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GÉOGRAPHIE HUMAINE ET PHYSIQUE

VOYAGES

INDEX DES ARTICLES ET DES ILLUSTRATIONS

Tirés des revues spécialisées, ainsi que

des séries télévisées de voyages L - R

Dernière mise à jour : 27 Décembre 2016

par

Pierre Allard

2009-2015 2e édition revue et augmentée

GÉOGRAPHIE 2e partie

L-Z Luc, Saint-Athanase, Iberville et L'Acadie pour former Saint-Jean-sur-Richelieu. ² Atlas Géant du Québec. Montréal : Cartotek Géo Inc, 2003, p.143 carte urbaine

² Promenades Montérégiennes. Groupe Culture et Ville, Boréal, 2001, p.61 +Illus. de son église Sainte-Marguerite-de-Blairfindie et la rue

principale début du siècle

évêque de la Nouvelle-France, monseigneur François de Laval, érige canoniquement la paroisse des Saints-Anges-Gardiens

en 1664, nom que conservera, en le dépluralisant, la chapelle baptisée en 1670 et dont héritera la municipalité de paroisse

créée en 1845, abolie deux ans plus tard et rétablie en 1855, ainsi que le bureau de poste ouvert en 1861 et dont le nom a

été amputé de l'article initial jusqu'en 1964 »2. L'Ange-Gardien a changé son statut de municipalité de paroisse pour celui

(la date varie selon les sources différentes), soit moins de 30 ans après la fondation de Québec. Les premières familles

terres fertiles, disposées en terrasses naturelles, parallèles au Saint-Laurent. Alors, de nombreuses maisons et fermes, où on

période de la Nouvelle-France. On peut admirer notamment les maisons Bureau, Côté, Gagnon, Gariépy, Laberge (cette

² Atlas Géant du Québec. Montréal : Cartotek Géo Inc, 2003, p.161 carte urbaine ² Commission de toponymie du Québec. Banque de noms de lieux du Québec. http://www.toponymie.gouv.qc.ca/ct/accueil.html [ 19 fév.2012] ² Laframboise, Yves. Circuits pittoresques du Québec, 2007, p.161+Illus. ² Villes et villages du Québec. http://grandquebec.com/villes-quebec/ [20 fév. 2012]

L'ANNONCIATION (Rivière-Rouge, MRC Antoine-Labelle, Laurentides, Québec) Pop. 2,157 hab. (2001)

L'Annonciation, La Macaza, Marchand et Sainte-Véronique fusionne le 18 décembre 2002 pour former Rivière-

Rouge ² VIDÉO-71. Parc du Mont-Tremblant. Série: Le Québec vu d'en haut, 2000, 30min.

Le village a été nommé d'après un noble français du nom de Bonfils. Ce noble aurait vécu au village au début de la colonie

de la Nouvelle-France. Selon une légende, ce noble ressemblait beaucoup au roi de France et un grand mystère entourait

son origine. Certains prétendaient qu'il était le frère jumeau de Louis XIV, le célèbre homme au masque de fer1. Une autre

explication serait qu'il puisse évoquer la " mémoire d'un capitaine de navire, La Marie-Joseph, Pierre Bonfils » qui s'est

engagé pour le Canada en 1723. Le fait que le toponyme proviendrait de " beau-fils » ou gendre n'est pas à exclure.

Finalement on mentionne dans Le Registre de Ristigouche : 1759-1795. Baie des Chaleurs et Acadie le mariage de " Aubin

Bon fils de Jean Bon et de Louise Chicoine... avec Elizabeth Cannors » le 24 août 1793. Origine et signification. Le hameau

gaspésien de L'Anse-à-Beaufils, dont le nom se prononce [bôfi] localement, s'est implanté autour d'un havre de pêche, à

10 km au sud-ouest de Percé. À l'extérieur du havre, c'est la grande anse donnant sur le golfe du Saint-Laurent qui porte le

nom " Anse à Beaufils ». Longtemps, les pêcheurs de Percé, incapables de rentrer chez eux par mauvais temps, trouvaient

refuge dans ce petit port protégé. Au XIXe siècle, les établissements commerciaux des Gruchy et Boudreau, de même que

ceux de la compagnie Robin, viennent animer la petite anse. À partir de 1898, les embarcations accèdent au bassin par un

chenal dragué dont la profondeur actuelle est de 3 m. L'origine de ce toponyme demeure incertaine. Un dénommé Beaufils,

jeune noble français en exil, aurait, le premier ± probablement au XVIIIe siècle ± défriché les abords de l'anse. Dans son

Journal qui relate deux voyages apostoliques dans le golfe du Saint-Laurent, faits en 1811 et en 1812, monseigneur Joseph

-Octave Plessis (1763-1825) note que l'" on aperçoit l'anse-à-Beaufils où demeurent six ou sept familles ». La carte de 1832

de l'hydrographe Henry Wolsey Bayfield indique " Beaufils Bay »; celles de Russell, en 1847 et en 1861, portent

respectivement les inscriptions " L'Anse au Beaufils » et " Anse à Beaufils ». On relève également l'appellation " Bonfils »

sur quelques anciens documents, ce qui peut évoquer la " mémoire d'un capitaine de navire, La Marie-Joseph, Pierre Bonfils,»

engagé pour le Canada en 1723. Il n'est pas impossible, non plus, qu'il s'agisse de beau-fils, expression masculine de belle-

fille, brue, ou du patronyme Beaufils très répandu en France. Le Registre de Ristigouche : 1759-1795. Baie des Chaleurs et

Acadie (1984) mentionne l'acte de mariage d'" Aubin Bon fils de Jean Bon et de Louise Chicoine... avec Elizabeth Cannors »,

le 24 août 1793. Ce patronyme pourrait-il être à l'origine du nom de l'endroit? Il est à noter que l'approbation du toponyme

" L'Anse-à-Beaufils » constitue la première décision de la Commission de géographie, l'actuelle Commission de toponymie,

le 5 décembre 1912. ² Commission de toponymie du Québec. Banque de noms de lieux du Québec. http://www.toponymie.gouv.qc.ca/ct/accueil.html [ 23 mars 2012] ² Laframboise, Yves. Circuits pittoresques du Québec, 2007, p.321 ² Guides Bleus Évasion Hachette, Québec, 2000, p.298 illus. du village.

