Débats économiques et financiers
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Régime de transfert des actifs intergénérationnel
Le Régime de transferts des actifs intergénérationnel de BMOMD Assurance à une police d'assurance vie universelle de BMO Société d'assurance-.
RÈGLEMENT (UE) 2021/2036 DE LA COMMISSION du 19
19 nov. 2021 en cohortes annuelles des contrats mutualisés intergénérationnels et ... par l'entité lors d'un transfert de contrats d'assurance ou d'un ...
Grand âge le temps d agir
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Transfert de ferme : Comment sassurer un transfert réussi?
Le transfert d'entreprise Une stratégie d'investissement et de croissance du patrimoine ... Investir cette somme dans un contrat d'assurance vie.
la répartition des prélèvements obligatoires entre générations et la
quo vis-à-vis des générations actuellement en vie comme si aucun ajustement du contrat intergénérationnel n'était possible vis-à-vis de ces. 13Op.cit.
Les transferts intergénérationnels
Les transferts intergénérationnels. LA VIE SOCIALE FAIT COEXISTER À TOUT INSTANT
Économie des transferts entre générations : altruisme équité
L'économie des relations et des transferts intergénérationnels privilégie un domaine d'analyse celui de la croissance macroéconomique à long terme :.
Les transferts intergénérationnels des migrants âgés
Menée en 2003 auprès d'un échantillon de 6 211 immigrés âgés de 45 à 70 ans résidant position du cycle de vie où les opportunités de transferts avec les.
Débats éÉconmsatisqueménsFréttoms1.camMs.eétéÉuh,oMsomsHutateuonMs"lspg sIntergenerationalRiskSharinginLifeInsurance:EvidencefromFrance
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ZIntergenerationalRiskSharinginLifeInsurance:EvidencefromFranceAbstract:[6=5AEN:45678646795:;49<7:=>=?97:48:47A7;YE64;F:4956E<:@6:4=A794B6B;4579B5=W9?6=6=9D:48=R7;EAB5=76R76=645\O];@5?6<:@6:4=A794B6F97>65:47A7;R6W0=:48768A<95;7N94E=A7D6NE959@;75?6G764B?F97>65LX?:B ?:=^PWZ57:<<:;4<9786LX6949 `Non-Technical Summary Research question Insurance against marke t risk can be provided to house holds through two different mechanisms: cross-sectional risk sharing between the insurer and house holds, and intergenerational risk sharing across generations of hous eholds. This paper studies intergenerational risk sharing in the most common type of life insurance contract in Europe, so-called Euro-denominated life insurance contracts. We use regulatory and survey data from the French regulatory and supervisory authority (ACPR) to study intergenerational risk sharing in life insurance. At the end of 2015, the value of Euro-denominated life insurance contracts in France is €1,300 billion, which represents 80% of aggregate life insurance provisions and 40% of aggregate household financial wealth. Our objective is twofold. The first one is to study the smoothing of contract returns through fund reserves and to quantify the transfers across generations of investors it induces. The second one is to a nalyze the implica tions of s moothing for the predictabilit y of c ontract returns and for household flows into life insurance contracts. Results Regarding the first objective, we have four main findi ngs. First, contract returns are significantly smoother than funds' asset re turns. Second, fluctuations in asset returns are absorbed by fund reserves, the latter explaining almost entirely the wedge between asset returns and contract returns. Third, the amount of investor account value transferred across time through fluctuations in fund reserves is large: annual average transfer is 3.7% of account values. Fourth, the amount of account value transferred across generations of investors is large: annual average transfer is 1.4% of account values. Regarding the second objective, we find that insurers hedge contract returns against market risk using reserves. When the asset return is high, part of it is hoarded as reserves for future distribution, leading to a high level of fund reserves that predicts large future contract returns. Conversely, when the asset return is low, insurers draw on reserves, leading to a low level of fund reserves that predicts low future contract returns. Finally, we test whether investor flows react to these predictable contract returns. If inflows were highly correlated with the level of reserves, this would quickly dilute reserves and undo the predictive power of reserves for future contract returns. We find that inflows are responsive to the level of reserves, but only to a limited extend. This paper sheds light on a specificity of Euro-denominated contracts, suggesting that an aggregate shift from these contracts to unit-linked