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27 oct. 2017 Quelle politiQue pour les pôles de compétitivité ? Avis du Conseil économique social et environnemental sur le rapport présenté par. M.
Quelle articulation entre les pôles de compétitivité et les tissus
7 oct. 2008 régional de Provence Alpes Côte d'Azur du Conseil général des Bouches du Rhône
Les pôles de compétitivité : quels résultats depuis 2005
La politique des pôles de compétitivité a fait l'objet de plusieurs études d'impact Du côté positif les relations apparaissent de plus en plus diver-.
Évaluation de la politique des pôles de compétitivité
3 févr. 2017 2. De son côté le 12 juillet 2005
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moyen de la politique des pôles de compétitivité sur l'évolution des Nationale de Belgique (BNB) de l'Office National de Sécurité Sociale (ONSS)
Effets des pôles de compétitivité dans les industries de haute
10 janv. 2013 Je remercie toute ma grande famille en Côte d'Ivoire pour son soutien moral ... politique industrielle basée sur les pôles de compétitivité.
Quelles logiques dinsertion dans les pôles de compétitivité ? Une
loulous pleurent à côté et un merci plus particulier à Cécile pour savoir tout Les pôles peuvent être : « un réseau social un encastrement de relations ...
Limpact de la participation aux pôles de compétitivité sur les PMe et
Ces pôles ont utilisé plusieurs outils en particulier des subventions accordées pour financer des projets collaboratifs de R&D comprenant des entreprises et
LA CONTRIBUTION DES POLES DE COMPETITIVITE AU
27 oct. 2017 Pour ces raisons le CESER demande sa juste place dans la gouvernance des pôles de compétitivité aux côtés de l'Etat et de la Région.
Les poles de competitivite territoires de linnovation sociale
L'innovation sociale dans les pôles de compétitivité est permise par des projets socialement innovants ancrés sur le territoire et mobilisant des.
Les pôles de compétitivité en france
Qu’est-ce qu’un pôle de compétitivité ? des pôles au service de la croissance des entreprises et de l’emploi Les pôles de compétitivité participent au renforcement de la compétitivité de l’économie française Ils développent la croissance et l’emploi sur des marchés porteurs :
Les pôles de compétitivité : état des lieux à la fin de la
