[PDF] Philosophie - Séance du 07/04/2020 Corrigé des questions pour le





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861 SUJETS-TEXTES DE LÉPREUVE DE PHILOSOPHIE AU

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de loisiveté. (éditions ALLIA)

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La question de la bonne gouvernance et des réalités sociopolitiques

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EPREUVE DE FRANÇAIS B Durée : 4 heures PRESENTATION DU

Le texte à résumer proposé pour la session 2006 était extrait du chapitre XVII (« l'homme heureux ») d'un essai de Bertrand Russel publié en 1962 



Bertrand Russell Écrits de logique philosophique

https://www.erudit.org/fr/revues/philoso/1990-v17-n2-philoso1791/027131ar.pdf



INTRODUCTION GENERALE

Analyse des effets d'impact observés. 228. B/ Les effets d'impact sur les exportations industrielles. 239. 1. Fondements et équations des modèles Near Var.



PHI 118 – La pensée contemporaine analytique (3 cr.)

8 janv. 2018 originel » de la philosophie analytique textes écrits par deux des fondateurs du courant

TES/L - Philosophie - Séance du 07/04/2020Corrigé des questions pour le 07/04Reprenons l'extrait de Science et religion :Un credo religieux diffère d'une théorie scientifique en ce qu'il prétend exprimer la vérité éternelle et absolument certaine, tandis que la science garde un caractère provisoire : elle s'attend à ce que des modifications de ses théories actuelles deviennent tôt ou tard nécessaires, et se rend compte que sa méthode est logiquement incapable d'arriver à une démonstration complète et définitive. Mais, dans une science évoluée, les chang ements néces saires ne ser vent généralement qu'à obtenir une exactitude légèrement plus grande; les vieilles théories restent utilisables quand il s'agit d'ap proximations grossières, ma is ne suffisen t plus quand une observation plus minutieuse devient possible. En outre, les inventions techniques issues des vieilles théories continue nt à témoigner que cell es-ci possédaient un certain degré de vérité pratique, si l'on peut dire. La science nous incite donc à abandonner la recherche de la vérité absolue, et à y substituer ce qu'on peut appeler la vérité "technique", qui est le propre de toute théorie permettant de faire des inventions ou de prévoir l'avenir. La vérité "technique" est une affaire de degré : une théorie est d'autant plus vraie qu'elle donne naissance à un plus grand nombre d'inventions utiles et de prévisions exactes. La "connaissance" cesse d'être un miroir mental de l'univers, pour devenir un simple instrument à manipuler la matière.1) Expliquez l'argument l. 5 à 8 : " Mais, dans une science évoluée [...] une observation plus minutieuse devient possible » et m ontrez e n quoi les deux e xemples s uivants illustre nt l'argument :- ex. 1 : l'astronomie Maya était géocentrique mais pourtant permettait des prévoir des phénomènes astronomiques jusqu'à nos jours.- ex. 2 : le programme Apollo a permis de poser des hommes sur la Lune en utilisant seulement la physique class ique de N ewton et pas les physiques r elativiste puis quantique qui pourtant existaient déjà.Cette phrase signifie que les théories scientifiques anciennes n'ont pas perdu toute validité quand elles ont été remplacées par de meilleures et nouvelles théories. Bien souvent, la nouvelle théorie permet soit de gagner en précision, comme le dit le texte, soit d'expliquer tous les phénomènes qu'expliquait déjà l'ancienne théorie mais aussi de nouveaux phénomènes, qui étaient jusqu'à présent inexplicables.Russell présente l'histoire des sciences, en tous cas à l'époque moderne et contemporaine, comme une suite d'évolutio ns conduisant les théories à rendre compte de manière de plus en plus pré cise des phénomènes. On peut, comme le fait Popper, prendre l'image d'un filet de pêche : on peut toujours resserrer les mailles d'un filet de manière à attraper des poissons de plus en plus petits, mais on ne pourra jamais avoir un maillage assez serré pour attraper le plus petit des poissons ou des organismes qui peuplent la mer. Il en va de même pour les théories scientifiques : à mesure qu'elles s'affinent, se perfectionnent, on comprend les phénomènes de manière de plus en plus précise, mais on ne pourra jamais les comprendre tous et jusqu'au moindre de leurs détails.Les exemples suggérés illustrent bi en cette idée : l' astronomie Maya était, de notre point de vue, entièrement fausse, puisque géocent rique. Et pourtant, e lle permettait de prévoi r des phénomènes astronomiques. C'est donc que pour une certaine classe de phénomènes, elle pouvait être jugée comme ayant une certaine vérité, bien que rejetée par une étape ultérieure de l'histoire des sciences. De la même manière, la physique classique (de Newton) n'est pas le dernier état de la science physique. En pourtant, pour envoyer un vol ha bité sur la Lu ne, cette physiqu e a suffi. O n peut b ien dire que la physique classique constitue une assez bonne " approximation » de la réalité physique pour permettre un grand nombre de prévisions et d'applications (à l'échelle du système solaire, on peut négliger les effets relativistes et quantiques).2) Expliquez ce qu'est la vérité " technique » ou " pratique » dont parle Russell, et qui est " une affaire de degré ». Montrez ce que cela a d'étonnant.Dans l'extrait, Russell a commencé par par affirmer que la science a renoncé à la recherche de la "vérité absolue». Par vérité absolue, il faut entendre une connaissance absolument adéquate de la réalité extérieure, sans aucun écart, ni sans aucun doute possible. Pour Russell, la science a totalement

