[PDF] Kosovo : faut-il envoyer des troupes au sol ?





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INTRODUCTION

En quoi le cannabis rend-il dépendant ? En quoi le cannabis rend-il dépendant ? BESSON Victor – MATTA Xavier. Page 



Kosovo : faut-il envoyer des troupes au sol ?

Mar 30 2021 Comment vont-ils faire cette nuit alors que nous ne pouvons leur en donner qu'une seule par per- sonne ? » : le flot des réfugiés du Kosovo.



INTRODUCTION - lyc71-gautheyac-dijonfr

INTRODUCTION Le cannabis : En quoi le cannabis rend-il dépendant ? En quoi le cannabis rend-il dépendant ? BESSON Victor – MATTA Xavier



Le cannabis crée-t-il une dépendance? - CPHA

Le cannabis crée-t-il une dépendance? 03 Messages clés ` Le cannabis peut créer une dépendance mais ce n’est pas tous les consommateurs qui en développeront une1 2 ` Si vous consommez du cannabis régulièrement (tous les jours ou presque tous les jours) et pendant une longue période (plusieurs mois ou années) vous constaterez

Kosovo : faut-il envoyer des troupes au sol ?

LeMondeJob: WMQ0104--0001-0 WAS LMQ0104-1 Op.: XX Rev.: 31-03-99 T.: 11:16 S.: 111,06-Cmp.:31,11, Base : LMQPAG 26Fap:100 N

o :0445 Lcp: 700 CMYK aChômage : rechute en février

Après dix-huit mois de baisse, le

nombre de chômeurs a augmenté de

0,3 % en février (+ 7 900) par rapport

à janvier, soit 2 903 800 demandeurs

d"emploi (11,5 % de la population active), selon les données publiées, mercredi 31 mars, par le ministère de l"emploi.p. 9 aAffaire de la MNEF : premières accusations

Interrogé au Togo par les deux magis-

trats en charge du dossier, un ancien dirigeant d"une filiale de la mutuelle a décrit un système de fausses factures ayant aussi bien servi à l"enri- chissement de plusieurs personnes qu"au financement de certaines cam- pagnes électorales.p.10 aAdolf Eichmann, le spécialiste

Des 350 heures d"enregistrements, en

1961, du procès Eichmann, Eyal Sivan

et Rony Brauman ont tiré un film qui explique l"action du criminel nazi par le zèle d"un serviteur modèle de l"Etat et entend faire l"éloge de la désobéis- sance.p. 34 aLa mort de Michel Crépeau

Une semaine après le malaise car-

diaque qui l"avait terrassé, le 23 mars, en pleine Assemblée nationale, le maire de La Rochelle, cofondateur du

Mouvement des radicaux de gauche

(MRG) et ancien ministre de François

Mitterrand est mort, mardi 30 mars, à

l"âge de soixante-huit ans.p. 33 aL'embellie des chantiers navals

La vogue des paquebots permet à la

construction européenne, après trois années de vaches maigres, de rega- gner des parts de marchés face à ses concurrents japonais et coréens.p. 22 aLa bataille des banques

Après avoir lancé son offensive sur la

Société générale et Paribas, Michel

Pébereau, patron de la BNP, a obtenu

le feu vert des autorités de contrôle. La bataille boursière commence. Reste le plus dur : convaincre les actionnaires de la Générale et de Paribas.p. 24 aHonoré de Touraine

Pélerinage dans ce val de Loire qui fut

pour Balzac, né à Tours il y a 200 ans, un refuge et une inépuisable source d"inspiration. p. 30

EN ŠLE-DE-FRANCE

aDans " aden » : tout le cinéma et une sélection de sorties 55
e

ANNÖE ± N

o

16852 ± 7,50 F - 1,14 EURO FRANCE MÉTROPOLITAINEFONDATEUR : HUBERT BEUVE-MÉRY ± DIRECTEUR : JEAN-MARIE COLOMBANIJEUDI 1

er

AVRIL 1999Allemagne, 3 DM ; Antilles-Guyane, 9 F ; Autriche,25 ATS ; Belgique, 45 FB ; Canada, 2,25 $ CAN ;Côte-d'Ivoire, 850 F CFA ; Danemark, 15 KRD ;Espagne, 225 PTA ; Grande-Bretagne, 1£ ; Grèce,500 DR ; Irlande, 1,40 £ ; Italie, 2900 L ; Luxembourg,46 FL ; Maroc, 10 DH ; Norvège, 14 KRN ; Pays-Bas,3 FL ; Portugal CON., 250 PTE ; Réunion, 9 F ;Sénégal, 850 F CFA ; Suède, 16 KRS ; Suisse, 2,10 FS ;Tunisie, 1,2 Din ; USA (NY), 2 $ ; USA (others), 2,50 $.

Chez votre

marchand de journaux12 F - 1,83 ¨

Plus : LES CLÉS DE L'INFO

4 pages pour décoder l'actualité

La Russie est mal partie

Dégradation de l'économie et du tissu social, instabilité politique, un président malade et de prochaines élections rendent plus hypothétique une perspective de redressement.

