NOUVELLE REVUE DE PSYCHANALYSE 47 (LA PLAINTE)
«Irène se transporte à grands frais en Épidaure voit Esculape dans son temple
1 Dictée du 19 novembre : Portrait d Asthène Sur le modèle des
19 nov. 2021 Irène se transporte à grands frais en Épidaure voit Esculape dans son temple
DESCRIPTIF DES LECTURES ET ACTIVITES
Johann August Suter va enfin pouvoir jouir et se réjouir de ses richesses. Irène se transporte à grands frais en Epidaure voit Esculape dans son temple ...
LES CARACTÈRES
établies sur les idées et sur les principes de ce grand philosophe Irène se transporte à grands frais en Épidaure
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L'image du vieillard a donc une grande importance en pratique Irène se transporte à grands frais en Epidaure
Tradition et modernité: étude des tragédies de Voltaire
1 avr. 2014 sachant qu'il a continué énergiquement à créer Irène et Agatocle aux ... transporté se jette au cou du poète
Annexes du rapport dactivité
Faire-part » à Avis de Grand Frais ! Caen. 10. 27 et 28 octobre. Délégation à la Grande Scène des PSO. Le Mans. 6. 10 et 11 décembre.
Les Caractères
9 juil. 2021 venus jusques à nous les ouvrages de ce grand homme. ... Irène se transporte à grands frais en Epidaure voit Esculape dans son temple
RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS N°64-2017-049 PUBLIÉ
27 juil. 2017 ORSEC gestion d'un événement majeur générant un grand nombre de ... son nouveau loyer et destinée à couvrir ses frais de réinstallation.
Irène, Les Caractères, Introduction
Dans Les Caractères, publiés en 1688, La Bruyère dresse une série de portraits qui présentent des contre-modèles pour la société classique, portée vers les valeurs de mesure, de modération, de civilité et de vérité. La Bruyère propose ainsi dans son oeuvre un regard critique sur les hommes et sur l’ignorance de leur propre condition humaine. Dans s...
Le Portrait D’Irène, Les Caractères (Livre Xi, Remarque 35), Conclusion
Par ce texte en apparence léger, La Bruyère se place dans la perspective des Moralistes du Grand Siècle. À travers le type de la courtisane, il vient dresser un portrait de la fragilité de l’homme, de la brièveté de sa condition. Partisans des Anciens, il est un des derniers représentant du classicismeavant que ne s’ouvre le XVIIIème siècle et le m...
Quels sont les maux de Irène ?
Irène se transporte à grands frais en Épidaure , voit Esculape dans son temple, et le consulte sur tous ses maux. D'abord elle se plaint qu'elle est lasse et recrue de fatigue ; et le dieu prononce que cela lui arrive par la longueur du chemin qu'elle vient de faire. Elle dit qu'elle est le soir sans appétit ; l'oracle lui ordonne de dîner peu.
Quel est le rythme de la phrase Irène se transporte et le consulte ?
Le rythme ternaire de la phrase, « Irène se transporte, (…) voit Esculape (…) et le consulte (…) » donne une impression d’équilibre dans le goût classique. Les allitérations en (p) et (s) « Epidaure, voit Esculape dans son temple, et le consulte sur tous ses maux » confère une musicalité harmonieuse.
Quelle est la signification de la parole de Irène Esculape ?
Le ton se fait sérieux et grave. Sa parole se rapproche du memento mori (souviens-toi que tu meurs) du XVIème et XVIIème siècle soulignent la brièveté de la vie. Irène souhaite ramener Esculape dans le domaine de la médecine comme le montre le champ lexical de la médecine « affaiblit», «affaiblis», «forte», «saine», «guérir», «langueur ».
Quel est le portrait d’Irène ?
Le portrait d’Irène correspond à la remarque 35 du livre XI. Il est étudiée ici en intégralité. Dans Les Caractères, publiés en 1688, La Bruyère dresse une série de portraits qui présentent des contre-modèles pour la société classique, portée vers les valeurs de mesure, de modération, de civilité et de vérité.
