[PDF] Porte-bouteilles 23 oct. 2020 Porte-bouteilles ...





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Marcel Duchamp

24 nov. 2021 Article fonctionnel investi de l'« aura » d'une œuvre d'art Porte-bouteilles a la teneur d'un objet fétiche : sa forme hérissée et sa dynamique ...



Porte-bouteilles

23 oct. 2020 Porte-bouteilles ... tout sec frappe à la porte de l'appartement. En frap- ... Duchamp Marcel est parti au bazar de l'Hôtel de.



Marcel Duchamp

L'œuvre de Marcel Duchamp (1887-1967) bouleverse radicalement l'art du 20e insiste lorsqu'il signe par exemple l'un de ces objets le Porte-bouteilles



Marcel Duchamp: porte-bouteilles

9 mai 2018 Marcel Duchamp achète son premier porte-bouteilles en 1914 au Bazar de l'Hôtel de ville. Mais c'est de New York en janvier 1916



Marcel Duchamp avec sa pensée du dehors1?

que Duchamp devait faire c'était de rompre avec l'art ou de rompre Man Ray



Stefan Banz Aldo Walker: logotype: en gardant un œil sur Marcel

9 mai 2018 œil sur Marcel Duchamp et William Copley. Marc Décimo ... surinterprétation qu'on peut accrocher au Porte-bouteilles de Marcel Duchamp.



Sculptures assemblages

Bouteille de Beaune En 1914



Les ready-made de Duchamp et la théorie du symbole

I'art de Duchamp: les salles animees de I'exposition et le public 2) Marcel Duchamp <(Porte-bouteille)



Le corps selon Duchamp

Duchamp est glorifié comme le fondateur de l'art conceptuel. Toutefois Urinoir



un mariage de Marcel Duchamp - Tiers Livre

versel de l'art : et personne pour le contester à Marcel Duchamp. Le porte-bouteilles laissé dans l'atelier jeté par Suzanne



MARCEL DUCHAMP - ropacnet

Porte-bouteilles A hand-written letter by Robert Rauschenberg describing his acquisition and the technical drawing of the object made by an industrial draftsman and supervised by the artist for the production of replicas in 1964 will provide further input to the understanding of the work



Porte-bouteilles Marcel Duchamp (1887-1968) - databnffr

Documents sur Porte-bouteilles (1 ressources dans data bnf fr) Livres (1) Marcel Duchamp (2014) Lars Blunck Nürnberg : Verlag für moderne Kunst cop 2014 Porte-bouteilles Marcel Duchamp (1887-1968) Catégorie de l'œuvre : Œuvres des beaux-arts et des arts décoratifs Genre ou forme de l’œuvre : Autre Date : 1914

What is the name of Marcel Duchamp's Bottle Rack?

The Bottle Rack (also called Bottle Dryer or Hedgehog) ( Egouttoir or Porte-bouteilles or Hérisson) is a proto-Dada artwork created in 1914 by Marcel Duchamp. Duchamp labeled the piece a "readymade", a term he used to describe his collection of ordinary, manufactured objects [1] not commonly associated with art.

How big is Marcel Duchamp's ring?

He obliged, writing in French, “Impossible for me to recall the original phrase M.D. / Marcel Duchamp /1960.” Inscribed on inner side of bottom ring: “Impossible de me rappeler la phrase originale M.D./ Marcel Duchamp/1960” Diameter at base: 59.1 × 36.8 cm (23 5/16 × 14 1/2 in.); 59.1 × 36.2 cm (23 1/4 × 14 1/4 in.)

What did Marcel Duchamp do in 1912?

Marcel Duchamp began his career as a painter of conventional portraits and nudes. By 1912, however, he set out to prove the end of “retinal art”—pictures created to delight the eye—in order to “put painting once again at the service of the mind.”

9

Porte-bouteilles

Paris, 14 septembre 1914, 23, rue Saint-Hippolyte

Sacoche en cuir sur le ?anc droit, un grand gazier tout sec frappe à la porte de l'appartement. En frap- pant, il annonce : " C'est le gaz ! Pour la facture. » Il attend. Pas de réponse. Il frappe un peu plus fort. Il répète : " La facture ! » La porte reste fermée. " Pareil au même, médite-t-il en phi losophe à gaz, quand faut payer, sont jamais là ! » Prend un papier dans sa sacoche. Prend un crayon dans sa veste. Mouille le bout du crayon et note à l'adresse de l'abonné : 10 duchamp marcel,

Dû gaz : 7 francs et 60 c.

2ème visite sera fête [sic]

5 jours au plus tard paiement avec reçu.

Range son crayon. Plie le papier en lissant bien les bords avec l'ongle du pouce. Le glisse dans la boîte aux lettres du monsieur suscité et s'en retourne.

