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Authenticité de la Métaphysique en général. Son histoire. L'Antiquité nous a laissé trois catalogues de l'œuvre d'Aristote. Mais ces.
Analyse comparative des chapitres de la Métaphysique dAristote
Métaphysique d'Aristote fondée sur les fréquences d'emploi des parties du discours ; confrontation entre l'ordre du textus receptus les références.
GUIDE DE LECTURE DE LA MÉTAPHYSIQUE DARISTOTE
La science que recherche Aristote n'est ni le contenu d'un livre ni un compendium de syllogismes
Aristote Métaphysique - Intro et résumé général - 2016
L'ontologie d'Aristote est centrée sur la substance à savoir cela qui persiste dans le devenir
LE PRINCIPE DE LA MÉTAPHYSIQUE DARISTOTE ET LE
Le contenu de la Métaphysique d'Aristote est bien peu «méta physique » au sens cartésien du terme. De longs développements ressortissent à ce qu'Aristote
Le caractère aporétique de la Métaphysique dAristote
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Si pour ne préjuger de rien
Deux nouveaux commentaires du livre ? de la Métaphysique dAristote
29 mai 2020 Métaphysique d'Aristote. Carlo Natali. Édition électronique. URL : https://journals.openedition.org/philosant/3592.
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Aristote Métaphysique Traduction (éd de 1953) de J Tricot (1893-1963) Éditions Les Échos du Maquis (ePub PDF) v : 10 janvier 2014
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LA METAPHYSIQUE D'ARISTOTE ARISTOTE LA METAPHYSIQUE (Sauf les livres 2 et 3) Nouvelle édition numérique http://docteurangelique free 2008
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Parution octobre 2019 : traduction introduction et notes du livre Alpha de la Métaphysique d'Aristote Résumé « Tous les hommes désirent naturellement
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COMMENTAIRE DES DOUZE LIVRES DES MÉTAPHYSIQUES D'ARISTOTE - 18 - 1 Par l'autorité de Platon C'est parce que l'être par accident est un être
la métaphysique daristote - JSTOR
(1) Voir l'Épître dédicatoire des Méditations métaphysiques (A ? IX-1 4-8) © Revue Internationale de Philosophie 3/1997 - n° 201 - pp 417-443
[PDF] Aristote Métaphysique - Intro et résumé général - 2016
1) Les réflexions d'Aristote sur la puissance s'inscrivent dans son projet directeur d'analyser les différents sens de l'être Une substance (c'est-à-dire une
(PDF) La Métaphysique dAristote : perspectives contemporaines
27 oct 2015 · PDF Actes édités par Michel Narcy et Alonso Tordesillas Find La "Métaphysique" d'Aristote : perspectives contemporaines
Essai sur la métaphysique dAristote [Volume 1] / par Félix Ravaisson
Essai sur la métaphysique d'Aristote [Volume 1] / par Félix Ravaisson Ravaisson Félix (1813-1900) Auteur du texte Ce document est disponible en mode
C'est quoi la métaphysique selon Aristote ?
Ainsi, par exemple, la métaphysique est : pour Aristote (384-322 av JC), l'étude de l'être ou de l'essence des choses, indépendamment de leurs propriétés particulières.Quelle est la théorie de Aristote ?
Aristote définit la cause motrice comme : « le principe premier d'où part le changement ou la mise en repos ». Cette cause se fonde sur le postulat aristotélicien de ce que le mouvement, s'il existe, n'est pas chaotique : il obéit aux lois de l'univers, accessibles aux sens et donc connaissables.Quelle est la thèse défendue par Aristote ?
La connaissance par la cause
Aristote soutient que pour véritablement connaître la vérité d'un phénomène, il faut en connaître la cause. Ainsi, « on ne peut pas savoir la vérité si l'on ne connaît pas la cause ».Roman métaphysique
La métaphysique est l'une des branches traditionnelles de la philosophie. On peut définir la métaphysique comme cette discipline prenant pour objet ce qui échappe à toute expérience possible, ce qui dépasse la réalité sensible, physique : Dieu, l'âme, la mort, etc. Dieu existe-t-il ?, ou le temps est-il infini ?