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Université François Rabelais - Tours
FACULTE de MEDECINE
Année
Universitaire 1997-1998
MEMOIRE
pour l'obtention de laCAPACITE DE GERONTOLOGIE
Soutenu le / Q septembre 1998
parPhilippe Albou
Docteur en médecine
Sujet :
HISTOIRE DE L'IMAGE DES
PERSONNES AGEES
Directeur de mémoire : Dr Alain Lellouch
à Marie-B.,
à Jérôme, Adeline et
Mathilde,
aux miens.Je remercie tout spécialement Alain Lellouch,
mon collègue de la Société Française d'Histoire de la Médecine, pionnier dans Vhistoire des pionniers de la gériatrie, qui a bien voulu diriger, avec beaucoup de gentillesse et de compétence, l'élaboration de ce mémoire. Je remercie également tous les médecins qui m'onl guidé dans mon apprentissage de la gériatrie, en particulier :Thierry
Constans, directeur de l'enseignement de la Capacité de Gérontologie à la Faculté de Médecine de ToursAlain Essayan,
Chrysoline
Fournier
et Elisabeth Hovasse-Prély,à l'hôpital de La
Noue à Vierzon
René
Sliosberg et ses assistants
à l'hôpital de Saint-Germain-en-Laye
"Des myîhologies, de la littérature, de l'iconographie se dégage une certaine image de la vieillesse, variable selon les temps et les lieux. Mais quel rapport soutient- elle avec la réalité ? Il est difficile d'en décider. C'est une image incertaine, brouillée, contradictoire. Il importe de remarquer qu'à travers les divers témoignages le mot vieillesse a deux sens très différents. C'est une certaine catégorie sociale, plus ou moins valorisée selon les circonstances. Et pour chaque individu un destin singulier, le sien. Le premier point de vue est celui des législateurs, des moralistes ; le second celui des poètes ; le plus souvent Us s'opposent radicalement l'un à Vautre."Simone de BEAUVOIR, La Vieillesse (2, p. 97)
INTRODUCTION
Vieillesse : "dernière période de la vie normale, caractérisée par un ralentissement des fonctions''. Vieillard : ''homme très âgé". Ces définitions du Petit Larousse, apparemment faciles à comprendre, soulèvent en réalité une question dont la réponse est cette fois beaucoup moins évidente : quels sont les critères qui, pour soi-même ou pour autrui, sont susceptibles de caractériser la vieillesse ?Critères objectifs et critères subjectifs
Bien entendu, la simple considération de l'âge n'est pas suffisante : les limites chronologiques de la vieillesse sont floues et ont d'ailleurs été particulièrement variables selon des époques. D'autres critères objectifs, en particulier les critères médicaux, peuvent être utilisés, comme la description du vieillissement des organes ou, plus récemment, le degré d'autonomie. Mais les critères subjectifs sont aussi à prendre en compte : être un vieillard c'est surtout se ressentir ou se comporter comme tel - ou être reconnu comme tel par les autres - et ceci en fonction de l'image que l'on s'en fait. L'image du vieillard a donc une grande importance en pratique, aussi bien sur le plan individuel que sur le plan collectif : c'est à partir de cette image que le "groupe social des personnes âgées" sera pris en compte dans les politiques médico-sociales, d'urbanisme, d'organisation des loisirs, de construction des structures d'accueil, etc. Mais lorsque l'on réfléchit sur l'image du vieillard, il apparaît qu'elle n'est pas univoque : il y a en réalité plusieurs images qui s'entrecroisent ou qui se superposent, avec par exemple dans le même temps : l'image de la décrépitude physique, l'image de la sagesse, l'image des grands-parents au sein de la famille, l'image du "poids démographique" des personnes âgées, etc. Toutes ces images peuvent être considérées comme autant d'images mentales collectives à l'origine d'un certain nombre de mythesMythe est
employé au sens moderne : "Depuis la fin du XIXe siècle, mythe se dit d'une re pré s en tau on
idéalisée d'un état passé de l'humanité, d'un homme ou d'une idée (...). Le mythe est conçu comme jouant un
rôle déterminant dans le comportement, l'appréciation des choses, d'un individu ou d'une collectivité." (Alain
Re}' et coll.. Dicdonnoire htsiorique de la langue française. Le Robert, 1992). 1 Comment aborder VHistoire de Vimage des personnes âgées ? Il existe, depuis moins de trente ans, un développement considérable de la littérature sur les personnes âgées et leur histoire. Les recherches se développent dans des directions particulièrement nombreuses et diversifiées. Les sources utilisées dans notre travail sont de nature très variée ^ : - des monographies sur l'histoire de la vieillesse, en particulier les livres deSimone de Beauvoir (2), Georges Minois (17),
Jean-Pierre Bois (3 et 4),
Jean-Pierre Gutton (9) ;
- le témoignage des écrivains et des philosophes des diverses époques, source essentielle, voire unique pour lesépoques anciermes ;
