PHYSIOLOGIE RESPIRATOIRE
1.3 La ventilation alvéolaire et la pression partielle des gaz alvéolaires. 1.3.1 Le CO2. Nous avons vu que le CO2 expiré vient uniquement de l'air alvéolaire (
Pression sous-glottique et débit oral dair expiré comme aides à la
18 juil. 2011 oral d'air expiré chez des patients dys- ... d'air expiré résistance glottique
Place des masques dans la prévention de la transmission
mesures d'isolement « air » ou « gouttelettes ». ?. QUEL MASQUE CHOISIR ? ? Deux types de masques existent : ?. Les masques de soins ou de type
Mesure du monoxyde dazote (NO) dans lair expiré
l'inflammation par le biais de la mesure du NO dans l'air expiré Il n'existe pas de définition univoque de l'exacerbation dans l'asthme (12). Celle-ci.
PHYSIOLOGIE ET TECHNIQUE DE LA CAPNOGRAPHIE :
APPLICATIONS ET DÉFINITION courbe de concentration de CO2 expiré sur le capno- ... tillon d'air expiré qui est prélevé par aspiration à raison de.
La capnographie
2 sept. 2017 (CO2) dans l'air au moment de l'inspiration et de l'expiration du patient (Thomas et al. 2014). Parfois nommée « capnogramme »
Equation des gaz alvéolaires et différence alvéolo- artérielle en
dans l'air expiré ou par le calcul de la PAO2 à partir où FA est la fraction de CO2 dans l'air alvéolaire ... Definition et formule. Définition.
Physiologie respiratoire.pdf
Cela va donc entrainer la sortie de l'air des poumons vers l'extérieur par gradient de pression. L'expiration forcée est un phénomène actif. Elle met en jeu des
Physiologie de la respiration.
Pour que l'air rentre (inspiration) et qu'il sorte (expiration) du corps on a besoin d'un système mécanique. Ainsi
Fiche Mémo
Objectif : Evaluation de la mesure du monoxyde d'azote (NO) dans l'air expiré en vue de son inscription à la CCAM. 1. Saisine. La demande émane de la
[PDF] Physiologie de la respiration
Pour l'expiration c'est un petit peu moins: environ 15L Quand on fait une expiration forcée le poumon n'a pas expulsé la totalité de l'air (c'est pour cette
Définition de EXPIRATION
EXPIRATION subst fém A ? PHYSIOL [Correspond à expirer A] Action par laquelle l'air inspiré par les poumons se trouve expulsé au dehors phase de la
[PDF] PHYSIOLOGIE RESPIRATOIRE - Pneumocourlancy
Ce système est donc un ensemble de passages qui filtre l'air et qui le transporte à l'intérieur du poumon où certain volume d'air est rejeté ou expiré
[PDF] Mesure du monoxyde dazote (NO) dans lair expiré
Une forte production de NO par les cellules pulmonaires se traduit par une présence accrue de NO dans l'air expiré De ce fait une concentration élevée de NO
[PDF] Généralités Lair Ventilation Pulmonaire Echange gazeux - codep01
L'air expiré est différent de l'air alvéolaire car il s'est mélangé avec l'air contenu dans les espaces morts et dans les bronches Le CO2 est de l'ordre de 34
Helicobacter pylori (air expiré) - Glossaire - Biron
Un test positif dans l'air expiré confirme la présence de bactéries actives dans l'estomac et justifient un traitement ou un retraitement antibiotique Il est
Le trajet de lair dans lappareil respiratoire humain
L'air expiré suit le même trajet mais en sens inverse Coupé sur sa tranche un poumon frais montre deux types de conduits : des canaux aux parois rigides
[PDF] PHYSIOLOGIE ET TECHNIQUE DE LA CAPNOGRAPHIE :
APPLICATIONS ET DÉFINITION courbe de concentration de CO2 expiré sur le capno- tillon d'air expiré qui est prélevé par aspiration à raison de
Échanges doxygène et de dioxyde de carbone - MSD Manuals
La ventilation est le processus par lequel l'air est inspiré et expiré par les poumons · La diffusion est le transfert passif des gaz qui ne nécessite aucun
[PDF] Monitorage du CO2 expiré Capnometry - SRLF
Le monitorage du CO2 expiré est une technique très ba- nale en anesthésie où les variations des échanges gazeux de l'hémodynamique et de la ventilation sont
Quel est l'air expiré ?
