[PDF] Février 2016 - Infections sexuellement transmissibles en Nord-Pas





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Jun 2 2558 BE ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) fréquentant les lieux de convivialité gay ... L'étude ANRS-Coquelicot est une enquête séro-.



ESTIMATION DE LA PRÉVALENCE DU VIH CHEZ LES HOMMES

Jul 18 2560 BE hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes fréquentant les lieux de convivialité gay de cinq villes françaises. – PREVAGAY 2015.



PRÉVALENCE DE LINFECTION PAR LE VIRUS DE LHÉPATITE B

May 15 2561 BE VACCINALE CONTRE LE VHB CHEZ LES HOMMES AYANT DES RELATIONS. SEXUELLES AVEC DES HOMMES FRÉQUENTANT DES LIEUX DE CONVIVIALITÉ GAY.



Sommaire

Dec 31 2560 BE Enquête de séroprévalence du VIH menée auprès des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes fréquentant les lieux de convivialité gay ...



Sommaire

Dec 1 2560 BE ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH) fréquentant les lieux de convivialité gay parisiens et résidant en Île - de - France



Février 2016 - Infections sexuellement transmissibles en Nord-Pas

ans ou plus ayant eu des rapports sexuels avec des hommes au cours des douze derniers mois et fréquentant les établis- sements de convivialité gay. L'enquête s 



Groupe dexperts VIH - Prévention et dépistage (avril 2018)

sexuels avec les hommes (HSH) et les populations des deux sexes Dans l'enquête PREVAGAY 2015 menée dans les lieux de convivialité gay de cinq villes.



Défaire et refaire un groupe à risque. Objectivation et prévention du

l'incidence du VIH chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes comportementales et données biomédicales montre que 20 % des gays séro-.



Untitled

Oct 5 2559 BE La sexualité des jeunes en Bretagne – État des lieux – juin 2011 ... Les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH).



Surveillance des IST et du VIH-sida - Auvergne-Rhône-Alpes (ARA

les hommes ayant des relations sexuelles avec les hommes (HSH) et les ... menée auprès des HSH fréquentant les lieux de convivialité gay à Lyon en 2015.



RAPPORT PREVAGAY 2015 - Réseau SOS Médecins

Prevagay 2015 Enquête de séroprévalence du VIH menée auprès des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes fréquentant les lieux de convivialité gay Saint-Maurice : Santé publique France 2017 7 p 8 Disponible à partir de l’URL : www santepubliquefrance



RAPPORT PREVAGAY 2015 LILLE - Réseau SOS Médecins

Prevagay 2015 Lille Enquête de séroprévalence du VIH menée auprès des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes fréquentant les lieux de convivialité gay Saint-Maurice : Santé publique France 2017 59 p Disponible à partir de l’URL :

BVS | Bulletin de veille sanitaire | CIRE Nord | | Février 2016 | Page 1

Page 1 | Editorial |

Page 2 | Surveillance des infections à VIH et sida dans le Nord-Pas de Calais | Page 6 | Surveillance de la syphilis dans le Nord-Pas-de-Calais de 2000 à

2014 : bulletin du réseau RésIST |

Page 11 | Enquête PREVAGAY 2015 |

Page 12 | e-DO : nouvel outil en ligne pour les Maladies à Déclaration

Obligatoire |

Page 12 | Acronymes |

| Editorial |

Dr Pascal Chaud, Bakhao Ndiaye- InVS-Cire Nord

Ce nouveau Bulletin de veille sanitaire (BVS) présente les données de surveillance épidémiologique régionales actualisées au 31

décembre 2014 pour les infections à VIH et le Sida dans le Nord et le Pas-de-Calais, ainsi que pour la syphilis dans le Nord. Ces

: le suivi des activités de dépistage ar le VIH et de Sida et le réseau des cliniciens volontaires (" RésIST ») Les données du réseau RésIST sont com- plétées par les données des des diagnostic des infections sexuellement transmissibles (CIDDIST) de la région.

Le nombre de personnes ayant découvert leur séropositivité VIH dans la région est stable depuis 2003 et deux fois inférieur au taux

national. La seule tendance marquante depuis 2010 est observée chez les hommes ayant des rapports sexuels avec les hommes

io-

nal. Les rapports homosexuels chez les HSH demeurent le mode de contamination le plus fréquent dans la région (plus de

60% des contaminations depuis 2010).

. En 2014, 139 cas ont été signalés dans le

cadre du réseau " RésIST », contre 117 cas en 2013, soit une augmentation de 19%. Cette tendance, observée dans é-

gions métropolitaines, se poursuit en 2015 dans le Nord, 150 cas ayant été signalés (données non validées). Comme pour

l auto-e-

meure très faible (1 répondant sur 3), similaire au niveau national, et reste marginal lors des fellations (5%).