région administrative du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Le village fait partie de la municipalité régionale de comté du Fjord-du-

Vingt-et-un, présidée par le célèbre industriel William Price, qui commence à coloniser ce site. On y produit des madriers, on

Jean a traversé plusieurs périodes difficiles. Une grande disette a failli éradiquer la population du village au milieu du XIXe

siècle. Puis, en 1875 et en 1908, la localité a été partiellement détruite par le feu. En 1918, la grippe espagnole a anéanti un

grand nombre de résidents. Ensuite, le village a souffert de nombreuses inondations, dont le grand déluge de 1996 qui a laissé

des vues sur la vallée et sur la Montagne Blanche; un port de plaisance qui permet de pratiquer le kayak de mer et la voile;

des sentiers de randonnée pédestre sur les caps du parc du Saguenay surplombant le fjord; des chemins pour la randonnée

dans le parc du Saguenay, et de la pêche sur la glace du fjord. Pour les amateurs de bières, une microbrasserie, les Brasseurs

Parmi les attraits touristiques, on peut voir le pont couvert, daté de 1929, qui illustra le billet de 1 000 dollars canadiens

nombreux fours à pain extérieurs qui côtoient les maisons. Un circuit patrimonial a été aménagé, avec des panneaux explicatifs

village +carte régionale, p.56-57 ² Au Québec. Une terre, des peuples, des histoires, No 16, Juin-Juillet 2005, p.42-54 +Illus. ² Commission de toponymie du Québec. Banque de noms de lieux du Québec. http://www.toponymie.gouv.qc.ca/ct/accueil.html [ 23 fév.2012]

² Cournoyer, Jean. IM 0pPRLUH GX 4XpNHŃ " UpSHUPRLUH GH QRPV SURSUHV, Montréal, Stanké, 2001, p. 791-792

² Guides Bleus Évasion Hachette, Québec, 2000, p.211-212 ² Laframboise, Yves. Circuits pittoresques du Québec, 2007, p.204-205 +Illus. p.41-43 +Illus.en n&b. du village en 1942, en 1941, du quai vers 1885 de son pont couvert en 1984 ² Villes et villages du Québec. http://grandquebec.com/villes-quebec/ [23 fév. 2012]

L'Anson, Richard. Photographe

² Grands Reportages, 355, Juin 2011, p.12 Survial Kit, la photo de voyage. Éd. Lonely Planet. de la rue principale en 1976, p.125 ; de la Cie Price en 1976, p.127

de Marie, lui vient de la rivière L'Assomption en bordure de laquelle elle se trouve. Elle est située au nord-est de Montréal, sur

les rives de la rivière L'Assomption. La partie centrale de la ville se trouve sur une presqu'île tracée par les méandres de la

rivière. En 2000, on assiste à la fusion entre la paroisse de Saint-Gérard-Majella et la ville de L'Assomption. Après la fusion, le

des Indiens des familles huro-iroquoises et des nations algonquine et attikamek. Ses premiers résidents permanents sont des

plusieurs familles acadiennes déportées, et le bourg devient le centre d'une région en expansion. Au début du XIXe siècle,

agricoles à la métropole canadienne. De plus, L'Assomption a développé des industries artisanales et a produit en grandes

quantités cuir, poterie, ceintures fléchées et articles de métal provenant de la fameuse fonderie Bédard. Avec le développement

$VVRPSPLRQ ŃRQQX VRXV OH QRm de Domaine du Chemin du Golf.

de modèle pour plusieurs municipalités à travers le monde. Origine et signification. Le site de cette municipalité, à quelque

45 km de Montréal, sur les bords de la rivière L'Assomption, à l'intérieur d'un important méandre en forme de fer à cheval

et en aval du confluent avec la rivière de l'Achigan, était fréquenté par les Amérindiens en des temps immémoriaux, en vertu

de sa proximité avec le fleuve Saint-Laurent dont il n'est séparé que de quelques kilomètres. À cet égard, selon une étude

récente, le nom amérindien Outaragasipi signifie non pas rivière tortueuse mais rivière évasée, ce qui décrit bien le cours de

la rivière L'Assomption. L'histoire de ce coin de pays débute vers 1640-1647, années de concession des seigneuries Saint-

Sulpice (1640) et de L'Assomption (1647). Le premier nom de l'endroit était Le Portage, sentier fréquenté au moins depuis

1670 par les Amérindiens, ainsi dénommé parce qu'ils y traînaient leurs canots en traversant la presqu'île afin de s'exempter

d'en compléter le tour. En 1717, on assiste à la fondation de la paroisse, désignée par la suite comme Saint-Pierre-du-Portage

-de-l'Assomption ou encore Saint-Pierre-et-Saint-Paul-du-Portage, l'élément Pierre rappelant la première messe dite là le jour

de la Saint-Pierre, le 29 juin 1724, et Pierre Le Sueur (1684-1752), sulpicien, premier curé de 1724 à 1742. Érigée

canoniquement en 1835 et formée de parties des seigneuries Saint-Sulpice et de L'Assomption, la paroisse fera l'objet d'une

seconde érection canonique en 1860. Quant à L'Assomption, il provient du nom de la seigneurie concédée en partie à Pierre

Legardeur de Repentigny en 1647, laquelle tire le sien de la rivière déjà nommée ainsi depuis le XVIIe siècle. Sur le plan

administratif, l'endroit, colonisé entre 1670 et 1700 et où des Acadiens s'installent en 1766 ± on sait que l'Assomption,

célébrée le 15 août, constitue depuis 1632 en quelque sorte une fête nationale pour les Acadiens ±, sera d'abord créée à

titre de municipalité en 1845, " comprenant la paroisse de Saint-Pierre du Portage de L'Assomption, telle que canoniquement

érigée ». Amputée par la création de la municipalité du village de L'Assomption en 1846 et abolie en 1847, la municipalité

de la paroisse de L'Assomption sera rétablie dans ses limites territoriales en 1855. La municipalité de village devait obtenir

le statut de ville en 1888. L'actuelle ville résulte de la fusion intervenue en 1992 entre ces deux entités administratives.