contracts would change the pattern of aggregate risk sharing in the economy, possibly to a sizeable extent given the large aggregate amount of intergenerat iona l transfers we estimate. An additional potent ial benefit of intergenerational risk sharing is that it may allow insurers to hold riskier assets, as risk is better shared (Gollier (2008)). hRésumé non technique Question de recherche Deux mécanism es peuvent permettre aux ménages de se couvrir contre l e risque de marché : le partage de risque transversal entre l'assureur et les ménages, et le partage de risque intergénérationnel entre différentes cohortes de ménages. Ce papier étudie le partage de risque intergénérationnel à l'oeuvre dans le type de contrats d'assurance vie le plus répandu en Europe, les " contrats euro » ou leurs équivalents. Nous utilisons des données du superviseur français, l'Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) pour étudier le partage de risque intergénérationnel dans l'assurance vie. Fin 2015, la valeur des " contrats euro » en France est de 1300 milliards d'euros, ce qui représente 80% des provisions d'assurance vie et 40% du patrimoine financier des ménages. Notre objectif est double. Dans un premier temps, nous étudions le lissage du taux de revalorisation via la gestion des réserves, afin de quantifier les transferts entre différentes générations d'épargnants en assur ance vie. Dans un sec ond temps, nous ana lysons les implicat ions de ce lissage pour la prédictibilité des taux de revalorisation, ainsi que pour les flux de collecte en assurance vie. Résultats En ce qui concerne le premier objectif, nous obtenons quatre résultats. Premièrement, les taux de revalorisation sont nettement plus lisses que les rendements sur actif des fonds euro. Deuxièmement, les fluctuations des rendements sur actif sont absorbées par les réserves des fonds, ces dernières variant quasiment un-pour-un avec les fluctuations des rendements sur actif, permettant d'expliquer la quasi-totalité du différ entiel entre taux de revalorisation et rendements sur actif du fonds . Troisièmement, les montants transférés int ertemporelle ment via la gestion des ré serves sont économiquement larges : nous les estimons à 3,7% du montant total des provisions. Quatrièmement, les montants transférés entre géné rations d'épargnants sont économiq uement larges : no us les estimons à 1,1% du montant total des provisions. En ce qui concerne le second objectif, nous trouvons que c'est via leurs réserves que les assureurs couvrent les taux de revalorisation contre le risque de marché. Lorsque le rendement sur actif est élevé, les assureu rs augmenten t leurs réserves afin de pouv oir les redistribuer dans le futur. En conséquence, un niveau élevé de réserves prédit des taux de revalorisation futurs élevés. A l'inverse lorsque le rendement sur actif est faible, les assureurs puisent dans leurs réserves. En conséquence, un niveau faible de réserves prédit des taux de revalorisation futurs faibles. Si les collectes étaient très corrélées au niveau des réserves, ce la diluerait rapid ement les réserves et diminuerait le pouv oir prédictif des réserves sur les taux de revalorisation futurs. Cependant, nous trouvons que la collecte n'est que faiblement sensible au niveau de réserves. Ce papier met en évidence une spécificité des " contrats euro » d'assurance vie et suggère qu'une évolution du marché de l'assurance vie vers des contrats en unité de compte modifierait les modalités du partage de risque dans l'économie, et ce dans une large mesure étant donné les montants de transferts intergénérationnels qu e nous mesurons. Un autr e bénéfice du part age de risque intergénérationnel consiste à permettre aux assureurs de détenir des actifs plus risqués grâce à un meilleur partage du risque (Gollier (2008)). .it5t5çsçoeul àrêçoelinç oèêçÞnçê'çnçÞtpçnsi onplànsànêxooeiàlxçoeurity àroun êt5çworlêNlièç insurçrsàrçinoerçàsinBlytàki nBont5ç rolçoèproviêinBinsurànoeçàBàinstmàrk çtrisk'ysçllinB sàvinBsproêuoetswit 5çm'çêêçêinsurànoeçàBàinstàBBrç BàtçmàrkçtriskT *oijçnànê-oBoTÔUOrAAD HnsurànoeçàBàinstmàrkçtriskoeàn 'çproviêçêto 5ousç5olêst5rouB5t woêi TullçnànêFàlçTOaarAADé 5çÞrs tonçisoeross Lsçoetionàlris ks5àrinB'ç twççnt5çinsu rçrànê é5çot5çrw àytoproviêç5 ousç5olêswi t5ins urànoeçàBàinstàBBrçBàtçriskist os5àrçrisk intçrtçmporàllyàoerossBçnçràtionsoè5ousç5olêsNàsw àstràêitionàllyê onçinêçÞnçê'çnçÞtsplàns ànê'yxo oeiàlxç oeurityDHntçrBçnç ràtionàlrisks5àrinBisimplçmçnt çê'yt5çmostoeommontypçoè lièçinsurànoe çoeontràoetsinduropçDult5ouB5t5 çêçtàilsoèt5çsçproêuoet svàryàoer ossoeountriçsTàs wçllàst5çirn àmçi 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