L'air expiré ne contient plus que 17% d'oxygène. En échange, la teneur en CO2 augmente de 0,04% à 4%. Le corps brûle de l'oxygène dans les muscles, générant du dioxyde de carbone comme produit résiduaire. La distribution de l'oxygène capté est une t?he du sang.Quels sont les 3 éléments expulsés lors de l'expiration ?
L'air expiré (environ 10,000 litres par jour, en moyenne pour un humain) est appauvri en oxygène et enrichi en vapeur d'eau et en CO2 (et moindrement en d'autres gaz dont l'odeur est parfois perceptible dans l'haleine). Il contient aussi une quantité plus ou moins importante d'« aérosols respiratoires ».Où va l'air expiré ?
Lors de l'expiration, les muscles intercostaux externes et le diaphragme se rel?hent. La cage thoracique s'affaisse et le diaphragme se voûte à nouveau vers le haut. Lorsque la cavité thoracique diminue de volume, l'air est exprimé hors du poumon.- L'inspiration est le mouvement respiratoire qui achemine l'air de l'extérieur vers les poumons. L'expiration est le mouvement respiratoire qui achemine l'air des poumons vers l'extérieur.
Mars 2015
ARGUMENTAIRE
Ce document a été validé par le Collège de la Haute Autorité de santé en mars 2015.
© Haute Autorité de santé avril 2015
Cet argumentaire est téléchargeable sur
www.has-sante.frHaute Autorité de santé
Service communication - information
2, avenue du Stade de France F 93218 Saint-Denis La Plaine Cedex
Tél. : +33 (0)1 55 93 70 00 Fax : +33 (0)1 55 93 74 00Mesure du NO - Argumentaire
HAS / Service évaluation des actes professionnels / mars 2015 3Sommaire
Abréviations et acronymes ................................................................................................................................. 5
Résumé ...................................................................................................................................................... 6
1. La demande .......................................................................................................................... 7
2. Contexte ............................................................................................................................... 8
2.1 Prise en charg ............................................................................................................. 8
2.1.1 ............................................................................................................. 8
2.1.2 ............................................................................................................................. 9
2.2 ........................................ 13
2.2.1 Biologie du NO ....................................................................................................................................... 14
2.2.2 NO et lésions oxydatives cellulaires ....................................................................................................... 14
2.2.3 Technique de mesure de la fraction exhalée du NO (FeNO) ................................................................. 14
2.2.4 Statut réglementaire des dispositifs de mesure du NO .......................................................................... 15
3. .................................................................................................... 16
4. ...................................................................................................... 17
4.1 Recherche documentaire ............................................................................................................... 17
4.2 Sélection des documents identifiés ................................................................................................ 17
4.3 Résumé .......................................................................................................................................... 19
4.4 Analyse méthodologique de la littérature synthétique ................................................................... 20
5. Résultats de ................................................................................................... 21
5.1 Interprétation de la FeNO et valeurs de références ....................................................................... 21
5.2 .............................................. 22
5.2.1 Revues systématiques ........................................................................................................................... 22
5.2.2 ..................................................................................................... 22
5.2.3 Recommandations de bonnes pratiques ................................................................................................ 26
5.2.4 cherche bibliographique
complémentaire ...................................................................................................................................... 29
5.3 ..................................................................... 29
5.3.1 Revues systématiques ........................................................................................................................... 29
5.3.2 ....................................................................................................... 33
5.3.3 Recommandations de bonnes pratiques ................................................................................................ 35
5.3.4 erche complémentaire .................. 37
6. Synthèse et conclusions ................................................................................................... 41
Annexe 1. Recherche documentaire............................................................................................................... 43
Annexe 2. Grille AGREE II .............................................................................................................................. 46
Annexe 3. Analyse critique et qualité méthodologique des recommandations identifiées avec la grille
AGREE II ....................................................................................................................................... 47
Annexe 4. ................................................. 48 Annexe 5. Résultats des recommandations retenues sur la mesure de la FeNO en fonction desindications (diagnostic ou monitoring) revendiquées .................................................................... 50
Annexe 6.
