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Cette thèse est consacrée à une étude didactique de l’enseignement de l’arithmétique en France au collège et à la transition entre le collège et le lycée Plus particulièrement elle vise à l’étude didactique des différentes questions relatives aux nombres entiers c à d
Marie-Pierre GalissonTo cite this version:
Marie-Pierre Galisson. Evolution de l'arithmetique dans les plans d'etudes des futurs insti- tuteurs : analyse ecologique et historique.. Histoire et perspectives sur les mathematiques [math.HO]. Universite Paris VII Denis Diderot, 2004. Francais.HAL Id: tel-01274196
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DENIS DIDEROT
THESE DE DOCTORAT
Spécialité : Didactique des MathématiquesPrésentée par Marie-Pierre GALISSON
analyse écologique et historique.Thèse soutenue le 11 décembre 2004
Jury :
Michèle ARTIGUE (présidente)
Teresa ASSUDE (directeur de recherche)
Yves CHEVALLARD (rapporteur)
Hélène GISPERT (examinateur)
Alain MERCIER (rapporteur)
II. Présentation de la question, p. 1.
A. Un premier éclairage sur la structure et les fonctions des IUFM ; de B. A la recherche des " connaissances " mathématiques présentes dans les plans de formation des IUFM : les épreuves du concours de recrutement, un outil des questions que celle-ci peut susciter, p. 11.II. Le fil conducteur, p. 23.
A. Le choix des objets étudiés, p. 23.
B. Le découpage historique, p. 26.
III. Cadre théorique et méthodologie, p. 30.A. Le support de notre étude, p. 30.
B. Eléments théoriques et méthodologiques, p. 32.B. 1. Premiers éléments, p. 32.
B. 2. Eclairage sur quelques éléments méthodologiques et complément théoriques, p. 36. C. Du choix des déterminations dont nous postulons que procèdent la viabilité 45.II
PARTIE A
forte pertinence culturelle dans les plans de formation des écoles normales au début du20ème siècle. (p.54-198)
de la doctrine normale, p. 55, 61. en 1889, p.61-74. générales (p.61). iUn caractère encyclopédique, p.62. iUn caractère homologique, p.62. du savoir, p. 66. p.74. enseignement masculin et féminin : convergences et différences, p. 75 III iDes effets produits par la réorganisation du cadre temporel sur le p. 81. finalités officielles, p. 85. primaire, p. 91. désormais D.P.), p. 94-166.3. 1. Un outil de formation, un guide des pratiques, le dépositaire des textes de
prépondérante dan un domaine mathématique " tentaculaire » ; programmes, finalités, méthodes : continuité apparente et anticipation des programmes, finalités, méthodes à venir, p. 108. 113.iLes contraintes et conditions générales assurant la légitime en particulier, p. 116. iDes programmes et méthodes dont la légitimité institutionnelle
3. 3. 2. Conclusion : de la pertinence institutionnelle du programme
IV3. 4. Des organisations mathématiques dans la deuxième partie du D.P. :
programme officieux déjà existant, celui des brevets de capacité, p. 124. iLes " leçons » sur la numération et les diviseurs, p. 128. programmes officiels, p. 138. déjà anciens, p. 157. p. 164. doctrine, p.172- 181.Conclusion de la première partie, p. 192-197.
VPARTIE B
± De la période révolutionnaire à la fin de la Restauration, p. 198- 2991. 2. Le plan Condorcet. P. 207
élémentaire " scolaire » dont le seul habitat légitime est le manuel. p. 207 déterminante des mathématiques sociales. p. 213. 216sûrement et avec facilité. p. 219 220
1. 2.3. B. Un manuel novateur. p. 225.
