EFFETS INDESIRABLES AH AMAR
Effets secondaires des antihypertenseurs. Jacques Amar Il y a les effets indésirables peu classiques ou pas classiques du tout.. Au moins aussi fréquent ...
Consensus SFE/SFHTA/AFCE sur l Hyperaldostéronisme Primaire
Amar (12) rapporte les résultats des principales études tableau 5) est déroutante: en effet il est donné 3 niveaux de seuils différents avec.
HAS– argu-31-mars:Mise en page a
des études précisant les effets de l'HTA sur le plan cérébral (démence Le pourcentage d'événements indésirables et la masse ventriculaire gauche.
Phéochromocytomes et paragangliomes
30 sept. 2021 A noter que les antihypertenseurs ont peu d'effet sur la sécrétion des ... et son traitement local possiblement source d'effets secondaires.
Recommandations 2007 ESH/ESC
l'effet antihypertenseur du traitement au efficacité et leurs effets indésirables; et ... ten O Tangelder MJ
JOURNÉES DE LHYPERTENSION ARTÉRIELLE
19 déc. 2014 Assemblée Générale de la SFHTA ... Effets indésirables rares et moins rares ... J.-B. KANTAMBADOUNO J. AMAR
34es Journées de lHypertension Artérielle 8th International Meeting
4 déc. 2014 F. BOYE1 B. SALLERIN 1
27es JOURNÉES DHYPERTENSION ARTÉRIELLE 1st
Conclusion : Un effet diabétogène de l'hyperaldostéronisme et/ou de men and 10 women) outpatients with arterial hypertension (AH) were inclu-.
MCED 86
5 jan. 2017 Qu'est-ce qu'une tumeur hypophysaire agressive ? Actuellement il n'y a pas de définition consensuelle de l'agressivité tumorale. En effet de ...
Livre 2.indb
ne permettent pas de montrer un effet sur le risque de la mort subite chez le C. NOILHAN 1 L. BIELER 2
Effets secondaires des antihypertenseurs Jacques Amar - SFHTA
Il y a les effets indésirables classiques Leur fréquence est très variable Selon les études Selon le type d’étude Selon la population Le palmarès : les inhibiteurs calciques les alpha bloquants les IEC; Il y a les effets indésirables peu classiques ou pas classiques du tout Au moins aussi fréquent
HYPERTENSIONS ARTÉRIELLES D’ORIGINE - SFHTA
Les effets sur le système vasculaire sont moins prononcés avec le tacrolimus 13 Compte tenu de l’indication (transplantation d’organe) l’arrêt des anticalcineurines est rarement une option thérapeutique Le suivi pharmacologique des concentrations peut permettre un ajustement des doses et limiter les effets indésirables
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Il s’agissait d’une atteinte hépatique mixte dans 2 cas et cytolytique dans 1 cas Une vascularite leucocytoclasique (VLC) a été signalée dans 2 cas (526 ) L’atteinte hématologique a été notée dans 2 cas (526 ) avec un cas de pancytopénie et un cas de leuconeutropénie
: Jacques Young - Bertrand Cariou - Frédéric Castinetti- Bruno Fève - Jean Girard - Pierre Gourdy
- Véronique Kerlan - Etienne Larger - Laurence Leenhardt - Gérald Raverot - Patrice Rodien - Jean-Louis Wémeau.