sélectionnées ................................................................................................................................. 54
Annexe 7. La grille AMSTAR .......................................................................................................................... 60
Annexe 8. Analyse critique et qualité méthodologique des méta-analyses et revues systématiques
identifiées avec la grille AMSTAR ................................................................................................. 62
Annexe 9. Présentation des résultats des méta-analyses identifiées ............................................................ 63
INAHTA ..................................................................................................................................... 69
Mesure du NO - Argumentaire
HAS / Service évaluation des actes professionnels / mars 2015 4 Annexe 11. Présentation des résultats des rapports ......................... 70Annexe 12. Liste des tableaux ..................................................................................................................... 72
Références ............................................................................................................................................... 73
Fiche descriptive ...................................................................................................................................... 76
Mesure du NO - Argumentaire
HAS / Service évaluation des actes professionnels / mars 2015 5Abréviations et acronymes
AFSSaPS ... Agence française de sécurité sanitaire des produits de santéATS ............. American Thoracic Society
BTS ............. British Thoracic Society
CCAM ......... Classification commune des actes médicaux cf. ................ conferCTS ............. Canadian Thoracic Society
DEP ............. Débit expiratoire de pointe
EFR ............. Exploration fonctionnelle respiratoireERS ............. European Respiratory Society
ESPS .......... Enquête santé et protection socialeFDA ............. Food and Drug Administration
FeNO .......... de gaz expiré
GINA ........... Global Strategy for Asthma Management and Prevention ICSI ............. Institute for Clinical Systems Improvement IRDES ......... Institut de recherche et documentation en économie de la santéLBA ............. Lavage bronchoalvéolaire
MA .............. Méta-analyse
NHLBI ......... National Heart, Lung and Blood Institutes of Health NICE ........... National Institute for Health and Care ExcellenceNO ............... M
ppb ............. Part par milliard SIGN ........... Scottish Intercollegiate Guidelines Network SPLF ........... Société de pneumologie de langue françaiseTVO ............. Trouble ventilatoire obstructif
VEMS .......... Volume expiratoire maximal secondeMesure du NO - Argumentaire
HAS / Service évaluation des actes professionnels / mars 2015 6Résumé
Objectif(s)
dans la straté- iagnostic et monitoring) chez les adultes et les enfants.Méthode
cohérence entre les données de la littérature synthétique incluant les méta-analyses, les recom-
mandations de bonnes pratiques internationales, les revues systématiques de la littérature ainsi
i- fier que les résultats de cette analyse soutiennent la demande formulée.Résultats
quatre recommandations retenues pour la place de la mesure du NO dans la stratégie diagnostique :il n'y a pas de seuil validé de la FeNO utilisé pour le diagnostic de l'asthme, le seuil optimal de
FeNO pour le diagnostic de l'asthme variait entre les études ; considérée comme une option pour aider au diagnostic de l'at ; pour les quatre recommandations de bonnes pratiques s- i- ndard. ue du NICE, des méta-analyses, des recommandations de bonnes pratiques et des deux RCT retenus pour cette indication :les méta-analyses n'ont pas permis de conclure à une amélioration significative des taux
d'exacerbations de l'asthme, ni des scores de symptômes quand la prise en charge était gui- dée par la mesure de la FeNO. Lpar corticothérapie en fonction des niveaux de FeNO t pas démontré son efficacité pour le monitoring hez les adultes et les enfants ; r- ; la mesure de la (FeNO) est envi- sagée dans cette recommandation comme une option pouvant conforter les décisions théra- peutiques dans la prise en charge symptomatique de l'asthme ; mentaire ne permettent pas de conclure quant à la place de la mesure du NO dans la prise en e- arrêt du trai- tement par les corticoïdes inhalés chez les patients asthmatiques. Les recommandations favo-Conclusion
