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Arts plAstiques Cinq fiches pour définir limage dans son pouvoir de

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  • Pourquoi une image est polysémique ?

    La notion de polysémie de l'image - le fait qu'elle ait plus d'un sens - pourra dès lors être mieux comprise: une image est polysémique parce qu'elle fait l'objet de lectures multiples.
  • Comment réduire la polysémie d'une image ?

    Pour réduire la polysémie d'une image, il faut l'accompagner d'un texte qui est en relation étroite avec elle. Elle devient ainsi monosémique, c'est-à-dire qu'elle n'admet qu'une seule interprétation, un seul sens.
  • Qu'est-ce qu'un PDF ? PDF signifie Portable Document Format (Format de document portable), qui était un format utilisé pour afficher des documents dans un format électronique indépendant du logiciel, matériel ou système d'exploitation dans lequel ils sont visualisés.
Limage en maternelle

L'image en maternelle

(Le Caravage, " Tête de Méduse », 1598.)

L'image en maternelle

Pourquoi entreprendre un travail spécifique sur l'image ? Dès la maternelle, l'enfant doit apprendre à la voir, à la lire et la mettre en mots.

Le regard doit acquérir des automatismes.

L'image en maternelle

L'image est support déclencheur à la verbalisation de l'élève.

Elle renvoie à une expérience personnelle.

La prise de conscience de la possibilité de plusieurs sens d'une même image (la polysémie, qui la distingue du message verbal) doit être favoriser chez le jeune enfant.

L'image et le texte - Points communs

Ils appartiennent tous deux à l'univers de la trace, de l'empreinte.

Les compétences engagées sont similaires :

- repérage de signes, -formulation d'hypothèses, -recherche de sens.

Eléments de sémiotique

La sémiotique étudie le processus de signification c'est-à- dire la production, la codification et la communication de signes (aussi bien textuels qu'icôniques).

Un signe est formé de trois composants :

-1 : le signe matériel, ex. : " pomme " (representamen). -2 : ce qui est désigné par ce mot (l'objet). -3 : la définition, le concept de pomme (l'interprétant) ; fait la relation entre le signe et l'objet désigné. Contrairement au mot pomme, l'image d'une pomme renvoie à plus que le simple concept initial de pomme.

Polysémie de l'image

L'image est souvent polysémique (mises à part les icônes de signalisation). Sa lecture implique différents degrés d'indices. Certains sont plus pertinents ; d'autres apparaissent comme des données " facultatives », non nécessaires à la compréhension de l'image. Notre capacité de lire une image est fonction de notre répertoire d'images mentales, lié à notre expérience personnelle. Cette image, que nous interprétons comme une vue de Venise, a été lue par des stagiaires-animateurs culturels africains comme " ...des pirogues au repos, probablement un jour de fête ou un dimanche, sur un port oriental. » Ils ont interprété cette image à partir de fragments d'une expérience qui leur était familière. ( René La Borderie, in L'image à l'école. Pourquoi ? Comment ?, Actes du 33ème congrès ANCP, Hachette Education.) Voici, pour comparaison, une vue de Mopti au Mali, sur le fleuve Niger.

Les Stéréotypes

Comment expliquer cette différence d'interprétation ? Notre répertoire d'images mentales comprend des éléments communs à une société donnée : les stéréotypes. Le stéréotype prend part au message. Il fait appel à un ensemble de références communes à une période et une communauté. Comme chacun interprète à partir de ce qu'il connaît, si les références font défaut, si les clés du code sont absentes, le stéréotype n'agit pas comme tel et le message est faussé. Sur ces deux images du Jugement Dernier, le Christ n'a pas une épée ou une fleur plantées dans les oreilles, comme on pourrait le penser au premier regard. Il s'agit en fait de la justice et de la miséricorde divines qui émanent du

personnage. (A. Dürer, " Jugement dernier », 1511) (H. Memling, " Le jugement dernier » panneau central, 1467.)

L'enfant face à l'image

La perception d'une image est le mélange d'une sensation visuelle avec des images déjà présentes dans le cerveau. Le tout jeune enfant perçoit surtout des sensations puisqu'il ne dispose pas encore suffisamment d'images mentales. Au fur et à mesure, ces sensations sont conservées dans l'esprit sous forme d'images pour être ultérieurement combinées à d'autres sensations. ... Ainsi, progressivement, la perception se fait plus rapide et plus précise. Mais plus un enfant est jeune, plus il a besoin, pour catégoriser le stimulus visuel, de redondance dans l'information. L'image doit être donc à la fois complète et simple, c'est-à- dire réduite à ses éléments les plus pertinents. Réalité des images - Images de la réalité " Ces mystérieux fantômes de la réalité visuelle » (Norman Rockwell, " Triple self-portrait », 1960.)

Une image peut-elle être vraie ou fausse ? (... mais cette question est-elle vraiment pertinente?)

Chaque image possède sa propre réalité.

Elle se compose d'un sujet (ce qui est donné à voir) et d'un support matériel (y compris pour les images dites virtuelles). Ce peut être une gravure, une peinture sur toile, un dessin sur papier, une photo sur papier glacé, une fresque murale, une impression sur Tshirt... Insister, avec les élèves, sur la matérialité de l'image : montrer et faire manipuler des tableaux, des dessins, des photographies, des reproductions. Leur donner la possibilité de manipuler, de toucher (dans la mesure du possible) : le grain d'une toile ou d'un papier aquarelle, les empâtements d'une peinture à l'huile, l'aspect lisse d'une photo argentique sur papier... On peut introduire progressivement une hiérarchisation de ces images, entre les originales et les reproductions. Proposer aux élèves, par exemple, d'effectuer des photocopies de leurs propres productions. Jouer sur les catégorisations, mais veiller à bien définir au départ ce sur quoi on décide d'agir : la réalité physique ou bien ce qui est représenté. Manipuler différentes images sur différents supports : journaux, magazines, affiches, cartes postales, sans oublier les images virtuelles sur les écrans... Une image peut être transformée, modifiée, arrangée...