1. 2.3. C. Le programme du manuel élémentaire : définition et
interprétation personnelle de la méthode analytique. p. 2381. 2.3. E. Quelques éléments de synthèse sur les contraintes qui
publique pour Condorcet ; comment ces mêmes contraintes, réinterprétés par VI Académicien) dont procède la ré-intronisation dans la sphère des savants " officiels ». p 251 265p. 284 292
VII La Monarchie de Juillet et la Seconde République : de la loi Guizot à la loi Falloux, p 305- 382. dans la formation (culture générale, culture et pratique professionnelles), p. 306.
écoles normales, p. 309
p. 3092. 2. 2. Règlement concernant les écoles normales primaires, p. 310.
scindé en deux degrés, p. 317.2. 5. A. La responsabilisation des acteurs du système : la transmission
329.enseignés et les conditions d'émergence du temps scolaire ; la pénétration du primaires : état des lieux et perspectives, p. 342.
2. 6. Un éclairage sur les conditions de vie des écoles normales primaires, à partir
VIII2. 7. C. Les vicissitudes des programmes des écoles normales : entre
contraintes idéologiques et obstacles pédagogiques ; le devenir du programme2. 7. D. Les écoles normales primaires : bilan et perspectives, p.365
primaire, p. 367. revendiqués par la commission Falloux, p. 368.2. 8. B. La loi Falloux, p.370.
2. 8. C. Le règlement des Ecoles normales primaires : des moyens de
conséquences induites, p. 372.2. 10. Bilan et perspectives, p. 379.
IXLe Second Empire, p. 383 ± 445
3. 1. Entre le sabre et le goupillon, une politique scolaire qui finit par
primaire éducative et utilitaire, p. 387.3. 1. C. Le ministère de Duruy : la régénérescence du système
avril 1867, p. 391. iPetite Arithmétique des écoles primaires, par Villemereux, p. 404. maîtres, p. 416. utilitaire, p. 234. spécial : 6 avril 1866, p. 424. X Les débuts de la IIIème République, p. 446 ± 496. p. 4464. 3. Des conditions de survie des écoles normales, pendant les premières
années de la République, p. 452. leur reconquête de la Chambre des députés : vers la loi du 1er janvier 1879 sur lesEcoles normales primaires, p. 454.
4. 5. De la régularisation du temps du savoir : pénétration de la méthode
concentrique dans les écoles primaires et " variabilité » du temps didactique dans lesécoles normales primaires, p. 456.
" normal », p. 467. enseigner ; des possibles à venir et perspectives, p. 467. XIPARTIE C
spécifique aux futurs instituteurs : influences croisées de la politique scolaire officielle 582secondaire (1902) : une possible accélération du mouvement amorcé dès 1881 pour
1. 1. A. Positivistes contre industrialistes, p. 498.
avancée algébrique, p. 505. nouvel éclairage sur les savoir faire évalués ; une élévation des exigences qui1. 3. Des effets produits par la méthode concentrique et des transformations
1923, p. 528.
1. 5. Des effets de la méthode progressive : une nouvelle forme de
double cursus (culture générale, formation professionnelle), p. 562. instituts de formation professionnels, p. 564.1. 6. 3. La réorganisation des écoles normales primaires après 1944, p.
569.XII nouvelle du fonctionnement social du savoir enseigné sur la formation initiale des maîtres, p. 582-720.
2. 1. Les acteurs de la réforme et les principes qui fondent sa forte légitimité, p.
583.2. 2. De la mise en place de la réforme : des conditions qui en (dé)règlent le
processus, p. 597. réforme sur les conditions de faisabilité, p. 597.2. 2. B. Conditions et contraintes générées par le contexte institutionnel
et politique, p. 600.2. 2. D. La rénovation des écoles normales, p. 606.
usage, p. 613.2. 3. A. Les finalités affichées : un éclairage sur les besoins des
instituteurs, définis par les promoteurs de la réforme, p. 613.2. 3. B. Le programme de la Commission Lichnerowicz, p. 616.
2. 3. B. 1. Le cadre temporel et les instituteurs, p. 617.
2. 3. B. 2. Traités de référence et manuels en usage, p. 618.