La social-démocratie en Europe

Onze gouvernements européens sur quinze

ont une direction sociale-démocrate. Sauront-ils imprimer leur marque à l'Europe ?

Au sommaire

du numéro d"avril

Choisir

son lycée a

LE MONDE consacre un

cahier sp•cial “ l'•valua- tion des r•sultats obtenus par les lyc•es au baccalaur•at, ainsi qu'“ un guide du nouveau lyc•e tel qu'il est conØu par le ministre de l'•ducation nationale, Claude

All˜gre. Tout, en tableaux, sur

les horaires d'enseignement, les travaux personnels encadr•s, les nouveaux BTS. D'autres tableaux proposent plusieurs indicateurs destin•s “ •valuer les performances des lyc•es. Ces indicateurs sont ceux du minis- t˜re de l'•ducation nationale.

Nous publions •galement les

taux d'acc˜s de seconde et de premi˜re au baccalaur•at. Ces informations sont disponibles sur Minitel (LE MONDE BAC) et

Internet (www.lemonde.fr).

POINT DE VUE

L'Europe somnambule

par Régis Debray N 'AVOIR que des idées suggérées et les croire spontanées, observe le g•nial auteur des

Lois de l'imitation, telle est l'illusion

propre au somnambule, et aussi bien

à l'homme social.» Sans vouloir

r•duire le plus actuel des socio- logues franØais au th•oricien maniaque de la " contagion imita- tive », personne mieux que Gabriel

Tarde (1843-1904) ne peut nous

faire entrer dans le vif d'un engre- nage idiot, en 1999, oŸ des Euro- p•ens intelligents mais mim•tiques nous engagent de bonne foi.

C'est en p•riode de guerre que

l'•tat social se rapproche le plus d'un •tat d'hypnose partag•e. Aussi en sort-on g•n•ralement comme on se r•veille d'un mauvais r-ve, voire d'un bon ± un peu penaud, tout dessill•, trop tard (" Mais com- ment donc ai-je pu y croire ? »). Ce qui, dans ces secousses, parcourt le corps social, souligne Tarde, " c'est un rêve de commande et un rêve en action ». Plus la r•alit• est d•ran- geante, plus nous avons besoin de l'enrober de mythes, et on ne int•r-ts oppos•s qui n'ait •t• rendu acceptable, sinon d•sirable, par le con¯it d'entit•s imaginaires que ler-ve collectif lui superpose des deux cþt•s (le Droit contre la Barbarie, disions-nous du nþtre, en 14-18, petite guerre balkanique •tendue “ l'ouest et au nord).

Avec les massacres du Kosovo et

la guerre en Serbie, le m•diologue, professionnellement attach• aux technologies du faire-croire, s'int•- ressera d'abord aux moyens de commande du r-ve otanien, qui ont rendu cr•dible l'aventure. L'expli- cation par les arti®ces de communi- cation ne suf®t pas. Encore moins le complot d'un Big Brother hypnoti- seur install• en r•gie, “ Washington ou Bruxelles, et nous bombardant d'images et de mots •tudi•s.

Nous ne sommes pas victimes

d'une intox, nous collaborons acti- vement, avec nos images et nos mots, “ une entreprise contre-pro- ductive. Elle pr•cipite ce qu'elle voulait •viter, comme il est de r˜gle en strat•gie oŸ le noir sort du blanc et le blanc du noir (c'est pourquoi les bons sentiments ne font jamais de bonnes strat•gies).

Lire la suite page 19

R•gis Debrayest écrivain et

philosophe.

International............. 2

France.......................... 8

Soci•t•........................ 10

R•gions........................12

Horizons......................14

Entreprises................. 22

Communication........ 25

Tableau de bord........ 26Aujourd'hui................ 29

M•t•orologie, jeux.. 32

Carnet .......................... 33

Culture......................... 34

Guide culturel............ 36

Kiosque........................ 37

Abonnements............ 37

Radio-T•l•vision....... 38

L'affaire Greenpeace

par Alain Mafart

QUATORZE ANS apr˜s, Alain

Mafart sort de l'ombre. Ayant

quitt• l'arm•e, l'ex-agent de la

DGSE raconte en®n l'attentat,

le 10 juillet 1985, contre le Rain- bow-Warrior. Publi•s chez Albin

Michel, ses Carnets secrets d'un

nageur de combatcon®rment les r•v•lations du Monde“ l'•poque et montrent que le choix de couler le navire de Greenpeace fut une d•cision politique.

Extraits exclusifs et portrait

d'un soldat aux penchants •co- logistes, bien loin des clich•s ou des mythes sur l'univers de l'espionnage. Lire pages14 et15A Tirana : " Je veux rester le plus près possible de ma terre »

TIRANA

de notre envoyé spécial " Hier, avec cinq couvertures, ils avaient froid.