Aristote, Métaphysique
Introduction et résumé général des séances de 2016Gunnar Declerck
Le traité appelé Métaphysique, auquel Aristote se référait sous le nom de Philosophie première (le
qualificatif de Métaphysique ne lui est venu que plus tard, par les éditeurs et commentateurs
d'Aristote) appartient aux écrits dits ésotériques d'Aristote. On sait qu'Aristote distinguait deux types
d'écrits et dispensait deux sortes de cours basés : les écrits et cours ésotériques, qui s'adressaient aux
seuls initiés, aux disciples déjà exercés, et les écrits et cours exotériques, qui étaient donnés en
public, destinés à tout le monde. Seule une partie de ses écrits ésotériques nous sont parvenus,
parfois sous forme des notes des disciples ou des brouillons des leçons.La Métaphysique est un traité réputé d'abord difficile, notamment en raison de son caractère
inachevé : il comporte ainsi des redites ou des incohérences, et son style n'a pas été travaillé pour en
faciliter la lecture (les traducteurs font heureusement un travail de clarification). Qu'Aristote en soit
bien l'auteur ne fait pas de toute parmi ses exégètes même s'il y a débat sur certaines parties, mais
des parties non essentielles de l'ouvrage (par ex. récapitulant ce qu'Aristote dit dans d'autres traités,
comme la Physique).L'ouvrage est organisé en 14 livres désignés par des lettres grecs et également des chiffres romains
de I à XIV. L'objet de l'ouvrage est l'ontologie fondamentale, soit l'élaboration d'une théorie de
l'être, et ce, d'abord à travers l'analyse des différents types d'étants, ou, si l'on préfère, les
différentes " manières d'être » qu'on peut distinguer. Le point de départ de l'enquête d'Aristote est
le constat que l'être se dit de multiples manières, au sens où de multiples choses sont assumées
" être » dans le langage (on traduit également parfois avec la formule d'allure plus simple : " 'être' a
plusieurs sens »). Au passage, l'enquête ontologique d'Aristote prend donc plus ou moins
explicitement ancrage dans le langage, qui constitue une sorte de fil d'Ariane pour l'analyse desmanières d'être : les différents types d'étants, les différentes manières dont quelque chose peut
" être », sont d'abord indiquées par le langage.L'ontologie d'Aristote est centrée sur la substance, à savoir cela qui persiste dans le devenir,
maintient son identité dans le changement, et se trouve qualifié par des prédicats. (Aristote définit
souvent la substance comme ce qu'est quelque chose, il l'assimile donc à ce qu'on appelle la
quiddité. Les deux caractérisations ne sont pas exclusives toutefois.1) La substance (ousia) a un
primat ontologique, c'est la catégorie d'étant première, et les autres étants (par ex. les qualités) sont
ontologiquement dépendant de la substance : ils en constituent des déterminations. Par ex., là où
quelque chose se trouve, à quel moment, avec quoi ce quelque chose est en relation, quelle est la couleur, la taille, de ce quelque chose, etc.Pour l'atelier de lecture, nous nous sommes focalisés sur les parties de la Métaphysique centrées sur
la notion de possible (ce qu'Aristote appelle la puissance : dunamis, également traductible par
capacité), à savoir principalement le livre Thêta. Nous avons également lu :1 " En Métaphysique Z.3, Aristote présente quatre explications possibles de ce qu'est la substance de x. Elle peut être " (i)
l'essence de x ou (ii) des prédicats universels de x, ou (iii) un genre auquel x appartient, ou (iv) un sujet dont x est le
prédicat » (Cohen, 012)Plateforme Philosophie et Technique
Atelier de lecture collective de textes
2- le livre Hêta, qui prépare la lecture du livre Thêta (qui vient juste après), notamment par
l'analyse qu'il propose de la matière et de la forme (distinction toutefois introduite plus tôt :
dans le livre Zêta / Z), avec lesquels la notion de puissance entretient un rapport essentiel ; - le point 11 du livre Delta ( D, V), où Aristote analyse les différents sens que peuvent prendre les termes " Antérieur et postérieur », et le point 12 " Puissance, capable - Impuissance,incapable », qui propose une première définition générale de la puissance (dunamis) et
établit une liste des différentes acceptions du concept. Résumé général des parties abordées1) Les réflexions d'Aristote sur la puissance s'inscrivent dans son projet directeur d'analyser les
différents sens de l'être. Une substance (c'est-à-dire une entité particulière, un individu) peut être
dite être (ainsi et ainsi) suivant les différentes catégories (quantité, qualité, etc.). Mais on peut aussi
employer le verbe être à son propos pour prédiquer des capacités : cette chose peut faire ceci ou
cela, elle en est capable. L'affirmation directrice d'Aristote que " l'être s'emploie en de multiples
sens » vaut également pour la puissance : on peut employer le verbe " être » à propos d'une
