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:

Correction des exercices du chapitre 1

Correction n°1 : Libre parcours moyen dans les fluidesLe libre parcours moyen (lpm) s"obtient précisément en considérant la densité et la section e?cace des parti-

cules pour estimer la distance parcourue entre deux chocs. On se propose ici d"établir un raisonnement plus

qualitatif permettant de remonter simplement à "la distance disponible à chaque particule» qui est certaine-

ment du même ordre de grandeur que le lpm.

La quantité utile est le volume molaire??, qui est le volume occupé par une mole de ?uide soitN?particules

de sorte que le volume disponible pour chaque particule est?part=???N?. Il s"ensuite que la distance caractéristique disponible pour une particule véri?e?3=?partd"où ?N ??1 /3 Par suite, le volume molaire d"un gaz peut être obtenu à partir de la loi des gaz parfaits :

Il est cohérent que ce volume décroisse avec la pression et croisse avec la température. Numérique, à?=

1bar = 10.105Paet?= 300K, on calcule

?,gaz≈ 24,9.10-3m3?mol-1≈ 24,9L?mol-1.

Pour une phase condensée incompressible et indilatable (pcii) on peut connaître la masse volumique (typique-

ment1.103kg?m-3) et la masse molaire (18g?mol-1pour l"eau par exemple) dont on déduita ?,pcii=???≈ 18mL?mol-1.

Ilvient?nalement:?≈ 35Åpourlegazet?≈ 3,1Åpourlaphasecondensée.Latailled"uneentitéconstitutive

denses (?≈ 10rayons atomiques) au contraire des phases condensées (?≈ 1rayon atomique). Cette di?érence

fondamentale explique de nombreuses di?érences de comportement entre ces états de la matière, notamment

la compressibilité des gaz et incompressibilité des phases condensées, et le fait que dans les premiers les

interactions soient négligeables en première approximation (gaz parfait). Rappelons que la di?érence avec le

solide se fait au niveau de l"organisation des particules les unes par rapport aux autres : dans un solide chaque

particule garde les mêmes voisines sur une échelle de temps longue devant les durées typiques d"expérience.

Ceci est dû à la prédominance des interactions attractives à courte portée.a. Le volume molaire du gaz est nettement plus grand (environ 1000 fois) que celui de la phase condensée, sauf lorsque les condi-

tions thermodynamiques deviennent extrêmes, par exemple au voisinage du point critique.99

100BIBLIOGRAPHIECorrection n°2 : Suivi eulérien et lagrangien de la température d"un vacancierLe suivi e?ectué par le vacancier est un suivi lagrangien : on suit la voiture (la particule) le long de son trajet

et on relève une température qui est fonction de la position de départ et du temps. À l"inverse, la description

eulérienne qui consiste à donner, à un instant?, la température en tout point, correspond par exemple à la

lecture d"une carte de Météo France.Correction n°3 : Stationnarité des écoulementsOn a immédiatement

#»?1?? #»??=#»0, #»?2?? =??(?+?0?)?? #»??=?0#»??.

Le premier écoulement est donc stationnaire; pas le second dont le champ de vitesse se translate continument

selon#»??à la vitesse?0.Correction n°4 : Vortex de Taylor1.Le rotationnel en cylindrique est donné par :

1?

0⎞

2#»??≠#»0.

L"écoulement est donc rotationnel.

2.La circulation du vecteur vitesse sur un cercleCcentré sur l"origine et de rayon?est :

?C#»??#»d?=?2? 0?? ?d?= 2?? .

Du fait de la dépendance du champ de vitesse en1/?la circulation sur un cercle de rayon?est constante.Correction n°5 : Lignes associées à un écoulement donnéCorrigé en classe.

Correction n°6 : Un écoulement incompressibleOn a div = 0 +????? + 0 = 0.

L"écoulement est e?ectivement incompressible.Correction n°7 : Analyse de champs de vitesse1.Le premier écoulement est de la forme#»?=?(?)#»??(écoulement tourbillonnaire type vortex de Taylor). Il

est rotationnel mais incompressible.