Agir sur ces images :

-rapprocher, ordonner, superposer (par transparence)... -découper, déchirer, recadrer, recomposer, coller... -recouvrir, masquer partiellement (peinture, collage) -dessiner, marquer, écrire dessus, légender -agir sur le support : vieillir artificiellement, encadrer...

Observation d'images avec les élèves.

Différencier Perception et Interprétation.

La perception est un préalable à la formulation d'hypothèses. Mais il n'est pas nécessaire de verbaliser chaque élément, ce qui serait fastidieux et inutile. S'assurer néanmoins de la bonne compréhension des points susceptibles d'être mal perçus : une perception faussée entraine un raisonnement erroné. N'oublions pas aussi que les images ne ressemblent pas aux choses ; elles sont perçues comme ressemblantes aux représentations mentales que nous avons des choses. Il convient donc de s'assurer que l'image que nous présentons au groupe classe va pouvoir être correctement interprétée par l'ensemble des élèves.

Images complexes

Une image est complexe par le nombre d'éléments différents qu'elle comporte, mais aussi par la nature des relations qui existent entre ces éléments, par leur organisation dans la composition de l'image.

Aborder les images complexes progressivement :

- utilisation de fenêtres pour isoler des éléments, - verbalisation de ce qui est perçu, ressenti, - scénarisation de l'image par une histoire...

Le Nain, Famille de paysans.

Entrons par exemple dans l'intimité de cette famille : faisons connaissance avec les différents personnages, animaux, objets qui la composent. Picabia, Idylle, 1927. Dans ce tableau, le bateau et les maisons sont les premiers éléments perçus par des élèves de PS et MS parce qu'ils sont " complets et entiers ».

Le repérage progressif des yeux, des

bouches, du gant puis des cheveux va permettre l'apparition de la femme chez certains élèves qui pourront suivre du doigt la silhouette pour la dévoiler aux autres.

La présence de l'homme peut, en

revanche, ne pas être perçue chez la plupart des enfants, même en suivant du doigt son contour. En effet, contrairement à la femme, il ne possède aucun élément entier directement identifiable (yeux, bouche...). Sa main, représentée en raccourci, en est un bon exemple : elle reste invisible au plus grand nombre.

Magritte,

L'esprit de géométrie, 1937

Dans ce tableau de Magritte,

les élèves vont-ils repérer l'inversion des têtes des deux personnages ?

Ou bien percevront-ils la

mère et son enfant indépen- damment l'un de l'autre, sans avoir conscience du décalage entre tête et corps ?

Autrement dit, vont-ils être

en mesure de cerner le lien particulièrement incongru qui unit l'enfant et sa mère ? (à noter que le bébé peut être perçu par certains comme un papa au crâne rasé)

Exemple de modification

d'une image. (petite et moyenne sections)

On donne aux élèves un ensemble de

têtes, de tailles et d'orientations différentes, des deux personnages. On leur propose ensuite de les placer et de les coller selon leur choix.

Images et narration

Une image est narrative

quand elle contient et condense une série d'événements visibles, si elle contient des liens de causalité et de consécution ou si l'un de ces deux liens peut se déduire. (G. de la Tour, " Le tricheur à l'as de carreau », 1630.) La narration nait aussi du rapprochement de plusieurs images. Le rapprochement de deux images est toujours porteur de sens et n'est en cela jamais anodin. Dans les exemples qui suivent, chaque rapprochement va faire surgir de notre propre répertoire mental une image qui va nous renvoyer à un thème précis.

Le récit en images.

La page est le lieu d'interaction des éléments de l'image. Des associations se créent, formant un ensemble où tous ces éléments (relations entre personnages, consécution ou causalité) trouvent leur place. Mais une discontinuité apparait lorsqu'il s'agit de changer d'image, de tourner la page. Il semble que le jeune enfant ne puisse pas (de lui-même) créer des liens entre deux images autonomes. Seule, la parole va permettre de fixer la représentation dans un seul sens et ainsi préserver la continuité dans la suite des images. C'est pourquoi Isabelle Jan* insiste sur la nécessité d'instaurer le triangle " Livre / Enfant / Adulte ». *Du parler au lire (tome 3), L. Lentin, C. Clesse, J.Hébrard, I. Jan, éd.ESF, 1977.

En conclusion...

Il peut sembler vain de vouloir construire une progression basée sur la perception et la construction de l'image chez l'enfant de petite et moyenne section de Maternelle. D'une part, nous n'avons pas accès à son imaginaire, ni même aux traces de son vécu personnel, bases sur lesquelles vont pouvoir se construire ses représentations mentales. On ne peut pas plus maîtriser l'ensemble des facteurs extérieurs qui vont influencer, de près ou de loin, cette perception. Néanmoins, nous pouvons l'accompagner, lui faciliter les choses en élargissant l'éventail d'images, en provoquant des rencontres et en donnant à celles-ci une plus grande épaisseur grâce aux mots que l'on pourra mettre dessus.quotesdbs_dbs33.pdfusesText_39
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