Il n'est pas sans intérêt de souligner qu'entre 1774 et 1888 L'Assomption assumera le rôle de municipalité prospère la plus

importante entre Montréal et Trois-Rivières, titre que lui ravira, quelques années plus tard, Joliette (L'Industrie) grâce à un

remarquable essor. La renommée assomptionniste est principalement attachée à la fabrication d'une grande ceinture fléchée,

dite de L'Assomption, unique en son genre. Vendue au magasin de la Baie d'Hudson, elle présentait des motifs superbes

d'éclairs et de flammes et était fabriquée par des Acadiens. Un autre motif de gloire pour les Assomptionnistes est le collège

de L'Assomption, fondé en 1832 par les docteurs Jean-Baptiste Meilleur (1796-1878), Louis-Joseph-Charles Cazeneuve

(1795-1856) et l'abbé François Labelle (1795-1865), qui accueillera comme étudiants plusieurs futures personnalités dont

sir Wilfrid Laurier. ² Commission de toponymie du Québec. Banque de noms de lieux du Québec. http://www.toponymie.gouv.qc.ca/ct/accueil.html [ 6 avril 2012] ² Villes et villages du Québec. http://grandquebec.com/villes-quebec/ [6 avril 2012] I ² Lanaudière. Joliette, Rawdon, St-Donat. L'Assomption. JDM MapArt, 2010. + Index des rues.

est le siège d'un musée de l'automate, le Musée Baud. La fabrique horlogère De Bethune y est installée.

² Guide du Routard. Suisse, 2011, p.193 Musée Baud.

² Wikipédia, 28 Mai 2015

que le tenancier des Sulpiciens venait chercher, chaque année, les redevances des censitaires le jour de l'Épiphanie, le

6 janvier. D'autres prétendent qu'il s'agit de la commémoration de la première messe célébrée à cet endroit, justement

un 6 janvier. Origine et signification. Minuscule enclave située dans la partie centre-est du territoire de la municipalité de la

paroisse homonyme, la ville de L'Épiphanie est contiguë dans sa partie sud à la ville de L'Assomption. L'origine de cette

dénomination est identique à celle de la municipalité de paroisse qui lui a donné en quelque sorte naissance territorialement.

Reconnue officiellement en 1921, la municipalité du village de L'Épiphanie a connu un développement rapide, grâce

notamment à l'établissement, en 1940, d'une fabrique de cigares réputés dont les Épiphaniens d'alors étaient particulièrement

fiers. En juin 1967, elle accédait au statut de ville. On peut noter que L'Épiphanie a profité du passage sur son territoire des

voies ferrées du Canadien National et du Canadien Pacifique. Gare et bureau de poste ont porté la même désignation. La

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une atmosphère urbaine aux agréments de la nature, elle représente une opportunité de cohabitation harmonieuse avec

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rendaient pour recueillir les rentes seigneuriales. En 1857, la première église et un presbytère sont construits. Le

cigares» a été fondée quelques années plus tard et dans les années 1930, elle est devenue la célèbre "Canada Manufacturing»,

a obtenu à plusieurs reprises le premier prix régional "Villes, Villages, Campagnes fleuries du Québec». Rappelons que le

amateurs du canoë, traverse ce territoire. Notons aussi que le Parc du Barrage est un endroit très agréable pour y passer

terrasse sablonneuse du chemin du Grand-Coteau. Le développement résidentiel de la paroisse est limité à deux secteurs :

le Domaine des Deux-Lacs, domaine de villégiature situé à l'orée d'un boisé, aux limites de la municipalité et autour de deux

plans d'eau alimentés par des sources naturelles, un petit noyau urbain situé tout près du centre administratif municipal.

² Commission de toponymie du Québec. Banque de noms de lieux du Québec. http://www.toponymie.gouv.qc.ca/ct/accueil.html [ 6 avril 2012] ² Villes et villages du Québec. http://grandquebec.com/villes-quebec/ [6 avril 2012] L'ÉPIPHANIE (Lanaudière, MRC L'Assomption, Québec) - Cartes ² Lanaudière. Joliette, Rawdon, St-Donat. L'Épiphanie. JDM MapArt, 2010. + Index des rues. L'HERMITIÈRE (Orne, Basse-Normandie, France) Pop.269 hab (2008) ² Détours en France, 110, Septembre 2006, p.53 Cidriculeurs "militants" ² Géo, 155, Janvier 1992, p.90-102 Article. En Bourgogne sur les traces de Colette.

² Géo, 176, Octobre 1993, p.44-105 Florence. Dossier. Balades insolites (88-92) Cuisine florentine (94-96)

² Géo, 207, Mai 1996, p.12-24 Article. Les toits nous racontent des histoires ² Géo, 243, mai 1999 p.176-190 Article. Pérou. "Pélerinage, glacier de l'Auzangate"

² Géo, 344, Octobre 2007, p.140 Kenya-Tanzanie. Article. Nos adresses pour voyager " écoresponsable »

² Géo, 353, Juillet 2008, p.86 Article. Vulcania. Auvergne. ² Géo, 365, Juillet 2009, p.142 Article. Enki Bilal. D'où viennent-ils? ² Géo, 372, Février 2010, p.132 Article. Xavier Emmanuelli. D'où viennent-ils? ² Géo, 374, Avril 2010, p.64-65 Article. Marrakech. La Ménara, au bon plaisir du sultan.

² Géo, 378, Août 2010, p.78-79 Article. L'amour en Amérique "Les sex-toys et les séries TV font évoluer les moeurs"

² Géo, 395, Janvier 2012, p.90-93 Article. Chiloé, Chili. ² Géo, 397, Mars 2012, p.62-78 Au nom de la mère. [Matriarcat dans le monde] ² Détours en France, 81, Avril-mai 2003, p.44-45

Québec) Voir aussi Montréal (Québec)

² Détours en France, 81, Avril-mai 2003, p.44-45 (Québec)

26 mars 1902. Ville principale, Port-Menier. Situé en face de Havre Saint-Pierre, séparée de la Côte-Nord par le détroit Jacques-

Cartier et de la Gaspésie par le détroit d'Honguedo. Anticosti est la plus grande île du Québec, une taille comparable à la Corse.

Longue de 222 km de long et de 16 à 48 km de large. Accessible par bateau à partir de Sept-île ou par Rimouski. On peut aussi

s'y rendre par avion, à partir de Sept-Île, Havre-Saint-Pierre ou Mont-Joli. L'île est un milieu où la nature règne. Elle est reconnue

pour son plein air, sa pêche et sa chasse (plus de 150 000 chevreuils sont sur l'île). On y retrouve aussi de l'exploitation

forestière dans certains secteurs. ² Bibliothèque du voyageur. Le grand guide du Canada. Paris : Gallimard, 2001, p.205 ² Canadian Geographic Travel, Summer 2007, p.36-39 Sweet summer isles. +Illus.