: Nathalie Frament : Thierry Brue - : Nathalie Chabbert-Buffet - : Philippe Caron : Albert Beckers (Liège) - François Pralong (Lausanne) - André Scheen (Liège) : Sophie Le Fur - Pierre Bougnères - Philippe Chanson : Sophie Valtat : Manner - 58 av de Wagram 75017 PARIS : Sonia Litwin : Manner - 58 av de Wagram 75017 PARIS, abonnements@mced.fr : Inore Groupe - 4, rue Thomas Edison - 58641 Varennes-Vauzelles cedex : 35 - Abonnement annuel : Individuel, France et export : 120 -Internes, France et export
: 60 - Institutions, France : 240 - Institutions, Export : 290 : en cours - Dépôt légal : à parution - Commission paritaire : 0518 T 82474MCED 86
soMMaireMise au point
5 - 12 atelier 16 2330 -
35
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50
54
59 Ɉ
6270
74
79
hypophysaires
Alexandre Vasiljevic
1 , Julie Beauvy 2 , Marion Lapoirie 2 , Hélène Lasolle 2 , Gérald Raverot 2,3 1Centre de Pathologie est, groupement Hospitalier est-lyon, Université de lyon, Université lyon 1
2Fédération d'endocrinologie du Pôle est, groupement Hospitalier est-lyon, Université de lyon, Université lyon 1
3 inserM U1052 ; Cnrs UMr5286 ; Cancer research Center of lyonMots clés
l es tumeurs hypophysaires dérivées de l'antéhypophyse représentent 15 % des tumeurs cérébrales [1]. toutefois, du fait de leur caractère généralement bénin, cestumeurs ont longtemps été considérées uni-quement comme une maladie endocrinienne et non pas tumorale. il est certain que les métastases sont rares mais près de 40 % de ces tumeurs sont invasives pour les sinus caverneux, et un sous-groupe de ces tumeurs sont considérées comme agressives nécessi-
tant une prise en charge thérapeutique mul- timodale combinant chirurgie, traitements médicaux et radiothérapie [2]. A DEFCB versus tique des tumeurs hypophysairesAdénome somatotrope paucigranulaire
(SG)Tumeurs hypophysaires silencieuses"
3626324
Marqueurs théranostiques des tumeurs
hypophysairesSinus caverneux (Knosp > 3)
Sinus sphénoïdeMitose > 2
Non 1Oui20 ou 1 marqueur
A2 ou 3 marqueurs
BKi67 > 3%p53 +Proliférationinvasion
AB C D F E mutS homolog 6Conclusion
A. Vasiljevic, J. Beauvy, M. Lapoirie, H. Lasolle,G. Raverot
rÉFÉrenCesStéphanie Puget
1 , Kevin Beccaria 1 , Claire Alapetite 2 , Dulanjalee Kariyawasam 3 , Michel Polak 3 , Delphine Zenaty 4 , Raphael Calmon 5 , Christian Sainte-Rose 1 1 2 Médecin de centre, Institut Curie, Département de Radiothérapie 3 4 5Mots clés
l a prise en charge des craniopharyn- giomes de l'enfant est multidiscipli- naire, de moins en moins controversée, nombreuses décennies, les neurochirur- giens considéraient que l'exérèse complète de cette lésion histologiquement bénigneétait la meilleure option, mais un taux de
récidive proche de 50% et l'apparition de séquelles incompatibles avec une bonne qualité de vie pour certains d'entre eux ont moins agressive, dans le but de limiter les séquelles hypothalamiques. les craniopharyngiomes de l'enfant sont des tumeurs rares embryonnaires histo- logiquement bénignes dont l'incidence en France est d'environ 20-25 cas par an, veloppent à partir de reliquats de la poche de rathke, dans l'axe hypothalamo-hy- pophysaire. leur diagnostic est souvent fait tardivement [1] après l'apparition du premier signe qui n'est pas toujours re- [2]. les signes les plus fréquents amenantà consulter sont constitués par une triade
