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La fonction restart permet de réinitialiser toutes les variables de la feuille de calcul > restart; var est une variable assignée dont la valeur est 3 :

  • Qu'est-ce qu'une fonction dans Maple ?

    Maple peut calculer la dérivée (ou les dérivées partielles) d'une fonction, avec l'instruction diff , qui s'utilise ainsi : diff(nom_de_la_fonction, variable); (dérivée de la fonction par rapport à variable ) ce qui affiche respectivement 2cos(2x + y) et cos(2x + y) . diff(f(x,y), x) est une fonction.
  • Comment résoudre une équation sur Maple ?

    Pour résoudre un système d'équations, on utilise la commande solve avec la syntaxe : solve({equations}, {variables}) Maple retourne les solutions sous la forme {variable1=expression1, variable2=expression2,}. Exemple : le système {x+y+z=4, x+y-z=1, x-y-z=-3}.
  • Dans Maple, vous pouvez déclarer des variables en tant que local ou global . Toute variable dans une procédure qui n'est pas explicitement déclarée locale ou globale est automatiquement déclarée locale si : La variable apparaît sur le côté gauche d'une instruction d'affectation ( := ). La variable est utilisée comme index d'une instruction for ou seq.
R Rééssuumméé ddeess ffoonnccttiioonnss ddee MMaappllee

SSPPÉÉ MMPP 1

NicolasCHIREUX Page 1 sur 17 A)GENERALITES:

I) ARCHITECTURE GENERALE DE MAPLE:

MAPLE est un

logiciel de calcul formel fonctionnant autour d'un noyau central effectuant les calculs. Des bibliothèques contenant les fonctions les plus couramment utilisées sont ouvertes au démarrage.

Si l'on désire

utiliser d'autres bibliothè- ques plus spécifiques, il faudra les charger préala- blement par l'instruction: with(nom de bibliothèque); Maple possède 2500 fonctions intégrées recouvrant de nombreux domaines mathé- matiques. L'aide -représentant de l'ordre de 500 pages- peut être appelée à tout moment de diverses manières: -par la touche F1, on a accès au browser -"fouineur"-: par choix successifs de sujets de plus en plus précis,on arrive au sujet cherché. On l'utilise quand le nom de la fonction cherchée n'est pas connu. -par ?nom de fonction, on accède directement aux pages d'aide concernant la fonc- tion spécifiée.

II) FONCTIONNEMENT DE MAPLE:

1) généralités:

MAPLE travaille à partir du langage LISP - pour List Processing-. Il manipule donc des objets qui sont des listes: -lors de l'entrée, l'utilisateur fournit une liste -lors de l'évaluation, Maple modifie cette liste -lors de l'affichage, Maple retourne à l'utilisateur la liste modifiée en guise de résultat. exemple d'entrée: l'expression x+cos(y*z); sera traduite sous la forme [opéra- teur,opérandes] soit [+,x,[cos,[*,y,z]]] afin d'être traitée. On pourrait aussi choisir une représentation arborescente et visualiser l'expression par yzx+ cos exemple d'évaluation: pour évaluer la dérivée d'un produit D(f*g); Maple traduira l'expression par [D,[*,f,g]] puis va la transformer en: [+,[*,[D,f],g],[*,f,[D,g]]]

Si on choisit une représentation arborescente:

sera transformé dans un premier temps en :

Le traitement de l'expression peut

alors se poursuivre puisqu'on est ramené au calcul d'une dérivée simple.

2) aspect pratique:

On peut imaginer le fonctionnement de Maple comme une boucle sans fin: -affichage du prompt > -saisie d'une expression -évaluation et simplification de l'expression -affichage du résultat si la commande se termine par ";" ou non affichage si la commande se termine par ":". NOYAU CENTRAL +STANDART LIB +200 FONCTIONS
+LIB MISCSTUDENTLINALG

PLOTS...

fgD* gD f* fD g* R Rééssuumméé ddeess ffoonnccttiioonnss ddee MMaappllee

SSPPÉÉ MMPP 2

NicolasCHIREUX Page 2 sur 17 On parle de boucle TOP-LEVEL. On peut taper plusieurs commandes à évaluer successivement sur un même ligne séparées par des ";" ou ":".Les réponses seront affichées à la suite. On peut écrire sur plusieurs lignes des instructions de commandes -si l'on sou- haite par exemple écrire une procédure- sans évaluation intermédiaire en tapant "MAJ+ENTRÉE". Une même commande peut être découpée sur plusieurs lignes avec le "\",les mor- ceaux seront recollés par Maple avant évaluation - c'est juste un artifice de présentation. On peut rappeler les trois dernières expressions évaluées -dans le déroulement chronologique- sans les retaper avec le " pour la dernière,"" pour l'avant dernière et """ pour l'antépénultième.

