NOUVEAUX PROGRAMMES DE FRANCAIS
Niveau 3 : Classe de Terminale (séries L1 L'1
Réviser son bac
En première une épreuve anticipée de français
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REUSSIR LA DISSERTATION FRANÇAISE AU BAC » est un document contenant des le cas des Parnassiens qui prônent la gratuité et l'inutilité car selon ...
Anthologie de textes Littérature Française
Nommez les personnages principaux et précisez leur relation. 4. Résumez en deux-trois phrases l'histoire de l'extrait. 5. Soulignez dans le texte la description
PROGRAMME CAP VERT
2. Compétences à développer chez les élèves aider les apprenants les enseignants
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Les Cours Pi s'engagent pour faire du parcours de chacun de ses élèves un tremplin vers l'avenir. Les Cours Pi s'engagent pour ne pas faire de ce nouveau Bac un
Les Etats-Unis ont entraîné larmée rwandaise lors de loffensive au
Oct 1 2021 vices français
BNP
Jun 11 2017 dification des épreuves du bac de français. A l'écrit
DISSERTATION
Au cours des quarante dernières années l'occitan est devenu une réalité en totale Tome 2 : E-M
[tel-00532983 v1] GENRES LITTÉRAIRES ET GENRES TEXTUELS
2. Le genre dans les programmes : un concept intégrateur . paradoxalement l'héritage historique de l'ouverture du cours de français aux “mauvais ...
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LeMondeJob: WMQ2808--0001-0 WAS LMQ2808-1 Op.: XX Rev.: 27-08-97 T.: 11:23 S.: 111,06-Cmp.:27,11, Base : LMQPAG 33Fap:99 N
o :0332 Lcp: 196 CMYKCINQUANTE-TROISIÈME ANNÉE ± N
o16355 ± 7,50 FFONDATEUR : HUBERT BEUVE-MÉRY ± DIRECTEUR : JEAN-MARIE COLOMBANIJEUDI 28 AOÛT 1997
Allemagne, 3 DM ; Antilles-Guyane, 9 F ; Autriche,25 ATS ; Belgique, 45 FB ; Canada, 2,25 $ CAN ;Côte-d'Ivoire, 850 F CFA ; Danemark, 14 KRD ;Espagne, 220 PTA ; Grande-Bretagne, 1£ ; Grèce,400 DR ; Irlande, 1,40 £ ; Italie, 2900 L ; Luxembourg,46 FL ; Maroc, 10 DH ; Norvège, 14 KRN ; Pays-Bas,3 FL ; Portugal CON., 250 PTE ; Réunion, 9 F ;Sénégal, 850 F CFA ; Suède, 15 KRS ; Suisse, 2,10 FS ;Tunisie, 1,2 Din ; USA (NY), 2 $ ; USA (others), 2,50 $.
International......... 2
Annonces classées.. 4
France............ 6
Abonnements...... 7
Société............. 8
Régions............ 10
Horizons.......... 11
Carnet.............. 13Entreprises.......... 14
Finances/marchés.. 15
Aujourd'hui......... 17
Jeux.................. 19
Météorologie...... 19
Culture............... 20
Guide culturel..... 22
Radio-Télévision.... 23
POINT DE VUE
Europe : la ®n d'une histoirepar Jean-Paul Fitoussi PRINTEMPS 1998 :
l'échéance fatidique vers la monnaie unique approche à grands pas, à la fois ®n d'une his- toire et commencement d'une aventure. Certes, de nombreuses incertitudes demeurent sur l'iden-tité des compagnons de l'aventure, la ®n de l'histoire n'étant pas en- core écrite. Le nord et le sud de l'Europe regarderont-ils ensemble dans la même direction ? Ou bien parviendra-t-on, à force d'exi- gences, à séparer leurs destins ? Déjà les discours sont, au Sud, em-prunts d'amertume. En Italie, le président du conseil n'a-t-il pas parlé de ´ racisme monïtaire ª?Et, à n'en point douter, certaines
expressions utilisées par les " élites » du Nord masquent sous un humour douteux un mépris inacceptable.Epiphénomène que tout cela, pourrait-on dire ; seules les réali- tés comptent. On aurait tout de même préféré que la sympathie, plutôt que l'invective, serve de prémisse à l'Union.C'est généralement lorsque tout
va mal qu'on se cherche de mau- vaises querelles, et il faut bien convenir que l'Europe aborde la phase ®nale de la transition vers la monnaie unique en bien piteuxétat. Elle est restée, dans les an-
nées 90, à l'écart de la croissance du monde. De 1991 à 1996, son taux de croissance, à peine supé- rieur à 1%, fut de moitié moindre que celui des Etats-Unis. Ce sont donc des pays en marasme écono- mique qui s'apprêtent à s'unir.Plus grave encore, ce décalage
entre la prospérité du monde et la stagnation de notre continent si- gni®e que l'Europe a accumulé un retard d'investissement, donc technologique, vis-à-vis des ré- gions en croissance normale. Car le taux d'investissement est d'au- tant plus bas que la croissanceéconomique est faible.
