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ABRÉGÉ - Rapport sur linclusion économique 2021

Colin Andrews

Aude de Montesquiou

Inés Arévalo Sánchez

Puja Vasudeva Dutta

Boban Varghese Paul

Sadna Samaranayake

Janet Heisey

TimothyClay

Sarang Chaudhary

ABRÉGÉ

Rapport

sur l'inclusion

économique2021Mis en oeuvre par :

Rapport sur l'inclusion

LE POTENTIEL DE L'ÉCHELLE

Colin Andrews, Aude de Montesquiou,

Inés Arévalo Sánchez, Puja Vasudeva Dutta,

Boban Varghese Paul, Sadna Samaranayake,

Janet Heisey, Timothy Clay et

Sarang Chaudhary

ABRÉGÉ

Cet abrégé présente une vue d'ensemble et la table des matières du The State of Economic Inclusion Report?2021:

The Potential to Scale

, doi : 10.1596/978-1-4648-1598-0. La version intégrale du rapport, une fois publiée, sera

afchée en format PDF sur les sites https://openknowledge.worldbank.org/ et http://documents.worldbank

.or

g/, et des exemplaires du rapport peuvent être commandés à l'adresse www.amazon.com. Pour toute

citation, reproduction et adaptation, veuillez utiliser la version dénitive du rapport. © 2021 Banque internationale pour la reconstruction et le développement/La Banque mondiale

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; Internet: www .worldbank.org

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Inés Arévalo Sánchez, Puja Vasudeva Dutta, Boban Varghese Paul, Sadna Samaranayake, Janet Heisey, Timothy

Clay et Sarang Chaudhary. 2021. "

R apport sur l'inclusion économique2021: le potentiel de l'échelle.

» Abr

égé.

Washington, DC: La Banque mondiale. Doi: 10.1596/978-1-4648-1598-0. Licence: Creative Commons

Attribution CC BY 3.0 IGO

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Photo de couverture:

© poco_bw/istock.com. Reproduite avec l'autorisation de istock.com ; autorisation nécessair e pour toute autre utilisation. Conception de la page de couverture et des illustrations:

Will Kemp, Groupe de la Banque mondiale.

iii

Table des matières

Avant-propos ...............................................................v

Remerciements

Abréviations

Résumé analytique

Grandes attentes et dose de scepticisme

.......................................1

Principales contributions du

Rapport sur l'inclusion économique2021

.............2 Transformer l'existence de personnes vivant dans une pauvreté et un e ..................................6

Dix grandes constatations

Perspectives d'avenir

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .11

Notes

Table des matièr

es du

Rapport sur l"inclusion économique 2021 :

Le potentiel de l"éc helle v

Avant-propos

L e Rapport sur l'inclusion économique2021: le potentiel de l'échelle met en vedette un des problèmes de développement les plus tenaces, à savoir la transformation de la situation économique des personnes extrêmement pauvres et vulnérables. Au moment de la rédaction du rapport, ce problème est davantage magnié par la pandémie de COVID-19, qui frappe le plus durement les couches pauvres et vulnérables, et qui, selon des données préliminaires, a des effets disproportionnés sur les femmes. Les programmes d'inclusion économique se heurtent au double dé de l'adaptation des normes de mise en oeuvre pendant une pandémie et de la capacité à s'intégrer dans les efforts de redressement à moyen et long terme. Dans un contexte marqué par de grandes incertitudes, le présent rapport apporte une lueur d'espoir. Il pose comme hypothèse centrale le fait que les populations pauvres et vulnérables sont confrontées à des obstacles multiples lorsqu'elles tombent dans " les pièges de la pauvreté », lesquels exigent une réponse multidimensionnelle.

