En 2015 la hausse du pouvoir dachat dope la consommation des
En 2015 les ménages bénéficient d'une accélération de leur pouvoir d'achat : leur revenu Par ailleurs
Cinquante ans de consommation alimentaire :
Part de l'alimentation dans la dépense de consommation des ménages Insee Première n° 1568 - Octobre 2015. Encadré 1. Après 2007 la part du budget ...
Étude individuelle nationale des consommations alimentaires 3
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Ménages & Environnement - Les chiffres clés – Édition 2017
5 oct. 2017 serre consommation de produits bio
Les effets de la crise sur les comportements dachats des ménages
d'achat des ménages en produits animaux. Synthèse réalisée entre janvier 2015 et septembre 2015. ... de la consommation alimentaire cache elle-même.
ÉVOLUTION DES DÉPENSES ALIMENTAIRES DES MÉNAGES
et de mesurer le développement du commerce en ligne. Elle est basée sur les achats des ménages ordinaires français2 pour leur consommation au domicile principal
Méthodologie de lindice des prix à la consommation des ménages
29 janv. 2016 Le changement de base 2015 a également permis d'intégrer un nombre important d'améliorations rendues nécessaires étant donné le temps écoulé ...
partie 4 - Les pratiques alimentaires des ménages : quelle place
13 % en 2015. Le montant consacré aux dépenses alimentaires a augmenté moins vite que la dépense de consommation finale des ménages (respectivement + 71
achats et dépenses des ménages en matières grasses alimentaires
10 sept. 2019 Si la consommation du beurre est stable sur la période de 2008 à 2017 les achats de l'huile diminuent en volume. Les autres matières grasses ...
Profil de pauvreté 2015 - UNESCO
Profil de pauvreté 20151 Données collectées en février-mars 2015 5 4 Consommation alimentaire des ménages et insécurité alimentaire
INDICATEURS DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE
consommation alimentaire Avantage du SCA • Fournit des informations clefs sur la consommation alimentaire des ménages • Facile à collecter et à calculer • Prend en compte la valeur nutritionnelle des aliments consommés par le ménage • Comparable dans le temps et l’espace
La consommation des ménages depuis cinquante ans - INSEE
Dossier - La consommation des ménages depuis cinquante ans 17 Encadré 1 L’évolution relative des consommations par type de produit en volume Pour un poste donné la part budgétaire rapportelemontantenvaleurdesdépensesde ce poste au budget global des ménages L’évolution d’une part budgétaire dépend de
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Les données sur la consommation (ou l'acquisition) alimentaire des ménages sont généralement collectées de deux manières : 1 Les répondants sont interrogés et invités à se rappeler de leur consommation au cours d'une période donnée (semaine précédente mois précédent ) 2
Quelle est la dépense de consommation des ménages ?
En 2014, les ménages consacrent 232 milliards d'euros à leur budget « alimentation », à domicile ou en dehors du domicile, soit 3 600 euros en moyenne par habitant sur l'année. Ainsi, ils y affectent 20,4 % de leur dépense de consommation ( figure 1 ; encadré 1 ).
Quelle est la part de l'Alimentation dans les dépenses de consommation ?
Après 2007, la part de l'alimentation dans l'ensemble des dépenses de consommation repart à la hausse : après avoir atteint un point historiquement bas en 2007 à 19,4 %, elle remonte à 20,4 % en 2013, avant de s'infléchir très légèrement en 2014. Cette hausse interrompt ainsi une tendance baissière à l'œuvre depuis le début des années 1960.
Quelle est la consommation des ménages depuis cinquante ans ?
La consommation des ménages depuis cinquante ans. Georges Consales, Maryse Fesseau et Vladimir Passeron*. Depuis cinquante ans, les Français ont, sauf en 1993, consommé un peu plus chaque année, si bien qu’aujourd’hui le volume annuel de consommation par personne est trois fois plus.
Comment a évolué le budget de consommation depuis cinquante ans ?
Les mutations du budget de consommation depuis cinquante ans. Au-delà de la rupture de tendance survenue au milieu des années 1970, entre 1960 et. 2008, la hausse des dépenses de consommation des ménages a été quasi continue, et a suivi. celle de leur revenu : + 3,2 % par an en moyenne.