Lire la suite page12
Jean-Paul Fitoussiest
ïconomiste et enseigne, notam-
ment, ì l'Institut d'ïtudes poli- tiques de Paris.Les volcans
de ´ VGE ª aLE CENTRE européen du
volcanisme, Vulcania, ´le seul grand projet culturel franÿais pour l'an 2000 ª, selon la formule de son concepteur, Valéry Giscard d'Estaing, continue à être l'enjeu d'une bataille politico-juridique, pas toujours feutrée, en dessous des volcans d'Auvergne. Depuis la si- gnature du permis de construire par le préfet de région, les pro-Vulcania font le " forcing » et pavoisent à coups d'af®ches publicitaires. De leur côté, les opposants ont engagé de nouveaux recours. DominiqueVoynet s'est saisie du dossier et ren-
dra son arbitrage prochainement.M. Giscard d'Estaing a écrit à Lionel
Jospin pour réclamer le ®nance-
ment nécessaire de l'Etat. Le pre- mier ministre n'a pas répondu.Lire page 10
Les habits neufs
de la MostraFELICE LAUDADIO
LE CINQUANTE-QUATRIÈME
Festival de Venise, qui s'ouvre le
27 août, a un nouveau directeur, Fe-
lice Laudadio. Ce critique de cinéma, devenu par admiration producteur d'Antonioni, a conçu un programme centré sur les ®lms d'auteur et les re- gards engagés. En même temps que s'ouvre la Mostra sortent à Paris deux®lms primés l'un à Cannes, l'autre à
Berlin, Western, de Manuel Poirier, et
La Riviòre, de Tsai Ming-liang.
Lire pages 20 à 22CE N'EST apparemment qu'un discret communiquï de la Fïdïration franÿaise des spiritueux, publiï au c˙ur de la vague de cha- leur. C'est pourtant un ïvïnement, qui ne va pas manquer d'animer les conversations au- tour des zincs, ì la rentrïe. Les Franÿais et leurs h˛tes de l'ïtï, les tou- ristes, y apprend-on, auront consommï cet ïtï50 millions de litres de ´ spiritueux anisïs ª,
soit´ 2,5 milliards de verres ª. Cocorico, donc, puisque le pastis se porte bien ? Non, car la vï- ritable information est dans une petite phrase noyïe dans cinq volumes de louanges ì la gloire des anisïs : ´ Pour la premiòre fois, en1997, les whiskies dïpassent les anisïs en va-
leur. ªUne afAErmation fondïe sur l'observa- tion des ´ ventes rïalisïes en grandes surfaces, lesquelles reprïsentent pròs de 80 % des ventes totales ª.Certes, en volume, les anisïs restent de loin
les premiers alcools vendus en France et l'effet des variations de taux de change a forcïment jouï dans ce dïpassement ´ en valeur ªdu bon vieux pastis national par les ´ alcools de grain ª anglo-saxons ± whisky et gin pour l'es-sentiel ±, libellïs en monnaies rïcemment re-devenues fortes, dollar et livre sterling. La fï-
dïration incrimine aussi ´ l'augmentation de4 % des taxes sur les spiritueux, au dïbut de l'an-