² Cournoyer, Jean. IM 0pPRLUH GX 4XpNHŃ " répertoire de noms propres, Montréal, Stanké, 2001, p.894-895

² Grands Reportages, 140, sept. 1993 p.58-63

² Guides Bleus Évasion Hachette, Québec, 2000, p.283 ² Îles, le magazine de toutes les îles (Lausanne) no 15, Avril-Mai 1991, p.16- ² Lejeune, Lionel. Époque des Menier à Anticosti. Saint-Hyacinthe : Éd. JML, 1987, 243p. ² Magazine Découvertes, Évasion, plein air, no 5, 2010, p.54-57 Île de la démesure! ² McCormick, Charlie. Anticosti. Chicoutimi : Les Éd. JCL, 1996, 285p. ² National Geographic Traveler, Canada. 1999, p.150 +Illus. ² Noms et lieux du Québec : dictionnaire illustré, 2e éd, 1996, p.19

à Port-Menier, p.201 ; construction de la villa Menier, p.202 ; du moulin à scie de Baie-Ellis en 1905, p.204 ; la villa

Menier et un phare , p.205

² VIDÉO-140. Île Bonaventure, Roché Percé et Anticosti. Série : Aventures en Nord, 2000, 30min.

² VIDÉO-208. Série : Escapade nature

du Québec, dans la région administrative de la Capitale-Nationale, créée le 1er janvier 19821. Son chef-lieu est la paroisse

de Sainte-Famille. Elle est composée de six municipalités : quatre municipalités, un village et une paroisse. Elle occupe en

entier l'île d'Orléans et fait partie de la Communauté métropolitaine de Québec. Municipalités : Saint-François-de-l'Île-d'Orléans,

Saint-Jean-de-l'Île-d'Orléans, Saint-Laurent-de-l'Île-d'Orléans, Saint-Pierre-de-l'Île-d'Orléans. Paroisse : Sainte-Famille.

Village : Sainte-Pétronille. Origine et signification. Municipalité régionale de comté de 192 km² située immédiatement à l'est

de l'agglomération de Québec, composée de l'île d'Orléans, de l'île Madame et de l'île au Ruau. Elle constitue la plus petite

MRC en superficie après celle de Champlain (163 km²) et la troisième plus petite en population. L'île d'Orléans appartient

aux basses-terres du Saint-Laurent, mais son sous-sol la rattache au système appalachien. Vu sa valeur patrimoniale

inestimable en tant que lieu premier de l'implantation française au Québec, avec Québec, Beauport et la Côte-de-Beaupré,

elle jouit du statut d'arrondissement historique aux termes de la Loi québécoise sur les biens culturels. Ce statut protège

son paysage architectural et naturel contre des interventions indésirables. Établie en janvier 1982, la MRC comprend six

municipalités dont Saint-Pierre, la plus populeuse; elle ne compte aucune ville. C'est un vieux pays, bien français et

entièrement rural. Le tourisme et l'agriculture y sont les activités économiques principales. Les rares industries, de petite

taille, sont reliées à l'alimentation. De plus en plus, on s'établit dans l'île d'Orléans pour la beauté et la tranquillité des lieux,

mais on se rend travailler à Québec ou dans sa proche banlieue. La MRC est évidemment nommée d'après l'île principale

elle-même et son siège se trouve à Sainte-Famille. Voir : Orléans, Île d'. ² Commission de toponymie du Québec. Banque de noms de lieux du Québec. http://www.toponymie.gouv.qc.ca/ct/accueil.html [ 17 fév.2012] ² Laframboise, Yves. Circuits pittoresques du Québec, 2007, p.139-153

Grosse-Île, Havre-aux-Maisons, L'Étang-du-Nord et L'Île-du-Havre-Aubert fusionnent le 1er janvier 2002 pour former

Les Îles-de-la-Madeleine. En juin 2004 Cap-aux-Meules et Grosse-Île défusionne.

Québec)

² Méditerranée (Spécail Corse (Été 2002) p.72-73 illus. ² Méditerranée Magazine Corse, Été 2004, p.110-116+Illus.

² Grands Reportages, 140, sept. 1993 p.58-63

² Guides Bleus Évasion Hachette, Québec, 2000, p.283 ² Lejeune, Lionel. Époque des Menier à Anticosti. Saint-Hyacinthe : Éd. JML, 1987, 243p. ² McCormick, Charlie. Anticosti. Chicoutimi : Les Éd. JCL, 1996, 285p. ² National Geographic Traveler, Canada. 1999, p.150 +Illus. ² Noms et lieux du Québec : dictionnaire illustré, 2e éd, 1996, p.19

à Port-Menier, p.201 ; construction de la villa Menier, p.202 ; du moulin à scie de Baie-Ellis en 1905, p.204 ; la villa Menier et un

phare, p.205

² VIDÉO-140. Île Bonaventure, Roché Percé et Anticosti. Série : Aventures en Nord, 2000, 30min.

² VIDÉO-208. Série : Escapade nature

L'ISLE-SUR-LA-SORGUE (Vaucluse, Provence, France) Pop. 26 419 hab. (1999) L'Isle-sur-la-Sorgue ou couramment L'Isle-sur-Sorgue est

une commune française, située dans le département de Vaucluse en région Provence-Alpes-F{PH G

entre Avignon et la vallée Nord Luberon, à quelques pas de Fontaine-de-Vaucluse. L'Isle-sur-la-sorgue compte trois hameaux qui sont Saint

Antoine, Petit-Palais et Velorgues. Environ 800 km de Paris, 80 km de Marseille et 20 km d'Avignon. ² Détours en France, 189, Février-Mars 2016, p.14-15 Illus.

