[PDF] Chariot durgence et matériel de suppléance en réanimation





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anti? brinolytiques (si traitement associé par héparine) ; en cas de transfusion de sang complet et/ou de PFC, neutralisation préalable de toute activité ? brinolytique circulante. Thérapeutique MEOPA (p. 300) : en ventilation spontanée au masque. Analgésie + sédationb; délai d’action court. Ou Perfalgan (p. 203) :

Chariot d'urgence et matériel de suppléance en réanimation

Chapitre 57 Chariot d'urgence et matériel de suppléance en réanimation A.Accès et mise à jour du chariot d'urgence II.Contenu du chariot d'urgence III.Matériel de suppléance en réanimation IV.Conclusion Objectifs Connaître l'organisation générale du chariot d'urgence. Connaître les fonctions du chariot d'urgence. Connaître les déterminants et les conditions pour que le chariot d'urgence puisse être effectif.

Présent dans tous les s ervices hospit aliers, le chari ot d'urgence facilite la prise e n charge immédiate des défaillances vitales en regroupant le m atériel et les médicaments nécessaires, et en les rendant rapidement disponibles, avant un éventuel trans fert dans une unité de réanimation. L'utilisation optimale du chariot d'urgences né cessite un personnel formé aux gestes et soins d'urgence de niveau 1 et 2, ent raîné (au mieux par des séanc es de sim ulation collectives), impliqué dans l'organisa tion du chariot d'urgence et responsable de sa dotation, de sa vérification et de son entretien. Les infirmiers s ont habilités à débuter une réa nimation cardiopulmonaire (RCP) avant l'arrivée du médecin (décret no

2004-802 du 29/07/2004 relatif aux parties IV du Code de la santé publ ique, articles R. 4311-14, R. 4311-5 et R. 4311-7). La chaîne de survie intrahospitalière a fait l'objet de recommandations détaillant la place du c hariot d'urgence (recommandations pour l'organisation de la prise en charge des urgences vitales intrahospitalières, conférence d'experts communes aux sociétés de réanimation de langue française, française de cardiologie, française d'anesthésie-réanimation, de médecine d'urgence et SAMU publiée en 2004). I Accès et mise à jour du chariot d'urgence Le chariot d' urgence (figure 57.1) doit être rapidem ent identifiable, facile d'accès, disponible 24 h/24 et exclusivement dédié à la prise en charge des urgences vitales. Chaque soignant (médical et paramédical) doit savoir où il se trouve. Infirmiers (ières) et médecins doivent connaître son contenu. Figure 57.1 Exemple de chariot d'urgence. Sa dotation (a gencement, matériel s, médicaments, fluides listés) est standardisée dans un même établissement. Le matériel doit être fonctionnel et les médicaments à jour (c'est-à-dire présents avec des dates de péremption vérifiées). Il est ainsi contrôlé de façon heb domadaire et l e défibrillateur est testé quotidiennement, selon des procédures standardisées, a vec une traçabilité (pla nning de vérifi cation nominatif, procédure d'entret ien et d'approvisionnement, registre des usages), sous la responsabilité du cadre de santé et du pharma cie n. Son contenu est sous scellé autocas sable. Un re mplacement du matériel et des médicaments est réalisé immédiatement après usage, avec une vérification systématique selon la check-list avant la pose du scellé. Le chariot doi t être ergonomique : plan de t ravail sur le dessus mobile ; nombre de tiroirs limité à cinq ou six, de profondeur lim itée, faciles à ouvrir, avec des butoirs en extrémité de course ; facile à nettoyer et à désinfecter. Son contenu doit être adapté à la populat ion du service (pédiatrie et maternité notamment). L'objectif ultime du chariot d'urgence est d'avoir le matériel et les traitements rapidement disponibles pour répondre au mieux à l'urgence vitale (tableau 57.1). Tableau 57.1 Conditions matérielles et humai nes requises pour une utilisation optimale du chariot d'urgence lors de la prise en charge d'une urgence vitale II Contenu du chariot d'urgence L'agencement du contenu, facilement ide ntifia ble de l'extérieur, peut s'organiser en suivant l'algorithme américain Basic Life Support de prise en charge des défaillances vitales. Chaque tiroir répond à une défaillance d'organe et s'organise comme indiqué ci-dessous. A Assurer la liberté des voies aériennes (A = airway) Il s'agit de pouvoir dans un premier temps assurer la liberté des voies aériennes (VA) supérieures pour l'oxygénation du patient (figure 57.2). Cela peut nécessiter le matériel suivant : •canules de Guedel de différentes tailles (no