renoncé à cela, au profit de la "vérité technique» (ou "pratique»). Il faut s'étonner de cette expression de "vérité pratique» puisque habituellement la vérité est une notion théorique, liée à la connaissance des choses. Parler de "vérité pratique» implique donc déjà que la science change d'objectif ou de fonction. Ce qui fait d'une théorie qu'elle est vraie, ce n'est plus le fait qu'elle corresponde parfaitement au réel, mais c'est le fait, comme l 'affirme Russel l, qu'elle permette de "faire des inventions ou d e prévoir l'avenir». Russell affirme également que la vérité admet des " degrés ». C'est tout à fait surprenant, puisque habituellement, nous affirmons d'une idée qu'elle est soit vraie (si elle correspond au réel), soit fausse (si elle n'y correspond pas), pas qu'elle est " plus ou moins » vraie. Russell nous invite à renoncer à cette idée en d isposant différent s degrés de vérité, en fonction du no mbre et/ou de l'intérêt des applications pratiques tirées des théories, définition de la vérité qui ne peut se comprendre que si on a renoncé à expliquer parfaitement le réel dans les sciences. 3) Expliquez la dernière phrase du texte : " La "connaissance" cesse d'être un miroir mental de l'univers, pour devenir un simple instrument à manipuler la matière. » Quelle est la vraie finalité de la science moderne selon Russell ?Dans la dernière phrase du texte, Russell indique explicitement qu'il renonce à la définition classique de la vérité, comme adéquation. L'expression "un miroir mental de l'univers» indique bien qu'autrefois, on considérait une idée comme vraie si et seulement si elle était adéquate au réel, si elle y correspondait parfaitement. Ce n'est plus la définition de la vérité qui a cours dans les sciences ; il s'agit à présent de pouvoir transformer la matière plutôt que de la connaitre parfaitement. On voit donc bien que pour Russell, la science contemporaine est entièrement soumise à la technique : la principale fonction de la science n'est pas de rechercher la connaissance pour elle-même, le savoir pour lui-même, mais au contraire de permettre des applications pratiques. Cette conception de la science est entièrement moderne. Dans l'Antiquité, en particulier chez Aristote, la science est conçue comme une activité libre. Pour Aristote, on fait de la science de manière désintéressée, par amour du savoir, ce dont l'étonnement, comme reconnaissance de son ignorance, est le signe. Pour Russell, la science actuelle a en majeure partie renoncé à cette idée : la science est désormais entièrement intéressée, envisagée presque exclusivement en fonction des applications pratiques que l'on va pouvoir en tirer. La vraie finalité de la science réside dans la technique.

Reprise du cours : parenthèse sur les limites de la connaissance scientifique (les premiers principes) b) Réponse classique au problème des premiers principes : la raison et le coeur Comme nous l'avons vu, les sceptiques partent du problème des premiers principes pour affirmer que rien n'est jamais certain, car toutes nos connaissances reposent sur des bases non démontrées. Ce n'est pas la seule réponse possible au problème des premiers principes.

