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  • Quel peut être le rôle des parents dans le choix de l'orientation ?

    Et les parents doivent, eux, se montrer patients et garder confiance. Le passage de l'adolescence à la vie adulte est une période d'exploration et de grands questionnements. Il est important d'accompagner le jeune, de lui laisser le temps de réfléchir et, surtout, de le rassurer sur ses capacités.
  • Quel est le rôle des parents à l'école ?

    De bonnes relations et une coopération active entre les familles et l'école favorisent la réussite des enfants. Il est important que les parents d'élèves accompagnent le travail personnel de l'élève et qu'ils prennent en compte les objectifs et les contraintes liées à la scolarité de leurs enfants.
  • Le sexe, l'origine sociale, l'environnement familial, les influences de l'entourage, le rapport à l'école, etc ; influencent inévitablement le choix de l'élève.

ÉCONOMIE ET STATISTIQUE N° 398-399, 200659

* Au moment de la rédaction de cet article, Marie Gouyon appartenait à la Division Conditions de vie de ménages, INSEE. ** Au moment de la rédaction de cet article, Sophie Guérin appartenai t à la Division Études Sociales, INSEE.

ÉDUCATION

L"implication des parents dans

la scolarité des fi lles et des garçons : des intentions à la pratique

Marie Gouyon* et Sophie Guérin**

En 1992, les parents préféraient une formation technique ou scientifi que pour leurs gar- çons et envisageaient un niveau d"études globalement plus élevé pour leurs fi lles que pour leurs fi ls. Ce constat est toujours vrai à la rentrée scolaire 2003. Mais si on s"in- téresse plus précisément au souhait d"un baccalauréat sci entifi que car c"est la fi lière la

plus rentable des fi lières générales sur le marché du travail, alors les parents sont plus

ambitieux concernant l"avenir de leurs garçons. Les ambitions scolaires des parents sont inégalement liées à la réussite scolaire selon

qu"il s"agit d"une fi lle ou d"un garçon : à niveau d"études donné, les fi lles sont moins

poussées vers la fi lière scientifi que lorsqu"elles sont bonnes élèves. Par ailleurs, alors

que la taille de la fratrie n"est jamais discriminante pour les garç ons, elle infl ue signifi ca- tivement sur les orientations souhaitées pour les fi lles. Enfi n, c"est parmi les parents les plus diplômés que les projets scolaires sont les plus homogènes entre les sexes.

Ces ambitions différenciées pour les fi lles et les garçons ne se traduisent pas à première

vue dans le comportement des parents en termes de suivi et d"implication dans la scola- rité de leurs enfants. Cependant, si les parents aident en moyenne autant les fi lles que les garçons dans leur travail scolaire, ils seraient plutôt moins investis dans la scolarité de leurs fi lles que dans celle de leurs fi ls si l"on prend en compte, outre le suivi des devoirs, le contrôle actif du travail scolaire ou la participation au choix des options et au proces- sus d"orientation. Toutefois, lorsque les parents sont plus disponibles, le comportement vis-à-vis des fi lles se rapproche de celui adopté vis-à-vis des garçons. Il s" agirait donc moins d"un modèle d"éducation différent selon le sexe de l"enfant que d"un arbitrage fait au profi t des garçons en comptant sur l"autonomie des fi lles.

ÉCONOMIE ET STATISTIQUE N° 398-399, 200660

P our la première fois en 2005, le projet de loi d"orientation et de programme pour l"avenir de l"École propose, parmi une série de cibles chiffrées pour améliorer le système édu- catif, l"objectif d"augmenter de 20 % la propor- tion de jeunes fi lles dans les fi lières scientifi - ques générales et technologiques. Les inégalités entre fi lles et garçons en termes d"éducation ont en effet longtemps été laissées de côté par les politiques comme par les sociologues pour met- tre l"accent sur les inégalités sociales à l"école. Depuis les années 1990, quelques études sur les différences de parcours éducatifs selon le sexe ont cependant été publiées. Au départ, cet inté- rêt nouveau a été suscité par le développement particulièrement rapide de la scolarisation des fi lles au cours du XX e siècle, et le rattrapage opéré par ces dernières en termes de réussite scolaire. Mais parallèlement, les disparités d"orientation et des profi ls de scolarisation n"ont pas été effa- cées et même si, de la maternelle à l"université et dans tous les milieux sociaux, les fi lles sont aujourd"hui meilleures élèves, leurs diffi cultés d"insertion sur le marché du travail restent plus importantes (Baudelot et Establet, 1992). Ces auteurs constatent que les fi lles effectuent des choix d"orientation moins rentables sur le mar- ché du travail que les garçons, en particulier en restant à distance des fi lières d"excellence scien- tifi ques. De même, Caille, Lemaire et Vrolant ont montré plus récemment (2002) qu"à origine sociale et niveau de réussite scolaire identiques, les garçons choisissent plus souvent l"orien- tation en première scientifi que que les fi lles. Dans la suite de leurs études, les bachelières de la fi lière scientifi que s"orientent encore, toutes choses égales par ailleurs, beaucoup moins sou- vent que les garçons dans une fi lière sélective que ce soit en classe préparatoire aux grandes