une hypertension intracrânienne due à une hydrocéphalie (céphalées, nausées/ vomissements, macrocrânie chez le plus dysfonction hypothalamo-hypophysaire (déficit endocrinien, surpoids, hyper- avec la localisation du craniopharyngiome dans un environnement anatomique riche la prise en charge d'un craniopharyn- giome de l'enfant est par conséquent multidisciplinaire (neurochirurgien, en- docrinologue, ophtalmologue, éventuel- troubles des apprentissages et des troubles psychologiques avec une anxiété accrue et une perte de l'estime de soi nécessitant un suivi spécialisé adapté [4]. il est ain- si important d'évaluer l'enfant au niveau scolaire et neuropsychologique, si possible au moment du diagnostic et durant son faire une évaluation la plus complète pos- sible du statut visuel (fond d'il, acuité et les principales séquelles qui interfèrent avec la qualité de vie de l'enfant sont en rapport avec une souffrance hypothala- mique qui peut être due à la tumeur elle- même et/ou à son traitement, en particulier chirurgical [5-7]. le syndrome hypothala- mique associe essentiellement une obési- té, une perte de la satiété, une perturbation criniens, des troubles du comportement et de la mémoire qui conduisent à une perte indéniable de la qualité de vie et à une réduction de l'espérance de vie [2, 5-9]. des années 90, les neurochirurgiens re- commandaient une exérèse totale de cette tumeur histologiquement bénigne, car on supposait que son exérèse chirurgicale complète devait permettre, en théorie, d'en obtenir la guérison. Cependant, la morbi- dité parfois incompatible avec une quali- té de vie normale et le taux de récidives malgré l'absence de reliquat évident [10-14] ont fait prendre conscience que dans
certains cas l'exérèse complète pouvait entraîner des dommages hypothalamiques ces enfants atteints de craniopharyngiome hydrocéphalieFonctions
hypothalamiquesFonctions endocriniennesVision
a fortioriDécouverte d
un craniopharyngiome bilan irM, endocrinologique, ophtalmologique en urgence : htiC / signes ophtalmologiquesKyste du V3 / hydrocéphalie :
cathéter d omaya sous endoscopie grade 0 souvent infradiaphragmatique exérèse complète souvent possible privilégier l abord endonasal endoscopiquegrade 2 exérèse incomplète en respectant l hypothalamus résidu hypothalamique ou non opérable raisonnablement proton thérapiegrade 1 exérèse aussi complète que possible en respectant l hypothalamusFortuite ou jeune enfant et sans hydrocéphalie ni signe ophtalmologique surveillance par contrôle tous les 3 mois (irM, endocrinologique, ophtalmologique)exérèse planifiéeTraitement complémentaire et suivi
Conclusion
S. Puget, K. Beccaria, C. Alapetite, D.
Kariyawasam, M. Polak, D. Zenaty, R. Calmon,
Ch. Sainte-Rose
RÉFÉRENCES
MCED n°86 - Janvier 2017
Le dosage des stéroïdes par spectrométrie de masse en tandem : une avancée majeure pour le diagnostic des endocrinopathiesNajiba Lahlou
1 , Lionel Groussin 2 1 et service d'endocrinologie 2 , Hôpital CochinHôpitaux Universitaires Paris CentreUniversité Paris descartes - ParisMots clés
l a spectrométrie de masse en tan- puis une sélection séquentielle des molé- cules ionisées par un premier spectromètre produits dans la cellule de collision par un deuxième quadripole. Cette technologie s'installe maintenant dans les laboratoires de les hormones stéroïdes en sont une cible privilégiée car les immuno-essais directs sur automate sont toujours affectés d'un certain degré de réaction croisée entre molécules de formes voisines, induisant une majoration de leurs taux réels.Les hormones stéroïdes
Ce sont des molécules formées essentielle-
ment dans les gonades et les surrénales à par- tir du cholestérol et constituées uniquement de carbone, hydrogène et oxygène. elles ne sont pas naturellement antigéniques. la pre- mière étape est la conversion du cholestérol en prégnénolone dans les mitochondries, lesétapes suivantes ont lieu dans les microsomes.