Ainsi va la vie du gazier.

Mais où est donc passé le consommateur ?

L'abonné Duchamp Marcel est parti. Il avait une idée en tête. Ce n'était pas qu'il n'eût pas voulu payer. Son père, le notaire de Blainville, lui donne sur son héritage la rente nécessaire. Non, c'est que Duchamp Marcel est parti au bazar de l'Hôtel de Ville. Pourquoi le bazar de l'Hôtel de Ville ? Vous le découvrirez bien assez tôt. Car Marcel est parti à pied. Il est vrai que les chevaux sont rares. Tous au front. Et que les taxis en reviennent auréolés des gloires de la Marne. Quant au métro, il n'est pas encore ce qu'il sera. Sur la façade de l'immeuble en face, une plaque au soleil, l'une de celles émaillées en bleu sur les- quelles triomphent ces mots en lettres blanches, signes de bonheur culinaire et d'hygiène au progrès.

Duchamp lit :

11

EAU & GAZ

À TOUS LES ÉTAGES

1 On le verra, l'eau et le gaz joueront leur rôle dans son a?aire. Et se retrouve à Montparnasse. Du diable s'il n'y a pas une connaissance quelque part. Et ce qui devait arriver n'arrive pas. Personne qu'il connaisse. Il va partir. Continuer sa quête d'un objet sans sujet - voilà ce qu'il a en tête. Quand soudain : " Marcel ! » Il se retourne. C'est un grand brun dont il oublie toujours le nom. Qu'il connaît parce qu'il connaît Picabia. Comment va ? Ça va !, and co. Des nou- velles de Picabia ? Comme les autres. Comme mes frères. Tu les connais, mes frères ? Je connais de nom

Jacques. Tu ne connais pas Raymond ? Lequel est

lequel ? Jacques, c'est le peintre. Raymond, c'est le sculpteur. Je confonds toujours. On ne peut pas les confondre. Comment ils vont ? Ils vont. Ils tiennent. C'est l'essentiel en temps de guerre. Bon, on papote, on papote, mais l'art ne se fait pas tout seul. Peut-être que si, après tout. (Ils rient.) Tu m'excuses ? Je t'excuse. Duchamp part.

1. Eau & gaz à tous les étages, 1959, readymade, plaque

émaillée, 15 × 20 cm, collée sur la couverture de l'édition de luxe de Sur Marcel Duchamp de Robert Lebel. 12

14 septembre 1914, bazar de l'Hôtel de Ville

Une vendeuse s'approche. Elle demande avec

déférence si elle peut aider le monsieur. " Je cherche un hérisson », répond-il en saluant. En ces temps héroïques où les dames ont beaucoup remplacé les messieurs, il faut qu'elles s'adaptent à tout, même aux questions qui gênent. Elle dit : " On n'a pas d'animaux. » Le monsieur sourit. Hoche la tête et la regarde avec douceur. Elle doit rester stoïque, on le lui a appris. Le monsieur happe un papier sur le comptoir. Il dessine. " Ah ! oui », dit-elle confuse, qui voit que le mon- sieur sait dessiner. Elle lui indique à gauche, à droite encore à gauche et tout au bout.

Marcel arrive au rayon du pinard. Tombe sur ce

qu'il montre aussitôt. " Monsieur en somme désire un égouttoir », annonce en ?nesse le vendeur à vin, gros, gras, rouge. Marcel opine. " Je vous l'emballe ? » Marcel demande pour savoir : " Vous l'appelez com- ment ? » On répond qu'il est mieux de le nommer sèche-bouteilles, car c'est à ça qu'il sert. " Mais mon père l'appelle hérisson ! » " On peut aussi », répond le vendeur. Et Marcel est content. Il s'en va. Il enjambe la rue de Rivoli avec l'égouttoir à la main. Il prend le chemin le plus long pour aller au plus court en art. Il pense à la peinture. Il pense que c'est drôle d'avoir bousculé la peinture en pein- ture. Jusqu'ici, il n'était que l'autre peintre de la 13 fratrie. Exposait en automne au Salon d'Automne, au printemps aux Indépendants. Mais il n'est pas Jacques Villon, peintre connu. Il n'est pas Raymond Duchamp-Villon, sculpteur connu. Ses frères sont des professionnels. Lui n'a pas le choix. Entre Raymond et Jacques, il n'y a pas d'espace pour lui. Il hausse les épaules et son hérisson se soulève. Il aime bien être en marge, à côté. D'autant que l'époque est à la ?èvre, au nouveau, à l'e?ervescence. Le cubisme est là qui bouscule. Apollinaire en est le chantre. À grands coups d'intuitions inspirées qui deviendront des vérités acquises :

Ce qui di?érencie le cubisme de l'ancienne

peinture, c'est qu'il n'est pas un art d'imitation, mais un art de conception qui tend à s'élever jusqu'à la création.

