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18 juil 2001 · [>fonction(a); rép : a^3+1 Les modules ( ''packages'') Lorsque vous ouvrez le logiciel Maple plusieurs commandes de base ( evalf
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368 Introduction to Maple 3 et 4 gb-td1 pdf report pdf `a partir de la page 27 1 Soit fg ? C[x y] Montrer
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http ://www-fourier ujf-grenoble fr/?sergerar/Papers/Maple-explique pdf Le nom de la variable d'une fonction est muet on aurait de mani`ere
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Maple est avant tout un logiciel de calcul formel symbolique c'est-`a-dire qui travaille Le mode commande réduit aux fonctions les plus basiques comme
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La fonction restart permet de réinitialiser toutes les variables de la feuille de calcul > restart; var est une variable assignée dont la valeur est 3 :
Qu'est-ce qu'une fonction dans Maple ?
Maple peut calculer la dérivée (ou les dérivées partielles) d'une fonction, avec l'instruction diff , qui s'utilise ainsi : diff(nom_de_la_fonction, variable); (dérivée de la fonction par rapport à variable ) ce qui affiche respectivement 2cos(2x + y) et cos(2x + y) . diff(f(x,y), x) est une fonction.Comment résoudre une équation sur Maple ?
Pour résoudre un système d'équations, on utilise la commande solve avec la syntaxe : solve({equations}, {variables}) Maple retourne les solutions sous la forme {variable1=expression1, variable2=expression2,}. Exemple : le système {x+y+z=4, x+y-z=1, x-y-z=-3}.- Dans Maple, vous pouvez déclarer des variables en tant que local ou global . Toute variable dans une procédure qui n'est pas explicitement déclarée locale ou globale est automatiquement déclarée locale si : La variable apparaît sur le côté gauche d'une instruction d'affectation ( := ). La variable est utilisée comme index d'une instruction for ou seq.
Préparé par : Dr A. Behaz
année Master ére1 1Chapitre 2
Types fondamentaux de Maple
1. Introduction
méconnaissance de ces caractéristiques qui conduit certains utilisateurs à croire que
Maple ne répond pas à leurs attentes.
2. Constantes
Les entiers, les fractions (représentations des nombres rationnels), les nombres à virgule flottante ainsi que les nombres complexes dont les parties réelle et imaginaire relèvent de des cas précédents sont des constantes numériques pour Maple. Par ailleurs, lavariable prédéfinie globale " constants » contient la séquence de tous les noms
initialement connus par Maple comme des constantes symboliques. > constants; false, ȖʌNous allons voir que dans cette réponse figurent des constantes numériques célèbres ainsi
que des constantes booléennes.2.1. Constantes numériques célèbres
Il convient de bien connaître la façon dont on désigne les constantes mathématiques
usuelles dans la syntaxe du langage. La constante ʌ est désignée par Pi (avec un P
majuscule), à ne pas confondre avec la variable de nom ʌ (avec un p minuscule). Les calculs suivants montrent que Maple connaît maintes propriétés du nombre ʌ. > Pi; evalf(Pi); cos(Pi); sin(Pi); arccos(0);3.141592654
0ʌ/2
et celle de Catalan: > gamma; evalf(gamma); Catalan; evalf(Catalan);0.5772156649
Catalan
0.9159655942
Les exemp-clé
infinity : > infinity; -infinity ;2.2. Autres constantes numériques usuelles
Préparé par : Dr A. Behaz
année Master ére1 2majuscule a été préférée à la minuscule, pourtant usuelle en mathématiques, car i désigne
pour Maple mais un alias (soit un synonyme) pour la racine carrée principale de 1 : > I^2; solve(x^2+4=0,x); sqrt(-1); 1 2 2 I ILa base e
pretty-printer par : > exp(1); evalf(exp(1)); e2.718281828
3. Les Booléens
Les valeurs booléennes true et false sont répertoriées parmi les constantes initialement connues. À ces deux valeurs logiques présentes dans la plupart des langages informatiques FAIL (en majuscules,contrairement à true et false). La réponse FAIL à une requête signifie que les éléments
décision. La logique mise en oeuvre par Maple comporte donc trois états. Les expressions logiques sont formées à partir de variables logiques et de connecteurs logiques comme and, or, xor, implies et not. Les tables de vérité binaires des connecteurs logiques usuelsFAIL signifie à