Premièrement une enquête adressée aux membres des pôles montre que le dispositif semble avoir globalement répondu à leurs attentes ; ceux-ci souhaitent d’abord renforcer les actions de base des pôles : la mise en réseau et l’aide à la recherche de financements publics
ENTREPRISES
L"impact de la participation aux pôles
de compétitivité sur les PME et les ETI Christophe Bellégo * et Vincent Dortet-Bernadet ** thématiques ( P3E2 ) ** Insee, Département des études économiques, Division Marchés et Entreprisesséminaire Recherche de l"Insee (Malakoff 2014), et plus particulièrement Corinne Autant-Bernard, Gilbert Cette et Frédérique Sachwald
et Jérôme Pujol ainsi que de deux rapporteurs anonymes de la revue. Les auteurs remercient la Direction générale pour la recherche et
l"innovation du Ministère de l"Enseignement Supérieur et de la Recherche pour leur avoir permis d"utiliser la base de gestion du Crédit
Impôt Recherche ainsi que Maryline Rosa pour son aide pour l"utilisation de ces données. Ils demeurent seuls responsables des erreurs
et omissions restantes.Rappel :
Les jugements et
opinions exprimés par les auteurs n"engagent qu"eux mêmes, et non les institutions auxquelles ils appartiennent, ni a fortiori l"Insee.¦&2120,((767$7,67,48(1}66
MGHFRPSpWLWLYLWpFRQVWLWXHODGpFOLQDLVRQ
TXLVHVRQWGpYHORSSpHVGDQVGHWUqVQRPEUHX[
SD\V3RUWHU2QHQWHQGVRXVOHWHUPH
UHFKHUFKHV GRQW OD VSpFLDOLVDWLRQ SHUPHW XQH
GHV VSpFLDOLVDWLRQV FRPSOpPHQWDLUHV HVW FHQ-
IDFWHXUV GH SURGXFWLRQV GH PHLOOHXUH TXDOLWp
$X PRLQV GHX[ FDUDFWpULVWLTXHV GHV S{OHV GHOHIDLWTXHOHVS{OHVDLHQWSX
LPSRUWDQWHV/DVHFRQGHDSDUFRQWUHMRXpXQ
U{OHFURLVVDQWGDQVODPLVHHQSODFHGHODSROL-
PHPEUHVGHVS{OHV'HX[W\SHVGHPpFDQLVPH
FHUWDLQHVHQWUHSULVHV30(RQWSXWURXYHUGHV
SDUWHQDLUHVSRXUUpDOLVHUGHOD5'RXSRXUOD
VXU XQH UpJLRQ SDU H[HPSOH OH S{OH $OVDFH
UpSDUWLVVXUXQYDVWHWHUULWRLUHUpJLRQVGDQV
OHFDVGXS{OH6\VWHPDWLF
¬WHUPHODSROLWLTXHGHVS{OHVDSXDYRLUGH
PXOWLSOHV FRQVpTXHQFHV XQH DXJPHQWDWLRQ
GHODGpSHQVHGH5'XQHDXJPHQWDWLRQGX
IDFWHXUV/DSROLWLTXHGHVS{OHVSRXUUDLWDXVVL
DYRLUGHVFRQVpTXHQFHVVXUOHVGpS{WVGHEUH-
Erdyn et al.
RUJDQLVPHVHQFKDUJHGHODSROLWLTXHGHVS{OHV
OHV SURMHWV GH 5' GDQV OHV S{OHV DXUDLHQW
FRQGXLWHQWUHHWDXGpS{WGHSUqV
GHV HQWUHSULVHV DXUDLHQW FUpp GHV HPSORLV GX
IDLWGHOHXUDGKpVLRQDX[S{OHV6HORQODPrPH
OHPDUFKpOHODQFHPHQWGHQRXYHDX[SURGXLWV
VHUDLWQpDQPRLQVLQVXI¿VDQWHQXQHGHV
SULQFLSDOHVDPELWLRQVGHODSKDVHGHODSROL-