Cinquante ans de consommation alimentaire:
une croissance modérée, mais de profonds changements D epuis 1960, les ménages consacrent à l'alimentation une part de plus en plus réduite de leur dépense de consommation : 20 % en 2014 contre 35 % en 1960. En cinquante ans, la consommation alimentaire par habitant a malgré tout augmenté régulièrement en volume, mais moins rapidement que l'ensemble de la consommation. La composition du panier alimentaires'est par ailleurs modifiée. La viande, les fruits et légumes, les pains et céréales et les boissons
alcoolisées progressent moins vite que les autres produits alimentaires. Ils cèdent notamment du terrain aux produits transformés et aux plats préparés. La hausse du pouvoir d'achatdes ménages, l'évolution contrastée des prix des différents produits et la baisse du temps consacré
à la cuisine contribuent à la modification des pratiques alimentaires. Enfin, la consommation d'alcool au domicile devient plus occasionnelle ; elle intègre en outre de plus en plus d'alcools forts et de vins de qualité supérieure.Les prix pratiquésdans les cafés et restaurantss'accroissent sensiblement plus vite que ceux de l'alimentation à domicile.Brigitte Larochette et Joan Sanchez-Gonzalez, division Synthèses des biens et services, Insee
d'euros à leur budget " alimentation »(défi- nitions), à domicile ou en dehors du domi- cile, soit 3 600 euros en moyenne par habitant sur l'année. Ainsi, ils y affectent20,4 % de leur dépense de consommation
(figure 1 ; encadré 1). Il y a un demi-siècle, cette part était beaucoup plus élevée (34,6% en 1960) et l'alimentation constituaitle principal poste de dépense des ménages.Depuis, cette part tend globalement à
diminuer, en lien avec l'élévation du niveaudeviemoyen(encadré 2).De1960à 2014, la consommation alimentaire
progresse certes en volume(définitions) par habitant, de 1,1 % par an en moyenne, mais deux fois moins rapidement que l'ensemble de la dépense de consommation.En revanche, les prix de l'alimentationévoluent au même rythme que ceux de
l'ensembledelaconsommation.En2014,lestroisquartsdubudgetalimen
taire concernent l'alimentation à domicile, le quart restant étant dépensé dans les restaurants, cantines, débits de boissons, etc. Cette structure a nettement évolué : en1960, 86 % de la consommation alimen
tairesefaisaitaudomicile.De moins en moins de viande dans le panier alimentaireLes ménages ont profondément modifié
leur panier alimentaire(définitions)depuis les années 1960 : la part des trois princi paux postes (viande, fruits et légumes, pains et céréales) recule régulièrement (figure 2). La part de la viande diminue depuislesannées1980etn'atteintplusque20 % en 2014, contre 26 % à son apogée
en1967 ;lavianderestetoutefoislaprinci pale dépense du panier alimentaire en2014. Ce recul provient à la fois de volu
mesetdeprixmoinsdynamiquesqueceux des autres composantes du panier. LesOctobre 2015N° 15680510152025303540
19601963 1966 196919721975 1978 19811984 19871990 19931996199920022005 200820112014en %
Part de l'alimentation dans le revenu disponible brutPart de l'alimentation dans la dépense de consommation des ménages
1 Part de la dépense de consommation alimentaire dans le revenu disponible brut et la dépense de consommation des ménages de 1960 à 2014Source : Insee, comptes nationaux base 2010.
crises sanitaires, récurrentes depuis 1996, ont aussi affecté la consommation, mais dans une moindre mesure : les consommateurs délais sent alors la viande incriminée pour se repor ter sur d'autres viandes. Ainsi, lors de la crise delavachefolleen1996,laconsommationde boeuf a chuté (- 8 % en valeur et en volume par habitant), tandis que celle de cheval a bondi de plus de 12 % en valeur et volume et celle de volaille de 6 % en valeur (+ 3,8 % en volume). Les boissons alcoolisées et, dans une moindre mesure, les fruits et légumes occupent, en 2014, une part plus réduite dans le panier qu'en 1960. Il en est de même pour le budget global " pain et céréales » (13 % en2014contre15 %en1960) :laconsommation
de pain en volume diminue tandis que celle des autres produits à base de céréales (pâtes,À l'inverse, certaines dépenses prennent de
plusenplusdeplaceauseindupanieralimen taire : c'est le cas des plats préparés, des produits sucrés (sucre, confiserie, chocolat, confitures...) et des boissons non alcoolisées. Après avoir pris de l'ampleur entre 1960 et1990 sous l'effet des hausses de prix, la part de la consommation en oeufs et laitages, ainsiPrix et pouvoir d'achat influent
