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Ajustement structurel et effondrement des modèles idéologiques

-F BAYART «Le politique par le bas en Afrique noire» Politique africaine n° 1 janvier 1980 p 56

  • Quels sont les programmes d'ajustement structurel ?

    Les programmes d'ajustement structurel désignent des politiques menées sous la conduite des institutions financières internationales, notamment le Fonds monétaire international (FMI), qui visent à instaurer dans un délai le plus rapide possible une économie de marché conforme aux critères de l'orthodoxie libérale,
  • Les programmes d'ajustement structurel ont pour but premier, selon le discours officiel, de rétablir les équilibres financiers. Pour y parvenir, le FMI et la Banque mondiale imposent l'ouverture de l'économie afin d'y attirer les capitaux.
Les conséquences sociales de lajustement en Afrique selon la

Les conséquences sociales

de l'ajustement en Afrique selon la politique de change u cours des années quatre-vingt, la majorité des pays afri- cains ont mis en oeuvre des politiques dites d'ajustement

A structurel.

I1 s'agit de vastes programmes économiques ayant pour but d'assurer un rééquilibre durable de la balance des paie- ments compatible avec la reprise de la croissance. La condition requise pour y parvenir est d'améliorer la compétitivité des écono- mies vis-à-vis de l'extérieur. Ceci implique généralement à la fois une modification de la structure interne des prix et une réforme des finances publiques. En raison de leur nature et de leur ampleur, les PAS (Program- mes d'ajustement structurel) ont des conséquences sociales impor- tantes. Ils contribuent en effet à déterminer l'évolution du produit national et la répartition des revenus. Ces conséquences font l'objet d'un vaste débat, suscité par la gravité de certaines situations obser- vées, mais obscurci par la mauvaise connaissance de l'ensemble de l'évolution sociale. Une analyse déductive des mécanismes par les- quels les politiques économiques agissent sur l'économie et ce fai- sant affectent, selon les structures socio-économiques, la situation des différents groupes sociaux, doit permettre d'éclairer le débat (cf. J.P. Azam, G. Chambas, P. et S. Guillaumont, 1989). Pour une telle analyse, il est important d'identifier précisément la nature des politiques mises en oeuvre. En Afrique, la raison prin- cipale de leur diversité est l'hétérogénéité des régimes de change. C'est pourquoi il a paru utile de montrer que les conséquences socia- les des politiques d'ajustement structurel étaient fortement influen- cées par les choix opérés pour la fmation du taux de change et la réglementation des opérations de change. L'analyse est conduite en quatre sections. La première résume les buts et les implications de l'ajustement structurel, fondé sur 101

AJUSTEMENT ET EEFETS SOCLAUX

la variation du taux de change réel et l'amélioration de la produc- tivité. Dans la deuxième section, la diversité des régimes et des politiques de change en Afrique est ramenée

à trois grands types.

La troisième section analyse les implications sociales de la baisse du taux de change réel selon la politique de change, c'est-à-dire essentiellement selon que le pays a recours ou non

à la dévalua-

tion. La dernière section est consacrée aux conséquences sociales de la politique de change à travers ses effets sur la productivité.

Les objectifs de l'ajustement structurel

et ses imdications sociales L'ajustement structurel a pour but de réduire le déficit cou- rant sans sacrifier la croissance économique. Certes, face

à un pro-

fond déséquilibre de la balance des paiements courants, il est géné- ralement nécessaire de procéder d'abord

à une réduction de la

demande globale, politique dite de stabilisation, ce qui entraîne une moindre activité et donc inévitablement un coût social élevé. La stabilisation est d'autant plus nécessaire que l'inflation est dans le pays plus forte qu'a l'émanger. Mais pour que la stabilisation débou- che sur une reprise de la croissance sans accroissement du déficit extérieur, autrement dit pour passer à l'ajustement structurel, il faut que la structure de la production se modifie en faveur des biens susceptibles d'être exportés ou de se substituer

à des biens impor-

tés, autrement dit des biens qui font l'objet du commerce interna- tional ou biens internationaux (la majeure partie des biens agrico- les et industriels et une part notable des services : tourisme, ingé- nierie...). La politique d'ajustement structurel se caractérise préci- sément par la recherche d'une meilleure rentabilité de la produc- tion de ces biens. Cette meilleure rentabilité peut elle-même être obtenue de deux façons.