Partons d'un extrait des Pensées de Pascal :

Nous connaissons la vérité non seulement par la raison mais encore par le coeur. C'est de cette dernière sorte que nous connaissons les premiers principes et c'est en vain que le raisonnement, qui n'y a point de part essaie de les combattre. Les pyrrhoniens, qui n'ont que cela pour objet, y travaillent inutilement. Nous savons que nous ne rêvons point. Quelque impuissance où nous soyons de le prouver par raison, cette impuissance ne conclut autre chose que la faiblesse de notre raison, mais non pas l'incertitude de toutes nos connaissances, comme ils le prétendent. Car l(es) connaissances des pr emiers principes : espace, temps, mouvement, nombr es, sont aussi fermes qu'aucune de celles que nos raisonnements nous donnent et c'est sur ces connaissances de coeur et de l'instinct qu'il faut que la raison s'appuie et qu'elle y fonde son discours. Le coeur sent qu'il y trois dimensions dans l'espace et que les nombres sont infinis et la raison démontre ensuite qu'il n'y a point deux nombres carrés dont l'un soit double de l'autre. Les principes se sentent, les propositions se concluent et le tout avec certitude quoique par différentes voies - et il est aussi inutile et aussi ridicule que la raison demande au coeur des preuves de ses premiers principes pour vouloir y consentir, qu'il serait ridicule que le coeur demandât à la raison un sentiment de toutes les pr opositions qu'elle démontre pour vouloir les recevoir.

Cette impuissance ne doit donc servir qu'à humilier la raison - qui voudrait juger de tout - mais non pas à combattre notr e certitude. Comme s'il n'y avait que la raison capable de nous instruire, plût à Dieu que nous n'en eussions au contrair e jamais besoin et que nous connussions toutes choses par instinct et par sentiment, mais la nature nous a refusé ce bien;

elle ne nous a donné au contraire que très peu de connaissances de cette sorte; toutes les autres ne peuvent être acquises que par raisonnement.

Et c'est pourquoi ceux à qui Dieu a donné la religion par sentiment de coeur sont bienheureux et bien légitimement persuadés, mais ceux qui ne l'ont pas nous ne pouvons la donner que par raisonnement, en attendant que Dieu la leur donne par sentiment de coeur, sans quoi la foi n'est qu'humaine et inutile pour le salut.

Pascal, Pensées, L110

Pascal r ejette l'argument sceptique. Il dissocie deux questions : la question de la vérité de nos connaissances et celle de la possibilité d'une démonstration.Le fait que les pr emiers principes ne puissent pas être démontrés n'implique pas qu'ils soient douteux, mais seulement que notre raison est limitée, impuissante à tout connaitre. Les premiers principes sont absolument certains, d'après Pascal, mais nous en saisissons la vérité non par démonstration, mais par une intuition.

Cela renvoie au repère [intuitif / discursif] (ou [intuition / discours]

- Une connaissance discursive, c'est une connaissance qui r epose sur le raisonnement. La plupart de nos connaissances sont discursives. Par exemple, pour saisir la vérité d'un théorème de mathématiques, il faut le démontrer à l'aide d'un raisonnement rigoureux. La connaissance discursive est donc toujours indirecte : je saisis la vérité d'une idée à partir d'une autre idée, puisqu'il y a au minimum deux étapes dans un raisonnement (un point de départ et une conclusion).

- Une connaissance intuitive, c'est une connaissance directe de la vérité (ou de ce que l'on croit être vrai). Il existe des intuitions sensibles et des intuitions intellectuelles. L'intuition sensible, c'est l'expérience que je fais avec mes sens. Et c'est bien une connaissance dir ecte, sans raisonnement : je n'ai pas besoin de raisonner pour connaitre la couleur d'un objet, je la saisis directement. L'intuition intellectuelle, c'est une saisie directe de la vérité, mais au-delà des sens. Par exemple

Cette faculté de saisie intuitive, directe, de la vérité, Pascal l'appelle le coeur. Quand Pascal dit "le coeur a ses raisons que la raison ne connait point", il ne parle pas du sentiment amoureux. Il veut simplement dire que nous possédons certaines connaissances sans pouvoir les comprendre par le raisonnement.

On peut dès lors résumer la réponse classique au problème des premiers principes : le fait que nous ne puissions pas tout démontrer n'implique pas que tout soit douteux. Seulement, les premiers principes de la connaissance dépassent notre faculté de connaitre par le raisonnement.