BIBLIOGRAPHIE1012.Le second écoulement est de la forme#»?=?(?)#»??. Il est irrotationnel mais compressible (clairement de

divergence non nul!).

3.Le troisième écoulement est de la forme#»?=?(?)#»??. Il est rotationnel mais incompressible.

4.Le dernier écoulement est analogue au dipôle électrostatique (une source et un puits). Il dérive donc d"un

potentiel(écoulementpotentiel#»?=# »grad(?))cequiimpliquequ"ilsoitirrotationnel.Lamêmeanalogiemontre

quediv#»?= 0presque partout, sauf au niveau de la source et du puits (de la même manière quediv#»?n"est

non-nul que sur les sources).Correction n°8 : Cinématiques eulérienne et lagrangienne1.L"écoulementeststationnairepuisqu"ilnedépendpasexplicitementde?,incompressiblecardiv#»?=?-?=

0, et irrotationnel car# »rot(#»?)=#»0.

2.Les lignes de courant sont tangentes en tout point au vecteur vitesse, d"où :

?? d#»?=#»0 =| 0?| ||||||d? d? d?=| ||||||-??d? -??d? ??d?+??d?(9.10)

L"annulation des deux premières composantes implique qued?= 0(les lignes de champ restent dans le plan,

ce qui découle du fait que la vitesse n"a pas de composante selon??). La troisième composante mène à?d?=

-?d??d?? = -d?? , qui s"intègre enln(?)= -ln(?)+cste, soit ?nalement ??=cste (9.11) Les lignes de courant sont donc des hyperboles (?=cste/?) dans le plan???.

3.Pour calculer la trajectoire, l"équation du mouvement s"écrit :

d?d?=??= -??(9.12)

d"où, en résolvant les équations di?érentielles et en incluant les conditions initiales,?(?) =?0???et?(?) =

0?-??. On constate qu"à tout instant?(?) =?0?0??(?): les trajectoires sont des hyperboles confondues avec

les lignes de courants, ce qui est attendu car l"écoulement est stationnaire.

4.Commençons par la description lagrangienne, qui est la plus simple. En e?et, dans la mesure où il s"agit de

suivre une particule dont on connaît la trajectoire, ses vitesse et accélération s"obtiennent par dérivation (c"est

littéralement de la mécanique du point : on a un mobile dont on connaît la trajectoire, on dérive pour avoir la

vitesse et l"accélération). Il vient : et en dérivant à nouveau

La vitesse eulérienne est celle qui est donnée par l"énoncé (vitesse d"une particule ?uide au point(?,?)).

L"accélération eulérienne s"écrit

+?#»??# »grad?#»?=#»0 +??????? #»??=?2?#»??+?2?#»??.

102BIBLIOGRAPHIEEn e?et, la dérivée particulaire exprime bien le fait que la vitesse de la particule présente à l"instant?au point

(?,?)varie (du fait des variations locales de la vitesse et du mouvement in?nitésimal de la particule).

Il est rassurant que les accélérations lagrangiennes et eulériennes coïncident puisque le comportement phy-

sique du ?uide ne peut en aucun cas dépendre de la description utilisée pour faire les calculs. Cela vous invite

aussi, lorsque vous devrez calculer l"accélération d"une particule ?uide, à utiliser la méthode la plus pratique

en fonction de ce que vous avez calculé précédemment.Correction n°9 : Écoulement sous une onde de gravité1.L"écoulement est instationnaire car le temps apparaît explicitement dans le champ de vitesses. On calcule

facilement en coordonnées cartésiennes div =?0???(-?)cos(??-??)+ 0 +?0????cos(??-??)= 0,

l"écoulement est donc incompressible. En?n, le rotationnel ne peut posséder qu"une composante selon

#»??qui vaut????? =?0????sin(??-??)-?0???(-?)(-sin(??-??)) = 0. L"écoulement est donc aussi irrotationnel.Remarque

La théorie des ondes de surface est développée sous les hypothèses d"écoulement incompressible et

irrotationnel.2.Les lignes de courant sont tangentes aux vecteurs vitesse.

