Quand la re ch e rch e é c l a i re la pédagogie
de l'Assomption à Paris
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Se reporter aux magazines Passerelle 1 et 2 et au site Après s'être déclaré « très ouvert » sur le sujet en 1997
Introduction à la programmation en R
cuter le code informatique se trouvant dans les sections d'exemples à la fin Dès la fin des années 1980 et pendant près de vingt ans le S a principa-.
Treaty Series Recueil des Traites
Chaque ann6e de validit commencera le Ier juin et se terminera le 31 mai de Cidusula I. 0 objetivo do presente Convenio 6 a concessdo de apoio.
La constitution de léchantillon démographique permanent de 1968
Il revient également sur les chaînes de production de l'EDP et leurs évolutions. marge se limitent à son existence à sa date et au fait qu'il s'agit ...
France portrait social
En Guyane et à La Réunion ils restent moins nombreux
Compétence en communication professionnelle en santé
9.3.1 Le dossier médical papier comme le dos- sier électronique
DS.67.A11
Le Bureau de recherches géologiques et minières (*) s'est vu confier par après l'établissement du dossier ce report sera laissé au soin du .Service.
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1 - ANALYSE DE LETAT INITIAL DU SITE
5 CEOG : Centrale Electrique de l'Ouest Guyanais. Page 7. CEOG. Dossier de demande d'autorisation environnementale –. Présentation de l'
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J i l lG l o b e - t r o t t e u s eRßexion Le théâtre et le sacréEn seignementcatholiquewww.scolanet.orgACT UAL I T É SFormation
Des écoles sur la routedes "fils du vent»
Numéro 289,décembr e 2004,4,50eQuand la re ch e rch eé c l a i re la pédagogie SommaireN °2 8 9 ,DÉCEMBRE 2004Enseignement catholique actualités3O u ve r t u r e ae t re attentif lÕEsprance 5A c t u a l i t é s
Enseignement cat h o l i q u e7
u c at i o n1 7R e l i g i o n2 0
R evues Expre s s / A g e n d a / B O2 2
Po r t ra i t
J i l lG l o b e - t ro t t e u s e3 8
nDepuis dix semaines, une collégienne deonze ans est partie en familleà la rencontre des enfants du monde.I n i t i at ives
C o l l ePar-del les images4 0
nRetour sur une matinée passée à l'Institutde l'Assomption, à Paris, autour du dern i e ropus de Raymond Depardon, en compagnied'élèves de 3
eet d'une animatrice du Serv i c echrétien du cinéma.Ly c eUn cercle europen
qui ra y o e4 2nÀ Sainte-Geneviève d'Asnières, près de Paris,depuis une quinzaine d'années, un noyaudur d'Européens convaincus développe l'es-prit communautaire chez les lycéens. G e s t i o n
Une Providence aux normes de qualit4 4
nPar la voie de la certification ISO 9001, unlycée de Blois (Loir-et-Cher) a réorganisé l'en-semble de sa gestion et de son fonctionne-ment, fixant à chacun des objectifs qualitéqui redynamisent aussi la gestion du per-s o e l .Fo r m at i o n
Des coles sur la route des ÇÞls d u ventÈ4 6nDes camions-écoles suivent les Tziganesdans le pé riple nomade qui fonde leur culture, apportant à leurs enfants les fonda-mentaux du lire-écrire-compter.Pa roles d'élève s
Elle a bon dos, la prcocit!4 8
nRencontre à l'Institution Notre-Dame-de-Sion de Strasbourg avec des enfants dits "i n t e l-lectuellement précoces». C u l t u r e
H i s t o i renAu X I Xesiècle, sur l'île du Levant, au large de Toulon, il y avait un bagneet mu s i q u ed ' e a n t s .Claude Gritti a raconté ces histoires de vies broyées dont le Crea,centre d'éveil artistique d'Aulnay-sous-Bois, a tiré un opéra pour enfants. 5 6
L i t t rat u renAvec Titus Flaminius, un thriller antique, Jean-François Nahmias est devenu la
j e u n e s s ecoqueluche des ados. Alexandre Révérend, dans Le pays du bout du lit, abordeun sujet difficile : la mort.5 8
L iv re snUne sélection de quinze titres.6 0
M u l t i m i anCédéroms, CD, et télévision.6 6D o s s i e r Quand la re ch e rche claire la pdagogie3 0couter un enfant nÕest pas le cro i re5 0
nLes remous de l'affaire d'Outreau sont à peine apaisés. Les portes de la prison se sontouvertes, refermées, rouvertes sur des vies brisées. Des questions restent en suspens. Faut-il,ou non, croire les enfants? Point de vue d'un expert auprès des tribunaux. Le thtre et le sacr5 2
nLe fait religieux peut-il éclairer l'enseignement du théâtre ou l'enseignement du théâtreouvrir sur le fait religieux? Un homme de théâtre, doubl é d'un pédagogue, répond.O u t i l s
Le fait religieux et les langues5 4
nLes professeurs de langue peuvent-ils être concernés par l'enseignement du fait religieux?Oui, s'ils tirent parti de l'étude de la civilisation.
