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En 2015 la hausse du pouvoir dachat dope la consommation des

En 2015 les ménages bénéficient d'une accélération de leur pouvoir d'achat : leur revenu Par ailleurs



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consommation alimentaire Avantage du SCA • Fournit des informations clefs sur la consommation alimentaire des ménages • Facile à collecter et à calculer • Prend en compte la valeur nutritionnelle des aliments consommés par le ménage • Comparable dans le temps et l’espace



La consommation des ménages depuis cinquante ans - INSEE

Dossier - La consommation des ménages depuis cinquante ans 17 Encadré 1 L’évolution relative des consommations par type de produit en volume Pour un poste donné la part budgétaire rapportelemontantenvaleurdesdépensesde ce poste au budget global des ménages L’évolution d’une part budgétaire dépend de



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Les données sur la consommation (ou l'acquisition) alimentaire des ménages sont généralement collectées de deux manières : 1 Les répondants sont interrogés et invités à se rappeler de leur consommation au cours d'une période donnée (semaine précédente mois précédent ) 2

Quelle est la dépense de consommation des ménages ?

En 2014, les ménages consacrent 232 milliards d'euros à leur budget « alimentation », à domicile ou en dehors du domicile, soit 3 600 euros en moyenne par habitant sur l'année. Ainsi, ils y affectent 20,4 % de leur dépense de consommation ( figure 1 ; encadré 1 ).

Quelle est la part de l'Alimentation dans les dépenses de consommation ?

Après 2007, la part de l'alimentation dans l'ensemble des dépenses de consommation repart à la hausse : après avoir atteint un point historiquement bas en 2007 à 19,4 %, elle remonte à 20,4 % en 2013, avant de s'infléchir très légèrement en 2014. Cette hausse interrompt ainsi une tendance baissière à l'œuvre depuis le début des années 1960.

Quelle est la consommation des ménages depuis cinquante ans ?

La consommation des ménages depuis cinquante ans. Georges Consales, Maryse Fesseau et Vladimir Passeron*. Depuis cinquante ans, les Français ont, sauf en 1993, consommé un peu plus chaque année, si bien qu’aujourd’hui le volume annuel de consommation par personne est trois fois plus.

Comment a évolué le budget de consommation depuis cinquante ans ?

Les mutations du budget de consommation depuis cinquante ans. Au-delà de la rupture de tendance survenue au milieu des années 1970, entre 1960 et. 2008, la hausse des dépenses de consommation des ménages a été quasi continue, et a suivi. celle de leur revenu : + 3,2 % par an en moyenne.

En 2015, la hausse du pouvoir d'achat dopela consommation des ménages E

n 2015, les ménages bénéficient d'une accélération de leur pouvoir d'achat : leur revenu

disponible brut augmente plus fortement qu'en 2014 dans un contexte de reflux des prix. Ils répercutent essentiellement ces gains de pouvoir d'achat sur leur dépense de consommation, qui progresse de 1,5 % après + 0,7 % en 2014. Leur taux d'épargne augmente peu (+ 0,1 point, comme en 2014).

Ce sont les achats d'automobiles qui contribuent le plus à la hausse de la dépense ; ils rebondissent

nettement après plusieurs années difficiles. Les dépenses liées au logement se redressent

également du fait de la hausse du budget chauffage, après une année 2014 particulièrement

douce. Par ailleurs, la consommation alimentaire accélère. En revanche, les dépenses en services de télécommunications et produits technologiques se contractent. Celles de loisirs

progressent au même rythme qu'en 2014.Nathalie Morer, division Synthèses des biens et services, Insee