élémentaire, OCDL, p. 631.
3) Z.P. Dienes (1965), La Mathématique moderne dans
2. 3. C. La formation générale dans les écoles normales, p. 660.
2. 3. D. Le plan des études pour la formation des instituteurs et
institutrices dans les écoles normales : entre culture arithmétique traditionnelle XIII et culture mathématique innovante : une institution en recherche de légitimité culturelle, p. 673.2. 3. E. La rénovation des écoles primaires : la réorganisation
temporelle ; le programme de 1970, p. 678.2. 3. F. Le savoir enseigné dans les écoles normales, p. 688.
destination des futurs maîtres, p. 689.1) Ch. Cranney, G. Perrot, Mathématiques et apprentissage du
p. 689.2) A. Thirioux, L. Sanchez, A. Chapeau, formation initiale et
p. 703. mobilisation des formateurs dans la "Recherche-Action » ; le groupeERMEL, p. 710.
3. ± " La contre-réforme » et sa suite, p. 720.
niveau mathématique, p. 7393. 2. A. Fragments de vie : vers une réorganisation de la formation des
instituteurs, p. 739.3. 2. B. La réorganisation des écoles normales : Arrêté du 25 juin 1979 ;
Circulaire du 26 juin 1979 ; Arrêté du 13 juillet 1979, p. 743. théorie-pratique dans une institution où se multiplient les plans de formation, p. 752.Conclusion de cette partie, p. 770.
Conclusion, p. 780- 791
, p. 792- 800Annexes, p. 1-45.
XIV XVI. Présentation de la question, p. 1.
A. Un premier éclairage sur la structure et les fonctions des IUFM ; de B. A la recherche des " connaissances " mathématiques présentes dans les plans de formation des IUFM : les épreuves du concours de recrutement, un outil des questions que celle-ci peut susciter, p. 11.II. Le fil conducteur, p. 23.
A. Le choix des objets étudiés, p. 23.
B. Le découpage historique, p. 26.
III. Cadre théorique et méthodologie, p. 30.A. Le support de notre étude, p. 30.
B. Eléments théoriques et méthodologiques, p. 32.B. 1. Premiers éléments, p. 32.
B. 2. Eclairage sur quelques éléments méthodologiques et complément théoriques, p. 36. C. Du choix des déterminations dont nous postulons que procèdent la viabilité 45.XVI des besoins théorico- professionnels des futurs maîtres échappent en partie aux deux niveaux de détermination précédemment cités, et consacrent, en ce qui concerne
légitimité culturelle des deux activités traditionnellement mathématiques, le calcul (sous
toutes ses formes), la résolution de problèmes (pratiques ou " spéculatifs) fournit, quel pédagogique puis didactique (période contemporaine) qui marque profondément la le caractère opératoire du modèle de formation, en ce qui concerne plus généralement politique éducative sont clairement énoncés, les moyens institutionnels pour les couvrir officiellement établis. Le contexte actuel, comme les contextes historiques brièvement analysés, mettent donc Minimum de Culture Mathématique et Professionnelle requis pour préserver le noyau dur de la culture mathématique scolaire primaire. 1INTRODUCTION
I.Présentation de la question :
II. irréductible, un intérêt particulier.scolaire conforme désormais aux enjeux sociaux et éducatifs définis par la société. Quelle
incidence les décisions dictées par ces " nouvelles orientations » pourront-elles avoir sur ces institutions ? La question esWHQFRUHRXYHUWH"/DUpSRQVHRXYULUDXQQRXYHDXFKDPSde conjectures : les déterminations liées à ces " nouvelles orientations » vont-elles,
cours du temps ? Quelle incidence, cette conformité, variable sensible du temps de lade notre étude. En effet, si le contexte initial de notre travail semble protégé des zones de
turbulences actuelles, ce sont les conditions de vie des plans de formation des futurs problématique. Présentons dès lors le cheminement quelque peu buissonnier qui nous a conduit à Dans un premier temps, ce sont dans les orientations officielles que nous cherchons modalités par lesquelles celle-ci définit les connaissances requises pour devenir 2 I. A. Un premier éclairage sur la structure et les fonctions des IUFM : denous découvrons une institution de caractère universitaire qui semble à ce titre détentrice