substance pour prédiquer une puissance ou capacité de celle-ci.2) Aristote distingue deux sens principaux de " puissance » : la puissance active et la puissance
passive. - La puissance active correspond au " principe du mouvement ou du changement, qui [sous- entendu : le mouvement ou changement] est dans un autre être ou dans le même être en tantqu'autre » (Mét. D, §12, p.191). La puissance active est ce par quoi un changement advient, soit
(a) dans un autre être que celui qui possède et exerce la puissance, soit (b) dans l'être même qui
possède et exerce la puissance.Le maçon possède la capacité de bâtir, le médecin la capacité de guérir, la source de chaleur la
capacité de chauffer. Cette puissance réside en eux, mais pour s'exercer, elle doit s'appliquer à
un terme qu'Aristote appelle le " patient » : le maçon a besoin de matériaux deconstruction pour exercer sa puissance de bâtir, c'est sur ces matériaux qu'il va exercer cette
puissance, et ce faisant il va opérer un changement en eux : avec eux il va par ex. construire une
maison ; le médecin va exercer sa puissance de guérir sur un individu malade ; la source de chaleur va exercer sa puissance sur un corps qui va alors s'échauffer, etc.Mais la puissance active peut aussi s'exercer sur l'être même qui détient la puissance : le
médecin peut se soigner lui-même. Il est dans ce cas considéré suivant deux perspectives : d'un
côté comme agent (qui exerce la puissance de guérir), de l'autre comme patient (sur lequel s'exerce cette puissance).- Corrélativement, La puissance passive est définie par Aristote comme " la faculté d'être changé
ou mû par un autre être, ou par soi-même en tant qu'autre », c'est-à-dire la possibilité " pour un
patient, de subir une modification », d'être altéré par l'exercice d'une puissance active. Par ex., la
capacité du malade à être guéri (par un autre ou par lui-même), la capacité d'un corps à changer
de température ou de couleur, ou encore la possibilité pour les briques et le ciment d'être agencées pour former un bâtiment. Aristote répertorie également d'autres sens puissance, notamment - la capacité de changer dans le sens du meilleur (la capacité de s'améliorer) 3- la capacité à bien faire quelque chose (" mener quelque chose à bonne fin ») ou à le faire
librement (i.e. " comme ils veulent », autre trad.), par ex. la capacité à bien s'exprimer ou à
marcher librement- la capacité à ne pas changer (à ne pas manifester certaines modifications), c'est-à-dire à se
maintenir en l'état en dépit d'une puissance active qui s'exerceMais ceux-ci correspondent selon lui à des sens dérivés. Et même si Aristote n'est pas toujours très
clair sur ce point, cela vaut semble-t-il aussi pour la puissance passive. Aristote semble vouloir
conférer un primat à la puissance active, au sens où pour lui tous les autres sens de puissance
peuvent y être rapportés et en dépendent. Par ex., un être ne possède une puissance passive que
parce qu'un autre être peut exercer sur lui une puissance active. Il y a une dépendance asymétrique
des puissances passives vis-à-vis des puissances actives.3) Aristote distingue ensuite entre ce qu'il appelle les puissances rationnelles et les puissances
irrationnelles (livre Thêta, point 2).- Les puissances rationnelles sont celles dont l'exercice engage la partie rationnelle de l'âme, et ne
sont donc possédées que par les être rationnels. En font par ex. partie les savoir-faire artisanaux,
les capacités de jugement et de raisonnement.- Les puissances irrationnelles sont, à l'inverse, soit celles que possèdent les êtres inanimés, soit
celles dont l'exercice dépend des parties non rationnelles de l'âme (âme végétative et sensitive) :
par ex. la capacité de croissance, de digestion ou de respiration, ou encore de sensation. Deux caractéristiques distinguent ces deux types de puissances :1. Leur rapport aux contraires. Alors que " les puissances irrationnelles ne sont puissances que
d'un seul effet » (pp.42-43), les puissances rationnelles sont également puissances de leurs
contraires (être capable de A, c'est aussi bien être capable de non-A) : " la chaleur n'est
puissance que de l'échauffement », en revanche " la médecine est puissance à la fois de la
maladie et de la santé » (p.43). Si un savoir-faire est mal exercé, il produira l'effet contraire à
l'effet escompté.2. Les conditions devant être remplies pour qu'elles s'actualisent. Les puissances irrationnelles, à la
différence des puissances rationnelles, s'actualisent de manière pour ainsi dire automatique,aussitôt que sont réunies leurs conditions d'exercice, i.e. aussitôt que le terme patient et le
terme agent sont mis en présence. Si vous approchez une flamme d'un matériau combustible, celui si s'enflamme. Pour que les puissances rationnelles s'actualisent, un ingrédient supplémentaire est requis : " le désir [orexis] ou le choix rationnel [proairesis]2 » (p.51). Le maçon
n'exercera sa puissance de bâtir en présence des matériaux de construction que s'il le choisit.