Ces résultats incitent fortement à améliorer les connaissances sur les comportements sexuels à risque et à renforcer les actions de

prévention notamment chez les HSH. La réalisati auprès des HSH dans 5 grandes villes fran-

çaises (Nice, Montpellier, Lyon, Lille et Paris) p-

prochement de données socio-comportementales et du statut sérologique VIH. Les résultats devraient aider à redéfinir les straté-

gies de dépistage et de prévention afin de diminuer le risque de transmission. A Lille, le-

ments de convivialité gay (bars, saunas, bars avec backrooms ou clubs) et a connu un taux de participation record de plus de 80%

es ré- sultats seront d

Enfin, les perspectives 2016 sont également marquées par la dématérialisation de la déclaration obligatoire du VIH par le disposi-

tif e-DO e

circuit de la déclaration, en permettant au clinicien et au biologiste de faire leur propre déclaration de manière indépendante dans

-DO (http://www.invs.sante.fr/Espace-professionnels/Maladies-a-declaration-obligatoire/e-DO-Declaration-obligatoire-

en-ligne-de-l-infection-par-le-VIH-et-du-sida ).

Bulletin de veille sanitaire Février 2016

Infections sexuellement transmissibles en Nord-Pas-de-Calais

BVS | Bulletin de veille sanitaire | CIRE Nord | | Février 2016 | Page 2

| Surveillance des infections à VIH et Sida dans la région Nord Pas-de-Calais.

Données actualisées au 31/12/2014 |

Cet article présente les données de surveillance du dépistage et du diagnostic de l'infection à VIH et du diagnostic de Sida, en région Nord Pas-de-Calais, à partir de trois systèmes coor- donnés par l'Institut de veille sanitaire (InVS). La surveillance de l'activité de dépistage du VIH dans les la- boratoires (LaboVIH) repose sur le recueil auprès de l'en- semble des laboratoires, en ville et à l'hôpital, du nombre de personnes testées pour le VIH, et du nombre de personnes confirmées positives pour la première fois. Le formulaire pa- pier ou le lien pour répondre en ligne à LaboVIH sont dispo- nibles auprès de l'InVS1.

La notification o

par le biologiste et complétée par le clinicien pour toute per- sonne dont la sérologie est confirmée positive pour la pre- mière fois pour le laboratoire2. La notification obligatoire du Sida est réalisée par le clinicien pour tout nouveau diagnostic de Sida. Ces deux notifications sont anonymisées à la source par le déclarant, elles comportent en guise d'identifiant un code d'anonymat, calculé au moyen d'un logiciel fourni par l'InVS. Les formulaires de notification, comportant 3 à 5 feuillets au- tocopiants, ne peuvent être ni photocopiés, ni téléchargés. Les déclarants (biologistes et cliniciens) doivent en faire la 3. La surveillance virologique est couplée à la notification obliga- toire du VIH. Elle est réalisée par le Centre national de réfé- rence du VIH qui effectue des tests complémentaires à partir d'un échantillon sur buvard, déposé par le biologiste à partir du fond de tube ayant permis le diagnostic VIH. Elle ne con- patient comme pour le biologiste.

1 INVS-DMI-VIC@invs.sante.fr 2 Le nombre de sérologies positives recueilli par LaboVIH est différent du

nombre de découvertes de séropositivité, car une personne ayant eu une séro- logie positive dans un laboratoire donné, peut être à nouveau testée dans un autre laboratoire, comptant ainsi pour 2 sérologies positives.

3 Ars-npdc-signal@ars.sante.fr

DONNEES NATIONALES [2]

- Le nombre total de sérologies VIH, réalisées en 2014, est estimé, à partir des laboratoires participant au réseau La- boVIH, à 5,27 millions (IC 95 % : [5,20-5,33]), soit 80 séro- logies pour 1000 habitants. Après avoir augmenté, ce - Le nombre de sérologies positives estimé par le réseau LaboVIH était de 11 013 (IC 95 % : [10 435 -11592]) en

2014. Ce nombre est un peu inférieur à celui de 2013

(11 176). - Le nombre de personnes ayant découvert leur séropositivi- té en France en 2014 est estimé à environ 6 600, stable par rapport à 2011. Depuis 2012, le nombre de décou-

Île-de-France.

Environ 1220 diagnostics de Sida ont été réalisés en 2014 en France.