mñme ordre de grandeur, 4,4 %, depuis le mois de janvier ª, baisse qui frapperait plus les bois- sons anis•es que les autres. S'y ajouterait l'im- pact de la loi Evin sur le tabac et l'alcool, inter- disant aux marques franØaises de faire de la publicit• sur le territoire national, alors que les marques •trang˜res pourraient continuer faire parler d'elles, viales tïlïvisions ïtrangòres ou le sponsoring d'ïvïnements sportifs hors de France retransmis par la tïlïvision franÿaise. Le rïseau des cafïs-h˛tels-restaurants serait lui aussi touchï par l'irrïsistible montïe en puissance des alcools de grain. C'est dïjì le cas ´ long drink ª ì base de whisky, gin ou vodka s'est imposï dans les habitudes de consomma- tion. Mondialisation oblige, les spiritueux ïtrangers s'attaqueraient donc avec succòs ì ce monument national qu'est l'apïritif : ´Les vins doux et autres vins cuits sont aussi en dïclin face aux whiskies ª, note un repr•sentant de laf•d•ration. Quant au cognac, ´ les producteursconsidòrent le marchï franÿais comme quasi-
ment perdu ª, car nos compatriotes ne se rï- solvent pas, comme les Japonais, ì le consom- mer en long drink... A Marseille, la sociïtï Ricard, apròs mûre rï- Øexion, conAErme ce dïclin d'un pan entier de l'exception culturelle franÿaise. Elle prïcise mñme qu'en 1996 pastis et whisky ïtaient dïjì au coude ì coude dans la bataille des comptoirs. Ce dïclin s'inscrit dans un mouve- ment de fond de la consommation alcoolique de l'Hexagone, ´ en recul rïgulier depuis vingt- cinq ans ª, explique la Fïdïration franÿaise des spiritueux. Tous produits confondus, vins et biòres compris, le chiffre d'affaires de la pro- fession reste quand mñme de 100 milliards de francs. De plus, tirïe par ce que les Anglo-Saxons nomment le french paradox qui fait du
vin rouge, au-delì des mers, un quasi-ïlixir de santï, l'exportation vient supplïer la dïfail- lance franÿaise : elle reprïsente 36,8 milliards de francs de chiffre d'affaires, ´ c'est-ì-dire l'ïquivalent de 120 Airbus ª, note avec AEertï la fïdïration..Pascal Galinier
Cet été, le whisky a gagné la bataille des comptoirs aRETOUR SUR IMAGESLe martyr
du KosovoC'EST une photo hors du temps.Elle dit pourtant une tragédie pré-
cise qui en entraîna d'autres : celle du Kosovo, cette terre peuplée es- sentiellement d'Albanais réprimée et asservie par le nationalisme serbe. Annick Cojean a retrouvé ces femmes que l'on voit pleurantNasimi Elshani, tué en janvier 1990
par la police serbe.Lire page11
GEORGES MERILLON/SYGMA
rwandaise lors de l'offensive au Zaõre Une mission de l'ONU tente d'enquêter sur les massacres de réfugiésDES INSTRUCTEURS de l'armée
américaine ont participé à l'entraîne- ment au combat des soldats rwan- dais au moins depuis 1996, selon un rapport du Pentagone adressé auCongrès et dont Le Monde a obtenu
une copie. Jusqu'à présent, Washing- ton reconnaissait avoir dispensé des cours de déminage et de justice mili- taire à l'armée de Kigali. Le Penta- gone dément, en revanche, que ces instructeurs aient accompagné l'ar- mée rwandaise dans sa campagne zaïroise où, combattant aux côtés des troupes de M. Kabila, elle a contribué à la chute du régime du maréchal Mobutu. Or, selon les ser- vices de renseignement français, des " conseillers » américains étaient présents dans l'est du Zaïre lorsque les offensives ont débuté. C'est à cette époque que de vastes mas- sacres de réfugiés hutus rwandais ont commencé, sur lesquels une nouvelle mission d'enquête de l'ONU va tenter de faire la lumière.Lire page 2