3) déroulement d'une évaluation:

Maple mémorise toutes les évaluations qu'il fait dans l'ordre chronologique. Cet ordre diffère parfois de l'ordre d'écriture. exemple: >t:=5; >t+4; >t:=2; Si on évalue la première expression puis ensuite la deuxième, Maple affiche 9

comme résultat. Évaluons ensuite la troisième expression puis à l'aide de la souris,on se

repositionne sur la deuxième expression et on l'évalue à nouveau. Maple affichera alors 6 comme résultat!! Il sera donc judicieux d'imposer un nettoyage de la mémoire centrale régulière- ment: on le fait par l'instruction restart;. On peut forcer Maple à évaluer une expression en l'analysant d'une façon déter- minée par l'utilisateur. On utilise alors les instruction suivantes: -eval(expression) est équivalent à ; -evalf(expression) force l'utilisation de réels -float- -evalb(expression) force l'utilisation de booléens -evalc(expression) force l'utilisation de complexes -evalm(expression) force l'utilisation de matrices

III) OBJETS MANIPULES PAR MAPLE:

1) les expressions:

L'expression est le type le plus général manipulé par Maple. Tout est une expres-sion. exemples: f:=x->x^3; b:=`pas de solution`; solve(x^3-4*x^2+1=0); .. Comme vu précédemment, Maple traduira immédiatement ces expressions sous forme[opérateur,opérandes]. Il existe diverses fonctions permettant de visualiser cette tra- duction: -whattype(expression) donne le type général (integer, float, complex, string, expseq, list, set, function, +, *, ^, =,...) -op(0,expression) est plus précise que la précédente -op(expression) donne la liste des opérandes -nops(expression) donne le nombre des opérandes -op(i,expression) donne la ième opérande -op(i..j,expression) renvois la suite des opérandes du ième au jème On peut modifier une expression à l'aide des fonctions suivantes: -map(f,expression) où f est une fonction remplace chaque opérande de l'expression par f(opérande) -subs(s1,...,sn,expr) où s1,...,sn sont des équations effectue les substitutions indiquées par les équations dans l'expression -subsop(i1=e1,...,in=en,e) où les ik sont des entiers remplace l'opérande de numéro i k par l'expression ek dans l'expression e -convert(expression,t) remplace le type de l'expression par le nouveau type t sans changer les opérandes.

2) les séquences:

Une séquence - expseq - est une suite d'expressions séparées par des virgules. Elle n'est pas ordonnée,les diverses occurrences d'une valeur sont maintenues. Une sé- quence vide est notée NULL. exemple: >1,2,6,5,4,5; sera évalué comme étant l'objet 1,2,6,5,4,5 On peut créer une séquence soit en la tapant directement soit par: -seq(f(i),i=m..n); produisant la suite d'expressions f(m),f(m+1)...f(n) -seq(f(i),i=expression) équivalent à seq(f(op( j,expression)), j=1.. nops(expres- sion))

3) les listes:

Une liste - list - est une suite d'expressions séparées par des virgules et notées R Rééssuumméé ddeess ffoonnccttiioonnss ddee MMaappllee

SSPPÉÉ MMPP 3

NicolasCHIREUX Page 3 sur 17 entre crochets [ ].Elle n'est pas ordonnée et les occurrences multiples d'une même valeur

sont maintenues. Une liste vide est notée [ ]. exemple: >[1,2,6,5,4,5]; sera évaluée comme l'objet [1,2,6,5,4,5] Pour ajouter un élément x à une liste l,on écrira: l:=[op(l),x]; Pour enlever le ième élément d'une liste l,on écrira: subsop(i=NULL,l)

4) les ensembles:

Un ensemble -set- ressemble à une liste si ce n'est qu'il est ordonné et que les occurrences multiples d'une même valeur sont supprimées. Il est noté entre accolades. Un ensemble vide est noté {}. exemple: >{1,2,6,5,4,5}; sera évalué comme étant l'objet {1,2,4,5,6} Pour ajouter un élément x à un ensemble e: e:=e union {x}; Pour enlever un élément x à un ensemble e: e:=e minus {x}; Pour calculer l'intersection de deux ensembles, on utilisera la fonction intersect