Les ch i res clefs de lÕenseignement catholique Pages 24 ? 29N ¡2 8 9 ,DECEMBRE 2004Enseignement catholique actualités5P u b l i c ation officielle du Secrtariat gnral de l'enseignement catholique / AG I C E C
nDirecteur de la publicat i o n> Paul Malartre nRédacteur en ch e f>Gilles du Retail nRédacteur en ch e fadjoint >Sylvie Horgue-
lin nOnt participé à la rédactionde ce numéro > Jean-Louis Berger-Bordes, Marc Beyer, Sophie Bizouard, Joseph Decoopman, Bernard
Descouleurs, Élisabeth du Closel, Yvon Garel, Véronique Glineur, Marie-Christine Jeanniot, Bruno Grelon, José Guillemain, Christophe Merlant, Colette Moreau, Antonio Neme-Capitaine, Mathilde Raive, Olivia Verdier
n i t i o n> M a r i e - Françoise Comte, Dominique Wasmer (rédacteurs-graphistes), René Troin (secrétaire de rédaction) nConception graphique> Pro Public nDiffusion et publicité> Inès de Saint-Germain,
Jean-Noël Ravolet et Géraldine Brouillet (commandes) nRédaction, administration et abonnements> 277 rue Saint-Jacques, 75 2 40 Paris Cedex 05. Tél. :01 53 73 73 75. Fax. : 01 4 6 34 72 79
nE - m a i l>eca@scolanet.org nA b o e m e n t> 45e/an nNuméro de commission paritaire>0707 G 79858nI m p r i m e u r>Vincent, 26 avenue Charles-Bedaux, BP 4229, 37042 Tours Cedex 1. Ouverture
ae t re attentif lÕEspra n c e ‡Au moment o nous bouclons ce nu m ro,l Õ e n s e i g n e m e n t catholique entre dans un doubl e temps fort,celui de ses assises dontlÕun des points dÕorgue se situe les3 et 4 dcembre 2004,et celui de
l Õ a m n agement lgi s l a t i f ,n c e s- s a i re pour clariÞer la situation ju- ridique des ma"tre s ,dont le vo t e sÕeffectue lÕAssemble nationa- le le 8 dcembre 2004.Ces deu x vnements so nt
dÕailleurs profondment lis puis- quÕils visent au respect des per- s o e s: comment faire en sorte que dans chaque tabl i s s e m e n t , chaque acteur de la commu n a u- t ducative soit accueilli,re c o n- nu et va l o r i s ? Et comment per- m e t t re chaq ue enseignant dÕaccomplir sa mission en aya n t une quit de rmu n ration et de seignement publ i c?Dans notre dossier du mois de
j a nv i e r,no us vous prsentero n s gagements pris dans les tabl i s- sements en communaut du- c a t ive comme au niveau diocsain et national,et les pages dÕactua- lits se feront largement lÕch o des précisions légi s l a t ives qui se- ront vo t é e s .Cette fin de trimestre s'av è re donc
p a r t i c u l i è rement dense puisque les membres des commu n a u t é s u c a t ives doive n t ,comme ch a q u e a é e,a jouter à leur quotidien les contrôles scolaire s ,les conseils de classe,les conseils d'établ i s s e- m e n t ,les préparations de la fête de Noël...C ep e n d a n t ,toutes "ces ch a rge s
de trava i l» constituent autant d'oc- casions d'être attentifs dans nos actes à l'Espérance de ceux qui nous entoure n t .M i t o n s ,en ce temps de Noël,cette phrase du pape Jean XXIII: ÇIl vaut mieux tre un chrtien sans le dire que de le dire sans lÕtre.ÈAvec toute la rdaction,je vo u s
souhaite de bonnes ftes de Nol et une anne 2005 propice la ra- lisation de tous les pro j e ts quiGilles du RetailRédacteur en chef
Se former pour mieux apprhender la diffrenceLa commission nationale d'adaptation et d'intégration scolaires (Cnais) s'est réunie à Pa ris
les 23 et 24 nove m b re 2004.Au pro g ramme de sa session d'automne: "Comment penser a u j o u rd'hui la formation pour les membres de la communauté éducat ive?1» . S i les cinq commissions duComité national de l'en-