&RPPHODSROLWLTXHGHVS{OHVHVWUHODWLYHPHQWUpFHQWHOHVGRQQpHVGLVSRQLEOHVQHSHUPHWWHQW
GHFHGLVSRVLWLIGHj
2URQSHXW
GpSHQVHVGH5'VRQWSOXVUDSLGHPHQWREVHU-
S{OHVGHFRPSpWLWLYLWpVXUOHVGpSHQVHVGH5'
HWOHXU¿QDQFHPHQW
VXUOHVGpSHQVHVGH5'QpFHVVLWHWRXWHIRLVGH
GHVDLGHVjOD5'(QHIIHWSDUDOOqOHPHQWj
ODPLVHHQSODFHGHVS{OHVGHQRPEUHX[GLVSR-
OHVGpSHQVHVGH5'GHVHQWUHSULVHVFIHQFD-
VXU OHV PR\HQV FRQVDFUpV j OD 5' SDU OHV
HQWUHSULVHVDSSHOpHHQTXrWHR&D
GLUHFWHVVXEYHQWLRQVHWSUrWVjWDX[UpGXLWV
GHV DLGHV LQGLUHFWHV $X FRXUV GHV GHUQLqUHV
SRXUGpYHORSSHUOHVRXWLHQSXEOLFjOD5'
1. Si la mise en place des pôles a commencé en 2005, les entre-
prises du champ de l"étude (il exclut les plus grandes entreprises) sont très majoritairement entrées dans le dispositif à partir de2006. En 2014, il existe désormais un recul plus grand, mais les
données disponibles s"arrêtaient en 2009 lorsque l"étude a été réalisée, en 2012.JOREDOH D pWp PXOWLSOLpH SDU FLQT HQWUH
GXGLVSRVLWLI-HXQH(QWUHSULVH,QQRYDQWH-(,
GHVS{OHVFDUFHGLVSRVLWLIDSXSURYRTXHUGHV
GHODGpSHQVHSULYpHSDUGHODGpSHQVHSXEOLTXH
'DYLGet al.-LE FINANCEMENT PUBLIC DE LA R&D DES ENTREPRISES
Différents mécanismes ont été mis en place pour sou-Il s"agit soit d"aides directes
soit d"aides indirectes comme des crédits d"impôt ou des allègements de charges sociales. ment assuré par différents ministères (ministère de la UAEFHPPHQW GH QRXYHDX[ DFWHXUV RQW AEWAE FUAEAEV TXL FRPSOÅWHQW HW UHPSODFHQW HQ SDUWLH FHV GLVSRVLWLIVOp$JHQFH1DWLRQDOHGHOD5HFKHUFKH$15HW2VAER
Les collectivités locales occupent un rôle croissant de la politique des pôles. Les aides européennes OD5' Même si les mécanismes d"attribution des subven- niveau global des aides directes est resté relativement au ministère de la défense restant toujours au-dessusHWDXWRXUGHPLOOLRQVGpHXURVSDUDQSRXU
$LGHVGLUHFWHVSRXUOD5'GHVHQWUHSULVHV )LQDQFHPHQWHXURSAEHQGHOD5'GHVHQWUHSULVHV &,5PRQWDQWGHVFUAEGLWVGpLPSÑWVEnsemble
Lecture : montant, en millions d"euros, des aides reçues chaque année par les entreprises pour réaliser de la R&D. Pour les aides
Source : notes d"information du MESR, rapports annuels du MESR sur le crédit d"impôt recherche et rapport 2012 de la DGCIS sur
l"évaluation du dispositif JEI. Si les aides directes ont été relativement stables sur la cation progressive du mode de calcul du CIR qui aLQLWLDOHPHQW
positif plus attractif pour de nombreuses entreprises. respond à la somme de 5 % du volume des dépensesGHOHXUDFFURLVVHPHQW(QOHWDX[