QUESTION 1) Comment comprenez-vous le rapport que fait Pascal à la fin du texte (~ les quatre dernières lignes) entre la connaissance des premiers principes et l'existence de Dieu ? c) Adéquation et cohérence Les mathématiciens, à partir du XIXème siècle, ne peuvent pas se contenter de cette réponse classique. Ils cher chent à nouveaux frais à démontrer les premiers principes de la géométrie. Puisqu'une preuve directe est impossible (cf. problème des premiers principes), ils cherchent à les démontrer par l'absurde. Démontrer une proposition par l'absurde, c'est supposer qu'elle est fausse et espérer tirer des conséquences absurdes de cette supposition. Or, dans le cas de la géométrie, Riemann et Lobachevsky font la supposition que deux parallèles se coupent une fois ou une infinité de fois, et ils n'aboutissent à aucun moment à une contradiction. Il est donc possible de fonder des géométries tout à fait cohérentes, dites non-euclidiennes, sur la supposition selon laquelle deux parallèles se coupent. Si la géométrie euclidienne nous semble plus naturelle, c'est simplement parce qu'elle corr espond à notre perception de l'espace. Mais il suffit de se regarder dans un miroir hémisphérique, déformant, pour comprendr e que dans d'autres structurations de l'espace, les parallèles se coupent. La géométrie d'Euclide n'est donc pas plus vraie que celles de Riemann et de Lobachevsky ; toutes trois sont parfaitement cohérentes. Mais, du coup, ce qui fait la vérité des sciences, ce n'est plus qu'elles soient en adéquation parfaite avec le réel mais qu'elles forment un édifice cohérent, non contradictoire, c'est-à-dire que l'on ne peut pas démontrer une chose et son contraire. Le théorème de Pythagore n'est, en lui-même, ni vrai ni faux ; il est vrai chez Euclide et faux ailleurs. Mais dans une géométrie cohérente, il ne peut pas être à la fois vrai et faux.

Cela signifie que les mathématiques modernes, comme les autres sciences, renoncent à la vérité absolue. Une propriété mathématique, prise de manière isolée, n'est ni vraie ni fausse, elle ne peut être

vraie que dans un système donné d'axiomes. C'est l'ensemble des mathématiques qui est vrai, non pas au sens où les mathématiques sont en adéquation parfaite avec le réel, mais au sens où elles forment un édifice cohérent.

B) Deuxième limite : Le problème de l'induction ou du cygne noirAppuyons-nous sur un extrait des Problèmes de philosophie de Russell :Si on nous demande pourquoi nous croyons que le soleil se lèvera demain, il est clair que nous répondrons tout naturellemen t " parce qu'il s' est levé jusqu'ici chaque jour ». Nous croyo ns fermement qu'il se lèvera à l'avenir, parce qu' il s'est ainsi levé dans le passé . Mis au défi d'expliquer pourquoi nous croyons qu' il continuera à se lever comme auparavant, no us invoquerons peut-être les lois du mouvement (...). [Mais] ce qu'on peut mettre en doute, c'est l'idée que les lois du mouvement s'appliqueront encore demain. (...)Il faut remarquer que ces prévisions sont seulement probables, ce n'est donc pas une preuve qu'elles doivent être confirmées que nous avons à rechercher, mais seulement une raison de penser qu'il est vraisemblable qu'elles soient confirmées. (...)

Nous savons bien que (...) ces attentes de l'uniformité peuvent être déçues. L'homme qui a nourri le poulet finit par lui tordre le cou, montrant par là qu'il eût été bien utile au dit poulet d'avoir une vision plus subtile de l'uniformité de la nature. (...)Il faut d'emblée admettre que l'association régulière de deux choses qu'on ne trouve jamais séparément ne suffit pas par elle-même à prouver de façon démonstrative qu'on les trouvera à nouveau ensemble au prochain cas examiné. Tout ce que pouvons demander, c'est que plus souvent les deux ont été associées, plus il sera probable qu'on les retrouve ensemble une autre fois ; que de plus, pourvu qu'ell es aient é té associées un no mbre suffisant de fo is, cette probabilité équivale à une quasi-certitude, puis, nous le savons, il peut y avoir à la fin une mise en échec de la prévision en dépit de répétitions fréquentes, comme dans le cas du volatile à qui on tord le cou. La probabilité est donc tout ce que nous pouvons souhaiter.Bertrand Russell, Problèmes de philosophieQUESTIONS2) Explique l'exemple du lever de soleil dans le premier alinéa : en vertu de quoi croyons-nous qu'il se lèvera demain ?3) Expli quez la différence entre " rechercher une preuve qu'elles [c es prévision s] doivent être confirmées » et " une raison de penser qu'il est vraisemblable qu'elles soient confirmées » (l. 7 à 9).4) Expliquez l'exemple du poulet (l. 10 à 12 et l. 19-20) : que montre-t-il ?

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