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Le travail

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La conception du travail dans la Bible et dans la tradition chrétienne

Dans la première partie de cette étude nous essaierons donc de montrer comment cette ambivalence à l'égard du travail se retrouve déjà dans les textes bibliques 



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La conception du travail dans la Bible et dans la tradition chrétienne

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La conception du travail dans la Bible et dans la tradition chrétienne

12 fév. 2017 conception du travail dans la Bible à partir d'une étude du vocabulaire ... l'égard du travail se retrouve déjà dans les textes bibliques.



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le système verbal de l'hébreu biblique ou en tout cas son emploi dans le texte peut révéler le thème et la structure des paragraphes.



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Nous savons qu'à travers la Bible Dieu parle du travail comme il le fait de même de la vie de famille ou de la vie d'Eglise par exemple



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2 jui 2018 · travail est une malédiction ou du moins que l'on travaille seulement par une nécessité que l'on subit péniblement est largement répandue

  • Qu'est-ce que la Bible dit sur le travail ?

    En lui confiant les richesses de sa création, Dieu charge l'être humain d'une grande responsabilité : celle de l'élaboration et de la conservation de ces biens. Ainsi, en Israël, l'être humain est créé «travailleur». Le travail fait partie de sa condition humaine et ne présente aucune connotation négative.
  • Quel verset biblique parle du travail ?

    Le Seigneur a dit à Adam : « C'est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain » (Genèse 3:19). Adam et Ève ont travaillé aux champs afin de subvenir à leurs besoins et à ceux de leurs enfants (voir Moïse 5:1). Le Seigneur a dit au peuple d'Israël : « Tu travailleras six jours » (Exode 20:9).
  • Pourquoi le travail est une bénédiction ?

    Le travail n'est pas seulement une question de besoin économique, c'est aussi une nécessité spirituelle. En ces temps économiquement troublés, travailler est certainement l'un des commandements pour lesquels le Seigneur est disposé à nous aider.
  • Le livre de Job relate l'histoire d'un homme juste qui réagit avec fidélité à des épreuves difficiles. L'expérience de Job nous invite à méditer sur des questions délicates sur les causes de la souffrance, la fragilité de l'existence humaine et les raisons de faire confiance à Dieu, même lorsque la vie paraît injuste.
1

MEDECINE DE LA PERSONNE

Drübeck (D), août 2004

Etude biblique sur le thème : " Travail - Identité - Santé »

Madame Ute Günther

Une femme au chômage écrit la lettre suivante : " Lorsque je me lève à 9h30, je fais une

toilette sérieuse, je prends tranquillement mon petit-déjeuner, je jette un coup d'oeil au journal.

Qu'y a-t-il à faire ? Mes anciens collègues de travail se réjouissent déjà d'avoir leur pause de

midi. Je ne sais pas comment tuer le temps ; traîner inutilement dans un fauteuil, se promener,

chercher du travail. Le courrier arrive, candidature refusée, pas d'avenir, sans travail, vie sans

aucun sens, dépression ».

Un autre dénonce le travail dans une dure société de marché : constante surcharge de travail,

harcèlement. La colère doit être ravalée afin que le poste de travail ne soit pas mis en danger ;

on commence à remarquer des perturbations sur le plan de la santé.

Deux situations extrêmes sont ici décrites. Travail et chômage peuvent être vécus de manière

perturbante. La question est justifiée : quel sens donner au travail ? La Bible donne une

indication. Le travail permet à l'Homme de vivre. En même temps, il est béni de Dieu " Tu te

nourris du labeur de tes mains, Heureux es-tu ! A toi le bonheur !», comme il est dit dans le Psaume 128, verset 2. A l'aide de son travail, l'Homme gagne " son pain quotidien ». Ce n'est

que par le travail que l'identité humaine est possible. C'est très net dans Genèse 1 et 2. En tant

que créé à l'image de Dieu, l'Homme prend part à la souveraineté de Dieu sur le monde. Du

