve également dans les autres catégories de la peinture, comme les allégories, les scènes de genre, parfois même dans le paysage. Le choix peut se dissimuler sous une métaphore, comme le jour et la nuit, l"été et l"hiver. Le jour et la nuit sont parfois représentés par des fleurs particulières, le tournesol par exemple, cette fleur diurne dont le mouve- ment suit la trajectoire du soleil. Dans la littérature et l"emblématique, le Retrouver ce titre sur Numilog.com

tournesol est un symbole de la relation à Dieu. Le souci sera utilisé dans le même sens. Parce qu"elles s"ouvrent au petit matin et se ferment le soir, les belles-de-jour (ou ipomées) symbolisent également le jour. Le pavot est l"une des fleurs nocturnes les plus courantes ; l"opium extrait de ses fruits provoque le sommeil et ravit la conscience. Le symbolisme du jour et de la nuit anime les peintures de fleurs de plusieurs artistes hollandais de la seconde moitié du XVIIE siècle. Une gravure de Jan Saenredam (1565-1607) d"après Cornelis Ketel représente une allé- gorie de la bonne et de la mauvaise natures. La bonne nature est illustrée par des fruits, des raisins, des grenades et des melons, la mauvaise par les fruits du pavot. Dans une peinture attribuée à Andrea Belvedere (Suisse, collection privée), un putto est endormi près d"un vase contenant des pavots, des fleurs et quelques fruits. Une carafe remplie de vin est posée sur un ouvrage dont • on peut lire le titre : De Somno. À l"arrière-plan pousse une vigne. Son vin est-il celui de l"ivresse ou celui de la vérité : In vino veritas ? SAM SEGAL Retrouver ce titre sur Numilog.com

S"appuyant sur l"étude d"une cinquantaine de tableaux du XVII c siècle, de France, d"Italie, d"Espagne et des pays du Nord,

choisis pour leur signification particulière, ce livre révèle et décrit les sens multiples

(allégoriques, métaphoriques, religieux ou philosophiques) dont les fleurs ont été le support. ! ISBN 2-87660-292-X

190 F Retrouver ce titre sur Numilog.com

Participant d'une démarche de transmission de fictions ou de savoirs rendus difficiles d'accès

par le temps, cette édition numérique redonne vie à une oeuvre existant jusqu'alors uniquement

sur un support imprimé, conformément à la loi n° 2012-287 du 1 er mars 2012 relative à l'exploitation des Livres Indisponibles du XX e siècle.

Cette édition numérique a été réalisée à partir d'un support physique parfois ancien conservé au

sein des collections de la Bibliothèque nationale de France, notamment au titre du dépôt légal.

Elle peut donc reproduire, au-delà du texte lui-même, des éléments propres à l'exemplaire

qui a servi à la numérisation. Cette édition numérique a été fabriquée par la société FeniXX au format PDF. La couverture reproduit celle du livre original conservé au sein des collections de la Bibliothèque nationale de France, notamment au titre du dépôt légal.

La société FeniXX diffuse cette édition numérique en vertu d'une licence confiée par la Sofia

௅ Société Française des Intérêts des Auteurs de l'Écrit ௅ dans le cadre de la loi n° 2012-287 du 1 er mars 2012.quotesdbs_dbs44.pdfusesText_44

[PDF] rose eternelle sous cloche

[PDF] un bouleversant tête ? tête pdf

[PDF] une bouleversante nuit d'amour pdf

[PDF] une bouleversante meprise pdf

[PDF] un bouleversant contrat pdf

[PDF] un bouleversant aveu pdf

[PDF] un bouleversant malentendu partagora

[PDF] un bouleversant rendez vous pdf

[PDF] noces scandaleuses

[PDF] we can do it histoire des arts

[PDF] formule accusé de réception mail

[PDF] qui a retenue mon attention

[PDF] exemple des email professionnel

[PDF] exemple courrier electronique administratif

[PDF] tableau de bord de gestion des approvisionnements