Comment vont-ils faire cette nuit alors que nous

ne pouvons leur en donner qu'une seule par per- sonne ? »: le ¯ot des réfugiés du Kosovo commence à arriver à Tirana. Bashkim Shehu, chargé de diriger les opérations d'héberge- ment, se demande à tout moment de quoi demain va être fait. Mardi 30 mars, un camp de toile a été installé derrière l'université, dans un terrain de sports. Conçu pour abriter 1200 personnes, il en regroupe déjà 2 000. " Très vite, des problèmes d'hygiène vont se poser», craint Bashkim Shehu, obligé de repousser un homme d'âge mûr qui tremble de froid. Ici, des enfants viennent chercher les matelas mis à leur disposition. Là, une famille mange un brouet froid, mélange de pain et de viande. Un micro grésille : " Frères du Kosovo, des habi- tants de Jirokaster, dans le sud du pays, pro- posent d'héberger 150 d'entre vous. Ceux qui désirent aller là-bas doivent se faire inscrire avant demain». Une jeune ®lle, les yeux cachés sous unechevelure embroussaillée, répond : " Moi, je ne veux pas aller plus loin, je veux rester le plus près possible de ma terre pour y retourner quand la paix sera revenue.»Il y a quatre jours, elle a été chassée de son village natal par les mili- taires serbes. " Ils sont venus nous chercher jusque dans la forêt, où nous nous étions cachés ; ils nous ont dit de partir, que ce n'était plus notre pays. » " Moi aussi, je veux retourner chez moi, mais pour me battre, pour faire la guerre »,dit un jeune homme, soutenu par ses petits frères qui n'ont pas dix ans. Peuvent-ils se réconcilier avec les Serbes ? " Jamais, après ce qu'ils ont fait. Et puis, cela ne dépend pas de nous.»

Les responsables des principales organisa-

tions humanitaires internationales qui, toutes, arrivent à Tirana, veulent tenter d'éviter la catastrophe. Comment le pays le plus pauvre d'Europe, qui n'a toujours pas réussi à bâtir un régime politique stable, miné par les scandales et la corruption, livré, dans certaines zones, à la toute-puissance de ma®as locales, pourra- t-il accueillir les dizaines, voire les centaines, de milliers de Kosovars qui ont fui leurs terres ? Ne risque-t-on pas d'assister rapide-ment à un nouvel exode de jeunes Albanais vers la Grèce ou l'Italie, comme en 1991puis en

1997 ? Ils s'étaient alors précipités sur les fer-

ries traversant l'Adriatique, et avaient été refoulés par les forces de l'ordre de la pénin- sule. L'Italie, soucieuse d'éviter une telle répé- tition, prévoit d'installer un village de tentes de 12 000 places et toute la logistique d'accompagnement.

Les responsables humanitaires craignent

aussi que les Kosovars soient victimes d'Alba- nais peu scrupuleux et que se développent des tra®cs de faux papiers et de passages clandes- tins des frontières du pays. A terme, on peut aussi craindre que se développe, en Albanie, un rejet des Kosovars. " Pour le moment,con®e

Besnik, étudiant en droit de Tirana, c'est

l'union sacrée. Mais il ne faut pas oublier qu'il y a toujours eu des rivalités entre nous et qu'au bout de plusieurs mois, nous admettrions sans doute assez mal que tous les réfugiés kosovars soient encore ici. C'est déjà tellement dif®cile pour nous.»

José-Alain Fralon

bUne intervention terrestre au Kosovo ? Débat en

France et aux Etats-Unis p. 2 et 39

bLes Etats-Unis veulent passer rapidement à la " phase 3 » p. 2 bL'exode des Kosovars : reportage en Macédoine, in- quiétude en Italie et en Grèce p. 3 et 4bL'échec de la mission russe de conciliation p. 3 bDébats : les points de vue d'Alain Madelin et Bruno

Racine p.18

bAnalyse : l'ONU, autre victime du Kosovo p. 20 bLa revue de presse et les chroniques d'Alain Rollat et

Pierre Georges p. 37 et 39

L'EXODE des Kosovars, les

doutes sur l'ef®cacit• des frappes, l'•chec de la mission russe ont re- lanc• le d•bat sur une intervention terrestre au Kosovo. Javier Solana, secr•taire g•n•ral de l'OTAN, continue de l'exclure. Mais Lionel

Jospin, s'exprimant, mardi

30 mars, “ huis clos devant les d•-

put•s socialistes, a af®rm• qu'il n'avait jamais exclu cette hypo- th˜se. Aux Etats-Unis, des of®ciers sup•rieurs en activit• et des hommes politiques demandent que cette option soit •tudi•e. En

France, les Verts y sont favorables,

tandis que Laurent Fabius estime qu'elle pr•sente " un risque consi- dérable ». Dans nos pages " D•- bats », Alain Madelin et Bruno Ra- cine, ancien collaborateur d'Alain

Jupp•, se prononcent pour cette

solution. Les Etats-Unis font pres-quotesdbs_dbs31.pdfusesText_37
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