- les recherches anatomo-cliniques et l'apparition de la nosographie des maladies gériatriques, au XIXe siècle, avec en particulier l'apport de Jean- Martin Charcot, qui ont été étudiées par Alain Lellouch (12 et 13) ; - le développement de la gériatrie en tant que spécialité médicale, qui apparaît surtout dans la seconde moitié du XXe siècle et dont Sylvie Grégoire a établi, dans sa thèse, une présentation générale (6) ; - l'approche démographique, avec les divers aspects du Vieillissement de la population, étudiée notamment par Patrice Bourdelais (5) ; - l'approche sociologique de la vieillesse avec en particulier les ouvrages d'Anne-Marie Guillemard (7 et 8).Nous nous sommes
donnés pour but de rechercher, parmi ces différentes sources, celles qui pouvaient le mieux nous renseigner sur Vimage des personnes âgées à travers Vhistoire. Ce travail se décompose en trois parties : Nous évoquerons dans la première partie les "constantes" de Vimagerie traditionnelle de la vieillesse, qui sera surtout basée sur l'analyse de citations littéraires issues des diverses époques : - Vâge du début de la vieillesse (dont nous montrerons la grande variabilité) Vimage physique de la vieillesse (avec par exemple la "lenteur de la marche", les "cheveux blancs", l'^hiver de la vie", etc.) ; - la question morale de la sagesse des vieillards ; - et enfin les attitudes générales adoptées face à la vieillesse.Les références
ou citations des principaux ouvrages de référence seront signalées par leur n° d'entrée dans ia
bibliographie (en caractère gras) suivi du n° de la page. Poiu tous les autres ouvrages nous avons précisé, au fur
et à mesure, leurs références par des notes en bas de page. 2 La seconde partie sera consacrée aux variations de l'image du vieillard dans l'histoire, de l'Antiquité au XIXe siècle. Nous verrons que cette image a souvent été directement dépendante des rapports de pouvoir et de richesse, avec des situations très variables (depuis les pouvoirs démesurés du Pater familias de la Rome républicaine jusqu'aux hordes de vieillards miséreux de la fm de la Renaissance...). Nous évoquerons aussi l'importante rupture du XVIIIe siècle avec une nouvelle approche de la vieillesse, qui n'est plus envisagée uniquement comme un destin individuel, mais également au sein d'un groupe social différencié et reconnu (évolution que certains historiens, en particulier Jean-Pierre Gutton, ont surnommé "/a naissance du vieillard'). La dernière partie, intitulée La vieillesse au XXe siècle : éléments constitutifs d'une nouvelle image, abordera, en trois paragraphes, les principaux aspects contemporains de l'image de la vieillesse : - l'origine et les conséquences du Vieillissement de la population ; - les nouveaux comportements des personnes âgées (notamment en relation avec le développement des retraites depuis un siècle) ; - enfm : l'influence de la médicalisation sur l'image des personnes âgées.Quelques remarques complémentaires
nous avons regroupé sous forme d'annexés un certain nombre d'informations spécifiques qui ont influencé directement l'image du vieillard au cours de l'histoire, mais qui risquaient de nous éloigner un peu trop de notre propos initial : ï : Etymologie des mots associés à la vieillesseII : La révolution démographique
III : Retraites, assistance et politique médico-sociale IV : Bref historique de la gérontologie et de la gériatrieV : Aperçu historique sur les démences
VI : Revue de presse sur Jeanne Calment (21 février 1875 - 4 août 1997) - cette étude sur l'image des personnes âgées n'a volontairement pas pris en compte l'iconographie de la vieillesse : nous nous sommes seulement attachés aux images mentales collectives, ou archétypes au sens de Jung ("symbole primitif et universel de l'inconscient collectif"). Les représentations iconographiques, voire cinématographiques, de la vieillesse justifieraient à notre avis une étude spécifique et approfondie : nous avons donc choisi, plutôt que d'en présenter une analyse qui n'aurait pu être que très partielle, de ne pas les aborder dans le cadre de ce mémoire. 3 - les femmes âgées n'apparaîtront que de manière épisodique au cours de rétude, même si un bon nombre de données de l'imagerie traditionnelle sont applicables aux deux sexes. Les femmes, tout au long de l'histoire, n'ont été que rarement présentes au premier plan du pouvoir politique, et même leur place dans la famille, bien que primordiale, apparaît souvent secondaire, ou tout au moins effacée. Ceci explique en grande partie qu'elles soient beaucoup moins présentes que les hommes dans les descriptions historiques et littéraires.Même
si, à certaines périodes, comme la Renaissance, la femme jeune a pu être célébrée comme objet d'amour et symbole de beauté, la femme âgée quant à elle, lorsqu'elle n'a pas été complètement oubliée (ce qui est finalement le cas le plus courant...), a dû supporter les pires moqueries ou insultes de la part de leurs contemporains masculins... Ce n'est que très récemment que la place de la femme âgée dans la société s'est améliorée. Nous évoquerons la question de Vimage de la vieille femme dans le cadre de trois périodes particulières : le Moyen Age (§ II, B, 2), la Renaissance (§ II, C, 2), et enfin leXXe siècle (§ III, B, 3).