La baisse du taux de change réel

Elle peut l'être d'abord par l'accroissement du prix des biens internationaux par rapport

à celui des biens et des facteurs de pro-

duction domestiques, ceux qui ne font pas l'objet du commerce international (biens alimentaires consommés de façon seulement locale, certains produits de l'artisanat et part substantielle des ser- vices : commerce, transports intérieurs, eau, électricité, ainsi que le travail salarié...). Le prix des biens internationaux est déterminé sur les marchés extérieurs et s'exprime en monnaie locale en fonc- tion du taux de change et éventuellement d'un certain taux de pro- tection commerciale. Le prix des biens domestiques dépend quant 102

P. et S. GUILLAUMONT

à lui de l'offre et de la demande intérieures de ces biens. C'est donc l'évolution du prix des biens domestiques qui va déterminer celle des prix intérieurs par rapport

à celle des prix à l'étranger

pour un taux de change et un taux de protection commerciale don- nés; c'est pourquoi l'on considère, en supposant la protection inchangée, que le prix relatif des biens domestiques et des biens internationaux évolue dans le même sens que le rapport des indi- ces de prix dans le pays et

à l'étranger multiplié par l'indice du

taux de change effectif nominal (mesuré ici de façon

à exprimer

le prix de la monnaie nationale en devises). On appelle ce rapport taux de change effectif réel et une des premières modalités de l'ajus- tement structurel est la baisse du taux de change réel ainsi défini.

Les progrès de productivité

La seconde façon dont l'ajustement structurel peut être obtenu est l'accroissement de la productivité. Lorsqu'elle concerne les acti- vités de production des biens internationaux, elle en accroît direc- tement la rentabilité; si elle se réalise dans le secteur des biens domestiques, elle accroît la rentabilité de la production des biens internationaux dans la mesure où elle réduit le prix des biens dom&- tiques (Guillaumont

P. et S., 1991).

La première modalité d'ajustement structurel qui repose sur une modification des prix est plus facilement ou plus rapidement mise en oeuvre que la seconde qui suppose un accroissement de produc- tivité, c'est-à-dire un changement dans la gestion et les techniques de la production. C'est pourquoi elle est souvent considérée comme la principale forme d'ajustement structurel.

Si l'ajustement structurel

a par définition un aspect socialement favorable, puisqu'il vise la reprise de la croissance compromise par le déficit extérieur, ses deux modalités ont des implications socia- les différentes. En effet,

â productivité donnée, la baisse du taux

de change réel implique une modification dans la répartition des revenus. Ceux dont les revenus sont liés

à l'évolution du prix des

biens internationaux voient leur situation s'améliorer (exploitants paysans et chefs d'entreprises) au détriment de ceux dont les reve- nus dépendent du prix des biens domestiques (commerçants locaux, transporteurs...), ainsi que de ceux dont les revenus sont fEes (sala- riés), quel que soit leur secteur d'activité. Autrement dit, il s'agit souvent d'accroître le revenu rural par rapport au revenu urbain, ce qui va dans le sens d'une plus grande égalité, mais aussi d'accroî- tre les profits par rapport aux salaires.