seignement catholique (Cnec) se sont donné un même sujet d'inve stigation et de r é flexion (c f .note 1), la ques- tion de la forma tion d es membres de la communautééducative se pose dans des
t e rmes particuliers dès lors que l'on s'intéresse à l'adaptation et à l'intégration scolaires (AIS).C'est là une des convictions de
Serge Launey
2, le président de
la Cnais: "L e public scolaire accueilli dans l'AIS est tel que les besoins de formation sont parti- c u l i e r s .»Ce point de vue, les membres
de la commission le parta- gent. C'est ce que mettent enévidence les travaux conduits
dans les ateliers: interv e n i rdans le ch amp de l'AIS requiert une expertise parti- culière, qu'il s'agisse d'établir un diagnostic pédagogique, de développer des pratiques différenciées adaptées aux "b esoins éducatifs particu- l i e r s» des élèves, de nouer des partenariats avec les différents spécialistes qui interv i e e n t auprès de ces jeunes, d'ac- compagner chacun. Autant de compétences requises de tous les membres de la com- munauté éducative, même si elles se déclinent différemment pour chacun.Par ailleurs, conséquence du
passage de l'intégration à l'in- clusion qui privilégie la scola- risation des élèves "h a n d i c a - p é s» en milieu ordinaire, les enseignants spécialisés devien- nent des personnes ressources qui aident les professeurs des classes dites "o r d i n a i r e s» à prendre en charge un public dont ils ne sont pas familiers.Il leur faut alors développer des
compétences dans l'accompa- gnement de leurs collègues, l'analyse des pratiques, l'éva- luation des dispositifs péda-gogiques mis en place, leur réajustement.Le choix d'une école inclusive
fait que la formation doit aus- si aider à un changement de regard sur la différence. Ce qui demande un travail sur les représentations qui doit impli- quer toute la communauté édu- c a t i v e: personnels de l'établisse- ment, élèves et parents. À cetégard, "bien des choses ont évo-
l u é», souligne Serge Launey, et "l 'élève différent est regardé comme une personne en tant que t e l l e».Pour le président de la Cnais,
s'il faut "pr endre en compte la différence sans se polariser sur e l l e», il convient aussi de "l a banaliser sans pour autant l'ou- b l i e r» .Et d'évoquer "ces jeunes intégrés en milieu ordinaire qui, souffrant de ce que leur différen- ce soit occultée, demandent à rejoindre, pour un temps de respi- ration, une structure spécialisée» .Des situations qui exigent de la
souplesse dans le passage de l'école ordinaire à la structure et, plus encore sans doute, de la structure à l'école et, qui sup- posent là encore, pour surm o n t e r les résistances, de la form a t i o n .C o nviction partagéeÀ tout cela, s'ajoutent, comme
l'ont souligné Bruno Égron 3e tRaymond Duittoz
4, le nombre
insuffisant d'enseignants spé- cialisés - un nombre important de postes AIS sont pris en char- ge par des enseignants "n o n s p é c i a l i s é s» - et l'absence de f o rmation spécialisée dans le second degré. Sur ce dern i e r point, les besoins sont impor- tants, a rappelé Bruno Égron, la part d'enfants handicapés diminuant au fur et à mesure que l'on s'élève dans les diffé- rents niveaux d'ens e i g n e m e n t .Reste que si la formation dans
l'AIS présente des spécific i t é s , les membres de la Cnais ont aussi insisté sur sa transversa- lité, que celle-ci concerne le repérage des difficultés ou les méthodes mises en place pour les surm o n t e r. Comme le rap- pelait André Blandin5, les pro-