et notre éditorial page 12 aPas de fusionRPR-UDFAlors que les militants souhaitent la
cr•ation d'un grand parti de droite, les s•guinistes d•fendent la refonte duRPR. D'autres •lus redoutent une vo-
lont• masqu•e d'alliance avec le Front national.p. 6 aLa retraite
de Frederik De KlerkL'ancien pr•sident sud-africain, PrixNobel de la paix avec Nelson Mandela,
quitte la vie politique.p. 3aImmigration : polïmique ì gaucheAssociations et partis de gauche pro-
testent contre l'avant-projet de loi deM. Chev˜nement et la d•cision de ne
pas abroger les lois Pasqua-Debr•.p. 9 aPrioritïì Airbus Industrie
Le gouvernement souhaite que la
transformation d'Airbus Industrie en soci•t• ind•pendante soit prioritaire sur la fusion entre Aerospatiale et Das- sault. p.14 aAide ì la presseLors des journ•es de la communication
d'Hourtin, Catherine Trautmann a an- nonc• un " plan d'action » pour aider la presse •crite.p.17 aLes Ouõghours rïprimïs par Pïkin R•fugi•s au Kazakhstan, des chefs s•- paratistes r-vent de lutte arm•e contre la Chine.p. 4À UNE SEMAINE de la rentrée
scolaire des élèves du primaire, le ministre,Claude Allègre, veut en- clencher le plan de créations d'emplois-jeunes dans l'éducation nationale. Il réunit, jeudi 27 août, l'ensemble des recteurs pour exa- miner les modalités d'embauche et les tâches qui seront con®ées à ces jeunes diplômés (bacheliers ou bac+2). L'objectif est de recruter40 000 personnes,d'octobre à dé-
cembre 1997, puis 35 000 durant1998. Les candidats pourront pos-
tuler auprès des rectorats à partir du 10 septembre.Outre les tâches d'accueil et
d'encadrement, d'animation et de soutien scolaire, les jeunes´ aides-ïducateurs ª, qui seront
principalement recrutés dans le primaire, pourraient être amenésà seconder les instituteurs dans les
classes. Les syndicats enseignants sont divisés sur ce sujet. La FEN estime que ce peut être une chance, tandis que la FSU rappelle qu'enseigner ´ est un mïtier et une formation ª.De nombreuses questions restent ainsi en suspens, même si le ministère de l'éducation natio- nale veut af®rmer haut et fort que la création d'emplois est sa priori- té. Après la promesse, faite en juil- let, de réemployer dès la rentrée tous les maîtres auxiliaires, Ségo- lène Royal, ministre déléguée à l'enseignement scolaire, a égale- ment annoncé, le 26 août, la réou- verture de 800 classes à la rentrée, sur les 1193 fermetures prévues.Le Snuipp (FSU) a estimé, mardi
26 août, qu'il s'agissait d'un ´ ap-
pel d'air insufAEsant[qui]ne consti- tue qu'une amorce de correction alors que nous voulons une vraie in- version de la tendance ª.En revanche, le SE-FEN juge
qu'il s'agit d'´ une premiòre rï- ponse ª à ses revendications.Quant au SGEN-CFDT, il rappelle
que le précédent gouvernement avait supprimé plus de5 000 postes dans l'éducation dont
2 900 dans le primaire.