2, 3, 4) ; •sondes et dispositif d'aspiration ; •bouteille d'oxygène à manodét endeur intégré, vérifiée et prête à l'emploi ; •lunettes à oxygène, sondes à oxygène , masque à haute concentration, masques faciaux de différentes tailles (no

3, 4, 5) ; •ballon autogonflabl e à valve unidirectionnelle (BAVU). ObjectifsMoyensPrise en charge efficaceAccès facile et connu par tous Matériels et traitements rapidement disponiblesPersonnels organisés, formés pour l'utilisation du chariot d'urgenceParticipation du personnel aux procédures de vérification, d'utilisation, et aux protocoles de prise en charge Entraînement par simulationFaciliter la tâche de l'équipe soignanteChariot d'urgence standardisé 1 défaillance d'organe = 1 tiroir

Figure 57.2 Exemple de matériel de ventila tion et d'intubation : 1) canules de Guedel, 2) laryngoscope à fibre optique, 3) lames de laryngoscope, 4) sondes d'intubation, 5) pince de Magill ; 6) masque laryngé. B Rétablir une ventilation efficace (B = breathing) En cas de détresse respiratoire majeure ou pour protéger les VA d'une inhalation (patien t comateux), l'intubation orotrachéale est parfois nécessaire (figure 57.2). Elle nécessite le matériel suivant : •laryngoscope à fibre optique et piles avec lames de plusieurs tailles (no

3, 4) ; •sondes d'intubation de plusieurs tailles (no

6,5, 7, 7,5, 8). En cas d'intubation diffic ile, on peut avoir recours au matériel suivant : •mandrin long béquillé souple ou d'Eschmann ; •pince de Magill ; •vidéo-laryngoscope ; •masque laryngé ; •set de cricotomie ; •un spray de lidocaïne 5 %. C Rétablir une circulation efficace (C = circulation) En cas d'arrêt cardiaque, le massage externe nécessite pour être efficace un plan dur, une planche à masser est présente sur le devant du chariot ou dans chaque chambre. L'abord veineux permet l'injection de s médicaments de l a réanimation. •Accès veineux : -garrot, compresses, sparadrap, antiseptique à large spectre d'action rapide ; -cathéters périphériques de différentes tailles : bleu 22 Gauge (G) (pédiatrie) ; rose 20 G : 67 ml/min ; vert 18 G : 103 ml/min ; gris 16 G : 236 ml/min ; -seringues (5, 10, 20 et 50 ml) ; -tubulures à perfusion (+ 3 voies) ; -pansement de type Tegaderm®, O psite® et Steri-Strip® ; -nécessaires à prélèvement (seringue à gaz du sang, tubes pour ionogramme, NFS...) ave c deux tubes de chaque ; -aiguilles pour injections sous -cutanées, intramusculaires et intraveineuses ; -set de perfusion intra-osseuse. •Solutés de remplissage : NaCl 0,9 %, Ringer lactate®, parfois colloïde de synthèse. D Méd icaments de réanimation, rangés par ordre alphabétique ou par activité, et étiquetés (D = drugs) (figure 57.3) •Médicaments vasoactifs : adrénalin e, noradrénaline, épinéphrine, dérivés nit rés (IV et spray). •Médicaments antiarythmiques : atro pine, amiodarone, lidocaïne, isoprénali ne, sulfate de magnésium, digoxine, diltiazem. •Diurétique : furosémide. •Glucose 30 %, gluconate de calcium. •Anticonvulsivants : clonazépam et diazépam, thiopenthal. •Hypnotiques : propofol, étomidate, kétamine. •Curares : célocurine, rocuronium. •Morphiniques : morphine, sufentanyl. •Antidote : flumazénil, naloxone. •β2

-adrénergiques (spray et solution pour aérosol). •Corticoïde : méthylprednisolone. Figure 57.3 Organisation du tiroir des médicaments , cl assés par ordre alphabétique, avec le nombre de consommables disponibles. E Électrocardiogramme (E = ECG) L'électrocardiogramme (ECG) permet de contrôler l'activité cardiaque et l'efficacité du m assage ca rdiaque externe (MCE). Il est assuré par le défibrillateur. F Rétablir un rythme cardiaque efficace (F = fibrillation) Le défibrillateur du chariot d'urgence est semi-automatique, débrayable en mode manuel, a vec foncti on d'entraînem ent externe possible, avec palettes ou patchs aut ocollants. Sa vérification est quotidienne, il es t laissé branché sur le secteur hors usage, son utilisation par les paramédicaux est possible. Le chariot d'urgence contient également du matériel de soins standard : •conteneur pour déchets d'activité de soins à risque pour aiguilles/lames, etc. ; •support poubelle ; •potence avec crochets ; •aspirateur à mucosités sur rail latéral ; •masques à visière, gants stérile s et non stériles, charlottes ± casaques et alèses jetables ; •documents de traçabilité, fich es d'aler te et d'intervention ; •prises électriques avec rallonge et disjoncteur ;