Des pr

ogrammes d'inclusion économique en cours dans plus de 75pays conrment cette hypothèse et montrent que la réponse apportée commence à porter des fruits. Dénis ici comme un paquet d'interventions multidimensionnelles et coordonnées qui aide les individus, les ménages et les communautés à accroître leur revenu et leurs actifs, les programmes d'inclusion économique font preuve de souplesse dans des contextes divers. Le renforcement du pouvoir économique des femmes est un domaine potentiellement porteur de transformations profondes. C'est ainsi qu'il existe désormais un volume considérable de travaux opérationnels axés sur une conception des programmes prenant expressément en compte la problématique du genre, en vue de promouvoir l'autonomisation et de réduire au minimum les risques auxquels les ménages et les communautés pourraient être exposés involontairement. Le paysage mondial de l'inclusion économique a connu de profondes mutations ces dernières années. L'augmentation substantielle des interventions à travers le monde est motivée par la transposition à plus grande échelle de programmes gouvernementaux qui mettent à prot les investissements dans la protection sociale, les moyens de subsistance et l'emploi, ainsi que l'inclusion nancière. Cette dynamique est entretenue par une mine d'innovations et d'enseignements en lien avec plusieurs expériences et domaines techniques, y compris des programmes d'insertion, de lets de sécurité sociale productifs et d'initiative communautaire, ainsi que des interventions locales de développement économique. Une contribution majeure de ce rapport est qu'il

procède - pour la première fois - à un examen systématique des efforts à la fois de

pouvoirs publics et d'entités non gouvernementales. Les données qui y sont présentées fournissent des critères uniques pour l'évaluation du paysage mondial actuel, et nous permettront d'en suivre l'évolution dans les années à venir. Toutes ces informations soulèvent une question fondamentale: quel est le potentiel d'expansion de ces programmes multidimensionnels ? Le véritable potentiel des programmes d'inclusion économique ser a révélé par l'envergure qu'ils auront atteinte après avoir été adoptés par les acteurs publics. Beaucoup de pays se trouvent aux premiers stades de ce voyage et aux prises avec les questions de faisabilité et de viabilité des programmes. C'est la raison pour laquelle le rapport met fortement l'accent sur le contexte politique qui entoure la mise à l'échelle des programmes et les nombreux arbitrages auxquels doivent se soumettre les pouvoirs publics pour faire avancer cette cause. Il attire l'attention sur les possibilités d'amélioration de vi

RAPPORT SUR L'INCLUSION ÉCONOMIQUE 2021

la cohérence des programmes du point de vue de la mise en œuvre, des ressources nancières et des politiques, avec une direction et une collaboration renforcées. Bien entendu, pour réussir, les interventions publiques ont aussi besoin d'un partenariat solide à l'échelon local, avec des organisations de proximité, des organisations non gouvernementales (ONG) et le secteur privé. Le

Rapport sur l"inclusion économique?2021

souligne la possibilité de s'appuyer sur les systèmes de protection sociale et la collaboration intersectorielle qu'ils impliquent. Ces dernières années, on assiste à une forte augmentation des nancements et de la couverture des programmes de protection sociale à travers le monde, qui donne lieu à une série de résultats concrets illustrant la manière dont les transferts monétaires, en particulier, peuvent renforcer l'équité et la résilience chez les plus pauvres. À mesure que les pays élargissent la portée et augmentent les nancements de cette forme de protection sociale, les notions de lets de sécurité sociale productifs ( safety nets-plus ) et de transferts monétaires productifs ( cash plus ) prennent de plus en plus d'importance, le terme " productif » indiquant la possibilité de compléter les transferts monétaires av ec d'autres apports et composantes de services ou en établissant des liens avec d'autres secteurs (agriculture, environnement, services nanciers, etc.). L'inclusion économique joue un rôle moteur dans l'agenda des lets de sécurité sociale pr oductifs : elle montre une capacité particulière à renforcer l'impact des programmes, mais a également tendance à en accroître les coûts et la complexité. De ce fait, le rapport fait avancer le débat sur des questions clés telles que l'incidence et le coût des programmes, qui sont fondamentales pour la viabilité des interventions d'inclusion économique à l'échelle. Il révèle un ensemble prometteur et potentiellement soutenu d'effets de diverses natures. Une analyse des coûts dans différents pays permet d'apporter des précisions sur les principaux déterminants et fourchettes de coûts dans différents programmes. On retiendra surtout que la réexion

engagée dans ce rapport met en relief la nécessité de rééquilibrer le débat sur les effets