3.La surface libre est une onde progressive. La vitesse normale à la surface est nulle de sorte que celle-ci est

tangente aux vecteurs vitesses en surface sur la ?gure (a). ce qui se traduit par ? ≪ ℎ??ℎ ≪1. Nous quanti?erons ce résultat au complément sur les ondes de surface.

5.Comme en mécanique, la trajectoire s"obtient en intégrant la vitesse. Selon??:

?(?) =???(?)d?=?0????sin(??-??)d?= -?0???? cos(??-??).

De même selon??:

?(?) =???(?)d?=?0???? sin(??-??).

On véri?e que?2(?) +?2(?) =??

0???? ?2 de sorte que les trajectoire sont bien des cercles, lesquels, d"après les signes respectifs de?et?, sont décrits dans le sens horaire (anti-trigonométrique).

Dans ce calcul on a négliger le fait que la vitesse dépend de la position c"est-à-dire qu"on a considérer que sur

une période du mouvement le déplacement de la particule?0??est négligeable devant la longueur d"onde

2???.

6.La ligne de courant est la ligne de champ du vecteur vitesse, qui n"est pas un cercle ici comme on l"a

montré plus haut. Il n"y a que dans le cas d"un écoulementstationnaireque ces lignes sont confondues avec

les trajectoires ce qui n"est pas le cas ici.

BIBLIOGRAPHIE103Correction n°10 : Tourbillon de Rankine1.Les équations de la magnétostatique s"écrivent :

div #»?= 0# »rot?#»??=?0#»?

Pour un écoulement incompressible :

div #»?= 0# »rot(#»?)=#»?= 2#»Ω(9.13) ?est analogue à#»?, et2#»Ωà?0#»?

2.Il s"agit d"un problème analogue à celui d"un ?l in?ni en magnétostatique. On se place en coordonnées

cylindriques et on considère?un point quelconque. Le plan(?,#»??,#»??)est un plan de symétrie pour la

vorticité (analogue aux courants) : c"est un plan d"antisymétrie pour#»?(analogue à#»?). D"où#»?=??#»??. Par

invariance selon?et?,??ne dépend que de?.

2????= 2Ω??2

soit??= Ω?et pour? > ?:

2????= 2Ω??2

soit : ?=Ω?2?

104BIBLIOGRAPHIE

Correction des exercices du chapitre 2

Correction n°11 : Résultante des forces de pressionCommençons par étudier un élément de surfaced?, de normale#»??, de la demi-sphère dans le système de

coordonnées sphériques de centre?. La résultante des forces de pression qui s"y exerce est :d#»?= d#»?eau+

que de?et est donnée par l"équilibre hydrostatique?eau=?0+??(?-ℎ)où?est pris nulle au fond etℎest la

hauteur du ?uide. Ainsi, la force qui s"exerce surd?est d #»?= (?0+??(?-ℎ) -?0)d?#»??=??(?-ℎ)d?#»??.

Par symétrie, la force totale, somme de toutes ces contributions sur la partie mouillée du saladier, est selon

de sorte qu"on ne peut s"intéresser qu"à la composante d #»??#»??=??(?-ℎ)d?sin? .

En?n, l"élément de surface sphérique a pour expressiond?=?2sin?d?d?et en termes des coordonnées

sphériques on exprime?=?sin?. On a alors à intégrer : ?=∬??(?sin?-ℎ)sin??2sin?d?d? .

La surface de la sphère immergée est décrite en faisant varier l"angle?de0à2?et l"angle?de0à un angle

limite marquant la hauteur d"eau??= arcsin(ℎ/?). Il faut ainsi calculer 2? 0

0??(?sin?-ℎ)sin2(?)?2d?d? .