En 2015, en volume(définitions),la

dépense de consommation des ménages (définitions)augmente plus fortement qu'en 2014 (+ 1,5 % après + 0,7 % ;figu- res 1 et 2). Elle contribue pour 0,8 point à + 1,3 %). Toutefois, son rythme d'évolu tion reste encore inférieur à celui d'avant-crise (+ 2,2 % en moyenne par an entre 2000 et 2007). La consommation effective des ménages(définitions), quiinclut en outre les dépenses directement financées par la collectivité, progresse un peu plus vite que la dépense de consom- mationdesménagesen2015(+ 1,6 %).En effet, le ralentissement de la dépense de consommation individualisable(définitions) des administrations publiques (+ 1,6 % après + 1,8 %) est compensé par la légère accélération de celle des institutions sans but lucratif au service des ménages (+ 2,2 %après+ 1,8 %).En valeur, le revenu disponible brut des ménages s'accroît à un rythme plus soutenu qu'en 2014 (+ 1,4 % après + 0,8 %).Cetteévolutionintervientdansun contexte de reflux des prix (- 0,2 % après + 0,1 %). En conséquence, après un rebond en 2014, le pouvoir d'achat accé lère nettement (+ 1,6 % après + 0,7 %).

C'est d'ailleurs sa plus forte hausse depuis

2009.

Comme le pouvoir d'achat de l'ensemble

des revenus perçus par les ménages, celui du revenu individuel, c'est-à-dire du revenu moyen par unité de consomma- tion, est en nette croissance (+ 1,1 %), après être resté stable en 2014. Une fois déduites les dépenses " pré-engagées » (définitions), lepouvoird'achatdurevenu arbitrable(définitions)individuel accé- lère également (+ 1,6 % après + 0,7 %).

En effet, les dépenses pré-engagées

progressent moins rapidement que les autres dépenses (+ 1,1 % en valeur contre + 1,5 %).Cecis'expliqueavanttoutparla baisse des prix des dépenses énergétiques dans les logements et le repli de la consommation en assurances et services financiers.Juin 2016

N° 1601-101234567

évolution annuelle en %taux d'épargne en %

1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015

91011121314151617

Dépense des ménages en volume

Pouvoir d'achat du revenu disponible brutTaux d'épargne 1 Évolutions de la dépense des ménages, du pouvoir d'achat du revenu disponible brut et du taux d'épargne

Source : Insee, comptes nationaux, base 2010.

En 2015, la dépense de consommation des

ménages augmente un peu moins vite que leur revenudisponiblebrut(+ 1,3 %contre+ 1,4 % en valeur). Leur taux d'épargne croît donc faiblement (+ 0,1 point). Après avoir reculé continûment de 2010 à 2013, il remonte légè rementdepuisets'établitdésormaisà14,5 %.

Fort dynamisme des achats de voitures

Les dépenses en transports progressent nette-

menten2015(+ 2,3 %envolumeaprès+ 0,4 % en 2014). En effet, après plusieurs années de contraction (- 18,2 % de baisse cumulée entre

2009et2013)etunestabilitéen2014(+ 0,1 %),

la consommation en automobiles neuves et d'occasion se redresse vivement (+ 6,1 % en volume ;figure 3). Ce mouvement traduit aussi bien le dynamisme du marché des voitures neuves (+ 4,7 % après - 0,2 % en 2014) que celui de l'occasion (+ 8,3 % après + 0,9 %).

Comme en 2014, les voitures à essence soutien

culations s'accroît fortement (+ 21,9 %) alors que le recul s'intensifie pour les voitures diesel (14,5 %). Désormais minoritaires, ces dernières ne représentent plus que 43,4 % des immatri culations en 2015, soit 9,1 points de moins qu'en 2014. Les ménages privilégient toujours les petites voitures économes (cinq chevauxfiscauxoumoins),maislapartdeces dernièresdiminue(57,4 %,soit-0,7point).

La consommation de carburants et lubrifiants

accélère en 2015 (+ 0,9 % après + 0,4 % ; une année de stabilisation (+ 1,4 % après + 0,1 %). En revanche, la dépense en gazole

évolue au même rythme qu'en 2014 (+ 0,7 %

en volume). Pour la troisième année consécu tive, le prix des carburants et lubrifiants secontracte (- 9,5 % après - 3,8 %) sous l'effet du recul des prix du baril de pétrole, en parti culiersurlesecondsemestre2015. Les dépenses en transports aériens restent dyna miques (+2,9% en volume après +2,4%).