fesseurs de collège, confrontésà la prise en charge des diffi-
cultés des élèves et à la gestion de l'hétérogénéité, trouvent dans les m éthodes expéri- mentées avec des élèves à "besoins éducatifs particuliers»évoqués plus haut, des solu-
tions adaptées aux spécific i t é s de leur public6. Une conviction
partagée par Serge Launey: "L 'ensemble du système éduca- tif a tout à gagner en dévelop- pant des liens plus étroits avec l'AIS. Certes la pédagogique spé- c i fique à ce secteur mérite d'être connue. Mais c'est surtout le regard d'espérance que les ensei- gnants spécialisés portent sur les jeunes qui leur sont confiés, la croyance en leur éducabilité, que l'on aimerait rencontrer chez tout u c a t e u r.» nVÉRONIQUE GLINEUR1. Ce thème de travail est commun au
cinq commissions du Comité national de l'enseignement catholique (Cnec) qui se retrouveront les 5 et 6 avril prochain pouréchanger sur la façon dont chacune, dans
sa spécificité, envisage cette formation. Il s'agit, outre la Cnais, de la Commission nationale de pédagogie (CNP), de la Com- mission nationale d'animation pastora- le (Cnap), de la Commission nationale de catéchèse (CNC) et de la Commission nationale éducation à l'universel (Cneu).Cf. ECA 289, pp. 7 et 9
2. Directeur diocésain de Bayeux.
3. Inspecteur de l'Éducation nationale
chargé de l'adaptation et de l'intégration scolaires. Il intervient comme form a t e u r au Centre national d'études et de form a- tion pour l'enfance inadaptée (Cnefi) .4. Responsable de la mission AIS de
l'Union nationale pour la promotion pédagogique et professionnelle dans l'en- seignement catholique (Unapec).5. Secrétaire général-adjoint de l'ensei-
gnement catholique.6. E C A286, p. 24.
N °2 8 9 ,DÉCEMBRE 2004 Enseignement catholique actualits7"L 'ensemble du système éducatif a tout à gagner en développant des liens plus étro i t s avec l'AIS.»enseignement catholiqueTra n s f e r t .Les méthodes développées dans l'AIS peuvent être utiles à tout ensei-
gnant confronté à la gestion de l'hétérogénéité des élèves. (Photo : D.L a c r o i x )Actualités Journe intersyndicale des chefs dÕtablissement A vec plus de 500000 visi- teurs et plus de 20 0 0 exposants pour sa sixiè- me édition, le Salon de l'édu- cation, organisé par la Ligue de l'enseignement, a confirm é son statut d'événement qui marque désormais le secteuréducatif.
Comme chaque année, ce Salon,
qui s'es t déroulée du 18 au21 novembre 2004, a mobilisé
les jeunes à la recherche d'in- f o rmations et de conseils sur leur orientation, mais aussi le s parents, venus en renfort ou en quête de documentation. La for- te fréquentation sur les deux jours du week-end prouve que les jeunes ont une réelle atten- te particulièrement ressentie sur l'espace de l'Onisep1, de L' É t u-
diant et de l'Aventure des métiers.Pour sa part, le stand de l'en-
seignement catholique ( n o t r e photo) a enregistré une deman- de d'informations importante sur les classes préparatoires, les B T S2et les grandes écoles de la
F é s i c
3. il a été peu fréquenté par
les jeunes cherchant des ren- seignements sur les voies de l'al- t e rnance et des form a t i o n s professionnelles après la troi-sième. Par ailleurs, les pôles "Devenir professeur» n'ont pas connu l'affluence de l'an der- n i e r. Toutefois, de nombreux adultes enseignants sont venus pour savoir s'il était possible de passer de l'enseignement publicà l'enseignement catholique.