L"expression ?nale est établie en calculant

???[3](?)d?= -34 cos(?)+112 cos(3?)et?sin2(?)d?=?2 -14 sin(2?), mais ne présente pas de simpli?cation avantageuse de sorte que c"est assez pénible...

La sphère se soulève dès que la résultante des forces en question compense son poids ce qui n"est possible que

si elle n"est pas trop lourde.Correction n°12 : Pression dans un fluide incompressible en équilibre dans le champ de pesanteurOn part de l"équation fondamentale de la statique des ?uides dans laquelle on a?=?0constante car le ?uide

est incompressible et?constante par hypothèse. On a donc (?ascendant) : d?d?= -?0? .105

106BIBLIOGRAPHIECette équation s"intègre immédiatement :

?(?) =?0-?0?? ,

et lorsque?→?+ 10on gagne une pressionΔ?= 10 ×?0?≈ 1.105Pa = 1bar.Correction n°13 : Interprétation probabiliste du facteur de BotlzmannCette question n"a de sens qu"à condition de remarquer que le modèle précédentne permet pas de connaître

la position ni l"altitude précise de chaque particule.C"est tout l"enjeu de la physique statistique!

Considérons donc une tranche d"atmosphère cylindrique de base?comprise entre?et?+ d?. Le nombre de

particules dans la tranche est donné par d?(?) =??d?(?)? =???(?)?d?? =???0?? exp?-?? ?d? .

Par intégration on exprime le nombre total de particules dans la colonne d"atmosphère de hauteurℎ:

?=0d?(?) =???0??? ?1 - exp?-ℎ?

La probabilité pour une particule donnée de se trouver dans cette tranche est liée, à un facteur numérique

près, à la proportion de particules dans la tranche d"épaisseurd?:ℙ(?) = d?(?)??qui est proportionnelle au

facteur exp ?= exp?-????? ?= exp?-?⋆??? où?⋆est la masse d"une molécule?⋆=????et??=????= 1,381.10-23J?K-1est la constante de

Boltzmann.

On reconnaît ici le facteurexp?-??(?)?

???appelé facteur de Boltzmann. On prolonge ce résultat par la loi de

Boltzmann : " Dans un systèmeà l"équilibre thermique avec un thermostatà température?, la probabilité

de Boltzmann».Correction n°14 : La poussée d"Archimède dans l"eau1.Si le solide ?otte, c"est que son poids est équilibré par la poussée d"Archimède :#»?= -#»Π. Or on a#»?=???#»?

et la poussé d"Archimède s"exprime à partir du volume immergé??:#»Π = -????#»?. L"équilibre impose ainsi

??#»?= -????#»?d"où??=???

Puisque? > ??, il s"ensuit que??< ??.

2.Le rapport?????est égal à0,895. Il en est de même, d"après la question précédente, pour le rapport du

volume immergé sur le volume total si bien que le volume immergé??représente près de90%du volume total

?de l"iceberg.

3.Il est facile de véri?er que la fonte d"un morceau de glace pure ?ottant sur de l"eau pure se produit sans

changement de niveau de l"eau. Le volume de glace immergé correspond en e?et au volume d"eau liquide

nécessaire pour égaler le poids du glaçon (Eq. 1). En fondant, le glaçon produit (par conservation de la masse)

exactement ce volume d"eau, qui " bouche le trou laissé par la disparition de la glace solide ». Le niveau de

l"eau reste le même.

On peut également faire le calcul. Pour un glaçon de1cm3et de masse volumique0,917g?cm-3(qui contient

BIBLIOGRAPHIE107donc0,917gd"eau), le volume immergé est0,917cm3- comme pour un iceberg, la majeure partie est sous

exactement le volume qu"occupait la partie immergée du glaçon.Correction n°15 : Manomètre à deux liquidesOn note?le point au sommet du liquide 2 (noir) à droite, et?le point au sommet à gauche. On applique la

loi barométrique dans la partie droite entre di?érents points (se souvenir que la pression augmente toujours

quand on descend dans un ?uide en équilibre hydrostatique) :

•entre A et C :??-??=?1?(??-??),

•entre B et D :??-??=?1?(??-??),

•entre C et D :??-??=?2?ℎ.