Lire page 8
L'éducation nationale organise
l'embauche de 75 000 jeunesIls seconderont les instituteurs
LeMondeJob: WMQ2808--0002-0 WAS LMQ2808-2 Op.: XX Rev.: 27-08-97 T.: 11:18 S.: 111,06-Cmp.:27,11, Base : LMQPAG 33Fap:99 N
o :0333 Lcp: 196 CMYK 2INTERNATIONAL
LE MONDE / JEUDI 28 AOÛT 1997
Le HCR va passer en revue les réfugiés
Le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) va entamer une opération visant à distinguer, parmi les Hutus rwan- dais présents en République démocratique du Congo (RDC, ex- Zaïre), les réfugiés " authentiques »de ceux qui sont soupçonnés de participation au génocide des Tutsis rwandais de 1994. Deux millions de Hutus avaient fui le Rwanda, dont 600 000 sont rentrés chez eux ®n 1996. L'opération, qui devrait durer un mois, comportera environ17 000 entretiens, conduits par une trentaine d'avocats. Les
membres présumés de l'ex-armée rwandaise se verront refuser le statut de réfugié. Le HCR espère déterminer si les réfugiés sont fondés à craindre un retour au Rwanda, où sont déjà emprisonnés 100 000 Hutus ac- cusés de génocide. On ignore toutefois comment le HCR compte dis- cerner les coupables des innocents. Une opération similaire, menée en Centrafrique, s'était heurtée au refus des Hutus de reconnaître le génocide. ± (Reuter.)Une mission de l'ONU va de nouveau tenter d'enquêter sur les massacres de Hutus dans l'ex-Zaïre
LA MISSION d'enquête des Na-
tions unies sur les massacres de ré- fugiés dans l'ex-Zaïre vient d'arri- ver à Kinshasa. Un bras de fer opposait, depuis quatre mois, l'ONU et la République démocra- tique du Congo (RDC, ex-Zaïre) au sujet des investigations qui doiventêtre menées. Et, si Kinshasa af®rme
aujourd'hui vouloir coopérer étroi- tement avec la mission d'enquête, rien ne prouve que ce bras de fer soit terminé. Car, depuis qu'indices et témoignages ont révélé l'am- pleur des massacres commis pen- dant et après la conquête du Zaïre par Laurent-Désiré Kabila et ses al- liés, c'est plutôt Kinshasa que NewYork qui semble ®xer les règles du
jeu.Le président Kabila avait tout
d'abord refusé, au printemps der- nier, que les recherches internatio- nales soient menées par le rappor- teur spécial de l'ONU sur les droits de l'homme, Roberto Garreton. Ce dernier avait rédigé des rapports accusant directement l'Alliance des forces démocratiques pour la libé- ration du Congo (AFDL) de M. Ka- bila et les soldats tutsis de l'armée rwandaise d'avoir exterminé des milliers de réfugiés hutus, et d'avoir systématiquement entravé l'action des organisations humani- taires qui auraient pu porter se- cours aux civils affamés agonisantdans les forêts. Dans son dernier rapport, publié le 11juillet, M. Gar- reton estimait que les tueries sem- blaient mériter la quali®cation de " crime contre l'humanité » et conseillait aux prochains enquê- teurs de tenter de déterminer "si un génocide a été plani®é et mis enúuvre ».
OBSTACLES
L'ONU a rapidement cédé à la
première exigence de Kinshasa, etécarté Roberto Garreton, nom-
mant l'ancien ministre des affairesétrangères togolais Atsu-Kof®
Amega à la tête de la nouvelle
équipe. Ensuite, New York a accep-
té de revoir sa copie sur le mandat des enquêteurs. Ceux-ci devront,®nalement, s'intéresser aux exac-
tions commises dans le pays depuis mars 1993, et non plus depuis l'au- tomne 1996, date du déclenche- ment de l'offensive militaire qui a porté Laurent-Désiré Kabila au pouvoir. Le nouveau régime en- tend ainsi démontrer que des viola- tions des droits de l'homme ont été perpétrées du temps du maréchalMobutu Sese Seko.
Kinshasa continue par ailleurs de
nier que des réfugiés aient été déli- bérément massacrés. Fin juin, tan- dis que des réfugiés étaient encore pourchassés, selon des organisa- tions humanitaires, M. Kabila disaitque " s'il n'y a plus de réfugiés rwandais, c'est parce qu'ils sont tous rentrés chez eux ». " Il n'y a jamais eu de massacres ! », af®rmait-il. Dé- but août, alors que Kinshasa n'avait pas levé tous les obstacles à la venue de la nouvelle équipe d'enquêteurs, le président Kabila s'énervait contre l'ONU qui " traîne les pieds »et invitait la commission à venir aider la RDC à " sortir d'une situation qui risque de conduire à la condamnation gratuite d'un peuple qui a recouvré sa liber-quotesdbs_dbs29.pdfusesText_35[PDF] Des ressources pédagogiques au service d 'adultes en situation d
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