•manchon de contre-pression ; •électrodes pour scope et ECG ; •rasoirs jetables ; •possiblement cathéters pour voie central e + fil à peau (aiguille droite) + lame de bistouri. III Matériel de suppléance en réanimation A Respirateur de réanimation Le respirateur assure la ventilation mécanique invasive chez le patien t intubé. On peut paramét rer la fréquence respiratoire, la fraction inspirée e n oxygène, le volum e courant ou la pression d' aide i nspiratoi re, la pression expiratoire positive, ainsi que des réglages plus fins en fonction du mode venti lat oire choisi. Ce rtains peuvent également assurer une ventilation non invasive, avec un masque facial, en mode ventilation spontanée ave c aide inspiratoire et pression expiratoire positive (VS-AI-PEP). Les gaz industriels (oxygène, air) étant secs et froids, un filtre échangeur de chaleur et d'humidit é ou un humidificateur chauffant sont nécessaires (figure 57.4). Figure 57.4 Exemple de respirateur de réanimation. B Épuration extrarénale L'épuration extrarénale permet de suppléer une défaillance rénale, épurer un toxique dia lysable, corri ger un trouble hydro-électrolytique ou acido-basique mettant en jeu le pronostic vital ou une déplétion hydrosodée. Le sang es t prélevé et réinjecté via un cathéter à double lumière placé idéalem ent dans la veine jugul aire interne droite. Il existe différentes machines d'épuration extrarénale selon la techni que utilisée : l'hémodialyse séquent ielle ou l'hémofiltration. L'anticoagulation du circuit extracorporel est assurée soit en systémique par héparine ou en régional par injection de citrate sur la ligne a rtérielle et réinjection de calcium sur la ligne veineus e. Le dé bit est a ssuré par des pompes à galets. Un piège à bulle empêche toute embolie gazeuse (figure 57.5). Figure 57.5 Exemple de machine de dialyse. C Cathéter veineux central Le cathéter veineux central, placé dans une veine jugulaire interne, fémorale ou sous-c lavière, permet l'injec tion, à travers plusieurs lumières (deux à trois), des médicaments, des électrolytes et de la nutrition parentérale éventuellement. Le cathéter artériel, placé en artère radiale le plus souvent après test d'A llen ou dans l'artère fémorale, permet une surveillance continue de la pression ar térielle et le prélèvement des bilans sanguins (figure 57.6). Figure 57.6 Cathéters veineux centraux, à double et triple voie, de 15 cm, avec aiguille de ponction, dilatateur, guide d'introduction et fil à aiguille droite de fixation. D Circulations extracorporelles (CEC) Les circulations extracorporelles (CEC) de support d'organe (extracorporeal life support ou ECLS) sont des techniques de CEC permettant de suppléer aux défaillances cardiaque et/ou respiratoire en assurant le débit circulat oire nécessaire et l'oxygénation. Elles sont habitue llement appelées ECMO (extracorporeal membrane oxygenation). L'ECMO est veino-Écran tactile de contrôle et

de réglages des paramètres de la ventilation

Humidificateur

Écran tactile de contrôle et

de réglage des paramètres de dialyse

Filtre de dialyse

Pompe à galet

assurant la circulation

Piège à bulle sur la ligne

"veineuse» retournant au patient

veineuse (VV) pour une suppléanc e respiratoire se ule ou veino-artérielle (VA) pour une suppléance cardiaque ou cardiorespiratoire. Elles peuvent être mises en place par abord percuta né ou chirurgical. Elles compre nnent une pompe par cent rifugation, une membrane d'oxygénation et d'épuration du dioxyde de carbone (CO 2) et une console permettant le contrôle du débit ai nsi que des é changes gazeux. Pour les E CMO VA, une canule artérie lle de reperfusion est le plus souvent mise en place en ava l de l'abord de l'artère f émorale dans l'artère fémorale superficielle afin de prévenir l'ischémie du membre. IV Conclusion Les caractéris tiques du chariot d'urgence répondent à des critères stricts qui conditi onnent la prise en charge de l'urgence vitale. Les personnel s médical et paramédi cal doivent être formés pour être familie r avec son utili sat ion afin d'optimis er la prise en charge des patie nts ayant une défaillance d'organe aiguë. Pour en savoir plus Recommandations pour l'organisation de la prise en charge des urgences vitales intrahospitalières. Conférence d'experts 2004. Réanimation 2005 ; 14 : 671-9. https://www.srlf.org/wp-content/uploads/2015/11/0512-Reanimation-Vol14-N8-p671_679.pdf"

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