- nous insisterons enfin sur le fait que les images de la vieillesse dont il sera question ici ne correspondent pas nécessairement à une représentation fidèle de la réalité. Prenons par exemple l'image traditionnelle de l'avancée inéluctable de la vieillesse dont la mort naturelle serait l'aboutissement ultime et logique. Comme le remarquaitMichel de Montaigne, cette image de la
mort naturelle, bien que très répandue, ne correspond pas nécessairement à la réalité ou à la nature des choses : " Quelle rêverie est-ce de s'attendre de mourir d'une défaillance de forces que Vextrême vieillesse apporte, et de se proposer ce but à notre durée, vu que c'est l'espèce de mort la plus rare de toutes et la moins en usage?Nous l'appelons seule naturelle, comme si
c'était contre nature de voir un homme se rompre le col d'une chute, s'étouffer d'un naufrage, se laisser surprendre à la peste ou à une pleurésie, et comme si notre condition ordinaire ne nous présentait à tous ces inconvénients. Ne nous flattons pas de ces beaux mots: on doit, à l'aventure, appeler plutôt naturel ce qui est général, commun et universel. " ^ En étudiant les images de la vieillesse, la question de leur véracité ne sera donc pas au premier plan. Leur intérêt se situe ailleurs : ces images, constituées par une combinaison entre la réalité, le perçu et Vimaginaire ont la particularité d'être le terreau de notre pensée. Comme l'écrivait Aristote : "Jamais l'âme ne pense sans image". ^Michel de Montaigne (1533-1592). Essais (1, 57).
cf- Xavier Lameyre, L'Imagerie mentale. Que Sais-je, n° 2780. 4PREMIERE PARTIE :
LES IMAGES TRADITIONNELLES
A) L'AGE DU DEBUT DE LA VIEILLESSE
B) L'IMAGE PHYSIQUE DE LA VIEILLESSE
C) LA SAGESSE DES VIEILLARDS
D) LES ATTITUDES GENERALES
ADOPTEES
FACE A LA VIEILLESSE
A) L'AGE DU DEBUT DE LA VIEILLESSE
Même si l'on a réfléchi depuis l'Antiquité sur Vâge de la vieillesse (perçu comme un moment particulier de la vie), cela n'a pas conduit les divers auteurs à s'accorder sur l'âge à partir duquel on devient vieux, comme on peut le constater sur le tableau suivant ;TABLEAU I
Ages du début de la vieillesse selon quelques auteursO 3> u
?^ ^ t .sis s ^ S H s ^ "u "^r f -Sx < ^1 i"£2 û < û X wcuu, ^
40 45 50 55 56 60 70 ans
Cette variabilité de Vâge de la vieillesse doit cependant être relativisée, car la vieillesse était généralement subdivisée en deux parties : - la "première vieillesse", celle des vieillards (senes a senectute), commençait vers 45 ou 50 ans (âge limite de la pulcritudo, autrement dit de la "beauté"...) et se poursuivait jusqu'à 70 ou 75 ans ; - il y avait ensuite la "grande vieillesse" ou "décrépitude" {senes asenio). L'existence était "découpée" en périodes (ou "âges") préétablies dont le nombre f>ouvait varier : quatre âges (en particulier chez Hippocrate avec l'idée traditionnelle des saisons de la vie), ou encore en six ou sept (comme chez Saint Augustin et chez Isidore de Séville). Littré mentionne un exemple de répartition en six âges que l'on trouve dans le Livre des Semaines (remontant à la Grèce antique) : le petit enfant va de la naissance jusqu'à 7 ans ; Vadolescent 21 ans ; le jeune homme jusqu'à 28 ans ; Vadultequotesdbs_dbs33.pdfusesText_39[PDF] correction d'erreur comptable
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