et les coûts en vue de conrmer l'évolution de projets autonomes sans but lucratif vers des programmes gouvernementaux. Une telle évolution aura d'importantes implications opérationnelles pour l'identication d'interventions d'un bon rapport coût-efcacité et pour l'optimisation des coûts. L'apprentissage continu et la collecte de données seront particulièrement importants à mesure que les programmes s'adaptent à l'évolution des situations de pauvreté et de grandes tendances telles que la fragilité, les chocs (y compris ceux liés au changement climatique), l'urbanisatio n, la numérisation et la démographie. Publication phare du Partenariat pour l'inclusion économique (PEI), le rapport met opportunément l'accent sur l'échange de connaissances et la collaboration. PEI est une plateforme dédiée qui travaille avec une diversité d'acteurs, y compris des autorités nationales et des organisations bilatérales, multilatérales et non gouvernementales, des instituts de recherche et des opérateurs privés à soutenir l'adoption et l'adaptation de programmes nationaux d'inclusion économique. Le réseau formé par PEI joue un rôle essentiel en ce qu'il contribue à la formation de bonnes pr atiques fondées sur des données probantes, réunit des experts et constitue une plateforme à partir de laquelle afner la réexion et partager des connaissances de pointe sur l'inclusion écono mique, en mettant fortement l'accent sur celle des femmes. Comme exemple de cet échange de connaissances, le rapport est publié en accès libre et ouvert sur le portail des données de PEI (www.peiglobal.org), ce qui facilitera l'apprentissage mutuel et aidera à suivre l'évolution du paysage mondial dans les prochaines années.

RAPPORT SUR L'INCLUSION ÉCONOMIQUE 2021

vii

Nous nous félicitons donc de la parution du

Rapport sur l"inclusion économique

2021 qui est un jalon important pour l'apprentissage continu dans le cadre de notre

mission commune d'appui à la transposition à plus grande échelle de programmes d'inclusion économique viables et d'un bon rapport coût-efcacité au prot des plus pauvres dans les prochaines années. Nous espérons vivement poursuivre cette collaboration fructueuse.

Michal Rutkowski

Directeur

Pôle Protection sociale et emplois,

Banque mondialeRakesh RajaniVice-président, ProgrammesCo-Impact

Shameran Abed

Directrice senior

BRACBirgit PickelDirecteur général adjointBMZ (ministère fédéral de la Coopération et du Développement économiques, Allemagne)

ix

Remerciements

L e présent rapport a été préparé par une équipe dirigée par Colin Andrews, directeur de programmes, et Aude de Montesquiou, spécialiste des questions de protection sociale et chef d'équipe adjoint, et composée des personnes suivantes: Inés Arévalo Sánchez, Sarang Chaudhary, Timothy Clay, Puja Vasudeva Dutta, Janet Heisey, Boban Varghese Paul et Sadna Samaranayake. L'équipe se félicite des contributions des auteurs des études de cas qui ont servi de base à l'élaboration des principaux concepts et à l'orientation globale du rapport. Il s'agit de: Edward Archibald (consultant indépendant), Thomas Bossuroy (Groupe de la Banque mondiale) et Patrick Premand (Groupe de Banque mondiale) sur le Sahel ; Raúl Asensio (Instituto de Estudios Peruanos) sur le progr amme Haku Wiñay

Sadna Samaranayak

e (Groupe de la Banque mondiale) sur le projet JEEViKA, avec la contribution de Paramveer Singh et d'Ajit Ranjan (JEEViKA) ainsi que de Kshovan

Guha et Gautam Patel du réseau de chercheurs

Abdul Latif Jameel Poverty Action

Lab ; et Isabel Whisson sur BRAC, avec le concour s de Rozina Haque, Julie Kedroske et Munshi Sulaiman, tous de BRAC, et d'Imran Matin, de Narayan Das et de Syed

Hashemi de BRAC University.

L'équipe remercie Ian Walker (Groupe de la Banque mondiale) pour ses orientations générales. Elle remercie également Lindsay Coates (BRAC), Margaret Grosh (Groupe de la Banque mondiale), Doris King (Co-Impact), Ralf Radermacher (GIZ), Rakesh Rajani (Co-Impact), Dena Ringold (Groupe de la Banque mondiale) et Michal Rutkowski (Groupe de la Banque mondiale) de leurs conseils stratégiques. Tout au long du processus de rédaction du rapport, l'équipe s'est inspiré des travaux antérieurs et des conseils préliminaires de Katharine McKee et Steen Lau Jorgensen, tous deux retraités du Groupe de la Banque mondiale.

