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MICS6 - Madagascar - Mortalité des enfants
Mortalité post-néonatale: calculée comme différence entre les taux de Les enfants de moins de 5 ans les plus ... les plus exposés au risque de décès.
Quelle est la différence entre plus et moins?
-Les comparaisons: les formulations utilisant les mots « plus » ou « moins » sont diverses et demandent d’être discutées avec les élèves (de plus que, en plus, de moins que, en moins). Ces expressions ne sont pas du même type que « au moins, au plus » qui n’amènent pas à une comparaison.
Quelle est la différence entre « au moins » et « au moins » ?
La locution adverbiale « au moins » est formée de l’article contracté « au » et du nom « moins ». Elle signifie « au minimum » et demeure invariable.
Quelle est la différence entre au moin et au moins ?
La réponse est ici ! Au moin ou Au moins ? Exemple : ‘’Nous limiterons au moins les dégâts avec cette mesure.’’ La locution adverbiale « au moins » est formée de l’article contracté « au » et du nom « moins ». Elle signifie « au minimum » et demeure invariable.
Quelle est la définition de 'du moins' ?
Du moins signifie « en tout cas » et introduit une restriction. Voici de nombreux exemples pour vous aider à mieux utiliser cette expression. ???? Liste d’exemples utilisant « du moins ».
![MORTALITÉ DES ENFANTS DE MOINS DE CINQ ANS MORTALITÉ DES ENFANTS DE MOINS DE CINQ ANS](https://pdfprof.com/Listes/18/598-1808Chapitre8.pdf.pdf.jpg)
MORTALITÉ DES ENFANTS DE MOINS DE CINQ ANS
8Gora Mboup
Bruno Magloire Nouatin
Le niveau de mortalité des enfants est considéré parmi les meilleurs indicateurs du niveau de
développement d'une population. Il est, en effet, l'une des composantes de l'indice du développement
humain (IDH) élaboré par les Nations Unies. Les résultats fournis par l'EDSB-II seront utiles pour la
mise en place des programmes de santé et de développement socio-économique. Ces résultats concernent
les niveaux, tendances et caractéristiques de la mortalité des enfants selon la résidence et l'instruction des
mères, le suivi des grossesses et l'assistance à l'accouchement, et selon certaines caractéristiques du
comportement reproductif (l'âge de la mère à la naissance de l'enfant, le rang de naissance et l'intervalle
entre naissances).8.1 MÉTHODOLOGIE
Les indicateurs de mortalité présentés dans ce chapitre sont calculés à partir d'informations sur
l'historique des naissances recueillies dans le questionnaire individuel. Comme indiqué au chapitre 4,
l'enquêtrice demandait à la femme de fournir la liste de ses naissances en précisant le sexe, l'âge, l'état de
survie et, en cas de décès, l'âge au décès (au jour près pour les décès de moins d'un mois, au mois près
pour ceux de moins de deux ans, et en années pour les décès survenus à deux ans ou plus). Les indicateurs
suivants sont calculés à partir de ces informations :quotient de mortalité néonatale (NN) : mesure, à la naissance, la probabilité de décéder avant
d'atteindre un mois exact ;quotient de mortalité post-néonatale (PNN) : mesure, chez les enfants âgés d'un mois exact, la
probabilité de décéder avant d'atteindre le douzième mois exact ; quotient de mortalité infantile ( 1 q 0 ) : mesure, à la naissance, la probabilité de décéder avantd'atteindre le premier anniversaire (le terme taux de mortalité infantile sera aussi utilisé pour
désigner le quotient de mortalité infantile) ; quotient de mortalité juvénile ( 4 q 1 ) : mesure, chez les enfants âgés d'un an exact, la probabilité de décéder avant d'atteindre le cinquième anniversaire ; quotient de mortalité infanto-juvénile ( 5 q 0 ) : mesure, à la naissance, la probabilité de décéder avant d'atteindre le cinquième anniversaire.L'estimation de la mortalité à partir de l'historique des naissances présente à la fois des limites
d'ordre méthodologique et des risques d'erreurs d'enregistrement. La collecte des informations auprès de
personnes vivantes au moment de l'enquête (ici les femmes de 15-49 ans) ne donne aucune information
sur la survie ou le décès d'enfants dont la mère est actuellement décédée. Dans le cas où ces enfants,
orphelins de mère, seraient en nombre important et où leur mortalité serait différente des enfants dont la
mère est en vie (ce qui est certainement le cas), les niveaux de mortalité s'en trouveraient affectés. Dans
le cas de l'EDSB-II, les résultats de l'enquête ménage (tableau 2.4 du chapitre 2) indiquent que seulement
2 % des enfants étaient orphelins de mère. Toutefois, en limitant la collecte des données aux seules
femmes de 15-49 ans, les informations découlant de l'historique des naissances ne sont pas complètement
116 | Mortalité des enfants de moins de cinq ans
représentatives des différents intervalles de la période passée. Si, pour les cinq années précédant
l'enquête, la presque totalité des naissances (et de la mortalité infanto-juvénile qui peut s'ensuivre) sont
issues de femmes de 15-49 ans à l'enquête, il n'en est pas de même pour les intervalles plus anciens :
pour la période 10-14 ans avant l'enquête, aucune information sur les naissances issues des femmes de
40-49 ans à cette époque n'est disponible.