OHWDX[VXUOpDFFURLVVHPHQWEDLVVH½(Q
le CIR est entièrement calculé à partir du volume des HWGpHXURV UHSUAEVHQWDQW HQ SOXV GH GHX[ IRLV OH
SRLGVGX:QDQFHPHQWGLUHFWGHOD5'
/H VWDWXW GH -HXQH (QWUHSULVH ,QQRYDQWH -(, D AEWAEFUAEAEHQSRXUDLGHUGHV30(GHPRLQVGHKXLW
sant principalement des exonérations de cotisations sociales patronales de Sécurité Sociale pour leurs d"un coût comparable à celui du CIR mais elle joue un rôle important sur le champ de cette étude composé principalement de petites entreprises.Une entreprise peut cumuler différentes formes
¦&2120,((767$7,67,48(1}68
R&D permet de mener
FHUWDLQVGHFHVHIIHWV
GHFHWWHpWXGH6HUUDQR9HUODUGHDFRQFOX
TXHGHVVXEYHQWLRQVYHUVpHVHQWUHHW
GH9$ORULVDWLRQGHOD5HFKHUFKH$QYDUGHYH-
VHVHUDLHQWDFFRPSDJQpHV
VSpFL¿TXHV 3DU H[HPSOH GHV WUDYDX[ RQW SX
XWLOLVDQWOHQRPEUHGHEUHYHWVGpSRVpVSDUOHV
SRUWDQWVXUXQHSROLWLTXHGHFOXVWHUPHQpH
DX -DSRQ HQWUH HW RX OH QRPEUH
%DYLqUH HQ 7RXWHIRLV SRXU XQ GLVSR-Industrial Cluster
Project
HQWUHXQH30(HWXQHXQLYHUVLWpGHODPrPH
UpJLRQ GX PrPH FOXVWHU QH VHPEOH HI¿FDFH
HW VSpFLDOLVpH GDQV OD UHFKHUFKH 1LVKLPXUD
HW2NDPXURD3RXUOHPrPHGLVSRVLWLI
1LVKLPXUDHW2NDPXUREPRQWUHQWTXHOD
VXEYHQWLRQV
&HWWHpWXGHSUpVHQWHXQHpYDOXDWLRQGHODSDU-DX[ S{OHV HW GHV HQWUHSULVHV UHVWpHV KRUV GHV
S{OHVFDUODPLVHHQSODFHGXGLVSRVLWLIDERXWLW
jXQHDXWRVpOHFWLRQGHVHQWUHSULVHVTXLRQWOHGH VpOHFWLRQ QRXV SURFpGRQV FRPPH 'XJXHW
HQ FRPSDUDQW GHV HQWUHSULVHV SDUWLFL-S{OHVD\DQWODPrPHSUREDELOLWpGHSDUWLFLSHUj
HWDX[SHWLWHVHWPR\HQQHVHQWUHSULVHV30(
La politique des pôles
de compétitivité LSRXU DPELWLRQ GH PHWWUH HQ UpVHDX VXU
XQWHUULWRLUHGRQQpGHVHQWUHSULVHVGHVODER-
GHVFRRSpUDWLRQV
Mise en place de la politique des pôles
de compétitivitéSODFHGXGLVSRVLWLIXQSUHPLHUDSSHOjSURMHWV
ODQFp¿QDGpERXFKpVXUODODEHOOLVDWLRQ
GH S{OHV GH FRPSpWLWLYLWp HQ WURLV YDJXHV
3 'DQVODSUDWLTXHOD)UDQFHpWDQWXQSD\VGHWDLOOHPR\HQQHODGLPHQVLRQWHUULWRULDOHDpWp
GHVS{OHVFRPSUHQQHQWGHQRPEUHX[PHPEUHV
LPSODQWpVHQGHKRUVGHOHXUVUpJLRQVGHEDVH
,QLWLDOHPHQW OHV S{OHV ODEHOOLVpV HQ RQWFUppGHV]RQHVGH5'UHVWUHLQWHVHWGp¿QLHV
DXQLYHDXFRPPXQDOOHVHQWUHSULVHVGHV]RQHV
2. L"Anvar est devenue Oséo en 2005. Elle a fusionné en 2013
avec CDC Entreprises, le FSI et FSI Régions pour créer la Banque Publique d"Investissement (Bpifrance). Oséo est une entreprise françaises pour l'innovation, l'investissement, le développement international, la création et la transmission.3. Pour certains pôles les interactions possibles entre les diffé-
