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:

DOSSIERMALTRAITANCE

deGériatrieetGérontologie(SFGG) andGerontology(SFGG)

ClaireTROCHET

1 ,PascalLAMBERT 2L a Société française de gériatrie et gérontologie (SFGG) est une société savante pluriprofessionnelle dans le domaine de la gériatrie et de la gérontologie. Le Collège des soignants de la SFGG a été spécifiquement créé en son sein pour réunir les professionnels de santé non médicaux ayant développé une expertise et désireux de contribuer à l'amélioration de la prise en charge de nos aî- nés. Il a ainsi pour mission de promouvoir le travail interdiscipli- naire et l'expertise soignante auprès des personnes âgées. Il favorise les échanges entre professionnels au niveau tant national qu'international. Il suscite l'émergence de la recher- che dans le domaine des soins à la personne âgée. Il met en oeuvre des actions de santé publique en lien avec le vieil- lissement. Il diffuse la culture gériatrique et gérontologique. Lorsqu'il est sollicité, il donne son avis d'expert et participe à divers travaux auprès de la Haute autorité de santé (HAS), de la Caisse nationale de l'assurance maladie des travailleurs salariés (CNAMTS), des Agences régionales de santé (ARS)... Il publie dans différentes revues scientifiques et par- ticipe à des congrès et autres colloques afin de partager les synthèses de ses réflexions et travaux. Les membres du collège se rencontrent trois fois par an et organisent une session soignante lors des Journées annuel- les de la SFGG (JASFGG).Pendant longtemps, le corps infirmier y était représenté dans toute sa diversité - infirmiers cliniciens, hygiénistes ou chargés de recherche, infirmiers de pratique avancée, infir- miers formateurs consultants, infirmiers en Court séjour gé- riatrique (CSG), en Unité mobile de gériatrie (UMG), en Soins de suite et de réadaptation (SSR) ou en Unité de soins de longue durée (USLD), cadres de santé, cadres supérieurs de santé - et dans la richesse de son mode d'exercice - à domicile, en Établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) ou en établissement hospita- lier, que ce soit public ou privé -. Depuis 2018, les candidatures sont ouvertes à d'autres pro- fessions : kinésithérapeutes, ergothérapeutes, psychomotri- ciens, diététiciens... Les candidatures des personnes physiques peuvent être pro- posées par parrainage soit par un membre du collège des soignants ou soit à titre individuel ; dans tous les cas, le conseil d'administration recueille l'avis préalable du collège des soignants suivi par l'approbation de l'assemblée géné- rale à la majorité simple des suffrages exprimés. Pour une demande d'adhésion, le candidat doit adresser une lettre de motivation accompagnée d'uncurriculum vitaeà la délégation générale de la SFGG, 135 avenue de Wagram,

75017 Paris.https://sfgg.orgRev Geriatr 2018 ; 43 (5) : ??-??.

1 Infirmière de pratique avancée en gérontologie, CHU de Grenoble, France ; Co-

coordinatrice du collège des soignants de la SFGG.

2 Infirmier libéral de pratique avancée en gérontologie, Paris, France ; Coordina-

teur du collège des soignants ; Membre du Conseil d'Administration de la SFGG.

Article reçu le 30/03/2018 et accepté le 22/05/2018Auteur correspondant : Monsieur Pascal Lambert, Infirmier libéral de pratique

avancée en gérontologie), Paris Coordinateur du collège des soignants, Membre du

Conseil d'Administration de la SFGG.

Courriel : pascallambert.ilpag@gmail.com1?La Revue de Gériatrie, Tome 43, N o

5 MAI 2018

La Revue de Gériatrie permet aujourd'hui aux soignants exerçant en gérontologie d'exprimer des points de vue, des retours d'expériences, des réactions et des analyses de pra- tiques sur toutes problématiques relatives à ce thème et au Collège des Soignants de vous faire partager les synthèses de ses réflexions et travaux. S'interroger sur la prévention de la maltraitance des per- sonnes âgées conduit d'abord à prendre la mesure de la diversité des situations que ce sujet recouvre : diversités des organisations, des modes de fonctionnement, des équipes. La formation initiale nécessaire pour les professionnels porte sur la spécificité du soin gériatrique au contact de per- sonnes dépendantes, les relations entretenues avec les per- sonnes âgées et leurs proches, le soin basé sur des valeurs

professionnelles, le travail en équipe pluridisciplinaire,l'accompagnement global, la relation humaine, l'ensemble

complémentaire de la technicité des soins. Cette thématique intitulée " prévenir la maltraitance » se compose de 5 articles d'approches complémentaires tant à domicile qu'en structures d'hébergement et de soins, écrits par des professionnels de santé exerçant auprès de person- nes âgées. Un des textes pose le cadre général et permet de compren- dre pourquoi la maltraitance existe, pour mieux la prévenir. Elle est illustrée par des témoignages de stagiaires aides- soignants et infirmiers en formation initiale. Ensuite, sont développés les principaux thèmes dans les do- maines suivants : l'accompagnement d'une personne face au refus de soin, la maltraitance à domicile avec l'apport du gestionnaire de cas MAIA (Maisons pour l'autonomie et l'in- tégration des malades Alzheimer) et de la pratique avancée infirmière. Liens díintÈrÍts :les auteurs dÈclarent ne pas avoir de lien díintÈrÍt en rapport avec cet article.