travail de ses mains, il doit, à la demande de Dieu, organiser le monde de manière responsable. A l'origine, le travail sert aussi à donner une raison d'être personnelle à l'Homme. En même temps, le travail est aussi ressenti comme une charge et une obligation. Cette situation est aujourd'hui renforcée par la technicisation et la rationalisation du monde moderne du travail. La relation personnelle au travail peut ainsi se perdre, elle est souvent vécue comme n'ayant aucun sens. Dans cette réflexion, comment la Bible peut-elle nous aider et nous donner des stimulations valables ? Dans Luc 10, 38-42, on parle des deux soeurs, Marthe et Marie. Jésus se rend chez elles et elles lui offrent l'hospitalité. Tandis que Marthe s'occupe des questions d'intendance afin que leur hôte se sente bien, Marie est assise aux pieds de Jésus. Elle se prend du temps pour lui, elle l'écoute. La personne, le mystère de ses paroles, sont pour elle plus importants que les

obligations d'une bonne hôtesse. Marie est sensible au mystère de l'hôte. Jésus lui donne

raison contre le reproche de sa soeur : " Une chose est nécessaire. C'est bien Marie qui a

choisi la meilleure part ; elle ne lui sera pas enlevée ». Prise par toutes ses préoccupations et

ses efforts, Marthe ne remarque même pas qu'elle fait une erreur. S'est-elle tellement laissée mettre sous pression par son sens des obligations, son engagement, que son occupation ne lui

a laissé aucun temps pour écouter, pour se mettre au calme ? Dans son évangile, Luc décrit

Jésus comme le Promeneur divin qui vient chez nous, étranger, qui toujours et à nouveau se rend chez les Hommes, mange et boit avec eux et leur offre l'amour et la bonté de Dieu. 2 Dans nos temps agités, les Hommes ont besoin - avec toutes leurs charges - toujours et à nouveau d'un endroit où ils peuvent reprendre leur souffle et être tels qu'ils sont. C'est pourquoi beaucoup de gens se prévoient aujourd'hui dans leur quotidien de travail exigeant, des moments de silence. Même dans le récit concernant le publicain Zachée il s'agit d'une rencontre avec des conséquences sur le travail. L'inspecteur Zachée, mal aimé des Juifs, est rejeté de la communauté des croyants parce qu'il travaille avec les occupants romains. Il est un trompeur

et en tant que pécheur il est isolé de la population de Jéricho. La richesse et le pouvoir avaient

été le but de son travail. Il était de petite taille. Peut-être faisait-il un complexe d'infériorité et

essayait de compenser en accumulant toujours plus d'argent. Mais cela n'a pas rompu le

cercle vicieux d'infériorité, crâner et être rejeté, au contraire, il a été renforcé. Plus Zachée

gagnait d'argent, plus il était détesté et méprisé. Et il entend que Jésus vient à Jéricho. Il sent

monter en lui une forte envie de voir ce Jésus. Le petit homme grimpe donc dans un mûrier.

Cet arbre était considéré par les Juifs comme sans valeur. On en faisait si peu de cas qu'on

considérait même déshonorant de le toucher. Zachée laisse tomber son masque et montre à

tous son être vrai : le petit et le méprisé qui essayait de compenser par l'argent. Lorsque Jésus

voit Zachée, il s'invite chez lui. Le Messie se rend chez un pécheur. Les pieux ne peuvent pas

le comprendre. Jésus accepte Zachée comme il est. Il ne lui fait aucun reproche, au contraire il

l'invite à partager son repas. Cette acceptation sans condition change Zachée. Maintenant il

fait honte aux pieux qui l'avaient rejeté et jugé jusque là. " Maître, je veux donner la moitié