du rapport Bancel ne stipule-t-il pas (chapitre II, paragraphe 7 ± les formateurs) : Universitaires de formation des maîtres. Amenés à collaborer et à dialoguer constamment avec les universités, les IUFM doivent être, pour ces dernières, des partenaires clairement identifiables ». Si la rupture est consommée entre la formation " normale » et celle qui doit lui valeurs communes ne sont pas sans évoquer une certaine tradition " normale ». Inévitable se pose dès lors la question de la définition de cette culture, de ces valeurs communes. nature de ces éléments, mais les modalités de leur émergence : est rendue indispensable par la complexité des dispositifs de formation. Ceux qui en feront partie devront avoir les compétences nécessaires pour gérer une organisation trèscomplexe où coexisteront des publics et des formateurs hétérogènes, où les lieux de
formation (établissements scolaires, universités, entreprises,..) seront disséminés, où les
SURÓHPV GH IRUPMPLRQ VHURQP LQGLYLGXMOLVpV HP RZ"LO IMXGUM VMYRLU LQQRYHU IMLUH SUHXYH 3 la définition de ses activités ». Dans ce dispositif tentaculaire offrant a priori une ODUJHPDUJHGHPDQ°XYUHDX[caractéristiques doivent-ils satisfaire pour répondre à la mission qui leur est dévolue ? Le
rédacteur du rapport nous éclaire sur ce point (paragraphe 7 déjà cité) : caractère professionnel doit se marquer par le fait que le formateur a, lui-même, un projet seront amenés à suivre une formation pratique. En outre, il doit être capable, en plus deactivité. Enfin, il doit être prêt à travailler en équipe pour préparer ses actions et accepter
" domaine circonscrit », ils doivent satisfaire à des " enjeux politiques et sociaux »
discernables ? Si nous nous permettons ce détour apparent pour souligner les caractères conception nouvelle de la formation des maîtres. La personnalité du formateur, chercheur,praticien, être de réflexion, soucieux des enjeux sociaux et politiques de son activité,
rapport), qui doivent marquer de leur empreinte les futurs enseignants, et doter 4 passage préparé depuis un temps certain ? Quelle que soit la nature de la " conversion » nécessaire, la nouvelle institution compte parmi ses sujets la cohorte des anciens sujets des écoles normales primaires et pour cette raison, elle ne peut renier un héritage culturel que connaissances requises pour devenir instituteur et sur lesquelles le rapport se montre particulièrement elliptique ? En effet, si novices, nous découvrons à travers ces injonctions officielles le serment désormais, pour dissiper cette opacité, identifier les savoirs et savoir faire requis pour devenir instituteur. Ces termes sont apparemment désuets, voire hérétiques. Le rapport Bancel, sous untitre significatif " Créer une nouvelle dynamique de la formation des maîtres » définit les
" nouveaux enjeux » de la formation. Le chapitre I, " Quelles compétences professionnelles faire acquérir et quels contenus enseigner ? » présente en préliminaireétablissements où ils seront affectés ». Trois pôles de compétences, délimitant " les
x Le premier pôle est constitué par les connaissances relatives aux identités disciplinaires (savoir à enseigner, histoire, épistémologie et enjeux sociaux des différentes disciplines) ; x Le deuxième pôle est constitué par les connaissances relatives à la gestion des apprentissages (didactiques et pédagogiques) ; x Le troisième pôle est constitué par les connaissances relatives au système éducatif (politique éducative nationale, structures et fonctionnement de HWFquotesdbs_dbs23.pdfusesText_29[PDF] Cours d 'arithmétique - Association Animath
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