rents membres pouvaient parfois paraître a priori faibles, cetteà 6 pôles en 2010.
69WKpPDWLTXHVVLPLODLUHVRXFRPSOpPHQWDLUHV
/HVWKpPDWLTXHVDERUGpHVSDUXQS{OHSHXYHQW rWUHSOXVRXPRLQVODUJHV3DUIRLVOHGLVSRVLWLIRXjXQH¿OLqUHFRPPHOHS{OH;\ORIXWXUGpGLp
DX[LQGXVWULHVGXERLVGDQVODUpJLRQ$TXLWDLQH
$X FRQWUDLUH FHUWDLQV S{OHV VRQW WRWDOHPHQWLQWHUVHFWRULHOVFRPPHOHS{OH0HU%UHWDJQHTXL
LQWqJUHGHVDFWLYLWpVGH5'OLpHVDXVHFWHXUGH
/HV GLIIpUHQWHV GLPHQVLRQV GH FHWWH SROLWLTXH pFRQRPLTXH VH UHWURXYHQW GDQV OD OLVWH GHVRUJDQLVPHVFKDUJpVGHVDPLVHHQSODFHFHWWH
OLVWH FRPSUHQG GHV RUJDQLVPHV SXEOLFV HQ
FKDUJH GH SURJUDPPHV GH VRXWLHQ DX[ HQWUH-
HW GHV &RQVLJQDWLRQV PDLV DXVVL GH SUR-
OHV FROOHFWLYLWpV ORFDOHV VRQW IRUWHPHQW LPSOL-
DX[SULVHVGHGpFLVLRQ
provient de nombreux dispositifs d"aides publiques à la R&DGH FRPSpWLWLYLWp RQW HQ JUDQGH SDUWLH VHUYL
GHVFROODERUDWLRQVTXLVRQW¿[pVSDUFKDTXH
rWUHXWLOLVpVSRXU¿QDQFHUOHVSURMHWVGH5' /DSOXSDUWQHVRQWSDVGpGLpVjODSROLWLTXHGHVGLIIpUHQWHVPHVXUHVGHVRXWLHQjOD5'VRQW
IRUWHPHQW LQWULTXpHV7RXWHIRLV SRXU UHFHYRLU
SDU OHV S{OHV RQW HVVHQWLHOOHPHQW SDUWLFLSp j
GX)RQGV8QLTXH,QWHUPLQLVWpULHO)8,,OVRQW
OLHXGHX[IRLVSDUDQV/HVSURMHWVTXLSHXYHQW
FRQFRXULUGRLYHQWUpXQLUDXPRLQVGHX[HQWUH-
établissement d"enseignement supérieur ou unS{OHVRQSDUOHDORUVGHFRODEHOOLVDWLRQ/HXU
EXGJHW GRLW rWUH VXSpULHXU j HXURV
FRPPHXQFULWqUHSOXW{WIDYRUDEOHSRXUREWH-
GpFURLVVDQWV VXLYDQW OD WDLOOH GHV HQWUHSULVHV
HW LOV VRQW GH SRXU OHV RUJDQLVPHV GH
UHFKHUFKH RX GH IRUPDWLRQ 'HV H[RQpUDWLRQV
GLVSDUXGHSXLVODPLVHHQSODFHGHODSROLWLTXH
4 'HX[LqPHPHQWODSROLWLTXHGHVS{OHVHVWDXVVLIRUWHPHQW ¿QDQFpH SDU OHV IRQGV SLORWpV SDU
VRXYHQW WKpPDWLTXHV DX[TXHOV FRQFRXUHQW
VRQWORFDOLVpVGDQVODRXOHVUpJLRQVGHFHS{OH
PDLVSODIRQQpHjHXURV/HVSURMHWVTXL
RQWHXGURLWjFHWWHDLGHDXUDLHQWWRXWGHPrPH
SOXVpORLJQpVGXPDUFKpTXHFHX[VRXWHQXVSDU
DX[ODERUDWRLUHV
VXLWHDX[GLIIpUHQWVDSSHOVjSURMHWVGHVSULQ-
HVW GpWDLOOpH GDQV OH WDEOHDX /HV 30( HW
(7,TXLRQWSDUWLFLSpjGHVSURMHWVGHVS{OHVRQWpWpGDYDQWDJH¿QDQFpHVSDUOH)8,TXHSDU
4. Les exonérations de cotisations à la charge des employeurs
ont été abandonnées dès 2007. Les exonérations d"impôt sur les sociétés et de taxe foncière ont disparu en 2010. En 2013 ne demeurent en vigueur que des dispositifs d"exonération de la cotisation foncière des entreprises et de la taxe foncière sur les propriétés bâties.¦&2120,((767$7,67,48(1}