² Wikipédia, 1 Mars 2016

une petite île, d'où son nom. Le village de l'Isle-sur-Serein est attesté dès 877, sous le nom d' Ilianencensis vicaria. C'est

une ancienne possession des sires de Montréal. Le village est fortifié au XIVe siècle. En 1351, il a pour seigneur Jean II de

Chalon-Arlay. Jusqu'à la Révolution française, son nom est L'Isle sous Montréal. Au xixe siècle et au xxe siècle, l'Isle-sur-

Serein est un centre ferroviaire d'une certaine importance. La gare de l'Isle-Angely (l'actuelle déchèterie) est en effet, entre

1887 et 1951, le terminus de la ligne d'intérêt local l'Isle-Laroche, surnommée le Tacot du Serein et gérée par la CFD. Sa

gare est également située sur la ligne Avallon - Nuits-sous-Ravière du PLM, ouverte en 1888 et progressivement fermée

entre 1933 et 1952. En outre, une halte du tacot existait aux Antes, plus proche du centre du bourg que la gare.

[Wikipedia, 13 déc. 2011]

LA BAIE (Saguenay-Lac-Saint-Jean, MRC Le Fjord-du-Saguenay, Québec) Bagotville, la municipalité de paroisse

de Bagotville, Grande-Baie et Port-Alfred fusionnen le 1er janvier 1976 pour former La Baie. Le 18 février 2002,

La Baie fusionne avec Chicoutimi, Jonquière, Laterrière, Shipshaw, Lac-Kénogami et une partie de Tremblay pour former

Saguenay.

² Atlas Géant du Québec. Montréal : Cartotek Géo Inc, 2003, p.162 carte urbaine ² Guides Bleus Évasion Hachette, Québec, 2000, p.210

LA BAIE (Québec ) ± Bibliographie

LA BARBOLEUSAZ (Suisse) Canton de Vaud.

² Guide du Routard. Suisse, 2011, p.546

LA BAULE-ESCOUBLAC (Bretagne, France) Pop. 16 112 hab (2011) La Baule-Escoublac est une commune française située dans le

département de la Loire-Atlantique en région Pays de la Loire. Station balnéaire de la Côte d'Amour, elle est réputée pour sa

longue plage située au fond de la baie du Pouliguen, son casino et ses palaces en bord de mer. Avec une population estimée à

environ 16 000 habitants, la population estivale peut atteindre 150 000 habitants. La commune doit son essor au développement

du tourisme à la fin du xixe siècle. Bénéficiant d'une forêt de pins plantée dès 1840 pour enrayer l'avancée des dunes, la ville voit

d'abord s'implanter des familles aisées qui font construire de belles villas le long de la plage. Après avoir connu un âge d'or durant

les années folles, la ville subit le contrecoup de la crise économique des années 1930 puis de la Seconde Guerre mondiale. Elle

retrouve de la vigueur dans les années 1960, entraînant une nouvelle forme d'urbanisation, son économie étant toujours basée

sur le tourisme.

² Détours en France, 144, Juin 2010, p.50- Oubliez le béton! La pointe de Penchâteau (illus.50)

² Géo, 327, Mai 2006, p.154-155 Bretagne côté sud. La plage de La Baule (154-155 illus.) ² Guide Vert, Bretagne, Michelin, 2000, p.108-109 +Illus. et ses plages; 110 +Illus.

² Wikipédia, 2 Mai 2014

La Baume, Renaud. Journaliste. Auteur de " Les Nouveaux Maîtres du monde (Belfond) (116-117)

LA BICHE (Lac, Alberta) 2,737 hab.

LA BOLLÈNE-VÉSUBIE (France)

² Détours en France, 89, Mai 2004, p.31 illus. Vue aérienne du du village

LA BOSTONNAIS (Mauricie, Le Haut-Saint-Maurice, Québec) 531 hab. (2004) Fusion avec La Tuque en mars 2003.

La Boudeuse (Navire)

² Grands Reportages, 300, Janvier 2007, p.70- Sur les traces de Sindbad le marin. La ville de Sour la nuit. (72)

LA BOUILLE(Seine-Maritime, Normadie) 800 hab. Ancien port de mer situé à une quinzaine de km en aval de Rouen.

² Guide du Routard, Normandie, 2010, Hachette, p.85 LA BOURBOULE (Puy-de-Dôme, Auvergne, France) 2099 hab. (Quid 2005)

² Ballades en France, HS, no 13, 2005, p.36-37 +Illus. +carte rég. Rochers de Tuilière et Sanadoire. P.36-37 +Illus. +cartes rég.

LA BOURGADE (Corse)

² Méditerranée, 8, Hors série, Été 1997, p.43 illus. La Brosse, Gaëlle de. Journaliste et écrivaine. ² Détours en France, 194, Septembre 2016, p.18-19 Rencontre

LA CALOBRA (Majorque, Espagne)

² Casasnova Marqués, Andrés y Luis. Mallorca (Majorque, Français) Madrid, Everest, 1984, 152p.p.124

LA CANÉE (Crète, Grèce)

² Îles de brume et de lumière. Paris, Sélection du Reader's Digest, 1978, p.32 Illus.

LA CAPELIÈRE (Bouches-du-Rhône, France)

² Détours en France, 99, Juillet-Août 2005, p.25 illus. vieilles maisons sur son éperon rocheux.

² Géo, 209, Juillet 1996, p.80-81 illus.

² Guides Voir, France, Éd. Libre-Expression, 2002, p.497 LA CHAPELLE-GLAIN (Loire-Atlantique, Bretagne, France) ² Bretagne Magazine Thématique, Été 2005, p.112 +Illus. +carte régionale

LA CHAPELLE-MONTLIGEON (Basse-Normandie, Orne, France) Pop.648 hab (2008) La Chapelle-Montligeon est une commune

française, située dans le département de l'Orne et la région Basse-Normandie, peuplée de 648 habitants (les Montligeonnais).

[Wikipedia, 11 nov. 2011] ² Détours en France, 110, Septembre 2006, p.26-27 +Illus. de la basilique. LA CHAPELLE-SOUËF (Orne, Basse-Normandie, France) Pop.297 hab (2008) ² Détours en France, 110, Septembre 2006, p.52 Percherons, traits pour traits.

LA-CHARITÉ-SUR-LOIRE (France) Fondé par Cluny au XIe siècle. Connue aussi comme ville du Livre. L'église Sainte-Croix (70 illus.)