de mes biens aux pauvres et si j'ai demandé trop d'argent à quelqu'un, je lui rendrai quatre fois plus ». Zachée est à nouveau considéré comme un être humain. Comme Zachée, chacun aspire à ce que sa personne soit considérée. Pour cela, certains prennent de fausses routes. Reconnaissance, identité personnelle ne sont pas le résultat du travail ou du dépassement de soi, d'une mauvaise utilisation du pouvoir, mais seulement d'un intérêt pour notre prochain dans le sens donné par Jésus. Dans mon travail pédagogique je pense à un cours d'une école d'auxiliaires médicaux. Un

groupe peu intéressé était assis devant moi ; beaucoup d'entre eux étaient frustrés parce qu'au

chômage. Comment pouvais-je arriver à un résultat ? J'ai de plus en plus prié pour cette

situation et j'ai essayé de me mettre à leur place. De façon surprenante, j'ai vécu comment la

glace s'est rompue, comment ils se sont ouverts et comment la confiance est née. Ce n'était pas le mérite de ma méthode, bien que du travail en ait naturellement fait partie. Je me suis efforcée de stimuler les participants aux cours et de faire ressortir le bon en eux. C'est ce qui donne du sens à mon travail.

Le récit de Luc 5, 1-10 nous mène au lac de Génésareth chez les pêcheurs. Jésus prêche et

donne ensuite des consignes de travail très nettes : sortez jusqu'au milieu du lac et lancez vos

filets. Simon répond : " Maître, nous avons peiné toute la nuit sans rien prendre ; mais, sur ta

parole, je vais jeter les filets ». Simon a le courage de faire confiance, de suivre cet ordre incompréhensible. Jamais les pêcheurs n'auraient pu espérer prendre quelque chose au milieu du lac pendant la journée. Mais l'extraordinaire se passe, les filets sont pleins et d'autres pêcheurs doivent venir pour aider. Ce qu'on ne peut pas comprendre par la logique,

s'accomplit par la confiance, l'obéissance des pêcheurs. Cette rencontre conduit de plus à une

3 totale transformation dans le service de ceux qui suivent Jésus. Simon n'hésite pas à abandonner son travail habituel et à suivre l'ordre de Jésus sans demander de salaire. Cette question devient importante en comparaison avec Matthieu 20, 1-15 : Les ouvriers dans la vigne. Le maître cherche des ouvriers et offre un certain salaire journalier. Plusieurs fois dans la

journée, on cherche des ouvriers pour travailler dans la vigne. Le soir, chacun reçoit son dû.

Chacun reçoit le même montant. Ce qui crée mauvaise humeur, jalousie et mécontentement. Nous les Hommes, nous sommes vite mécontents et jaloux. Jésus connaît notre coeur. Il rappelle sa gentillesse et sa bonté, qui sont pour tous. Devant Dieu, nous n'avons pas un droit à un salaire, mais nous avons sa promesse d'une récompense. Quel est le défi en ce qui concerne notre santé ? La médecine grecque considérait de son devoir principal d'enseigner un mode de vie sain. La santé du corps représentait pour les

Grecs la continuation naturelle de la vie intellectuelle et spirituelle. L'activité du médecin était

comparée à celle d'un barreur qui dirige d'une main sûre le bateau humain à travers les dangers de la vie. Ce n'est que si nous ne suivons pas ses règles qu'il doit soigner la maladie

grâce à son art. Santé signifie consensus du corps avec un mode de vie adapté à la nature. La

maladie apparaît s'il y a comportement contraire à la nature. D'après Hippocrate l'Homme ne doit pas seulement prendre en compte son corps, mais aussi son environnement, s'il veut vivre

en bonne santé. Nous devons toujours considérer l'unité entre le corps et l'âme. Font partie de

comportements sains, l'alternance de mouvement et de repos, de travail et de loisirs. Saint

Benoît a repris ce principe dans ses Règles et en a fait la base de son enseignement spirituel.