Le présent rapport n'aurait pas été possible sans les formulaires d'enquête détaillés

reçus d'une centaine d'organisations, y compris de partenaires gouvernementaux, des Nations Unies et d'ONG, ainsi que de services opérationnels de la Banque mondiale. Les annexes du rapport décrivent les programmes de chacun de ces contributeurs de manière détaillée. Edward Archibald (consultant indépendant) et Johanne Buba (Groupe de la Banque mondiale) ont substantiellement contribué aux données techniques et analytiques des chapitres1 et 2 ainsi que 3 et 4, respectivement. Hitoishi Chakma (Groupe de la Banque mondiale) a fourni un appui considérable aux auteurs et éditeurs pendant les recherches et au moment de la rédaction et l'édition du rapport. L'équipe remercie Vasumathi Anandan, Karen Pefey et Kevwe Pela, tous du Groupe de la Banque mondiale, pour leur soutien inestimable aux travaux de recherche. L'équipe tient à témoigner sa gratitude aux membres du comité de lecture et du Conseil consultatif intérimaire du Partenariat pour l'inclusion économique (PEI-IAC) pour leurs conseils avisés et leurs orientations détaillées. Il s'agit de: William Abrams (Trickle Up), Anush Bezhanyan (Groupe de la Banque mondiale), Joanne Carter (Results), Aline Coudouel (Groupe de la Banque mondiale), Frank De Giovanni (PEI-IAC), Ugo Gentilini (Groupe de la Banque mondiale), Nathanael Goldberg (Innovations for Poverty Action), Jakob Lessin (GIZ), Jesse Marsden (Results), YvesMoury (Fundación Capital), Laura Ralston (Groupe de la Banque mondiale), Indhira Santos (Groupe de la Banque mondiale), x

RAPPORT SUR L'INCLUSION ÉCONOMIQUE 2021

Parmesh Shah (Groupe de la Banque mondiale), Carolina Trivelli (PEI-IAC) et

Will Wiseman (Groupe de la Banque mondiale).

Les personnes qui suivent ont apporté de précieuses contributions, idées et observations pendant le processus de rédaction du rapport : Gayatri Acharya (Groupe de la Banque mondiale), Jackie Aldrette (AVSI Foundation), Kathleen Beegle (Groupe de la Banque mondiale), Christian Bodewig (Groupe de la Banque mondiale), Ioana Botea (Groupe de la Banque mondiale), Hugo Brousset Chaman (Groupe de la Banque mondiale), Laura Campbell (Groupe de la Banque mondiale), Eliana Carranza (Groupe de la Banque mondiale), Wendy Chamberlin (projet BOMA), Luc Christiaensen (Groupe de la Banque mondiale), Tim Conway (ministère du Développement international du Royaume-Uni, DFID), Louise J. Cord (Groupe de la Banque mondiale), February Curry (GIZ), Vidya Diwakar (Overseas Development Institute, ODI), Sara Giannozzi (Groupe de la Banque mondiale), Markus Goldstein (Groupe de la Banque mondiale), Lisa Hannigan (ministère australien des Affaires étrangères et du Commerce, DFAT), Alessandra Heinemann (Groupe de la Banque mondiale), Aylin Isik-Dikmelik (Groupe de la Banque mondiale), Dean Karlan (Innovations for Poverty Action), Christof Kersting (GIZ), Mattias Lundberg (Groupe de la Banque mondiale), Fazley Mahmud (DFAT), Brett Matthews (My Oral Village), Carolina de Miranda (Fundación Capital), Matteo Morgandi (Groupe de la Banque mondiale), Edmundo Murrugarra (Groupe de la Banque mondiale), Benedetta Musillo (DFID), David Myhre (USAID), Juan Navarrete (Fundación Capital), Aileen O'Donovan (IrishAid), Alreena Renita Pinto (Groupe de la Banque mondiale), Nelly Ramirez (Fundación Capital), Tatiana Rincón (Fundación Capital), Keetie Roelen (Institute of Development Studies), Andrew Shepherd (ODI), Anton Simanowitz (consultant), Sandor Sipos (Groupe de la Banque), Cornelia Tesliuc (Groupe de la Banque mondiale), Siv Tokle (Groupe de la Banque mondiale) et Natalia Winder Rossi (Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture). Nous remercions le Bureau des publications du Groupe de la Banque mondiale, et tout particulièrement Jewel McFadden et Mark McClure pour leurs conseils empressés et leur appui direct, ainsi que Yolaine Montoya (Groupe de la Banque mondiale) et Marc DeFrancis (consultant) pour leur soutien additionnel. xi

