La Métamorphose de Narcisse
Titre : Métamorphose de Narcisse. Auteur : Salvador Dali (1904 - 1982) Le mythe de Narcisse d'après Ovide (Les Métamorphoses) :.
Analyse de la métamorphose de Narcisse par Dali
Dalí a de toute évidence emprunté ce sujet à la théorie freudienne puisqu'en reprenant ce mythe de. Narcisse
La Métamorphose de Narcisse poème paranoïaque
Salvador Dali – 1937. Quand l'anatomie claire et divine de Narcisse se penche sur le miroir obscur du lac quand son torse blanc plié en avant se fige
MÉTAMORPHOSE DE NARCISSE
A côté on peut observer la sculpture calcaire de la main
La Métamorphose de Narcisse de Salvador Dali
22 mai 2008 L'œuvre plastique et littéraire du surréaliste Salvador Dali nous interpelle par une réécriture atypique du mythe de Narcisse : le panachage ...
Núm. cat. P 455 - Métamorphose de Narcisse
Métamorphose de Narcisse. Date: 1937. Dimensions: 51.1 x 78.1 cm. Signature: Signé et daté dans l'angle inférieur droit: Gala Salvador Dali 1937.
Dalí et le mythe de Narcisse
25 déc. 2005 Lorsque le poème prend fin avec la mort de Narcisse selon la version d'Ovide
Freud et lart contemporain : de Dali a Nebreda
tableau de Salvador Dali intitulé La métamorphose de Narcisse. Dans la deuxième partie de mon argumentation j'essaierai de montrer à.
La Métamorphose de Narcisse peut etre comparé à un livre dû aux
Ce tableau raconte l'histoiredans la mythologie grecque
Dalí et le mythe de Narcisse Textes à télécharger Fundació Gala
Dalí et le mythe de Narcisse Rosa Maria Maurell Centre d'Études Daliniennes Fondation Gala-Salvador Dalí El Punt 2005 El Punt 25 décembre 2005
[PDF] Analyse de la métamorphose de Narcisse par Dali
Analyse de la métamorphose de Narcisse par Dali A la fois tableau et texte image et réseau métaphorique cette œuvre module et orchestre la donnée
[PDF] La Métamorphose de Narcisse poème paranoïaque
Salvador Dali – 1937 Quand l'anatomie claire et divine de Narcisse se penche sur le miroir obscur du lac quand son torse blanc plié en avant se fige
[PDF] MÉTAMORPHOSE DE NARCISSE
Dalí a doué le surréalisme d'un instrument de tout premier ordre en l'espèce la méthode paranoïaque-critique qu'il s'est montré d'emblée capable
[PDF] Narcisse et la représentation imaginaire - Archipel UQAM
Croussy Dali Durand Gheerbrant Jean-Paul Sartre Miquel Picard Poe/mans et Prieur ont influencé ma connaissance du mythe de Narcisse
[PDF] La Métamorphose de Narcisse de Salvador Dali : entre toile et texte
22 mai 2008 · Nous avons procédé l'analyse de l'œuvre poétique et plastique de Salvador Dali afin de mettre en lumière la coexistence entre la littérature
[PDF] Dalì (Salvador) La Métamorphose de Narcisse 51 x 78 cm 1937
Dalì (Salvador) La Métamorphose de Narcisse 51 x 78 cm 1937 Londres Tate Gallery Poussin (Nicolas) Écho et Narcisse 74 x 100 cm 1630 Paris
La métamorphose de Narcisse - Salvador Dali - Utpictura18
La métamorphose de Narcisse - Salvador Dali Artiste : Dali Salvador (1904-1989) Date : Entre 1936 et 1937 Nature de l'image : Peinture sur toile
[PDF] La Métamorphose de Narcisse peut etre comparé à un livre dû aux
Ce tableau raconte l'histoiredans la mythologie grecque de Narcisse qui était un beau jeune homme et qui tomba amoureux de son propre reflet dans l'eau d'une
Analyse : metamorphose de narcisse (dali) - 1648 Mots - Etudiercom
Salvador Dali «La metamorphose de Narcisse» 1937 [pic] Salvador DALI (1904-1989) Metamorphose de Narcisse (1937) Huile sur toile (50 8 x 76 2 cm)
A la fois tableau et texte, image et réseau métaphorique, cette oeuvre module et orchestre la donnée
psychanalytique de telle manière qu'on ne sait plus duquel, de la toile ou du poème reflète l'autre. C'est la
première oeuvre de l'artiste traitant du narcissisme : "Pour la première fois, un tableau et un poème
surréalistes commencent l'interprétation cohérente d'un sujet irrationnel".Dalí a de toute évidence emprunté ce sujet à la théorie freudienne, puisqu'en reprenant ce mythe de
Narcisse, le peintre avance expressément la notion psychanalytique de "complexe". Dans ce cadre,l'adolescent hypnotisé par le désir de son propre corps devient la plus parfaite expression de l'investissement
libidinal du Moi (vers 90-98). La silhouette du jeune homme penchée sur son reflet est en net contraste avec le groupehétérosexuel situé à l'arrière-plan, au centre du poème et de la toile. Ce groupe ou transparaît le désir latent
de l 'autre sexe se profile sur le tableau en un pastiche du Quattrocento. Son universalité est également
tournée en dérision dans le poème, à travers l'énumération qui détaille tous les personnages (vers 79-84).