Ce sont de petites molécules classées en
trois familles selon le nombre d'atomes deles stéroïdes strogéniques à 18 atomes de carbone, dont le plus léger, l'estrone, les stéroïdes androgéniques à 19 atomes de carbone, dont les plus lourds, déshy-
droépiandrostérone et testostérone, ontles minéralo- et gluco-corticoïdes et leurs précurseurs, à 21 atomes de carbone, d'origine exclusivement surrénalienne, dont le plus lourd, le cortisol, a une masse
de nombreux stéroïdes synthétiques sont aussi utilisés en thérapeutique, ou comme agents dopants, certains pouvant comporterComme on le verra plus loin, la faible masse
des stéroïdes les exclut des dosages immu- nologiques dits " sandwich », mais les rend tout à fait appropriés aux dosages par spec- trométrie de masse.Dosage des stéroïdes par immuno-essai
les immuno-essais reposent sur la recon- naissance d'un épitope donné d'une chaîne peptidique par un anticorps. dans les années de diabétiques traités par l'insuline bovine, observèrent qu'un volume donné de sérum et que cette radioactivité pouvait être dépla- cée par de l'insuline froide. il existait une relation inverse, mais non linéaire, entre laquantité de radioactivité liée à l'antisérum et la quantité d'insuline froide ajoutée au milieu d'incubation. l'immuno-essai par compétition était né [1].
C'est un système de dosage dans lequel
l'hormone à mesurer est mise en présence d'un anticorps ou d'un antisérum en quanti- té limitée. l'hormone entre en compétition avec un traceur marqué, soit par un compo- des sites disponibles de l'anticorps (Figure longtemps, on a exclusivement utilisé, pour les immuno-essais, des antisérums polyclonaux obtenus par immunisation d'un animal contre l'antigène hormonal préparé, c'est-à-dire l'hormone elle-même, s'il s'agit d'une protéine, ou un complexe formé d'une protéine comme par exemple l'albumine d'une autre espèce animale, et d'une hormone si celle-ci n'est pas naturel- lement antigénique comme c'est le cas des stéroïdes et des hormones thyroïdiennes. vénients majeurs. d'une part, l'antisérum animal obtenu est un mélange d'anticorps d'affinités et de spécificités différentes provenant de plusieurs clones de cellules immunitaires. d'autre part, un animal ne peut fournir qu'une quantité limitée d'an- tisérum, même s'il s'agit d'un gros animal comme un mouton ou une chèvre. C'est laLa dispersion des dosages par immuno-
essaiCholestérol
alH FsHPrégnénolone
Progestérone17OH-prégnénolone
Testostérone
17ß-hydroxystéroïde-
aromataseEstradiol
B ACTHCholestérol
Prégnénolone
Progestérone17OH-prégnénolone
CortisolCorticostérone
18OH-corticostérone
Aldostérone17OH-progestérone
11ß-hydroxylase21-hydroxylase
18-hydroxylase3ßHSD
3ßHSD3ßHSD hépatique
MCED n°86 - Janvier 2017
La spectrométrie de masse en tandem
Dosage par compétition
Immunométrie 2 sites
dite "sandwich»Application au dosage des stéroïdes
OO O O O O291 362360289
HO HOOH OHOH OH H HH H HHH H H HH H OH OHDihydrotestostéroneTestostérone
Prednisolone
Cortisol
analyse de masseChambre de
fragmentation sélection des ions analyse de masseMCED n°86 - Janvier 2017
Les stéroïdes urinaires
Les stéroïdes salivaires
DOCLes stéroïdes capillaires
DOC nouveau-né normalProfil stéroïdien
MCED n°86 - Janvier 2017
1. Tel patient présente-t-il une hypersécré-
2. Tel enfant présente-t-il ou non un bloc enzymatique ou un autre trouble de la
Tel patient présente-t-il un syndrome
4. - drome de Cushing chez tel autre pa-5. Tel sportif est-il dopé aux corticoïdes
La spectrométrie de masse, comme son
leur masse, après ionisation. Il n"est donc plus question de différence de forme, mais la molécule à doser doit être précédée d"un traitement de l"échantillon biologique en vue et séparation par chromatographie liquide.L"automatisation de ce traitement préalable
de l"échantillon, avant la mesure par spectro- métrie de masse proprement dite, permettra certainement, à terme, une démocratisation de ces appareils dans les laboratoires d"hor- monologie de routine.Plaident en faveur de la spectrométrie de
pacité de multiplexage, son économie du volume sanguin nécessaire, qui font que son application dans le domaine du diagnostic est une plus-value pour toute exploration des axes gonadique et surrénalien. d"hormonologie est lente (actuellement plus de 97 % des labos d"hormonologie utilisent encore les immuno-essais, contre moinsle coût des réactifs prêts à l"emploi, quand la formation des opérateurs (techniciens,
les étapes non automatisées sont encore trop nombreuses, notamment les ex- tractions " maison » sont chronophages, etc...Il est très vraisemblable qu"un autre saut
technologique, permettant de mettre à dis- position des laboratoires à grand débit une automatisation de la phase préanalytique, en l"occurence la phase d"extraction, et per- mettant de s"affranchir pendant l"analyse elle-même, des étapes manuelles, vienne améliorer cette situation.RÉFÉRENCES
methods for the synthesis of twenty different, highlyenriched deuterium-labeled steroids, suitable as inter-nal standards for isotope dilution mass spectrometry.