écoles (CPGE) ou en institut universitaire de

technologie (IUT) (Lemaire, 2004). Ce paradoxe, depuis régulièrement souligné, entre meilleure réussite scolaire et " auto-éli- mination » des fi lles des fi lières les plus presti- gieuses, peut être expliqué de manière positive : elles feraient des choix " raisonnés et raisonna- bles » en intégrant très tôt les contraintes futures liées aux opportunités professionnelles qui leur sont offertes et à leur vie familiale (Duru-Bellat,

1999). Cependant, l"infl uence d"une socialisa-

tion différente dans l"enfance est également souvent évoquée : on apprendrait aux fi lles la docilité, l"attention à autrui et aux garçons la compétition, l"affi rmation de soi (Baudelot et Establet, 1992). Cette socialisation différen-tielle des sexes serait poursuivie dans le cadre de l"école où les enseignants n"adopteraient pas le même comportement vis-à-vis des élèves selon leur sexe. Des études ont en effet montré que les interactions entre enseignants et élèves sont plus fréquentes avec les garçons (Kelly, 1988), dont on tolère plus d"indiscipline et d"interven- tions en classe, alors que les fi lles se doivent d"être dociles et travailleuses. L"évaluation et les commentaires concernant le travail scolaire varient également avec le sexe de l"enfant : les fi lles sont plus souvent jugées sur la présenta- tion et la quantité de travail fournie et les gar- çons sur la richesse des idées (Spear, 1984). Peut-être les enfants intègrent-ils les interpré- tations de leurs enseignants, expliquant ainsi en partie qu"à résultats scolaires identiques les fi lles ont moins confi ance en elles que les gar- çons (Mosconi, 1999). Enfi n, l"hypothèse d"une plus grande pression des parents sur les études des fi ls est parfois émise, mais également d"un comportement différent des fi lles, qui, laissées plus autonomes dans leurs décisions, seraient plus sujettes à la sous-évaluation de leurs capa- cités (Caille, Lemaire et Vrolant, 2002).

Il semble donc légitime de s"interroger sur le

rôle des parents dans la construction de ces dif- férences et d"étudier de plus près certaines pra- tiques éducatives au sein des familles selon le sexe de l"enfant. Ainsi, Terrail (1992b) met l"ac- cent sur la famille comme déterminante dans la relation entre l"enfant et l"école, et dans la réussite scolaire. Il souligne les différences de comportements des parents et des enfants sui- vant leur sexe, et leur infl uence sur les résultats scolaires à partir d"une enquête réalisée auprès d"élèves en fi n de 5

ème

en 1988 (1) . Parmi les deux parents, la mère aurait un rôle privilégié d"écoute et de suivi, surtout avec ses fi lles. Les garçons seraient plus surveillés, mais pas forcé- ment plus aidés. Les fi lles auraient par ailleurs un rapport meilleur avec l"institution scolaire. Enfi n, l"intérêt parental infl uerait de façon très sensible sur la réussite à l"école. 1

Les travaux analysant les pratiques éducatives

parentales en se focalisant sur le sexe de l"en- fant ont cependant été assez rares en France, on peut citer l"article de Duru-Bellat et Jarousse en 1996, ainsi que celui de Barnet-Verzat et Wolff en 2003 principalement réalisés à partir des données de l"enquête Efforts éducatifs des

1. Évaluation pédagogique en fi n de 5

ème

, enquête réalisée par la Direction de l"évaluation et de la prospective (DEP) du Ministèr e de l"Éducation nationale en 1988 auprès d"un échantillon repré- sentatif de 3 433 élèves.