Ce groupe adopte "les fameuses poses de l'expectation préliminaire", à savoir celle de l'attente érotique qui
annonce l'acte sexuel. Si la consommation de l'amour se donne comme un bouleversement et un désastre,
c'est parce qu'elle laisse libre cours à l'expression d'une violence antique: elle autorise "l'éclosion carnivore
de latents atavismes morphologiques". En effet, le poème renvoie de manière latente à la mante religieuse
qui dévore le mâle après la copulation. L'acte sexuel s'associe donc à l'angoisse. Il s'oppose à la délicate
poésie du fragment qui ramène Narcisse frileusement relié sur lui-même. Cependant, Narcisse fidèle à sa
destinée mythique, fond et disparaît dans son propre reflet pour renaître fleur. Dans le poème, cette fleur est
Gala, qui a initié Dalí à l'amour du temps où l'obsession de l'acte sexuel s'accompagnait chez lui d'un profond
sentiment d'angoisse (vers 150-156).De manière latente, mais tout de même assez explicite, Dalí rattache son texte et son tableau au
difficile passage conduisant au choix d'objet hétérosexuel. C'est en lisant Ovide à la lumière des écrits de
Freud qu'il élabore sa version paranoïaque-critique d'un des grands thèmes de la culture occidentale. Mais
l'apport de Dalí ne se limite pas à son interprétation de Narcisse, il réside dans la découverte d'un mode de
reproduction artistique en prise sur l'inconscient. Les oeuvres picturale et poétique invitent à saisir les
analogies, les associations, les déplacements au gré où ils se déploient. Plus qu'une thématique, la théorie
freudienne sous-entend ici une exploration des mécanismes paranoïaques. La Métamorphose de Narcisse ne se compose pas distinctement d'une production picturale et uneautre poétique. Bien au contraire, l'image visuelle est ancrée dans le verbe et inversement, l'analogie verbale
repose sur la forme plastique.Le duo poème et peinture.
L'obsession à la base de l'oeuvre paranoïaque-critique prend sa source de métaphore vécue, c'est-à-
dire d'une expression figée littéralisée et corporalisée participant de fait de symptômes de la folie (Jacques
Lacan assigne au symptôme la valeur de métaphore inconsciente).La corporalisation du cliché est à la source de la transformation qui affecte le sujet; elle sous-entend
la métaphore. Armé d'une lucidité critique, la présentation de Dalí apporte un soin tout particulier à éclairer
la dimension verbale. Le commentateur reprend un cliché emprunté à la langue catalane, qui nécessite une
traduction et vu qu'il n'existe pas d'équivalent en français, une explication. Or la transposition d'une langue à
l'autre restitue son sens littéral à la figure lexicalisée: l'oignon y retrouve son statut végétal qu'il avait perdu
dans le dicton. Par les vertus de l'analogie visuelle, il se fait alors métaphore: le bulbe et la tête, à la forme
similaire, se substituent l'un à l'autre. Il devient alors possible de filer la métaphore: l'oignon peut fleurir
dans la tête, la tête fleurit comme un bulbe. C'est à ce moment que le récit se lit dans sa différence. Dans la
légende, le bel adolescent avide d'embrasser son reflet l'étreint et se noie en lui, pour se transformer après
sa mort en la fleur qui porte son nom. Chez Dalí, "l'homme retourne au végétal" lorsque la tête de Narcisse
se fond dans l'image du bulbe dont la fleur éclot. Ainsi, la tête est comblée d'un "sommeil inguérissable,
végétal, atavique et lent qui dessèche la cervelle". Narcisse qui "dort comme une fleur d'eau" est "absorbé
par son reflet avec la lenteur digestive des plantes carnivores". Tandis que son corps "se vide et se perd"
dans l'abîme de son reflet, "il ne reste de lui que sa tête" qui se fendra pour donner jour à la fleur. De même
dans le tableau, le processus de la métamorphose s'opère à partir de l'image de la tête-oignon dont jaillit la
fleur (vers 1-19).S'inscrivant dans le vécu de Narcisse, cette métaphore se situe au centre de l'oeuvre et constitue le
thème obsédant qui en articule tous les éléments dans une structure logique de type délirant.