peu près " je ne sais pas »La commande evalb
qui, sinon, seraient considérées comme des objets algébriques de type équation ou inéquation et ne seraient pas évaluées à leur valeur logique. > 1=2; 1 = 2 er sur cet objet. Le recours à evalb conduit Maple un test. evalb se comporte comme la plupart des commandes et se contente de répéter la question posée : > evalb(1=2); evalb(x>0); evalb(2Préparé par : Dr A. Behaz
année Master ére1 3 Au premier abord, le type entier relatif (type integer) ainsi que les notations des opérations arithmétiques sur les entiers ne distinguent pas Maple des autres langages de programmation : > ((1+2)*(9-7))^2; 36Les priorités entre opérations sont usuelles. En revanche, Maple en tant que système de calcul formel, est capable de représenter un nombre entier arbitrairement grand, dans la mesure des capacités matérielles du système sous-jacent4 suivant qui fait intervenir un calcul de factorielle : > a:=15!; a := 1307674368000 length e ce nombre avec la commande ifactor. Maple fournit un test de primalité à travers la commande isprime. > length(a); ifactor(a); 13 (2)11 (3)6 (5)3 (7)2 (11) (13) > isprime(7); isprime(8); true false rs nombres premiers avec la commande ithprime i-ième nombre premier) et de déterminer le division euclidienne de deux nombres entiers, respectivement, à iquo et irem : > seq(ithprime(k),k=1..10);
2, 3, 5, 7, 11, 13, 17, 19, 23, 29
> iquo(31,10); irem(31,10); 3 1 igcd et ilcm fournissent respectivement le plus grand commun diviseur et le plus petit commun multiple de deux entiers : > igcd(12,30); ilcm(3,4); 6 12 Un entier peut être positive (>0) , negative (<0), nonneg (>=0) , posint (entier>0) , negint (entier<0) , nonnegint (entier>=0) , even (pair) , odd (impair) , primeint (premier).Ce que l'on peut tester avec type ou is.
> type(-15,negint), is(13,even); true, falseOn peut sélectionner des éléments répondant à une condition booléenne avec
select(condition,v); Exemple: sélectionner dans une liste de nombres ceux qui sont entiers >0 > select(x->type(x,posint),[-1/2,-7,Pi,3/4,0.25,18,2^5]); [18, 32 ]Préparé par : Dr A. Behaz
année Master ére1 4Le plus petit ou le plus grand:
> min(712,56,100,25,125),max(712,56,100,25,125);25, 712
mod (a modulo n donne le reste de la division de a par n, ici 31=4*7+3 ) : > 31 mod 4; 3 Fonction sign: cette fonction rend : -1 si n < 0 , 1 si 0 <= n > n:=-7;sign(n); n := -7 -1Fonction valeur absolue:
> abs(n); 75. Les Rationnels
ce sont des objets de type fraction (ou rational) .Un rationnel peut être positive (>0) , negative (<0) , nonneg (>=0) , ce qui peut être testé
par type ou is (comme pour les entiers).Quelques fonctions utilisant les rationnels:
> q:=21*(144/124);numer(q);denom(q); q := 31756
756
31
6. Les Réels
un réel de type float , a une mantisse et un exposant. Exemple: 1234567=0.1234567*10^7 . La mantisse est 0.1234567 , et l'exposant 7 .Le nombre s'écrit Float(0.1234567,7);
> evalf(Float(0.1234567,7));0.1234567 10^7
L'utilisation du point. déclenche l'affichage en calcul flottant dans le second membre: > 1/9=1.0/9; 9 1 =0.1111111111Quelques fonctions utilisant les réels:
abs , sqrt (racine carrée) , exp , ln , log10 , log[a] (logarithme de base a) , sin , cos , tan , cot (fonctions circulaires) , sinh , cosh , tanh , coth (fonctions hyperboliques) , arcsin ,arccos , arctan , arccot (fonctions circulaires réciproques) , arcsinh , arccosh , arctanh , arccoth(fonctions hyperboliques réciproques). > sqrt(1250);ln(exp(7));arctan(1); 2257 4 1
Préparé par : Dr A. Behaz
année Master ére1 5 La fonction partie entière: floor(x) est le plus grand entier inférieur ou égal à x. > floor(-7.98);floor(7.98); -8 77. Les Complexes
de type complex , sont constitués de deux réels , la partie réelle et la partie imaginaire .
> z:=1-5*I*sqrt(2):z,Re(z),Im(z);1 - 5 I
2 , 1, -5 2 evalc : fonction d'évaluation des nombres complexes > z:=evalc((1+exp(1)^(I*Pi/6))/(1-I)); Iquotesdbs_dbs45.pdfusesText_45[PDF] methode de mohr correction
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