Celles en transports ferroviaires rebondissent

après trois années de repli (+1,1% après -3,0%). Les transports collectifs routiers progressent également (+2,3% en volume après +0,6%); ils bénéficient de la libéralisation des

Rebond des dépenses liées au logement

Les dépenses pré-engagées sont celles sur lesquelles les ménages peuvent difficilement

28,9 % du revenu disponible brut des ménages,

unepartenbaissede0,1pointenunan. L'essentiel des dépenses pré-engagées des ménages (78,6 % en 2015) correspond à leur dépense pour se loger et pour chauffer et éclairer leur logement. Ces dépenses liées au logement s'accroissent en 2015 (+ 1,3 % en volume après - 1,4 % en 2014). Celles de chauffage et d'éclairage sont orientées à la hausse (+ 3,1 % après - 12,5 % en 2014), sous l'effet d'une météo un peu moins clémente en 2015 qu'en 2014. Ainsi, la consommation d'électricité progresse de

3,0 %envolume;lestempératuresélevéesde

l'été y ont également contribué en raison de l'utilisation accrue de climatiseurs. La dépense de gaz augmente de 4,4%,celle de fioul domestique de 2,0% (après respectivement -14,8% et -19,1% en 2014). Les prix des dépenses de chauffage et d'éclairage baissent pour la première fois depuis 2010 (- 0,3 % après + 2,2 %), entraînés par l'évolution des prixdufiouldomestiqueetdugaz.Eneffet,leprix du fioul domestique se replie encore plus fortement qu'en 2014 (- 17,9 % après - 6,7 %), prixdugazdiminueégalement(- 2,3 %après + 0,3 %). En revanche, le prix de l'électricité restetrèsdynamique(+ 4,8 % après+ 5,7 %), enraisonnotammentdelahaussedelacontri par les ménages, c'est-à-dire après déduction des aides au logement, continuent de ralentir (+ 1,8 % après + 2,0 %). En effet, l'indice de prix des loyers progresse plus modérément qu'en 2014 (+ 0,5 % après + 0,9 %) : il suit le mouvement de l'indice de référence des loyers (IRL), sur lequel sont indexés les loyers du parc privé et, depuis 2011, ceux du parc social.

En dehors d'un rebond en 2012, l'indice de

prix des loyers n'a cessé de décélérer depuis le quant à elles, continuent à augmenter en 2015, mais à un rythme plus soutenu qu'en 2014 (+ 2,0 %envaleuraprès+ 1,6 %).

Nouveau ralentissement de la consommation

liée à l'économie de l'information

En2015,ladépensedeconsommationenbiens

et services de l'économie de l'information se replie à nouveau en valeur, comme chaque année depuis 2009 (- 1,0 % en 2015 après - 1,6 %en2014).Labaissemarquéeetininter- rompue des prix se poursuit à un rythme toute- fois plus faible (- 2,2 % en 2015 après - 4,6 % en 2014) et la dépense en volume freine nette- ment (+ 1,3 % après + 3,2 %). Ce mouvement est imputable à la consommation de certains biens et services qui était dynamique en 2014, mais qui décélère fortement ou diminue en

2015. Ainsi, marqué par le net recul des achats

de tablettes, le marché des équipements infor matiques se stabilise en 2015 après plusieurs années de vive croissance. Après un rebond en

2014 lié au marché du téléviseur et des conso

les de jeux, la consommation de produits de

2015 (- 3,8 % en volume après + 10,6 %). En

l'absence d'événements sportifs majeurs et de sorties de nouvelles consoles de jeux, seuls les achats de caméscopes progressent (+ 6,9 % en volume après + 5,1 %), dynamisés par les camérasembarquées. Les services de télécommunications sont orien tés pour la première fois à la baisse en 2015 (- 0,4 % en volume après + 1,9 %) : le nombre de minutes de communication au départdesmobilesralentitnettement(+ 3,4 % après + 6,8 %) et la hausse des communica tions depuis les mobiles ne suffit plus à compenser le recul de celles en provenance des téléphones fixes. En revanche, le marché des téléphones mobiles demeure extrême ment dynamique (+ 31,9 % en volume après + 46,0 %), en lien avec l'essor des smartphoquotesdbs_dbs4.pdfusesText_8
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