ÉCONOMIE ET STATISTIQUE N° 398-399, 200661

familles de 1992. Duru-Bellat et Jarousse souli- gnent qu"au début des années 1990 les parents envisageaient un niveau d"études plus élevé pour leurs fi lles que pour leurs fi ls et préfé- raient une formation technique ou scientifi que pour les garçons. Les modèles éducatifs étaient encore très sexués : tandis que les parents privi- légiaient le dynamisme, l"ambition et le sens de l"effort chez les garçons, ils estimaient que les qualités les plus spécifi ques des fi lles étaient le sens de la famille, le charme et le sens moral.

Barnet-Verzat et Wolff, s"inspirant des travaux

sur données américaines de Butcher et Case (1994), soulignent quant à eux le paradoxe sui- vant : alors qu"ils ont des ambitions scolaires plus élevées pour leurs fi lles, les parents inves- tiraient fi nancièrement plus pour les études de leurs garçons. Les auteurs observent en effet que, dans les familles les plus aisées, les fi lles ayant des frères reçoivent des ressources moné- taires moins importantes que celles ayant des soeurs, alors que l"investissement fi nancier dans les études d"un garçon reste le même quelle que soit la composition de sa fratrie.

Aujourd"hui encore, la fi lière scientifi que

reste plus souvent souhaitée pour les garçons Duru-Bellat et Jarousse (1996) soulignent qu"à la rentrée scolaire 1992 les parents éprouvaient des aspirations plus élevées, quant au niveau général d"éducation visé, pour leur fi lle que pour leur fi ls.

Ce constat est toujours vrai en 2003, selon les

données de l"enquête Éducation et famille d"oc- tobre 2003 (cf. encadré 1). En effet, si les parents sont globalement un peu plus nombreux que dix ans plus tôt à déclarer avoir l"espoir que leur enfant aille jusqu"au baccalauréat, les différences selon le sexe de l"enfant sont restées les mêmes (cf. tableau 1). Ainsi, quand l"enfant est scolarisé en primaire à la rentrée 2003 , 84 % des parents déclarent avoir l"espoir qu"il aille jusqu"au bac- calauréat et, si l"ordre de grandeur est compara- ble, une différence apparaît tout de même dès ce stade selon le sexe de l"enfant : cette proportion est de 81 % lorsque l"enfant est un garçon et

87 % s"il s"agit d"une fi lle. Par ailleurs, lorsque

ces parents n"ont pas répondu par l"affi rmative à la question " Avez-vous l"espoir que votre enfant aille jusqu"au bac ? », ce n"est pas le " non » qui est le plus fréquemment cité mais plutôt la pro- position " Il est trop tôt pour le dire » (dans 12 % des cas pour les fi lles et 17 % pour les garçons).

Ainsi, ce n"est pas tant que les parents envisa-

gent moins souvent le baccalauréat pour leurs fi ls que pour leurs fi lles quand les enfants sont en primaire, mais plutôt qu"ils préfèrent attendre avant de se prononcer concernant les garçons.

Ils attendent certainement d"en savoir plus sur

les aptitudes scolaires de ces derniers, et seraient donc plus confi ants envers la réussite scolaire des fi lles ; par ailleurs, ils semblent de fait également plus ouverts à l"idée d"une formation courte pour les garçons que pour les fi lles. Quand l"enfant est scolarisé dans le secondaire , la quasi-totalité des parents aspirent au bacca- lauréat pour leurs fi lles comme pour leurs fi ls. Cependant, comme au primaire, il existe un écart entre les sexes : l"espoir de bac s"élève à 96 % pour les fi lles et 90 % pour les garçons. Ces pro- portions refl ètent essentiellement les différences observées au collège car, une fois l"enfant au lycée, la quasi-totalité des parents espèrent qu"il accède au baccalauréat, qu"il soit un garçon ou une fi lle (cf. annexe, tableau A). Dix ans plus tôt, Duru-Bellat et Jarousse avan-

çaient l"explication suivante qui semble donc

toujours d"actualité : les parents auraient plus ou moins conscience des réalités du marché du travail et considèrent que les garçons pourront plus facilement que les fi lles se " débrouiller »,quotesdbs_dbs13.pdfusesText_19
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