Les données de la littérature synthétique disponibles sont convergentes :elles ne permettent pas de conclure à la valeur ajoutée clinique de la pratique de ce test dia-
gnostique dans la stratégie de prise en charge des patients asthmatiques ; suivi thme chezLes données actuelles publiées ne sont donc pas suffisamment probantes pour préconiser la prise
en charge de la mesure duMesure du NO - Argumentaire
HAS / Service évaluation des actes professionnels / mars 2015 71. GHPDQGH
La demande émane de la Société de pneumologie de langue française (SPLF). Elle porte sur hique (inflammation pulmonaire). du demandeur est on de cet acte à la Classification commune des actes médi- caux (CCAM). existantes peuvent être regroupées en deux catégories : les techniques dites invasives dont la bronchoscopie, le comptage des cellulesinflammatoires et la mesure de l'activité inflammatoire sur biopsies bronchiques et sur lavage
bronchoalvéolaire (LBA), et les techniques non invasives développées pour évaluer l'inflammation
e et deSelon le demandeur, ps-
serait la méthode la plus adaptée à la pratique clinique tic, au pronostic et au ss- alvéolaire, pourraient également bénéficier de la mesure .Une mise au point et position de la SPLF1 (Société de pneumologie de langue française) sur la
1Mesure du NO - Argumentaire
HAS / Service évaluation des actes professionnels / mars 2015 8 2. Selon les résultats du rapport " : prévalence, contrôle et déterminants » publiéceux issus nquête santé et protection sociale (ESPS) réalisée dans la population générale en
2006 (1),
un moment quelconque de leur vie et 4,15 millions continuent à en souffrir, soit 6,7 % de la popula-
n- dant leur vie) est de 10,2 % [9,7-10,6].érisée par une inflammation chronique
des voies aériennes, une hyperréactivité bronchique et une contraction anormale des muscles lisses bronchiques. i-vants de toux, de sifflements, de difficultés respiratoires (dyspnée) et, dans les formes les plus
graves, par une détresse respiratoire. Ces épisodes sont habituellement marqués par une obstruc-
tion bronchique, variable, souvent intense, généralement réversible, spontanément ou sous l'effet
d'un traitement (2). principaux qui interviennent à des degrés : la contraction desstructure bronchique avec infiltration par des cellules inflammatoires) et une sécrétion excessive
principal de recours aux soins ; ils constituent unobjectifs de la stratégie de prise en charge actuellement recommandée (3). De même, la loi de
santé publique de 2004 a fixé pour objectif, à un horizon quinquennal, de réduire la fréquence des
tion de 20 % (4).Les outils visagés sous différents aspects
(5, 6) : clinique : sym-2 mimé- tique ; fonctionnels : explorations fonctionnelles respiratoires, débit de pointe ; biologiques : 2.12.1.1 (7)
Ź Examen clinique
Le diagnostic d'asthme est porté sur l'association de symptômes cliniques épisodiques évocateurs
d'une obstruction bronchique et de la mise en évidence par la spirométrie de cette obstruction et
de sa réversibilité, au moins partielle. L'association des deux éléments est indispensable. Le dia-
gnostic repose donc sur un interrogatoire précis de l'histoire de la maladie, l'examen clinique et
l'épreuve fonctionnelle respiratoire. Le reste du bilan doit ensuite s'attacher à éliminer un autre
diagnostic et à retrouver des facteurs déclenchant ou aggravants. L'examen ; entre les crises, les classiques râles sibilants sont souvent absents. antécédents familiaux d'asthme,
caractère fréquemment nocturne des symptômes,Mesure du NO - Argumentaire
HAS / Service évaluation des actes professionnels / mars 2015 9 déclenchement des symptômes par certaines circonstances, effort, rire, exposition à des irritants
ou à des substances potentiellement allergéniques ou en atmosphère polluée ou par les infec-
tions virales de la sphère ORL, autres maladies atopiques associées : rhinite allergique, eczéma atopique (enfant). ou rhinosinu- site) est retrouvée dans plus de 80 % des cas. La mesure du débit expiratoire de pointe (DEP) à l'aide d'un débitmètre de pointe : permet d'évaluer l'existence d'une obstruction bronchique en comparant le chiffre obtenu aux va-
leurs théoriques du patient, représente un élément supplémentaire en faveur de l'asthme et témoigne du caractère réversible
de amélioration de ses valeurs après prise d'un broncho-dilatateur et, peut être réalisée en ambulatoire par le patient sur plusieurs jours,quotesdbs_dbs12.pdfusesText_18[PDF] contact presse air france
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