Abréviations

BMZ ministère fédéral de la Coopération et du Développement économiques (Allemagne) BRLPS

Bihar Rural Livelihoods Promotion Society

DFID ministère du Développement international du R oyaume-Uni ECR essai contrôlé randomisé FCV fragilité, con?it et violence FI inclusion ?nancière GIZ agence allemande de coopération internationale

JEEViKA

sigle local du projet BRLP L&J moyens de subsistance et emploi ODD

Objectif de développement durable

ONG organisation non gouvernementale PEI

Partenariat pour l"inclusion économique

PPA parité de pouvoir d"achat SJY

Satat Jeevikoparjan Yojana

SSN ?let de sécurité sociale Tous les montants cités dans cette publication sont en dollars des États-Unis, sauf indication contr aire. 1

Résumé analytique

D epuis quelques années, on observe un mouvement grandissant à travers le monde en faveur du renforcement et de la transposition à plus grande échelle de l'inclusion économique des couches les plus pauvres. Des actions d'envergure sont entreprises à la lumière des Objectifs de développement durable (ODD) pour éliminer la pauvreté sous toutes ses formes et partout dans le monde d'ici 203 0 etpromouvoir une croissance soutenue et partagée (ODD8). Le

Rapport sur l'inclusion

économique2021: le potentiel de l'échelle

donne à voir un paysage mondial en pleine

mutation, tel qu'illustré par les expériences des 75pays étudiés. L'élan qui sous-tend

cette mutation est suscité par l'expansion de programmes gouvernementaux mettant à prot des investissements dans la protection sociale, les moyens de subsistance et l'emploi, ainsi que l'inclusion nancière. Cette mutation est également nourrie par une base de données factuelles porteuse de promesses et une mine de connaissances découlant de programmes d'insertion mis en oeuvre par des organisations à but non lucratif.

Les efforts de passage à une échelle supérieure visent à faire face aux niveaux élevés

d'extrême pauvreté et, plus récemment, aux conséquences de la COVID-19.

D'ici 203

0, si rien ne change, on estime que 479millions de personnes vivront dans une pauvreté extrême, et la proportion des pauvres vivant dans des pays fragiles et touchés par un conit devrait atteindre 50% de la populationmondiale 1 . Au vu des répercussions de la pandémie de COVID-19 pendant les derniers mois de 2020, le risque est grand que plus de 80millions de personnes supplémentaires dégringolent dans l'extrême pauvreté. Fort heureusement, l'expérience acquise récemment montre le potentiel des programmes d'inclusion économique - dans le cadre des mesures intégrées prises par les pouvoirs

publics - à atténuer le ralentissement de l'économie tout entière et de certains secteurs

du fait de cette pandémie, et à favoriser le rétablissement des moyens de subsistance et le relèvement des communautés au bout du compte.

Grandes attentes et dose de scepticisme

À mesure que les programmes d'inclusion économique des plus pauvres montent en puissance, on voit se former de grandes attentes et une dose considérable de scepticisme. Une économie durable et solidaire qui " ne laisse personne sur la touche » est plus importante aujourd'hui que jamais auparav ant. Certes, une croissance économique porteuse de transformations est le moteur ultime de la réduction de la pauvreté, mais elle n'est pas automatiquement partagée et ne prote pas toujours aux ménages les plus pauvres. En renforçant l'inclusion économique au prot des plus démunis, il importe d'identier les " pièges de la pauvreté » et de comprendre que libérer le potentiel pr oductif des personnes vivant dans la pauvreté implique de lever de multiples obstacles au moyen d'une réponse multidimensionnelle. En pratique, ce sont des groupes de population spéciques tels que les femmes, les jeunes, les personnes handicapées et les personnes déplacées, qui risquent de souffrir le plus des difcultés rencontrées par les ménages et les communautés, dans l'économie locale et au niveau du cadre institutionnel. Les programmes d'inclusion économique ont tendance à insister fortement sur le renforcement du pouvoir économique des femmes, qui est une priorité intersectorielle, et qui peut être un puissant vecteur de changement. 2