Jacques Villon a succombé. Raymond Duchamp-

Villon aussi. Et tous leurs amis autour d'eux. Le

cubisme est une théorie en actes. Depuis Les Demoi- selles d'Avignon 1

1. pablo picasso, Les Demoiselles d'Avignon, 1907, huile sur

toile, 243,9 × 233,7 cm. Museum of Modern Art, New York. 14

Un Picasso étudie un objet comme un chirur-

gien dissèque un cadavre. il est un chamboulement du regard. Il dépiaute l'objet à peindre comme on fait d'un oignon couche

à couche. Et c'est ainsi qu'au bout du compte,

l'oeuvre peinte ne représente plus le réel, mais qu'elle présente son réel. Qui est aussi du réel en peinture. Le cubisme attaque au coeur le système de représentation : En représentant la réalité-conçue ou la réalité- créée, le peintre peut donner l'apparence de trois dimensions, peut en quelque sorte cubiquer.

Il ne le pourrait pas en rendant simplement la

réalité-vue, à moins de faire du trompe-l'oeil en raccourci ou en perspective, ce qui déformerait la qualité de la forme conçue ou créée 1

Marcel aime bien le cubisme. Sauf que tout le

monde en fait. Sauf qu'il est mal à l'aise dans ce qui est donné pour vérité. Ce sont toujours des lignes de conduite, des règles, fussent-elles déréglées.

1. guillaume apollinaire, Les Peintres cubistes, Médita-

tions esthétiques. Paris, Eugène Figuière & Cie, 1913.

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15 Pourquoi être un cubiste pur ? Cela paraîtrait bon élève. Bon élève de la bonne école. Raymond et Jacques peuvent le faire. Eux, ils sont établis.

En 1911 aux Indépendants, Duchamp a vu les

Fenêtres de Delaunay

1 . Il a vu du mouvement dans l'immobile. Il a vu le simultané des contrastes et des formes. Il a vu, ou plutôt, le tableau est entré en lui, s'y est enraciné, mêlé à d'autres ré?exions, d'autres regards. Le simultanéisme n'est pas le cubisme. Il en est d'une certaine façon l'antithèse. La décomposi- tion froide de l'objet, sa dissection, sont statiques. La dynamique des formes et des couleurs n'inté- resse ni Braque ni Picasso. Lorsque Duchamp, lors d'un voyage en train, se met à penser - comme il nous est tous arrivé de le faire - au double mou- vement d'un homme qui marche dans le couloir d'un train en marche, Delaunay lui revient. Et les chronophotographies d'Étienne-Jules Marey.

Nous sommes en octobre 1911 et cela l'occupera

jusqu'en janvier 2 . Mais Duchamp, parce qu'il est Duchamp, mêle plusieurs éléments dont le moins qu'on puisse dire est qu'ils ne font pas tous o?ce

1. par exemple: robert delaunay, La Fenêtre sur la ville

n o

3, 1911, huile sur toile, 113,7 × 130,8 cm. Musée Guggen-

heim, New York.

2. Marcel Duchamp, Jeune homme triste dans un train,

1911, huile sur toile, 100 × 73 cm. Musée Guggenheim,

New York.

16 dans la peinture. D'abord, il y a ce jeune homme dans un train qui n'est certes pas un autoportrait, mais n'échappe cependant pas à quelque élément autobiographique. Par exemple, pour aller à Blain- ville. Ensuite, il y a l'humour, " l'humour dans le tableau », dit-il. À tout le moins, dans le jeu un peu abscons du titre : " Le jeune homme est triste parce qu'il y a le train qui vient après. » " Tr est très impor- tant. », avoue-t-il à Pierre Cabanne 1 . Avouons que cela reste un mystère. Et c'est ainsi que Duchamp fera toute sa vie. Quelque chose d'obscurément clair qui n'est, somme toute, qu'une machine à gloser. Triste après train. La pente est très glissante. Des générations vont la descendre avec l'obstina- tion joyeuse d'un skieur de fond. Et puis il y a for- mellement l'idée du parallélisme élémentaire des mouvements qui amuse Duchamp. Ce pourquoi sans doute il s'obstine, peignant la silhouette en la répétant avec les di?érences nécessaires. Il récidivera avec son Nu descendant l'escalier où le modèle académique par excellence se trouve, si j'ose dire, précipité 2 . Comment ce Nu descend-il ?

Non par la construction d'un mouvement ?uide

1. pierre cabanne, Entretiens avec Marcel Duchamp,

Paris, Belfond, 1957, p. 47.