De leur côté, les universités
catholiques ont pu répondre à de multiples interrogations sur leurs différentes filières.Véritable coeur du Salon, la
"Cité de l'éducation» a connu un certain engouement du public, tout comme l'espace Jeu-nesse et Citoyenneté, grâce à la qualité des différents débats, tables rondes et présentations organisés par la Ligue de l'en- seignement, l'association Civis- me et Démocratie (Cidem), les associations, mouvements péda- gogiques et syndicats.Les espaces, tels que la Maison
de quartier, l'École, le Centre culturel, le Centre de loisirs, l'Agora ou le Café citoyen ont j u s t i fié leur place au sein de laC i t é .
Quant au salon Éducatec, qui
p e rmet aux entreprises de pré-senter des matériels et des maté- riaux destinés aux établisse- ments, sa fréquentation a été identique à celle de l'an dern i e r.Selon Stéphane Pic-Paris, com-
missaire général, les exposants sont cette année particulière- ment satisfaits non seulement du nombre et de la qualité des contacts, mais aussi du nombre de contrats signés directement sur le Salon.Ce dernier a offert, en outre,
l'occasion de mieux connaître les différents acteurs du mon- de éducatif, et leur a perm i s d'exprimer leurs points de vue sur l'actualité de ce secteur.I lreste cependant aux organi-
sateurs à donner à cette mani- festation plus de cohérence à partir d'un thème central et à entraîner une plus forte mobi- lisation à part ir d'une im- plication renforcée des autori- tés de tutelle du monde éduca- tif. Une rencontre préalable des exposants par champs d'im- plication dans le système d'édu- cation ne serait pas de trop. nG D R1. Office national d'information sur les
enseignements et les professions.2. Brevet de technicien supérieur.
3. Fédération d'écoles supérieures d'ingé-
nieurs et de cadres.Actualitésenseignement catholique P lus de 800 chefs d'éta- blissement de l'enseigne- ment privé sous contrat ont répondu à l'appel de leurs cinq syndicats1le 10 novembre
2004 à Issy-les-Moulineaux
(Hauts-de-Seine).Cette journée sur le thème "L e
chef d'établissement au coeur de l'établissement» constitue un événement car c'est la "p r e- mière fois que les cinq syndicats se réunissent pour réfléchir à leur métier et pour affirmer ensemble leur capacité à créer un ensei- gnement catholique en évolution», estimait François David.Une enquête auprès de quatre
mille adhérents des syndicats a dessiné une physionomie des chefs d'établissement. Il en res- sort notamment que la grande majorité d'entre eux sont des hommes (67,2%) et qu'ils sont5 4 , 6% à avoir plus de 51 ans.Ils sont 22,8% au même poste
depuis 10 à 15 ans; 33,3% ont b é n é ficié d'une formation de une à trois semaines et 20,1% de un mois à un mois et demi.Soulignons aussi la forte deman-
de d'accompagnement (64,4%) devant un métier qui se com- p l e x i fie et un sentiment gran- dissant d'isolement.D'autre part, les chefs d'établis-
sement qui s'estiment porteurs d'une histoire, ont exprimé leur inquiétude devant la transmis- sion de leur héritage. Deux inter- ventions ont permis de situer la place du chef d'établissement par rapport à l'État et au droit canon. Ferdinand Bellengier a indiqué qu'il ne pouvait y avoir de dissociation entre l'éducation et l'enseignement dans l'ensei- gnement catholique et qu'à cetitre il était fondamental pour le chef d'établissement de pou- voir constituer son équipe pour donner de la cohérence au pro- jet éducatif. Et Alain Boirivent a rappelé que "la relation entrequotesdbs_dbs31.pdfusesText_37[PDF] CONTRAT DE LICENCE, DE DROIT D USAGE ET DE MAINTENANCE DE LOGICIEL. n XXXX-XX-XX-X
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