Autrement dit, il peut conserver sa puissance non exercée, malgré la présence du terme patient,
si tel est son désir. Le possesseur de puissances rationnelles est capable de retenir l'actualisation
de celles-ci, de les maintenir hors de leur exercice alors même que toutes les conditions sont remplies pour celui-ci.2 Soit la décision d'agir qui découle d'une activité de délibération : une fois pesé le pour et le contre, l'individu opte pour
telle action. 44) Une partie substantielle des réflexions d'Aristote sur la puissance porte finalement sur les relations
entre puissance et actualisation, en particulier les éventuelles relations de dépendance entre eux.
Plusieurs éléments méritent d'être retenus :a) Aristote rejette la conception actualiste de la puissance que défend l'école Mégarique, selon
laquelle la puissance n'a de réalité que lorsqu'elle s'actualise (livre Thêta, point 3). Aristote
reconnait plus loin (livre Thêta, point 8) qu'il y a bien un primat (au sens d'une antériorité
chronologique aussi bien que logique) de l'acte sur la puissance. Mais cela ne veut pas direque la puissance n'existe que lorsqu'elle s'actualise : " quelque chose peut [...] avoir la
puissance d'être, et cependant n'être pas ; [ou il peut, à l'inverse,] avoir la puissance de
n'être pas, et être. » (p.46) b) Aristote montre que si l'existence du possible n'est pas subordonnée à son actualisation présente ou future (i.e. quelque chose peut être en puissance sans que cette puissances'actualise en ce moment ou dans l'avenir : il peut rester éternellement latent), cela ne
signifie pas pour autant que tout soit également et indifféremment possible (livre Thêta, point 4). Pour que quelque chose soit possible, dit Aristote, il faut que son actualisation soit réalisable(contrainte de réalisabilité). Mais qu'il soit réalisable n'implique pas nécessairement qu'il
sera effectivement réalisé dans l'avenir. Un morceau de bois est capable de brûler (il est combustible), même si, jamais dans le cours de son existence, il n'entre en combustion. Et il faut ensuite que l'actualisation de la puissance n'engendre aucune impossibilité (on pourrait retraduire : n'engendre aucune contradiction 3). c) Aristote remarque que certains types de puissances sont subordonnés à une actualisation antérieure (livre Thêta, point 5). C'est le cas pour les puissances qui viennent de l'habitudeou qui sont acquises par l'étude, par ex. les savoir-faire : il faut les avoir exercées par le passé
pour les posséder. On ne peut posséder un savoir-faire sans avoir jamais pratiqué. En
revanche, ce n'est pas le cas des puissances innées, comme les puissances de sentir associées aux différents sens.d) Finalement (livre Thêta, point 7), Aristote note qu'on dira qu'un être est " en puissance de
quelque chose » (par ex. que tel individu malade est sain en puissance, ou que tel matériau de construction est une maison en puissance) quand (1) aucun obstacle dans le patientn'empêche le passage à l'acte (p.56), c'est-à-dire que lorsqu'elle s'exerce, la puissance active
fait changer le patient sans opposition de sa part ; et quand (2) aucun obstacle extérieur au patient ne s'oppose à cette actualisation : ainsi, la semence n'est l'homme en puissance que lorsqu'elle est déposée dans un autre être. Par ailleurs, on ne dit d'une matière qui compose quelque chose, qu'elle est " en puissance de ce quelque chose » (par ex. que le bois dont est fait le coffre qu'il est " le coffre enpuissance »), que s'il s'agit de la matière prochaine. Comme le note Aristote, on ne dit pas de
la Terre (comprendre : les molécules et atomes) dont est fait le bois qu'elle est le coffre en puissance, mais on dit qu'elle est du bois en puissance. C'est le bois qui est le coffre en puissance.3 Aristote définit en effet comme suit l'impossible : est impossible " ce dont le contraire est nécessairement vrai » (Mét.
Delta, point 12). Inversement, " le possible est ce dont le contraire n'est pas nécessairement faux. »
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