Du point de vue de la collecte proprement dite, la validité des données peut être affectée par :
le sous-enregistrement des événements, en particulier l'omission d'enfants qui meurent très jeunes, quelques heures ou jours après la naissance ;les déplacements différentiels des dates de naissance des enfants, selon qu'ils sont vivants ou
décédés ;l'imprécision des déclarations d'âge au décès, en particulier l'attraction des 12 mois comme
âge au décès, en transformant une partie des décès de jeunes enfants (moins de 12 mois) en
décès d'enfants plus âgés (12 à 59 mois), peut, à la fois, engendrer une sous-estimation de la
mortalité infantile et une surestimation de la mortalité juvénile, sans pour autant modifier le
niveau de la mortalité infanto-juvénile. Par rapport à ces problèmes de collecte, Sullivan et al. (1990) ont montré que les limitesméthodologiques inhérentes à l'historique des naissances et les risques d'erreurs ou d'imprécisions de
collecte n'induisent en général qu'une très faible marge d'erreur dans les mesures des événements
récents. Dans le cadre de ce rapport, on n'a donc procédé à aucun ajustement qui nécessiterait, au
préalable, une évaluation détaillée de la qualité des données de l'historique des naissances. Étant donné
que plus la période de référence est éloignée de la date de l'enquête, plus le risque d'imprécision est
important, l'interprétation des changements survenus dans les niveaux de mortalité peut donc en être
affectée. Ainsi, nous avons limité l'étude des tendances sur les quinze dernières années.
8.2 NIVEAUX ET TENDANCES
Le tableau 8.1 présente les différents quotients de mortalité (néonatale, post-néonatale, infantile,
juvénile et infanto-juvénile) pour les quinze dernières années précédant l'enquête selon trois périodes
quinquennales. Durant la période la plus récente (1996-2001), sur 1 000 enfants, 89 décèdent avant
d'atteindre leur premier anniversaire, dont 38 ‰ entre 0 et 1 mois et 51 ‰ entre 1 et 12 mois. Ce résultat
montre que le Bénin n'a pas atteint l'objectif d'une mortalité infantile de 69 ‰ en l'an 2000 qu'il s'était
fixé dans le Programme National d'Action en faveur des Enfants et des Mères (Ministère de la Santé
Publique, 1999). Par ailleurs, on note que pour 1000 enfants ayant atteint leur premier anniversaire, 78
décèdent avant d'atteindre leur cinquième anniversaire, et sur 1000 naissances, 160 décèdent avant
d'atteindre leur cinquième anniversaire.Tableau 8.1 Taux de mortalité des enfants
Quotient de mortalité néonatale, post-néonatale, infantile, juvénile et infanto-juvénile par périodes de cinq ans précédant
l'enquête, Bénin 2001Nombre d'années
précédant l'enquête Mortalité néonatale (NN) Mortalité post- néonatale (PNN) 1Mortalité
infantile ( 1 q 0 ) Mortalité juvénile ( 4 q 1 ) Mortalité infanto- juvénile ( 5 q 00-4 38,4 50,7 89,1 77,8 160,0
5-9 44,7 56,2 100,9 71,8 165,5
10-14 54,0 62,2 116,2 89,7 195,4
1 Calculé comme étant la différence entre les taux de mortalité infantile et néonatale Mortalité des enfants de moins de cinq ans | 117Comparé au niveau de mortalité atteint par d'autres pays africains ayant réalisé la même enquête,
le niveau de mortalité infantile observé au Bénin est plus élevé que celui observé au Gabon (57 ‰ en
2000), au Cameroun et au Togo, où il est de 80 ‰ en 1998 (Anipah et al., 1999 ; Fotso et al., 1999 ;
Barrère et al, 1999). Durant la première année de vie de l'enfant, la situation du Bénin est, toutefois,
meilleure que celle de la Guinée (107 ‰ en 1999), du Burkina Faso (109 ‰ en 1999) et du Niger (136 ‰
en 1998).Sur la période des 15 dernières années, on a observé une baisse générale de la mortalité des