2. Marcel Duchamp, Nu descendant un escalier n

o 2,

1912, huile sur toile, 146 × 89 cm. Philadelphia Museum

of Art. 17 et continu, mais par une succession de positions ?xes, d'immobilités répétées. Comparons avec Synthèse plastique des mouvements d'une femme du futuriste Russolo 1 . La saturation des couleurs et la succession des images juxtaposées font que la rétine crée le mouvement - la synthèse plastique. Chez Duchamp, on peut dire que l'intellect crée le mou- vement. La di?érence est fondatrice. Le langage pictural, sa matérialité, voire sa virtuosité, ne fait pas son o?ce, ou de façon secondaire, comme maté- riau. C'est le stimulus donné par " l'image » avec son titre qui lance le processus de construction ou de reconstruction intellectuelle - la descente d'un escalier non par une femme nue mais par un Nu, une académie. Il en sera ainsi pour toute l'oeuvre de Duchamp. L'ironie qui s'y ajoute veut que ce ne soient pas des couleurs intenses qui ont été choi- sies, mais celles, ternes, préférées des cubistes. Les chatouilleux ne s'y sont pas trompés. Le comité du

Salon des indépendants refuse le tableau.

18 mars 1912

Marcel ouvre la porte.

1. luigi russolo, Sintesi plastica dei movimenti di

una donna, 1912, huile sur toile, 85,5 × 65 cm. Musée de

Grenoble.

18

Tiens, Raymond ! Tiens, Jacques ! Entrez,

entrez ! Vous allez à un mariage ou quoi ? Pour- quoi ? Je vous vois en grande tenue. On vient te voir. Asseyez-vous. Banalités d'usage, puis : Que me vaut l'honneur de votre visite ? C'est Gleizes qui nous envoie, dit l'un. C'est Metzinger, dit l'autre.

Et qu'est-ce qu'ils veulent, nos bons cubistes de

salon ? Justement... Justement quoi ? Ils disent que c'est le titre. Pas la peinture ? Non, le titre. Trop littéraire. Allons bon. Ils disent qu'un nu honnête ne descend rien du tout. Un honnête nu s'incline. Il est dans la grâce de sa chair. Ils ont dit cela ? Ou presque. Ils ont dit qu'en somme, il su?sait de changer le titre. C'est possible, non ? D'abord, je ne changerai rien du tout. Ensuite, mon nu descend ce qu'il veut. Et puisque ces messieurs n'en veulent pas, eh bien on va grimper au nu. Ne le prends pas comme ça. Je le prends comme je veux. Il s'habille. Où vas-tu ? Taxi ? Quai d'Orsay, s'il vous plaît. Bonjour, je viens chercher mon tableau. Vous êtes ?

Marcel Duchamp. Duchamp, Duchamp Marcel,

voyons ça. Le Nu, devenu disponible, est aussitôt parti à Bar- celone 1 avant de s'exposer début 1913 à New York 2

1. exposition d"art cubiste, galerie dalmau, avril-mai

1912.

2. exposition internationale d"art moderne, février-mars

1913. puis chicago et boston.

19 précédant ainsi son auteur qui ne sait pas encore qu'il rejoindra son oeuvre. Revenons à 1914. Marcel avec un hérisson dressé dans son salon. Il juge qu'il faut y inscrire quelque chose. En lettres blanches sur le cercle du bas, à l'intérieur, et aussi à l'extérieur 1 . Il y aura écart entre le voir et le lu, l'acte de voir et l'acte de lire. La pas- siveté étonnée du voir entre alors en contradiction avec l'ironie (sur la pelle) ou le non-sens qui fait sens (sur le peigne). L'écart fait vaciller le voir. Chargé de la phrase qui informe, ou plutôt désin- forme, l'objet n'est plus qu'un insolite défait de sa fonction d'usage. Dépouillé de ce pourquoi il a été conçu, peut-on alors le considérer dans sa forme, pour sa forme, pour sa forme seule, son design ? Duchamp prévient : " Il faut parvenir à une indif- férence telle que vous n'ayez pas d'émotion esthé- tique 2 . » Car la grande a?aire, qui est la cause du choix de l'objet et la di?culté de ce choix, n'est

1. le 15 janvier 1916, désormais à new York depuis l"été

1915, duchamp demande à sa sœur suzanne d"écrire elle-

même les phrases qu"il lui dira plus tard. si ces phrases ont été nalement communiquées à suzanne, nous n"en avons aucune trace. dans cette lettre duchamp parle de readymade. exemple d"inscriptions: In advance of the broken arm (en avance du bras cassé), sur une pelle à neige (1912), ou sur la tranche d'un peigne : 3 OU 4 GOUTTES DE HAUTEUR N'ONT

RIEN À FAIRE AVEC LA SAUVAGERIE (1916).

2. p. cabanne, op. cit., p. 84.

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