RAPPORT SUR L'INCLUSION ÉCONOMIQUE 2021

Les données contenues dans le présent rapport indiquent qu'il existe trois points d'ancrage à partir desquels les pouvoirs publics mettent à prot des programmes existants de lutte contre la pauvreté pour concevoir des interventions d'inclusion

économique sur mesure :

1.

Filets de sécurité sociale (SSN)

2.

Moyens de subsistance et emploi (L&J)

3.

Inclusion nancière (FI).

Si ces points d'ancrage ne sont pas mutuellement ex clusifs ou complémentaires, ils offrent une base sur laquelle des investissements peuvent s'appuyer et des collaborations sectorielles de plus grande envergure s'établir. Une telle orientation a d'importantes implications du point de vue opérationnel. Les pouvoirs publics intègrent délibérément des programmes d'inclusion économique dans les stratégies et les cadres nationaux de lutte contre la pauvreté. En effet, ces programmes sont considérés comme un complément important des efforts de lutte contre la pauvreté en cours. Par exemple, à mesure que les pays élargissent la portée et augmentent les nancements des lets de sécurité, les notions de lets de sécurité sociale productifs ( social safety nets-plus ) ou de transferts monétaires productifs ( cash-plus ) prennent de plus en plus d'importance. L'inclusion économique est une composante fondamentale du cadre d'action des lets de sécurité productifs, le terme " productif » indiquant la possibilité de compléter les transferts monétaires av ec d'autres apports et composantes de services ou en établissant des liens avec des services externes. En dénitive, la tendance à l'abandon des approches individuelles au prot de modèles plus intégrés offre des possibilités d'amélioration de la cohérence des programmes du point de vue de la mise en œuvre, des ressources nancières et des politiques. En dépit des importants progrès accomplis, le potentiel d'expansion des programmes d'inclusion économique est examiné à la lumière de débats critiques sur

leur faisabilité et leur viabilité. Ces programmes peuvent être considérés comme étant

trop complexes ou coûteux pour fonctionner à grande échelle. Dans de nombreux pays, particulièrement à faible revenu, les pouvoirs publics auront du mal à mobiliser les moyens requis pour administrer et gérer des interventions multidimensionnelles et intersectorielles. À mesure que les programmes d'inclusion économique prennent de l'ampleur, les facteurs d'économie politique gagnent en importance. Par conséquent, l'adoption de ces programmes et leur transposition à une plus grande échelle dépendront de leur acceptabilité sur le plan politique et impliqueront des arbitrages, particulièrement autour de leurs objectifs et de leurs cibles prioritaires. C'est dans ce contexte que le rapport porte un regard neuf sur l'impact et le coût des programmes, dans le but de mieux comprendre la base factuelle et les réalités nancières qui, au bout du compte, en déterminent l'échelle. Principales contributions du Rapport sur l'inclusion

économique

2021
Le rapport recense 219 programmes d'inclusion économique actifs dans 75 pays, qui protent à près de 92 millions de personnes, ainsi que d'autres programmes en phase

de préparation. L'enquête réalisée par le Partenariat pour l'inclusion économique (PEI)

sur le paysage des programmes d'inclusion économique en 2020 (voir l'annexe A) révèle une diversité d'entités d'exécution, mais le nombre de programmes gouvernementaux augmente rapidement : ceux-ci couvrent environ 90 % des

bénéciaires de ce type d'opération, et représentent 50 % des interventions étudiées

RAPPORT SUR L'INCLUSION ÉCONOMIQUE 2021

3 (voir la gure O.1). Il convient de noter que ces chiffres correspondent à un seuil de référence bas, compte tenu des lacunes dans les données disponibles, de l'évolution rapide de la réserve de projets, et des dés rencontrés dans la communication desquotesdbs_dbs33.pdfusesText_39
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