² Détours en France, 86, Décembre 2003, p.10 +Illus. et les librairies

² Détours en France, 131, Octobre 2008, p.66-71 Vue de haut du village +carte urbaine (71) Le passé recomposé. Ruelles

médiévales. Rue du Pont (69 illus.) ² Géo, 315, Mai 2005, p.76-77 illus. vue sur la ville

LA CHÂTRE (Indre, Centre, France) Pop.4 465 hab (2008) La Châtre tire son étymologie de " castra », camp fortifié. Celui-ci peut

avoir été un ancien camp gaulois ou romain (selon les différentes versions proposées par les archéologues ou les historiens). La

ville est ensuite un château féodal, siège d'une baronnie dont le premier titulaire connu avec certitude au xie siècle siècle est Ebbes

VI, dernier fils de Raoul II de Déols, seigneur de Châteauroux, qui aurait créé pour son fils en 1010 cette baronnie dont dépendaient

les seigneuries de Sarzay, Briantes, Angibault, Saint-Martin de Thevet, Maugivray, Montlevicq, Virolan, Bellefont, Ars, L'Alleu, Nohant,

développement économique. La ville est brûlée en 1152 par le roi Louis VII puis soumise à Philippe II Auguste en 1209. Du XIIIe

Guerre de Cent ans, la ville connaît une période de grand développement. Sa situation entre les possessions du roi de France et les

même si elle avouait déplorer le conformisme de la ville. ² Détours en France, 107, Juin 2006, p.10 George Sand et Chopin.

LA CHAUME (Sables d'Olonne, Vendée, France) Séparé de la cité balnéaire d'Olonne par le chenal au nord.

² Détours en France, 129, Août 2008, p.54-55 Le charme de La Chaume. L'église Sainte-Anne sur La Chaume (54 illus.) L'île

Penotte (55)

LA CHAUX-DE-FONDS (Suisse) Pop. 38 694 hab (2013) La Chaux-de-Fonds est une ville suisse du canton de Neuchâtel, située à

environ 70 km au nord-ouest de Berne dans le massif du Jura, à 10 km de la frontière avec la France. C'est la première

commune du canton de Neuchâtel avec 38 694 habitants fin 2013. La commune a été fondée en 1656 et doit son essor et sa

renommée à l'horlogerie et à la microtechnique. Entièrement détruite par un incendie en 1794, la ville a été reconstruite selon

un plan en damier qui est aujourd'hui encore une originalité au sein des villes suisses. L'urbanisme particulier et l'activité

principalement industrielle a fait dire à Karl Marx que la cité était une " ville-manufacture ». L'architecte Le Corbusier, le

navigateur Laurent Bourgnon, l'écrivain Blaise Cendrars et le constructeur d'automobiles Louis Chevrolet y sont nés. Elle est un

centre reconnu de l'Art nouveau ayant donné naissance à une forme de cet art connu sous le nom de Style sapin. À ce titre, elle

est membre du " Réseau Art Nouveau » européen. Depuis 2009, elle est inscrite avec sa voisine Le Locle au patrimoine mondial

de l'UNESCO pour son " urbanisme horloger » qui reflète les besoins particuliers d'une activité mono-industrielle, entremêlant

habitat et ateliers. À l'époque épipaléolithique (10300 - 9000 av. J.-C.) quelques vestiges attestent de la présence humaine

contemporaine de l'homme de Cro-Magnon dans la région, par exemple à la grotte du Bichon dans les côtes du Doubs où un

crâne humain et d'autres fragments furent découverts en 19561. Il existe un chemin de chaille nommé "chemin des Romains",

dont la toponymie reste obscure et autour duquel aucune fouille archéologique n'a été entreprise, puisque l'histoire officielle

débute bien plus tard que l'époque romaine. Les premiers colons arrivent probablement au xie siècle ou xiie siècle dans les

Montagnes neuchâteloises et sont principalement originaires du Val-de-Ruz, région qui appartient alors à la seigneurie de

sont marécageux.

² Guide du Routard. Suisse, 2011, p.210

² Wikipédia, 28 Mai 2015

LA CHAUX-DES-BREULEUX (Suisse) Pop. 99 hab (2013) La Chaux-des-Breuleux est une commune suisse du canton du Jura, située

dans le district des Franches-Montagnes.

² Guide du Routard. Suisse, 2011, p.225

² Wikipédia, 28 Mai 2015

LA CIENEGA (Équateur) Voir CIENEGA (Équateur)

LA CIOTAT (France) Pop.33 829 hab (2010) La Ciotat (en occitan provençal La Ciutat selon la norme classique ou La Ciéutat selon la norme

mistralienne) est une commune française, située dans le département des Bouches-du-Rhône et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, à

31 kilomètres à l'Est de Marseille. Les habitants se nomment les Ciotadens et les Ciotadennes. Assise au fond d'une baie en croissant, la

ville, adossée au Bec de l'Aigle et au Cap Canaille - point culminant de son territoire - fait face à la mer.

² Détours en France, 101, Oct.-Nov. 2005, p.8 illus. le marché du port.

² Détours en France, 165, Février-Mars 2013, p.76-80 La Ciotat, un rubis sur une mer saphir. +Carte urbaine (80)

² Globe-Trotter. Le magazine des tendances du voyage. 9, Mai-Juillet 2013, Provence, p.37-38 La ville où est née la pétanque.

² 3M\V GH 3URYHQŃH F{PH Gµ$]XU +RUV 6pULH 7 ePp 2001 SBD3 +carte régionale

² Terre de Provence. Alpes méditerranée. Nos 44 (Juin-Août 2010) p.74-79 La Ciotat à Bandol, deux baies de lumière. Bec de l'Aigle, La

Madrague (Illus.) La marina (illus.76) Notre-Dame de la Garde (79) ² VIDÉO-15. Calanques. Série: Deux jours en France, jan. 2000, 30min.

LA CLARÉE (Vallée, France)

² Grands Reportages, 257, Juin 2003, p.20

LA CLUSAZ (Rhône-Alpes, Haute-Savoie, France) Pop.2 023 hab (1999) La station de la commune naît avec ses premiers skieurs en

1907, mais son essor en tant que station s'affirme à partir de 1955 avec la construction d'un téléphérique. D'où l'émergence d'un

tourisme sportif (ski, randonnées...), ce qui a permis le développement de l'hôtellerie, la restauration, les commerces, ... La

commune de La Clusaz a été classée Station de tourisme par décret du 25 mai 1956. Puis, par décret du 18 juin 1969, Station de

² Wikipédia, 12 septembre 2012

LA CONCEPTION (Laurentides, Québec) 1,192 hab. (2001) LA CORNE (Abitibi-Témiscamingue, Québec) 617 hab. (2001) LA CORRICELLA (Île de Procida, Camagnie) dans le glfe de Naples. ² La Mer [Ouvrage illustré] Paris : Grund, 2003 p.263-63 vue aérienne. LA COURNEUVE (La Seine-Saint-Denis, Paris, France) ² Détours en France, 88, Mars 2004, p.20-22 +Illus.