La toile permet un déchiffrement autonome, si bien que l'enracinement de l'image dans le motapparaît seulement à la lecture du poème. De là, l'importance de celui-ci pour comprendre ce qui constitue
la clé secrète de l'image délirante. C'est en ce sens que Dalí présente son texte comme ce qui est le mode
d'emploi du tableau (ne se limitant donc pas à un seul commentaire de la toile). Le discours poétique a sa
productivité propre, que la Métamorphose de Narcisse dévoile en montrant comment l'inconscient oeuvre
dans le langage. La mise en perspective de la toile et du poème ne vise pas à les subordonner l'un à l'autre,
mais à montrer comment le verbe et le visuel se fécondent mutuellement. Si l'image naît d'une expression
figée, le texte se fonde sur des analogies concrétisées sur la toile: la tête humaine, l'oeuf, le bulbe. La
superposition plastique se double en retour d'une équivalence sémantique. Le doublet image-verbe
savamment mis en place par Dalí ne se referme pas sur lui-même. Eclairant d'autres oeuvres, il permet un
ancrage matériel à l'étude de la production délirante, c'est-à-dire au travail de l'inconscient et à la créativité
artistique. La métaphore favorise parfois des glissements associatifs qui s'enchaînent dans les séquences aux
apparences d'automatisme. Ainsi dans les vers 139 à 142, la chrysalide d'où naîtra le papillon comme la fleur
naît du bulbe, est la tête de Narcisse, et ne peut contenir que des pensées. Cependant, celles-ci se trouvent
par la comparaison à la fleur et au papillon reversées dans le domaine des sciences naturelles: la chrysalide
et le bulbe donnent naissance à l'élément biologique qu'ils portent secrètement en eux. Ainsi, les pensées
"biologiques". Ces pensées occultées se présentent comme des arrière-pensées. A l'instar du papillon, elles
pourront bientôt évoluer en pleine lumière. Ce qui a été retenu se libère : de la chrysalide sort le papillon, du
bulbe éclot la fleur, et de la tête naissent les obsessions et les désirs longtemps maintenus à l'état larvaire.
Cette série d'association liée à la métaphore de la tête-chrysalide prenant le relais de la tête-bulbe sous-tend
une chaîne associative au premier abord énigmatique. La propension de la métaphore verbale à engendrer
des séquences associatives confère par moment au poème des apparences surréalistes. Elle a peu
d'équivalents dans le tableau, dont l'organisation délirante ne se fonde que très accessoirement sur une série
associative. (Source : http://parisdali.canalblog.com/archives/2008/12/06/12166027.html )quotesdbs_dbs35.pdfusesText_40[PDF] narcisse peinture michelangelo
[PDF] narcisse poussin
[PDF] galerie nationale d'art ancien rome
[PDF] notice telephone echo first
[PDF] echo clap 2
[PDF] telephone echo piano notice
[PDF] telephone echo clap 2
[PDF] notice echo piano
[PDF] echo clap fiche technique
[PDF] echo clap mode d'emploi
[PDF] echo first mode d'emploi pdf
[PDF] critères de choix d'un echographe
[PDF] quel echographe choisir
[PDF] cours d'échographie pdf