5) les tables et tableaux:

Une table est une application entre un ensemble d'indices et les valeurs qui y sont associées. Indices et valeurs peuvent être n'importe quelle expression. On crée une table par la fonction table: t:=table() affecte à t une nouvelle table vide. Pour accéder ou affecter une valeur à un élément d'une table, on utilise la notation t[indice]: exemple: t[1]:=12; affecte à l'élément d'indice 1 la valeur 12.Si la table t n'avait pas été créée précédemment,elle l'est alors automatiquement. exemple: notes[toto]:=12,3,7; notes[alfred]:=1,6,14; crée une table notes et affecte à l'indice toto la séquence 12,3,7 et à l'indice alfred la séquence 1,6,14. Attention!! l'évaluation du nom d'une table produit le nom de la table mais pas son contenu - ce n'est pas comme une variable assignée-.En effet,le nom de la table est un pointeur - sur une zone mémoire-,il ne représente donc pas le contenu. Il faudra imposer un eval(nom) pour que Maple retourne le contenu de la zone pointée. Dans l'exemple ci-dessus >notes; renvoie notes alors que >eval(notes); renvois le contenu de la table notes. Enfin deux fonctions utiles: indices(nom) renvois les indices de la table nom et entries(nom) renvoie les valeurs de la table nom. Un tableau est une table particulière. Les indices seront forcément entiers et leurs

bornes seront définies à la création du tableau: t:=array(1..n,1..m) crée un tableau à deux

dimensions de bornes 1..n,1..m

6) les variables:

Pour Maple, une variable n'est pas typée. Elle peut se voir successivement affec- ter un entier, une expression,une chaîne...Une variable non initialisée reste une étiquette utilisable comme inconnue ou paramètre dans un calcul. exemple: >x+4; retourne x+4 >x:=4; >x+4; retourne 8 Pour évaluer une variable, Maple la remplace par sa définition,puis continue ainsi récursivement pour les variable apparaissant dans cette définition etc... eval(variable) évalue complètement la variable eval(i,variable) évalue la variable au ième niveau. Pour empêcher l'évaluation d'une variable, il faut la mettre entre guillemets sim- ples '.

B) MANIPULATION DES NOMBRES SOUS MAPLE:

I) GENERALITES:

1) TYPE:

Tout nombre (RÉEL, ENTIER, RATIONNEL) peut être: positive >0 R Rééssuumméé ddeess ffoonnccttiioonnss ddee MMaappllee

SSPPÉÉ MMPP 4

NicolasCHIREUX Page 4 sur 17 negative <0

nonneg >=0 On peut tester le signe par type(r, positive) ou is(r, positive) par exemple.

2) restriction du champ de la variable:

-assume(x,prop) prop est une propriété -is(x,prop) teste si x a la propriété prop -isgiven(x,prop) teste si la propriété prop a été donnée à x -about(x) retourne les propriétés de x -additionally(x,prop) ajoute une propriété à x Pour faire cesser la restriction,il faut affecter la variable - x:=3 par exemple- ou la désaffecter x:='x'.

II) LES ENTIERS:

1) type:

Ce sont des objets de type integer pouvant être: posint >0 negint <0 nonnegint >=0 even pair odd impair primeint premier

Ce type peut être testé:

is(n,positive); is(4,negint); type(12,even);

2) changement de base de numération:

La fonction convert permet avec l'option base de changer de base de numération: -convert(entier,base,b) convertit l'entier de la base 10 vers la base b.Le re- tour se fait de la forme: entier=[a0,a1,...] qu'il faut lire a

0b0+a1b1+..

-convert(entier,base,b1,b2) convertit l'entier de la base b1 vers la base b2. -convert(entier,option) on l'utilise pour les conversions du système décimal vers les bases 2 (binaire),8 (octal),16 (hexadécimal) avec les options binary,octal,hex.

3) fonctions usuelles:

-abs(n) retourne la valeur absolue de n -factorial(n) ou n! retourne la factorielle de n -ifactor(n) décompose n en facteurs premiers -ifactors(n) donne la liste des facteurs premiers de n. Il faut préalablement lire la bibliothèque ifactors par rea- dlib(ifactors) -type(n,facint) teste si n a été décomposé en facteurs premiers -igcd(n1,n2,...) retourne le pgcd des nombres -ilcm(n1,n2,..) retourne le ppcm des nombresquotesdbs_dbs45.pdfusesText_45
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