LA COUVERTOIRADE (Causses, France)

² Détours en France, 90, Juin 2004, p.88 illus. vue du village

² Géo, 219, Mai 1997, p.112 vue aérienne

LA CROCHE (Mauricie, MRC Le Haut-Saint-Maurice, Québec) 537 hab. (2004) Fusion en mars 2003 avec La Tuque

LA CROIX-VALMER (Var, France)

LA CROZE (Tarn, France)

² Détours en France, 90, Juin 2004, p.49 illus. vue de haut, sur sur le cirque des Baumes

quartier d'affaires européen par l'étendue de son parc de bureaux1. Il est situé dans les Hauts-de-Seine sur les territoires de

Puteaux, Courbevoie et de Nanterre dans le prolongement de l'axe historique parisien qui commence au palais du Louvre et se

poursuit par l'avenue des Champs-Élysées, l'Arc de triomphe de l'Étoile, et au-delà jusqu'au pont de Neuilly et l'Arche de la

Défense. Érigée dans les années 1960, la Défense est majoritairement constituée d'immeubles de grande hauteur, regroupant

principalement des bureaux (environ 3 millions de m2). La Défense est cependant un quartier mixte : elle accueille 600 000 m2 de

logements et l'ouverture du centre commercial des Quatre-Temps en 1981 en a fait un pôle commercial majeur en région Île-de-

France. En 2009, le quartier compte 2 500 entreprises, environ 180 000 salariés et 20 000 habitants3 répartis dans 71 tours.

² Wikipédia, 11 septembre 2012

LA DÉSIRADE (Guadeloupe)

² VIDÉO-75. Guadeloupe. Série: Vidéo Guide, 60min.

LA DIGUE (Seychelles, Île)

² La Mer (Ouvrage illustré) Paris : Gründ, 2003, p.46 vue aérienne. ² VIDÉO-127. Les Seychelles. Série : Vidéo Guide, 60min.

LA DORÉ (Saguenay/Lac-Saint-Jean, MRC Le Domaine-du-Roy, Québec) 1,602 hab. (2001) Érigée le 15 mars 1906?,

Saint-Félicien-Nord-Ouest devient le 17 avril 1915 Notre-Dame-de-la-Doré, puis le 3 septembre 1983 La Doré

La Duke, Winona. Candidate du Parti vert, leader de la dfense des droits des Amérindiens.

² Géo, 304, Juin 2004, p.102 + portrait.

LA DURANTAYE (Chaudiere-Appalaches, MRC Bellechasse, Québec) Pop.772 hab. (2006) Origine et signification. Cette

municipalité de paroisse de la MRC de Bellechasse est bornée au nord par Saint-Michel-de-Bellechasse et au sud par Saint-

Raphaël et Saint-Gervais. Son nom rappelle la mémoire d'Olivier Morel de La Durantaye (Le Gâvre, France, 1640 - Saint-Vallier,

1716). La Durantaye arrive en Nouvelle-France en 1665 à titre de capitaine au régiment de Carignan-Sallière. L'intendant Jean

Talon lui concède, en 1672, une seigneurie qui portera son nom. Tour à tour, il est commandant, conseiller et seigneur. Il

demeure surtout reconnu comme un excellent diplomate, notamment lors de délicates négociations avec les Amérindiens.

Le territoire municipal était à l'origine consacré à l'archange Gabriel comme en fait foi l'appellation " Saint-Gabriel-Archange »

attribuée à la paroisse et à la municipalité créées en 1910. L'année suivante, le bureau de poste est ouvert sous le nom

" La Durantaye », qui était parfois orthographié " La Durantaie ». Puis, l'entité municipale est dénommée, en 1913, sous

l'appellation " Saint-Gabriel-de-la-Durantaye ». L'année même, la municipalité de paroisse demande un changement de

nom pour la seule forme " La Durantaye ». Un village s'est initialement développé autour de la petite gare connue sous le

nom " Saint-Michel-Station » qui sera changé pour celui de " La Durantaye ». Paisible village de villégiature planté au sein

d'un décor respirant la paix, son attrait est rehaussé par la présence du lac aux Canards, autrefois dénommé " Lac Saint-

Michel ». Les Ladurantois ont été, dans le passé, blasonnés du surnom " Calumets ». Il témoigne de leur soif de paix, car

on ne fume celui-ci qu'en signe d'amitié retrouvée. (CTQ) ² Commission de toponymie du Québec. Banque de noms de lieux du Québec. http://www.toponymie.gouv.qc.ca/ct/accueil.html [ 29 fév.2012] ² Laframboise, Yves. Circuits pittoresques du Québec, 2007, p.270-271 +Illus.

La Ferrière, Laurence de. Aventurière, alpiniste française. Première femme a avoir atteint le pôle Sud à pied

et en solitaire. ² Grands Reportages, 183, Avril 1997. p.11 + portr. LA FERRIÈRE-SUR-RISLE (Eure, Normandie, France) Situé à 14 km à l'ouest de Conches. ² Guide du Routard, Normandie, 2010, Hachette, p.234

LA FERTÉ-BERNARD (France)

² Détours en France, 89, Mai 2004, p.90 +Illus. LA FERTÉ-SAINT-AUBIN (Loiret, France) Pop.7 000 hab. +carte urbaine (77) ² Détours en France, 130, Septembre 2008, p.72-77 La porte de la Sologne.

LA FERTÉ-VIDAME (Eure-et-Loir, Centre, France) Voir Ferté-Vidame (Eure-et-Loir, Centre, France)

LA FOLIE (Lieu-dit, Mayenne, France)

² Géo, 256, Juin 2000, p.74-84 Jours tranquilles de paysans isolés.

LA FORTALEZA (Gomera, Canaries)

² Voyage aux Canaries, Par Adam Hopkins & G. Macphedran, Paris : Arthaud, 1991, p.35

à 60 kilomètres de Vannes et de Rennes et à 97 kilomètres de Nantes. Depuis 2003, un festival de photo est organisé chaque

année afin de présenter le travail de photographes en rapport avec la nature et les hommes. La Gacilly est aussi visitée par

de nombreux touristes tout au long de l'année qui viennent voir le travail de plus de trente artisans d'art, installés depuis 1971.