un rôle important mais ils ne sont pas de mêmeFHV¿QDQFHPHQWVQHVRQWSDVGpGLpVjODSROL-
6LOHWDEOHDXPHQWLRQQHGHV¿QDQFHPHQWVTXL
S{OHVLOQHSUHQGSDVHQFRPSWHOHIDLWTXHFHU-
FHOOHVGXSURJUDPPHFDGUHGHUHFKHUFKHHWGH
FDGUHGHODSROLWLTXHGHVS{OHV
L"aide publique est essentielle pour inciter
les entreprises à participer aux projets collaboratifs -DFTXHPLQ 'DQVXQHVLWXDWLRQRGHX[HQWUHSULVHVVHIRQWDX[ HIIHWV QpJDWLIV GHV pYHQWXHOOHV GLIIXVLRQV
GH WHFKQRORJLHV 'HV FROODERUDWLRQV YHUWLFDOHV
DPRQW HW SOXV ULVTXpV 'HV pWXGHV HPSLULTXHV
GH 0LRWWL HW 6DFKZDOG GH %HOGHUERV
et al.VXSpULHXUHVQRWDPPHQWFDUOHULVTXHGHSHUGUH
XQHHQWUHSULVHFRRSqUHDYHFXQFRQFXUUHQW
/HJDLQDVVRFLpjXQHFROODERUDWLRQSHXWrWUHSOXVIRUWSRXUXQHHQWUHSULVHTXLUpDOLVHGpMj
LPSRUWDQWHV &RKHQ HW /HYLQWKDO /HV
SOXVLHXUVDSSOLFDWLRQV.DPLHQHW=DQJ
FRQWUDLUHOHVLQYHVWLVVHPHQWVYHUVGHOD5'
DXVVL GpSHQGUH GH OD SUR[LPLWp JpRJUDSKLTXH
FHQWUHVGHUHFKHUFKHYRQWHQSDUWLHGpWHUPLQHU
En millions d"euros
FUI $15Oséo ISI89
2VAER,QQRYDWLRQ
&ROOHFWLYLWAEVORFDOHVVXUSURMHWV)8,99 Source : tableaux de bord annuels de la politique des pôles de compétitivité de la DGCIS.JpRJUDSKLTXHGpSHQGGXW\SHGHFRRSpUDWLRQ
/HVHQWUHSULVHVFRRSqUHQWjSUR[LPLWpSRXUOHVDGDSWpVSRXUOHVLQQRYDWLRQVSOXVDPELWLHXVHV
'DQV OH FDV GHV S{OHV OHV DLGHV SXEOLTXHV jSDUWLFLSDWLRQ j GHV SURMHWV FROODERUDWLIV HOOH
SHXYHQW UpVRXGUH GHV SUREOqPHV GH ¿QDQFH-
GH WUDQVIHUW GH WHFKQRORJLH 3DUWLFLSHU j XQ
GHGLPLQXHUFHVFRWVGHWUDQVDFWLRQ
/HIDLWSRXYRLUVSXEOLFV&HVGHUQLHUVRQWWHQGDQFHj
DFFRUGHUSOXVIDFLOHPHQWGHVDLGHVjGHVHQWUH-
OHXUSDUDvWODSOXVDVVXUpH/HUQHU
GHVEUHYHWVjODTXDQWLWpGH5'SUpDODEOHPHQW
OD5'UpDOLVpHGDQVOHYRLVLQDJHHWjODFRQQDLV-
VHVRQWLPSOLTXpVGDQVGHQRPEUHXVHVDFWLRQV
GHGpYHORSSHPHQWGXWLVVXpFRQRPLTXHORFDO
SHXYHQW DXVVL VHUYLU GH ODEHO DX[ HQWUHSULVHV
OLVWHGHGpWHUPLQDQWVGHOHXUSDUWLFLSDWLRQ
Mesurer l"évolution des dépenses
de R&D des PME et des ETI MS{OH GH FRPSpWLWLYLWp VXU OHV GpSHQVHV
GH5'GHVHQWUHSULVHVLPSOLTXHGHUHSpUHUOHV
PDLVQHSDUWLFLSDQWSDVDXGLVSRVLWLI2QSUp-
PpWKRGHDX[TXHOOHVRQDUHFRXUVSRXUHIIHF-
L"enquête R&D, source principale
permettant d"observer les dépenses de R&D des entreprisesGH5'SDUOHVHQWUHSULVHVSRXUOHXUSURSUH
JUDQGVJURXSHVGHYDULDEOHV
/HSUHPLHUJURXSHWUDLWHGHVGpSHQVHVGH5'5'',5'HWOD'pSHQVH([WpULHXUHGH5'
'(5'/D',5'FRUUHVSRQGDX[WUDYDX[GH )UDQFHHOOHFRPSUHQGOHVGpSHQVHVFRXUDQWHVODPDVVHVDODULDOHGHVSHUVRQQHOVGH5'OHV