2?La Revue de Gériatrie, Tome 43, N

o

5 MAI 2018

DOSSIERMALTRAITANCE

Comprendrelamaltraitance

pourmieuxlaprévenir

RobertMOULIAS

RÉSUMÉ

Avoir besoin díune aide humaine pour ses activitÈs ÈlÈ- mentaires de la vie quotidienne rend la relation asymÈ- trique entre aidÈ et aidant, que celui-ci soit une personne ou une structure. Líaidant se trouve chargÈ díun pouvoir et díune responsabilitÈ sur la personne aidÈe qui ne peut vivre sans lui. Le proche-aidant níy est pas prÈparÈ. Elle ou il compense par son affection, mais nía ni la mission ni la compÈtence de remplir les t'ches des professionnels. La structure doit síassurer que ses professionnels dispo- sent des formations et des aptitudes indispensables, díun encadrement rÈfÈrent, et quíils soient en nombre suffi- sant. Assurer vie, accompagnement et bien-Ítre de per- sonnes qui ne peuvent vivre sans assistance humaine im- plique des savoirs, des responsabilitÈs, un sens des valeurs. Toutes pratiques professionnelles inappropriÈes mettent en souffrance les personnes dÈpendantes ´ cap- tives ª de leur besoin díaide, de leurs proches-aidants et des professionnels motivÈs. Cette ´ maltraitance organisationnelle ª quíelle soit struc- turelle (service ou Ètablissement) ou systÈmique (lois, Èva- luations des besoins, traditions, regards sur la dÈpen- dance ou la vieillesse) facilitent violences individuelles sans jamais les excuser. Les abus de la faiblesse des aÓnÈs devenus fragiles ou dÈpendants par des agressions psy- chologiques, physiques, des vols et escroqueries sont des dÈlits et non des ´ abus ª, Ètrange indulgence du vocabu- laire lorsquíil síagit de vieux. Ces carences ne concernent pas que les effectifs et les moyens financiers. Elles ont une origine plus profonde. Les ´ pratiques inappropriÈes ª qui en rÈsultent sontABSTRACT When help from another person is needed to conduct basic daily activities, the relationship between the cared- for person and the caregiver, whether the latter is an individual or an organization, becomes asymmetrical. The caregiver is then endowed with a power over and a responsibility towards the cared-for person who cannot live without them. The close caregiver is not prepared for this type of relationship. They compensate by sho- wing affection, but it is not their mission to fulfill tasks to be carried out by professionals, nor do they have the skills to do so. The organization should ensure that its employees have the necessary training and abilities, a tutor they can turn to and that their number is enough. Ensuring the well-being, support and quality of life of individuals who cannot live without human assistance in- volves acquiring knowledge, taking on responsibilities and upholding values. Dependent people suffer from any inappropriate professional practice; their need for assis- tance from their close caregiver or motivated professio- nals maintain them in a situation of ìcaptivityî. This organizational abuse, whether it comes from an en- tity (a service or an institution) or it is systemic (laws, assessment of needs, traditions, opinions on dependency or old age) facilitate individual violence without justi- fying it. When elderly people who have become frail or dependent are abused through psychological aggression, theft or swindle, these are considered as offence and not ìabuseî - a strange indulgence when its comes to the el- derly. These shortcomings do not only affect the number of

employees or financial resources. There roots go deepArticle reçu le 30/03/2018 et accepté le 01/05/2018Auteur : Professeur Robert Moulias, Conseil Scientifique de la Fédération 3977

contre la maltraitance ; Commission Âge Droits Liberté (SFGG) Courriel : robert.moulias@gmail.com1?La Revue de Gériatrie, Tome 43, N o

5 MAI 2018

corrigibles aprËs Èvaluation des causes. Les dÈlits relË- vent de la sanction. ReconnaÓtre les qualitÈs humaines nÈcessaires ‡ ces mÈtiers, Ètudier leur expÈrience et les valoriser moralement et financiËrement seraient une puissante prÈvention. ...tudier et mieux comprendre les mÈcanismes de la ´ mal- traitance ª permettra enfin une prÈvention ´ basÈe sur des preuves ª sans ostraciser familles - Èquipes - encadre- ment. Quand ‡ la Bientraitance, cíest ce qui fait que vivre dÈ- pendant ne soit plus vÈcu comme une dÈchÈance. Ce níest pas dans les normes quíon la trouvera, mais qur le cÙtÈ positif du ´ facteur humain ª. Quelle difficile et belle mission quíon ne peut rÈduire ‡ une liste de normes et de recommandations contradictoires. Motsclés :Maltraitance-Bientraitance-VulnÈrabilitÈ- PratiquesinappropriÈesand the ìinappropriate practicesî adopted as a result can be corrected after an assessment of the causes. Offenses can be punished. A powerful preventative measure would be to recognize the human qualities required in these professions, to study their experience and acknowledge them morally and financially. The study and a better understanding of the mechanisms of abuse would at last contribute to ìevidence-basedî pre- ventative measures without ostracizing the families, teams or staff. As to ìwell-caringî, it is what enables an elderly to not consider dependency as a decline. ìWell- caringî will not be found in the regulations, but on the positive side of the ìhuman factorî. What a difficult and beautiful mission that cannot be reduced to a list of contradictory standards and recommendations!