En effet, depuis 40 ans, 200 artisans sont passés dans ces ateliers. Aujourd'hui, une trentaine d'artistes et artisans d'art,

travaillent devant les gens ou dans leurs ateliers.

² Détours en France, 93, Octobre-Novembre 2004, p.42 Ville natale de Yves Rocher, et son canal.

² Wikipédia, 2 Octobre 2014

LA GARAMBA (Zaire)

² Grands Reportages, 125, Juin 1992, p.182 carte rég.

LA GARDE-ADHÉMAR (France) Pop.1 128 hab (2006) La Garde-Adhémar est une commune française, située dans le département

de la Drôme et la région Rhône-Alpes. Cette commune a été créée par la dynastie des Lagarde. [Wikipedia, 9 nov. 2011]

² Détours en France, 116, Mai 2007, p.50-51

LA GERIA (Lanzarote, Canaries, Espagne)

² Voyage aux Canaries, Par Adam Hopkins & G. Macphedran, Paris : Arthaud, 1991, p.95

LA GRANJA (ESPAGNE)

² Grands Reportages, 185, juin 1997 p.64

LA GRAVE (Île-de-la-Madeleine, Québec)

² Guides Bleus Évasion Hachette, Québec, 2000, p.306

d'altitude sur la rive droite de la haute vallée de la Romanche, à la limite des départements de l'Isère et des Hautes-Alpes.

Elle se trouve à 10 kilomètres du col du Lautaret et à 35 kilomètres de Briançon. Le village est dominé au sud par

l'imposant massif de la Meije (qui fait partie du Parc National des Ecrins), second sommet du massif des Ecrins (3 982 m).

La commune est constituée du village de la Grave et de cinq hameaux : les Fréaux, le Chazelet, les Terrasses, Ventelon,

les Hières et Valfroide. Une partie de la commune de la Grave est située dans le parc national des Écrins. Histoire. L'église

romane de La Grave remonte au XIe et début XIIe siècle. À l'intérieur on trouve une piéta contemporaine de la construction

de l'église, un statue de la vierge du XVIIe, et un tableau naïf du XVIIIe siècle. À côté de l'église se trouve la chapelle des

pénitents, du XVIIe siècle, qui possède plusieurs pièces d'art religieux. Sur le territoire de la commune, aux Hières, se

trouve une autre église romane du XIIe siècle. Au début de la Révolution française, le nouveau découpage de la France en

départements (1790) intégrait initialement la commune au département de l'Isère, situé sur le même bassin hydrographique

et économique (à l'ouest du Col du Lautaret). Mais la commune souhaitait être intégrée au département des Hautes-Alpes,

vraisemblablement dans l'espoir de bénéficier du régime fiscal préférentiel de la République des Escartons. Lorsque

l'Assemblée nationale abolit ce privilège fiscal, il était trop tard pour revendiquer une intégration au département de

l'Isère... La Grave est réputée pour les sports de montagne. Alpinisme. Il existe de nombreux itinéraires d'alpinisme

dans le secteur de La Grave, le plus célèbre d'entre eux restant l'ascension du Grand Pic de la Meije (3 982 m), dont la

face nord domine de presque 1 000 mètres le glacier éponyme. Il s'y pratique également la cascade de glace ainsi que

la via ferrata (au hameau des Fréaux). Randonnée. Plusieurs itinéraires partent de la Grave ou y transitent, notamment,

le GR 50 (Tour du Haut-Dauphiné) et le GR 54 (Tour de l'Oisans). Trois refuges de montagne se trouvent à La Grave :

le refuge Évariste Chancel (2 506 m. le refuge de l'Aigle (3 450 m) le refuge du Goléon (2 480 m).

² Géo, 396, Février 2012, p.64 Une descente à moitié sauvage a fait la recommée de cette station de ski.

LA GUADELOUPE (Chaudière-Appalaches, MRC Beauce-Sartigan, Québec) 1,705 hab. (2001)

La Guérivière, Jean de. Journaliste.

² Géo, 97, Mars 1987, p.144-161 Article. Alger : la Kasbah abandonnée. ² Géo, 111, Mai 1988 p.174-192 Article. "Tunis après Bourguiba"

LA GUICHE (France)

² VIDÉO-52. Série: Deux jours en France, 1997, 30min. LA HAGUE (Cap de, Cotentin, France) Presqu'île à la pointe nord-ouest du Cotentin. ² Détours en France, 91, Juillet-Août 2004, p.81, 83 ² Détours en France, 97, Mai 2005, p.12 " Énergie La Hague en transparence » ² Détours en France, 102, Décembre 2005, p.84-85 +Illus.

² Détours en France, 125, Avril 2008, p.84-90 l'île du Cotentin. Le phare du Goury (85 illus.) La baie d'Elcalgrain (86 illus.)

L'anse de Vauville (87 illus.) Port-Racine (88 illus.) Rencontre avec Paul Bedel de la Hague (89) Le hameau de la Roche (89)

² Détours en France, 171, Octobre-Novembre 2013, p.82-89 La Hague. La péninsule des extrêmes.

LA HAVANE (Cuba) Pop. 2 400 000 hab. (2004) IM +MYMQH HQ HVSMJQRO IM +MNMQM LOM MৠǃMQM@ FLXGMG GH IM +MNMQM RIILŃLHOOHPHQP HVP OM

capitale, un port et le centre économique de Cuba. La ville est aussi l'une des quatorze provinces cubaines. La ville/province compte 2,4

millions d'habitants, tandis que l'agglomération en compte plus de 3,7 millions, ce qui fait de La Havane la plus grande ville des Caraïbes.

La ville s'étend sur plus de 720 kilomètres carrés principalement à l'ouest et au sud d'une baie, à laquelle on accède par un passage étroit,

et qui est divisé en trois ports : Marimelena, Guanabacoa et Atarés. La rivière Almendares traverse la ville du sud au nord, et se jette dans

le détroit de Floride à quelques kilomètres à l'ouest de la baie. ² Géo, 213, Novembre 1996, p.84-85 illus. vue de la merquotesdbs_dbs42.pdfusesText_42

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