dexamethasone and 11-deoxycortisol with ultra high performance liquid chromatography-tandem massLiquid chromatography tandem mass spectrometry
for analysis of steroids in clinical laboratories. Clin hormones in human and animal plasma and serum by liquid or gas chromatography coupled to tandem --sol chemiluminescent immunoassay and developmentDevelopment of a highly sensitive and selective
-nation of testosterone and 5alpha-dihydrotestosterone in human serum to support testosterone replacement
liquid chromatography-tandem mass spectrometry19 endogenous androgenic steroids by ultra-per-formance convergence chromatography tandem
and validation of a method using supported liquid ex-traction for aldosterone determination in human plas-
-locorticoids pathways using a liquid chromatogra-salivary cortisol has a better performance than urinary free cortisol in the diagnosis of Cushing"s syndrome.
of salivary cortisol measured by liquid chromatogra-phy-tandem mass spectrometry in the diagnosis of metyrapone test with salivary 11-deoxycortisol. 2017 -ment of cortisol analysis in hair and its clinical appli--lysis provides a historical record of cortisol levels in Cushing"s syndrome. Exp Clin Endocrinol Diabets
Pauline Faucher
1 2, 3 , Christine Poitou 1 1ICAN, Hôpital Pitié- Salpêtrière
2 3Mots clés
l 'augmentation de la prévalence de ans a été constante ces dernières années, passant de 11,2 % en 1997 à 18,7 % en 2012 considérable de la chirurgie bariatrique enFrance s'est accompagné d'une augmen-
tation majeure des situations de perte de poids importante chez des sujets obèses. le diagnostic et la prise en charge de la dénutrition chez le sujet obèse sont ainsi devenus des situations fréquentes à ne pas pathologiques, les situations à risque en s'intéressant particulièrement à la chirur- de la dénutrition, notamment chez le sujet obèse. la dénutrition est un problème majeur de santé publique mondiale, touchant 5% de la population européenne, particu- lièrement les populations fragiles (âges extrêmes de la vie, milieux défavorisés, [1] aggravant alors le pronostic en termes dépistage précoce [2]. la dénutrition protéino-énergétique résulte d'une inadéquation entre les be- soins métaboliques de l'organisme et les réserves énergétiques disponibles (no- des apports alimentaires insuffisants augmentation des besoins liés à une patho- la définition de la dénutrition protéi- les apports et les besoins protéino-éner- gétiques de l'organisme. Ce déséquilibre entraîne des pertes tissulaires ayant des conséquences fonctionnelles délétères. il s'agit d'une perte tissulaire involontaire. la dénutrition sont l'augmentation de la morbi-mortalité, de la durée d'hospitali- micro-nutriments telles que la dépression iMC iMCquotesdbs_dbs23.pdfusesText_29[PDF] Araignée - Cap Sciences
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