L'accroissement de la productivité n'a

pas les mêmes effets sociauxJ puisqu'il permet d'accroître les revenus des exploitants .pay- sans et des entreprises dans le secteur des biens internationaux sans nécessairement diminuer la rémunération des salariés et les reve- 103

AJUSTEMENT ET EFFETS SOCIAUX

nus des entreprises du secteur domestique. Cependant, l'accroisse- ment de la productivité implique parfois une réduction des effec- tifs dont l'impact social est d'autant plus sensible que la reprise de la croissance et, par voie de conséquence, de l'emploi n'est pas immédiate. Au total, l'ajustement structurel par accroissement de produc- tivité est plus lent que celui réalisé grâce

à une baisse du taux de

change réel, mais il est aussi plus favorable au développement, puisqu'il implique une moindre réduction de la rémunération du travail. Les choix opérés en matière de politique de change ont des con- séquences sociales, car ils affectent

à la fois la façon dont la baisse

du taux de change réel est obtenue et l'importance relative de celle-ci et de l'amélioration de la productivité dans l'ajustement structurel. Trois politiques de change en vue de l'ajustement Les politiques de change menées en Afrique durant les années quatre-vingt sont très variées (1). Certains pays ont maintenu la parité de leur monnaie, d'autres ont opéré une ou plus souvent plusieurs dévaluations, d'autres enfin ont recouru

à un système de

détermination du taux de change par le marché (vente aux enchè- res ou marché interbancaire des devises). D'autre part les pays ont mis en oeuvre ces politiques en exerçant un contrôle plus ou moins strict des opérations de change en fonction des disponibilités en devises du pays : alors que certains pays ont maintenu la convertid bilité de leur monnaie, la majorité des pays africains a pratiqué un contrôle de change sévère, y compris sur les opérations cou- rantes ; il en est résulté un marché parallèle des devises, couvrant une partie plus ou moins importante des transactions. Ces dzérentes situations peuvent, pour les besoins de l'analyse,

être ramenées

à trois grands types de politique de change, qui sont illustrés par des expériences de pays africains qui ont paru parti- culièrement significatives.

Le cas classique de la dévaluation

Le premier cas est celui où le pays mène une politique de flexi- bilité de son taux de change nominal officiel et où ce taux est effec- tivement appliqué à l'essentiel des transactions avec l'étranger : autre- (1) On trouvera une présentation des dif- Erentes politiques de change de seize pays d'Afrique subsaharienne qui ont dévalué dans Ministère de la Coopération et du Dévelop- pement - Caisse centrale de coopératon éco- nomique (1988, vol. II et III), et dans Jac- quemot et Assidon (1989). 104
ment dit, le 'marché parallèle y est peu important, soit parce que le taux officiel permet d'équilibrer l'offre et la demande de devi- ses, soit parce que les opérations clandestines sont géographique- ment difficiles ou fortement réprimées. Ce cas est appelé ici clas- sique car il est celui auquel se réfère le plus souvent la théorie de l'ajustement, bien qu'il ne soit pas le cas le plus répandu en

Afrique.

Ce cas peut être illustré par la politique de change menée au

Kenya, au Malawi,

à Madagascar, à 1'Ile Maurice, ou au Zimbabwe. Considérons plus particulièrement l'exemple de Madagascar. En rai- son de l'insularité du pays, le marché parallèle n'y concernait qu'une partie des opérations commerciales. L'histoire de Madagascar est d'autant plus intéressante que ce pays, après avoir vu son taux de change s'apprécier de plus de 20

90, a mené depuis 1982 une poli-

tique très énergique de dépréciation du taux de change nominal, constituée à la fois de dévaluations discrétionnaires, de crawling peg (indexation du taux de change sur les prix) et en fin de période d'adaptation automatique du taux de change officiel aux conditions du marché.

De 1981

à 1988, le taux de change effectif nominal, pondéré par la structure des importations, a diminué dans la proportion de 81
%. Bien que la première dévaluation soit intervenue en 1982, le taux de change réel a continué à s'apprécier jusqu'à la fin de

1983 en raison de la pénurie de biens (liée elle-même au manque

de devises) face à d'amples encaisses monétaires oisives. Le déclin du taux de change réel commença en 1984 et sur l'ensemble de la période fÙt de 57 90. Ainsi le rapport entre la variation du taux de change effectif réel et celle du taux de change nominal (ou (( coef- ficient d'effectivité de la dévaluation )) (2)) a été de 70 Yo, avec une hausse des prix de l'ordre de 150

90 sur l'ensemble de la période,

soit un taux d'inflation annuel de 17

90 (cf. tableau 1).