enfants de moins de cinq ans, aussi bien au niveau de la période néonatale et post-néonatale qu'au niveau
juvénile. Avec un taux de mortalité néonatale passant de 54 à 38 ‰ et un taux de mortalité post-natale
passant de 62 à 51 ‰ entre 1986-1991 (10-14 ans avant l'enquête) et 1996-2001 (0-4 ans avant
l'enquête), la mortalité infantile a baissé, passant de 116 ‰ en 1986-1991 à 89 ‰ en 1996-2001
(graphique 8.1). En ce qui concerne la mortalité juvénile, son niveau actuel (78 ‰) est nettement inférieur
à celui observé en 1986-1991 (90 ‰). Le faible niveau de la mortalité juvénile observé dans la période
1991-1996 (72 ‰) par rapport à celui de 1996-2001 (78 ‰) est dû certainement à une sous-estimation de
la mortalité juvénile causée par un déplacement des décès de la période 1991-1996 vers la période 1986-
1991. Ainsi, globalement, entre la naissance et le cinquième anniversaire, le niveau de la mortalité a
fortement baissé au cours des 15 dernières années, passant de 195 ‰ en 1986/1991 à 160 ‰ en 1996-
2001, soit une baisse globale de 35 ‰.
Graphique 8.1
Tendances de la mortalité infantile et infanto-juvénileBénin 2001
10-14 5-9 0-4
Période avant l'enquête (ans)6080100120140160180200Décès pour 1 000
Mortalité
Infantile (1q0)
Infanto-juvénile (5q0)
Si l'on compare les résultats de l'EDSB-II à celui de l'EDSB-I, on observe une baisse sensible de
la mortalité, à l'exception de la mortalité néonatale, dont le niveau reste stable (autour de 38 ‰) comme
le montre le tableau 8.2. La mortalité infantile passe de 94 ‰ en 1996 à 89 ‰ en 2001. Cette baisse de la
mortalité infantile est due principalement à la baisse de mortalité post-natale (elle était de 56 ‰ en 1996
contre 51 ‰ en 2001). Comme en 1996, le niveau de la mortalité infantile est le résultat de la surmortalité
post-néonatale (Djagba et al., 1999), bien que son impact ait légèrement baissé. En effet, si en 1996, 60 %
des décès infantiles interviennent entre 1 et 12 mois, cette proportion tombe à 57 % en 2001.
118 | Mortalité des enfants de moins de cinq ans
Tableau 8.2 Mortalité des enfants de moins de cinq ansQuotient de mortalité néonatale, post-néonatale, infantile, juvénile et infanto-juvénile pour la période des cinq dernières
années précédant les enquêtes EDSB-I (1996) et EDSB-II (2001)Enquête Mortalité
néonatale (NN) Mortalité post- néonatale (PNN) 1Mortalité
infantile ( 1 q 0 ) Mortalité juvénile ( 4 q 1 ) Mortalité infanto- juvénile ( 5 q 0EDSB-I, 1996 38,2 55,8 93,9 80,0 166,5
EDSB-II, 2001 38,4 50,7 89,1 77,8 160,0
Rapport (EDSB-II/ EDSB-I) 1,01 0,91 0,95 0,97 0,96 1 Calculé comme étant la différence entre les taux de mortalité infantile et néonatale8.3 MORTALITÉ DIFFÉRENTIELLE ET GROUPES À HAUTS RISQUES
Le tableau 8.3 présente les différents quotients de mortalité des enfants selon les caractéristiques
socio-démographiques de la mère, pour la période des 10 ans précédant l'enquête (1992-2002). La
référence à une période de dix années est utilisée ici pour pouvoir disposer, dans chaque sous-groupe de
population, d'un nombre d'événements statistiquement suffisant pour le calcul des différentes
probabilités. Le graphique 8.2 illustre les niveaux de mortalité infanto-juvénile selon les différentes
caractéristiques de la mère, à savoir le département, le milieu de résidence et le niveau d'instruction, ainsi
que les soins prénatals et l'assistance à l'accouchement. Tableau 8.3 Mortalité des enfants par caractéristiques socio-économiquesQuotient de mortalité néonatale, post-néonatale, infantile, juvénile et infanto-juvénile pour la période de 10 ans