En sommant ces trois équations, on obtient :

?-??=?2?ℎ+?1?(??-??+??-??) =?2?ℎ+?1?(ℎ-?), d"où ?nalement ℎ=Δ?+?1??(?1+?2)?.Correction n°16 : Hémisphères de Magdebourgz O Rp 0 p 0 p 0 (a)(b)Schéma d"une hémisphère de Magdebourg.

Première méthode :On intègre la pression sur la sphère (voir ?gure (a)). Par symétrie, la force est selon?. La

normale est#»??. La force vaut : où?2sin(?)d?d?est l"élément de surface. Or#»??= cos(?)#»??- sin(?)#»??. D"où : ?= -?0?2?2? 0 d???/2 0 sin(?)cos(?)d? = -?0?2× 2?×?(sin (?))22 ??/2 0 = -?0(??2) Application numérique :?=?× (0,21)2× 105= 1,4.104N.

Deuxième méthode :On considère le système?hachuré de la ?gure (b). Ce système est fermé, constitué d"air,

immobile. Selon?, la somme de la force de la sphère sur?et de la force de l"air sur?est nulle (première loi

de Newton). Or, la force selon?de l"air sur?vaut-?0(??2). La force de la sphère sur?vaut donc+?0(??2).

En utilisant la troisième loi de Newton, la force de?sur la sphère vaut-?0(??2).

108BIBLIOGRAPHIECorrection n°17 : Équilibre d"un fluide en rotation1.Le référentielR, en rotation uniforme dans le référentiel du laboratoire n"est pas galiléen. Il en résulte deux

nulle et on ne retient que la force d"inertie d"entraînement#»?ie=???2#»?. La particule est aussi soumise à sont

poids#»?= -d??#»??et à la résultante volumique des forces de pression#»?= -# »grad(?)d?ou, en introduisant

la masse volumique de l"eau (constante), #»?= -# »grad(?)d??

Sans surprise le champ est invariant par rotation autour de??, ni par translation selon cet axe. Une fois

dessiné dans un plan horizontal (par exemple?= 0) il est obtenu en tout point. La composante verticale est la

même en tout point de sorte que toutes les ?èches ont la même hauteur. La composante radiale, tournée vers

l"extérieur, est d"autant plus grande qu"on s"éloigne de l"axe. On obtient la ?gure suivante.

3.Le principe fondamental de la dynamique, appliqué à une particule ?uide donne à l"équilibre

#»?=#»0 =#»?+#»?ie-# »grad(?)d?? 0?? =?0?2? = -?0? .?⎧ ⎪⎪⎨⎪⎪⎩?(?,?) =?0?2?22 ?(?,?) = -?0??+?(?). On a ainsi déterminé?(?,?)à une constante près :?(?,?) =?0?2?22 -?0??+?et?(0,0) =?0impose?=?0.

Finalement,

?(?,?) =?0?2?22 -?0??+?0.

4.La surface libre est une isobare véri?ant?(?,?) =?0ce qui impose

?=?2?22?,

est grande. Les isobares sont perpendiculaires en tout point au champ de pesanteur apparent.Correction n°18 : Tube coudéOn écrit la loi barométrique entre le niveau extérieur d"eau et le haut de la dénivellation (point A) pour obtenir

?=?0-???ℎ. On considère ensuite qu"entre?et?(point sur la même verticale au niveau du coude) il n"y

a pas de variation appréciable de pression car on est dans l"air. On écrit ensuite la loi fondamentale entre le

point?et le point?situé au bout de la paille, le tout dans le référentiel tournant à?. # »grad(?)=#»?=???2? , où on a écrit l"expression de la force volumique d"inertie d"entraînement.

Cette loi s"intègre entre?et?:

d?=???2?d???0-??=???2?22

Finalement???2?22

=?0-??=?0-??=???ℎ?ℎ=???

2?22?.

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