Les autres pays comme le Kenya, le Malawi, Maurice ou le Zimbabwe ont dévalué leur monnaie alors même que le taux de change réel ne s'était pas apprécié par rapport au niveau de 1970. Leur besoin d'ajustement structurel résultait de la détérioration de leurs termes de l'échange, de l'alourdissement du service de la dette, et de la,volonté de libéraliser leur commerce extérieur. Ils ont déva- lué à plusieurs reprises (au total selon les pays de 40 à 56 90) et ont ainsi réduit le taux de change réel de 25

à 33 90 au prix d'une

inflation assez rapide, de l'ordre de 10

à 15 '%o par an pendant plu-

sieurs années. Dans ces pays, le coefficient d'effectivité de la déva- luation se situe entre

50 et 70 Yo.

(2) Selon me 'expression empruntée à

S. Edwards.

105

AJUSTEMENT ET EFFETS SOCIAUX

TABLEAU 1

VARIATION DES TAUX DE CHANGE EFFECTIFS NOMINAUX

AU SUD DU SAHARA AYANT MIS EN CEUVRE UNE POLITIQUE D'AJUSTEMENT STRUCTUREL

ET RÉELS ET INFLATION DANS LES PAYS AFRICAINS

3urundi

1983-1988)

Zentrafriq.

1980-1987)

Zongo

1986-1987)

Zôte-d'IV.

1980-1987)

3abon

1986-1987)

3ambie

1983-1987)

3hana

1982-1987)

hinée

1985-1988)

hin. Bissa

1983-1987)

(enya

1980-1988)

,iberia

1980-1987)

1984-1987)

1981-1987)

1979-1987)

1985-1987)

1982-1987)

1978-1988) Madagascar

Malawi

Mali

Maurice Niveau de

TCER lase 1970

IO) au débu

e la périodt l'ajustement (1) 142
110
96
125
122
99
1 o11 74
91
83
113
(1982) 120
86
101
86

94 Variation du

TCEN pendant la période d'ajustement (2) Yo - 52 - 10 - 0,8 - 12 t 0,l - 69 - 99 - 96 - 93 - 56 t 9,2 - 25 - 70 - 40 - 37 - 5,5 - 40 Jariation du TCER pendant la période l'ajustement (3) Yo - 44 t 14 - 0,3 - 17 - 2,7 - 27 - 92 nd - 66 - 33 + 0,5 - 26 - 57 - 14 - 26 - 15 - 26 apport de 1 lariation du KER

à la

lariation du TCEN (4) 485
438
1,42 0,39 0,93 nd 0,71 0,59 0,05 1,04 0,70 435
0,70 573

0,65 Taux d'dation pendant

la période d'ajustement global (5) t 35 + 77 +2 + 48 - 0,9 t 180 + 498 t 581 t 121 t 28 t.8 t 151 t 214 t 43 + 23 + 180

Yo annuel

moyen (6) + 6,2 t 10,3 t 2,2 t 4,4 - 0.9 -t 29,3 t 43 t 61 -t 10,4 -t 3,6 t 2,6 t 17 -t 15,4 t 19,4 t 4,3 t 148 106

P. et S. GUILLAUMONT

Mauritanie

Niger

Nigeria (1984-1987)

(1981-1987) (1984-1988) (1985-1988) (1981-1988) (1975-1987) (1979-1987) (1982-1987) (1984-1987) (1981-1987) (1978-1988) (1982-1987) (1985-1987) (1977-1987) (1978-1987) (1982-1987)quotesdbs_dbs29.pdfusesText_35
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