Rev Geriatr 2018 ; 43 (5) : ??-??.

Keywords:Abuse - ìWell-caringî - Vulnerability -

Inappropriate practices

INTRODUCTION

D ans maltraitance, ilya"traiter ». Le risque de mal- traitance résulte d'une relation asymétrique entre un " auteur », personne ou organisation, qui a reçu ou pris un pouvoir sur une personne et une " victime ». La vic- time a besoin de l'auteur pour une aide à des gestes qu'elle ne peut réaliser sans aide humaine, pour un soin, pour un accompagnement, ou par besoin d'affection. Le plus sou- vent l'auteur professionnel " traite-mal » non par mauvaise intention, mais par inconscience des besoins, ignorance des réponses, ou par impossibilité d'agir faute de compétence, de temps, de matériel. L'auteur - quel que soit son niveau hiérarchique - peut aussi croire bien faire. On réunit malheureusement sous ce même mot des actions malveillantes, où l'auteur, profitant de l'emprise que lui donne sur la victime la mission d'aide ou de soin, ou le be- soin d'affection et d'accompagnement, accomplit des actes délictueux. Plutôt que les longues définitions officielles, on peut résu- mer : " De la part de celui (personne ou organisation) qui a une emprise sur autrui, est maltraitante toute action ou né- gligence pouvant porter préjudice à la personne captive de cette emprise personnelle ou organisationnelle ».

Cette définition inclut des faits très différents :• d'une part, des pratiques inappropriées où il n'existe au-

cune volonté de nuire - voire en croyant bien faire -. Ces pratiques inappropriées peuvent être personnelles ou sur- tout organisationnelles ; • d'autre part, des actes malveillants abusant du pouvoir reçu ou acquis. Ces agressions sont facilitées par les prati- ques inappropriées, d'où des zones frontières. Ce mélange sous le même vocable de violences opposées a fait de la maltraitance " un mot qui fâche » mélangeant erreurs individuelles, carences organisationnelles structurel- les ou systémiques et délits, parfois crimes. Nous devrions clairement séparer ce qui relève de pratiques, de formations et de moyens à améliorer, de ce qui est intentionnel et relève de la sanction. VICTIME : la victime n'est pas responsable de sa maltrai- tance. La personne victime a besoin de l'auteur, (personne, structure ou système) pour une aide, un soin ou par affec- tion. À l'origine de ce besoin : • soit sa " faiblesse côté mental » : troubles cognitifs - mêmes modérés, dépression - rendant acariâtre, psychoses, lésions cérébrales, mais aussi besoin d'affection, de présence, d'ac- structured'accueil,consentantefautedechoixetsilencieuse ; • soit la perte de son indépendance. Incapable d'agir pour elle-même, la victime est captive de son environnement fa- milial et/ou structurel. L'absence de témoin extérieur est un facteur facilitant. AUTEUR : il peut être une personne, une structure, un sys- tème avec ses règles et traditions :

2?La Revue de Gériatrie, Tome 43, N

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5 MAI 2018

• personne, ce peut être le proche-aidant (mais il est le plus souvent lui aussi victime), un autre membre de la famille, un professionnel, un intrus prédateur ; • organisation, ce peut être un service, un établissement, un règlement intérieur (structurel), mais aussi une loi (ex : discrimination sur l'âge pour la compensation du Handicap), un état d'esprit (âgisme), une tradition. L'auteur a toujours une emprise sur la victime. Il y a un mésusage du pouvoir reçu ou pris. L'auteur - professionnel, structure, décideur - a une responsabilité personnelle et des devoirs envers les personnes captives de son pouvoir reçu, même s'il ne l'a pas recherché. L'auteur mal intentionné - y compris professionnel - repère volontairement sa cible sur sa vulnérabilité ou profite de l'oc- casion qui place une personne sous son emprise.FACTEURSDERISQUESDEDEVENIR

AUTEUR

Ils concernent tous les niveaux hiérarchiques.

Facteursindividuelsderisque

• Le professionnel - de tous niveaux - peut avoir reçu une formation insuffisante. L'inadéquation des formations initia- les et continues, celle des informations reçues rendent in- conscient des besoins et ignorant des réponses à ces be- soins. Cette insuffisance est d'origine systémique quand la théorie l'emporte sur l'apprentissage pratique (" training »). Une équipe entraînée et encadrée sait corriger des carences ou des erreurs individuelles inévitables ;quotesdbs_dbs35.pdfusesText_40
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