précédant l'enquête par caractéristiques socio-économiques de la mère, Bénin 2001
Caractéristique
socio-économique Mortalité néonatale (NN) Mortalité post- néonatale (PNN) 1Mortalité
infantile ( 1 q 0 ) Mortalité juvénile ( 4 q 1 ) Mortalité infanto- juvénile ( 5 q 0Milieu de résidence
Urbain 32,7 40,2 72,9 65,5 133,6
Cotonou 38,3 17,7 56,0 34,6 88,7
Autres villes 30,7 48,3 79,0 76,4 149,4
Rural 45,3 59,2 104,5 79,3 175,5
Département
Atacora 43,0 67,9 110,9 69,0 172,2
Ensemble Atlantique 40,5 36,7 77,2 48,3 121,8Atlantique 42,4 52,3 94,7 59,6 148,6
Cotonou 38,3 17,7 56,0 34,6 88,7
Borgou 39,7 48,8 88,5 97,7 177,5
Mono 38,0 47,0 85,0 74,4 153,1
Ouémé 32,5 49,2 81,8 78,3 153,6
Zou 51,4 68,8 120,2 79,2 189,9
Niveau d'instruction
de la mèreAucun niveau 41,0 59,2 100,2 82,6 174,5
Primaire 48,7 38,7 87,5 58,4 140,8
Secondaire ou plus 27,3 25,8 53,1 29,3 80,8Ensemble 41,4 53,4 94,8 75,0 162,7
1 Calculé comme étant la différence entre les taux de mortalité infantile et néonatale Mortalité des enfants de moins de cinq ans | 119Les risques de décéder avant l'âge de cinq ans présentent des écarts importants selon le milieu de
résidence. Quel que soit le type de mortalité des enfants, le niveau de la mortalité dans la ville de Cotonou
représente au moins pratiquement la moitié de celui du milieu rural, à l'exception de la mortalité
néonatale où il est de 1,2 fois inférieur (38 ‰ à Cotonou contre 45 ‰ en milieu rural). Par contre, le
niveau de la mortalité néonatale des autres villes est inférieur à celui de Cotonou (31 ‰ dans les autres
villes et 38 ‰ à Cotonou). Bien que la couverture en matière d'infrastructures sanitaires soit générale,
Cotonou bénéficie de beaucoup d'autres avantages comme l'hôpital national de référence (CNHU), de
meilleures conditions économiques et le faible impact des facteurs socio-anthropologiques traditionnels
sur le comportement des ménages, etc. Quant au reste du milieu urbain, son niveau de mortalité est
toujours inférieur à celui du milieu rural. La mortalité, surtout infantile, est nettement moins élevée dans
les autres villes (79 ‰) qu'en milieu rural (105 ‰).Au niveau départemental, contrairement à la situation observée en 1996 où les départements de
l'Atacora et du Borgou détenaient le triste record de zone à forte mortalité, les résultats de l'EDSB-II
montrent que le département du Zou devient le département à forte mortalité des enfants, quel que soit le
type de mortalité, à l'exception de la mortalité juvénile pour laquelle il se situe en deuxième position
derrière le Borgou (79 ‰ pour le Zou et 98 ‰ pour le Borgou). Au niveau départemental, les résultats
montrent que : les départements du Zou, de l'Atacora et de l'Atlantique se caractérisent par des niveaux demortalité infantile relativement élevés, respectivement 120 ‰, 111 ‰ et 95 ‰. Cet ordre
d'importance est respectée tant pour la mortalité néonatale que la mortalité post-néonatale. En
dehors de Cotonou (56 ‰), les plus faibles taux de mortalité infantile sont observés dansl'Ouémé (82 ‰) et le Mono (85 ‰), et dans une certaine mesure le Borgou (89 ‰) ;
en ce qui concerne la mortalité juvénile, c'est dans le Borgou (98 ‰), le Zou (79 ‰) et
l'Ouémé (78 ‰) que l'on constate les taux les plus élevés. En ce qui concerne la mortalité
juvénile, c'est dans la ville de Cotonou que l'on observe le niveau le plus faible (35 ‰), suivie du département de l'Atlantique (60 ‰) ;Graphique 8.2
Mortalité infantile et infanto-juvénile selon les caractéristiques de la mèreBénin 2001
RÉSIDENCECotonouAutres villes
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