GpSHQVHV GH IRQFWLRQQHPHQW HW OHV GpSHQVHV
HQFDSLWDOTXLFRUUHVSRQGHQWjGHVWUDYDX[GH
FRPSWHRXSRXUOHFRPSWHGHWLHUV/D',5'
HVW GpFRPSRVpH HQ UHFKHUFKH IRQGDPHQWDOH
HQ UHFKHUFKH DSSOLTXpH HW HQ GpYHORSSHPHQW
GH)UDVFDWL/D'(5'FRUUHVSRQGDX[WUDYDX[
HOOHFRPSUHQG
OHV VRXVWUDLWDQFHV H[pFXWpHV VXU OH WHUULWRLUH
/HGHX[LqPHJURXSHGHYDULDEOHVFRQFHUQHOHVVRXUFHVGH¿QDQFHPHQWGHVGpSHQVHVGH5'
LQWHUQDWLRQDO GH OD UHFKHUFKH OHV GLIIpUHQWHV
DLGHV GLUHFWHV GpWDLOOpHV SDU RUJDQLVPH ¿QDQ-
LQGLUHFWV&,5HW-(,QHVRQWSDVUHQVHLJQpVSDU
5. Avec le développement du CIR, ces coûts de transaction ont
pu devenir dissuasifs pour des entreprises qui ont préféré réali- ser de la R&D sur fond propre et obtenir un montant de crédit d"impôt plus important.¦&2120,((767$7,67,48(1}
GHODGpSHQVHQDWLRQDOHGH5'GHVDGPLQLVWUD-
/H WURLVLqPH JURXSH GH YDULDEOHV IRXUQLW GHVOH VRXWLHQ WHFKQLTXH GHV WUDYDX[ GH 5'
/H TXDWULqPH HW GHUQLHU JURXSH GH YDULDEOHVWUDLWH GHV GpS{WV GH EUHYHWV
(Q SUHPLqUHGH EUHYHW &H QRPEUH FRPSUHQG OHV EUHYHWV
DPpULFDLQV HXURSpHQV IUDQoDLV HW GDQV OHV
DXWUHVSD\VLOVXUHVWLPHGHIDLWOHQRPEUHGH
EUHYHWVFDUXQPrPHEUHYHWSHXWrWUHGpSRVp
SOXVLHXUVIRLVGDQVGLIIpUHQWVSD\V
730((7,TXLGpSRVHQWUDUHPHQWXQEUHYHWVXU
SOXVLHXUVPDUFKpVGLIIpUHQWV
Des sources de données complémentaires
sur la participation aux pôles, l"emploi et l"activité des entreprisesGHOD'LUHFWLRQJpQpUDOHGHOD&RPSpWLWLYLWp
ODSROLWLTXHGHVS{OHVHQHQYR\DQWWRXVOHVDQV
XQ TXHVWLRQQDLUH R FKDTXH S{OH GUHVVH XQH
OLVWH H[KDXVWLYH GH VHV PHPEUHV pWDEOLVVH-
GH IRUPDWLRQ DVVRFLDWLRQV GH GpYHORSSH-
DQQpH GRQQpH FRPPH OH QRPEUH GH SURMHWV
ODEHOOLVpVRXGHIRUPDWLRQVODQFpHV
GpFODUDWLRQV ¿VFDOHV GHV HQWUHSULVHV VRXPLVHV
GH GpFODUDWLRQ GH GRQQpHV VRFLDOHV '$'6
OHV ¿FKLHUV ,QVHH VXU OHV OLDLVRQV ¿QDQFLqUHV /L¿ FHV LQIRUPDWLRQV VRQW XWLOLVpHV SRXUUHSpUHUOHV30(HWOHV(7,HWSRXUFRQQDvWUHOD
PRQWDQWVGH&,5SHUoXVSDUOHVHQWUHSULVHVVRQW
WLUpVGHODEDVHGHJHVWLRQGX0(65HWOHVLQIRU-
Une étude limitée aux PME et ETI
de plus de deux ans d"ancienneté et faisant de la R&D pour un montant annuel inférieur à 16 millions d"eurosHW GLIIpUHQFHVGHGLIIpUHQFHV FIHQFDGUp
R&DHQFDGUp
GpSHQVHVGH5'OHVSOXVLPSRUWDQWHVRQWpWp
FRPSDUDLVRQV HQWUH HQWUHSULVHV DSSDUWHQDQW j
GHVS{OHVHWHQWUHSULVHVUHVWpHVHQGHKRUVTXL
GHVS{OHVFHWWHFRPSDUDLVRQQHSHXWSDVrWUH
HIIHFWXpH$LQVLFRPPHODSOXSDUWGHVJUDQGV
SRXUFHVHQWUHSULVHV/HV30(HW(7,
TXLRQW