sur la composition du panier alimentaire de prix influencent la composition du panier alimentaire. L'intensité de la réaction des ménages aux évolutions relatives de prix dépend en outre de l'aliment considéré : par exemple, les volumes consommés de lait, de yaourtsetdeviandedeboeufoudemoutonsont très sensibles aux variations respectives de leurs prix(figure 3). Pour ces produits, une hausse de leurs prix relatifs se traduit par une forte baisse de leur consommation etvice versa.Pour d'autres produits, comme les pâtes alimentai res ou le pain, l'impact des hausses de prix est plus limité. Ce sont en effet des produits plus difficilementsubstituables.De même, tous les produits alimentaires ne
pouvoir d'achat par habitant, ce qui fait varier lepanier alimentaire des ménages. La consomma Les ménages utilisent alors leur supplément de revenu pour consommer des aliments moins bon marché, comme la plupart des viandes, les jus de fruits et certains alcools (champagnes et mousseux). En revanche, pour d'autres aliments, la consommation s'avère assez indif férente aux hausses de pouvoir d'achat : c'est le casdelaviandedeboeufoudeveau,desfruitset transformée. Cette dernière constitue l'un des principaux produitsde base de l'alimentation enFrance et est difficilement substituable par
d'autres produits. Elle reste très appréciée, même si sa consommation se réduit légèrement (- 0,8 %paranenmoyenne).De plus en plus de plats préparés
et de produits transformésAu fil des décennies, les ménages consom-
ment de plus en plus de plats préparés et de produits transformés tels que des légumesInsee Première n° 1568 - Octobre 2015
Encadré 1Après 2007, la part du budget consacrée à l'alimentaire se redresseAprès 2007, la part de l'alimentation dans
l'ensemble des dépenses de consommation repart à la hausse : après avoir atteint un point historiquement bas en 2007 à 19,4 %, elle remonteà20,4 %en2013,avantdes'in fléchir très légèrement en 2014. Cette hausse interrompt ainsi une tendance bais sière à l'oeuvre depuis le début des années1960. Ce retournement est dû à la conjonc
tion de deux facteurs. Le ralentissement du pouvoir d'achat depuis 2008 affecte peu les achats alimentaires en volume alors que les autres dépenses de consommation freinent fortement. Par ailleurs, les prix de l'alimenta tion sont nettement plus soutenus que ceux du reste de la consommation.Durantlapériode2007-2014,certainesten
dances se sont renforcées. Ainsi, la persis tance des hausses de prix de la viande et les différentes crises sanitaires contribuent à la stagnationdelaconsommationalimentaireen volume.Lesménagessedétournentégalementdu poisson et des crustacés au profit des oeufs, meilleur marché. La consommation de fruits et légumes est globalement atone de2008 à 2012 avant de rebondir en 2013 et
2014. Elle dépend de la disponibilité des
produits et de leurs prix quipeuvent fluctuer fortement d'une année sur l'autre en raison des conditions météorologiques. En revanche, lèredepuisledébutdelacrisede2008(+ 1,0 % en volume en moyenne par an et par habitant contre 0,0 % entre 2000 et 2007). Enfin, les différentes campagnes de prévention, la taxation plus importante des boissons alcoo lisées dans le cadre des plans Santé et les contraintes financières des ménages limitent la consommation de boissons alcoolisées ; celle-ci est désormais orientée à la baisse, quelquesoitletyped'alcoolhormislesvinsde consommation courante. Même les cham pagnes et vins de qualité supérieure sont051015202530
Pain et céréalesViande Poisson Oeufs et laitagesPlats préparésFruits et légumesProduits sucrésBoissons alcooliséesBoissons non alooliséesAutresen %1960 1990
20142 Composition du panier alimentaire en 1960, 1990 et 2014
Source : Insee, comptes nationaux base 2010.
Encadré 2Les ménages peu aisés
consacrent une plus grande part de leurbudget àl'alimentation à domicileAvoir un faible niveau de vie conduit à
affecter une part plus élevée de son budget à l'alimentation à domicile : selon l'enquêteBudget des familles de 2011, les ménages
du premier quintile de niveau de vie (défini- tions) y consacrent 4,5 points de plus que les ménages du cinquième quintile. À niveau de vie équivalent, la part de l'alimentation à domicile est plus grande pour les ménages qui ont des enfants. Il en est de même si les ménages sont plus âgés que la moyenne ou s'ils sont employés ou ouvriers. influent également sur la composition du panier alimentaire : pour les ménages peu aisés, le panier comporte davantage de pain et céréales, mais moins de poisson, de boissons alcoolisées, de fruits, et légè rement moins de viande. Celui d'un ménage plus âgé comprend davantage de viande, de poisson, de fruits et légumes, mais moins de boissons alcoolisées et de plats préparés. Le panier d'un agriculteur contient moins de légumes et de boissons alcoolisées en raison d'une autoconsomquotesdbs_dbs11.pdfusesText_17[PDF] la place de chacun dans la famille
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