" Ora et labora », l'ensemble spirituel de la prière et du travail est devenu la marque de la vie

bénédictine. Elle garde toujours en vue la dimension thérapeutique de la foi. La spiritualité ne

concerne jamais seulement l'âme et l'esprit mais elle concerne toujours l'Homme dans sa

totalité. Saint Benoît voulait laisser de la place au salut donné par Jésus Christ dans un modèle

de vie dans lequel la santé du corps et celle de l'âme agissent de la même manière. La

recherche médicale a montré que l'emploi du temps des bénédictins correspond au biorythme

naturel. Cet emploi du temps a aussi un effet thérapeutique sur nous et nous rend plus performant. Un mode de vie sain correspond à un bon partage du temps mais aussi à la

manière dont nous accomplissons les choses essentielles de la journée. Il laisse grandir la vie

spirituelle et a un effet guérisseur sur le corps et l'âme. Un facteur de risque déterminant aujourd'hui est très certainement le manque de mesure. Celui-ci ne se montre pas seulement dans l'utilisation démesurée d'énergie qui menace la

création, dans la consommation démesurée qui entraîne de très nombreuses maladies, dans la

démesure du travail qui engendre un stress permanent, mais aussi dans l'aspiration à la

perfection, à une sécurité absolue, à une prise en charge absolue des besoins, une garantie

absolue de santé et d'une maîtrise réussie de sa vie. Que nous atteignions des limites ressort

bien des discussions politiques sur la réforme des questions de santé publique et des retraites.

Dans la démesure, l'Homme se surmène. Il perd le sens de ses limites et d'une saine estimation de soi. Il en sort le mythe du superman, qui est toujours en pleine forme et fonctionne toujours. Pour cette solution fictive, l'Homme paye souvent d'un effondrement 4

total, un signe qu'il ne doit pas dépasser ses limites sans en être puni. Dans la Règle de Saint

Benoît on attire l'attention sur la bonne mesure. C'est très important pour notre époque, pour

prévenir les maladies psychosomatiques. Nous ne devons pas être parfaits. D'autres facteurs de risque sont le manque de tenue et l'instabilité. Qui vit sans règles

externes, tombe aussi dans un désordre intérieur. Qui ne connaît plus de rituels, qui se laisse

aller en fonction de ses envies et de son humeur, se délite intérieurement. L'instabilité se

remarque souvent à un laisser-aller. Saint-Benoît oppose une forme saine de discipline intérieure. Un manque de tenue est souvent accompagné d'un manque de traditions. On vit

comme si on n'avait plus de racine et rien ne peut donc " pousser ». D'être lié à une saine

tradition est déterminant pour trouver une saine identité. Sans racine, un arbre se dessèche, un

homme dépérit. La perte d'une saine tradition conduit à une crise du sens. Viktor Frankl la décrit ainsi : " Le patient type d'aujourd'hui souffre d'un sentiment de manque de sens insondable, ayant le sentiment que son être n'a pas de sens ». A ceci, Saint-Benoît oppose la spiritualité de la foi. Dieu nous regarde et nous parle, Dieu nous invite à vivre : notre vie n'est jamais sans sens. Nous faisons l'expérience de la vie et

n'avons plus à nous poser la question du sens. La foi est le meilleur remède contre la crise de

sens.

A ceci s'ajoute de façon essentielle le vécu de l'année liturgique avec ses différentes fêtes.

L'Homme rompt sciemment son quotidien par les fêtes afin de pouvoir à nouveau le maîtriser.

Une fête le rattache à ses racines qui le font vivre. C'est ainsi que de célébrer les fêtes est

essentiel pour la vie. Cela nous donne la force dont nous avons besoin pour maîtriser la vie.

L'année liturgique est un cycle de la vie divine. Elle nous offre la possibilité de déployer son

influence guérissante dans tous les domaines de notre quotidien. Travail - Identité - Santé sont liés les uns aux autres. Comment est-ce que je me situe par rapport à mon travail ? Comment est-ce que je

m'identifie à lui ? Que ce soit de manière positive ou négative, il m'influence et donne forme

à ma vie et a des répercussions sur ma santé. Ces stimulations nous ont peut-être encouragés à

y réfléchir de façon nouvelle.

Traduction : Marie-Madeleine Linck

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