OHVGpSHQVHVGH5'OHVSOXVLPSRUWDQWHVVRQW
HOOHVQHVRQWSDVSULVHVHQFRPSWH
GDQVFHWWHpYDOXDWLRQ
UHVWUHLQWDX[30((7,TXLUpDOLVHQWPRLQVGH
6. L"enquête renseigne sur le nombre de brevets déposés
par les entreprises enquêtées. Des informations sont collec- tées sur le nombre de brevets américains auprès de l"USPTO (), le nombre de bre- nombre de brevets français auprès de l"INPI (Institut National de la Propriété Industrielle), et le nombre de brevets dans d"autres pays (Japon, Canada, etc.), en PCT (Patent Cooperation Treaty) et dans le domaine agricole (PVP : plant variety patent, ou COV :7. Sauf dans le cas du PCT, Patent Cooperation Treaty.
8. Les catégories d"entreprises utilisées dans cette étude
décret n°2008-1354 du 18 décembre 2008 : l"entreprise est la plus petite combinaison d"unités légales constituant une unité organisationnelle de production et jouissant d"une certaine autonomie de décision. En particulier, les groupes composés de plusieurs unités légales sont considérés comme une entre- prise unique.9. Les PME françaises appartenant à des grands groupes étran-
gers ont été retirées du champ de l"étude quand cette caracté- ristique a pu être repérée.HQWUHSULVHVTXLIRQWGHOD5'FHFLLPSOLTXH
TXHOHFKDPSQHFRPSUHQQHTXHGHVHQWUHSULVHV
GHVS{OHV(QHIIHWODPpWKRGHGHGLIIpUHQFHV
GH GLIIpUHQFHV XWLOLVpH SRXU FHWWH pYDOXDWLRQ
LPSRVH GH PHVXUHU GHV pYROXWLRQV DQQXHOOHV
DFWLYLWpVGH5'
10. Un test (voir l"annexe C.4 de Bellégo et Dortet-Bernadet
(2013)) montre qu"utiliser les entreprises qui font de la R&D mais aux pôles sur l"effectif total des entreprises. Les évolutions des dépenses de R&D de ces entreprises ne sont donc pas a priori comparables à celles des entreprises interrogées au moins deux fois : ces entreprises ont été exclues du champ de l"évaluation.11. González et Pazó (2008) montrent que cet effet peut être
tions en Espagne. MÉTHODE D"ESTIMATION DES EFFETS DE LA POLITIQUE DES PÔLESAppariement et estimation en différences
de différences L'évaluation s'appuie sur le modèle causal de Rubin potentiellement deux niveaux de résultat à la date tOH niveau si l'entreprise est membre d'un pôle depuis la date d et le niveau 2 si elle n'est membre d'aucun pôle. L"effet de la politique des pôles à la date t est alors Δ A -. Cet effet n'est pas directementSRXUXQHHQWUHSULVHPHPEUHGHVSÑOHV
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