NOTA :

- Les analyses des diagnostics VIH et Sida présentées ici sont issues de la déclaration obligatoire des découvertes de séropositivité et des diagnostics de Sida notifiés jus- - -à-dire limitées aux données parvenues à l'InVS à cette date. Les données brutes permettent de décrire les caractéristiques des cas. - Ces données peuvent être corrigées pour tenir compte des délais de déclaration, de la sous-déclaration, et des va- leurs manquantes sur les déclarations reçues. Pour con- naitre le nombre annuel de diagnostics, pour analyser les évolutions au cours du temps ou pour comparer les ré- gions en rapportant les cas à la population, il est néces- saire d'utiliser des données corrigées. sidant dans la région Nord Pas-de-Calais. Dans les don- nées corrigées, la région de déclaration est utilisée par dé-

BVS | Bulletin de veille sanitaire | CIRE Nord | | Février 2016 | Page 3

1. Infection à VIH

1.1 Activité de dépistage du VIH

En 2014, le nombre de sérologies VIH effectuées dans la ré- gion était de 74 p. 1 000 habitants (IC95%: [68-79]) (figure 1). Il est stable depuis 2006 et légèrement inférieur à celui obser- vé au niveau national (80 p. 1 000 habitants) (Figure 2). En -de-France et la région Provence-Alpes-

111 et 100 pour 1000 habitants (figure 2)

La proportion de sérologies positives pour 1000 tests effec- tués, estimée à 0,8 en 2014, varie de 0,7 à 1,1 depuis 2003. Cette proportion demeure plus de 2 fois inférieure à celle re- trouvée au niveau national (Figure 2). | Figure 1 | Nombre de sérologies VIH effectuées pour 1 000 habitants (LaboVIH), par région, 2014.

Source : InVS, données LaboVIH, 2014

| Figure 2 | Evolution du nombre de sérologies réalisées et du nombre de sérologies positives pour 1000 habitants en région Nord Pas- de-Calais et en France, 2006-2014.

Source : InVS, données LaboVIH, 2014

1.2 Notification

à VIH

Découverte de Séropositivité

En 2014, le nombre de personnes ayant découvert leur séro- positivité dans la région est de 42 p. 1 000 000 habitants (IC95%: [24-60]) (figure 3). Il est stable depuis 2003 et deux fois inférieur au taux national [100 p. 1 000 000 habitants (IC95%: [92-107]) (Figure 4)]. -de-France où on observe le taux de découverte de séropositivité le plus éle- vé (244 p. 1 000 000 habitants) (Figure 4). | Figure 3 | Nombre de découvertes de séropositivité par million Source : InVS, données DO VIH au 31/12/2014 corrigées pour les délais et la sous déclaration | Figure 4 | Evolution du taux annuel de découverte de séropositivité VIH en France métropolitaine, Ile-de-France et région Nord Pas-de-

Calais de 2003 à 2014.

v Source : InVS, données DO VIH au 31/12/2014 corrigées pour les dé- lais et la sous déclaration 0 10 20 30
40
50
60
70
80
90
0 0,5 1 1,5 2 2,5 3 3,5 4 c

Nombre de sérologies réalisées

pour 1000 habitants l'axeNombre de sérologies positives pour 1000 habitants Nombre de sérologies positives pour 1000 tests en NPdC Nombre de sérologies positives pour 1000 tests en France Nombre de sérologie réalisées pour 1000 habitants en France Nombre de sérologie réalisées pour 1000 habitants en NPDC 0 50
100
150
200
250
300
350

200320042005200620072008200920102011201220132014Taux de découverte de séropositivité / 1000 000 hab.

NPdCIDFFrance métropolitaine (hors IDF et NPDC)

BVS | Bulletin de veille sanitaire | CIRE Nord | | Février 2016 | Page 4

Caractéristiques cliniques et sociodémogra-

phiques Age : même en 2014 (38 ans) que sur la période 2003-2013 (36 ans). -49 ans était majoritaire et re- présentait 76 % des cas (72% en 2003-2013). Sexe : La proportion de femmes en 2014 est similaire à celle de la période 2003-2013 (Tableau 1). Ces proportions sont comparables à celle observée au niveau national. Pays de naissance : En 2014, la proportion de personnes découvrant leur séropositivité nées en France est stable (68% vs 71% sur la période 2003-2013). Ces proportions sont supé- rieures à celle du niveau national (53%). | Tableau 1 |

Caractéristiques sociodémographiques

Nord Pas-de-Calais France

2003 -2013

(n=1181) 2014+
(n= 71) 2014+

Age (année)

Med 36 38 38

< 25 (%) 16 10 10

25-49 (%) 72 76 69

> 50 (%) 13 16 21 Sexe

Hommes(%) 72 76 69

Femmes(%) 25 24 31

Pays de naissance

France(%) 71 68 53

Afrique sub-

saharienne (%)

23 24 32

Autres(%) 6 8 15

Mode de contamina-

tion

HSH(%) 55 63 44

hétérosexuels (%) 43 34 53

Injection de

drogues(%) 2 3 1

Coinfection hépatite

C oui(%) 5 3 5 non(%) 95 97 95

Coinfection hépatite

B oui(%) 5 3 4 non(%) 95 97 96

CD4 au diagnostic

VIH <200(%) 30 35,5 28

200-349(%) 18 19,4 20

350-499(%) 21 12,9 21

>=500 (%) 31 32 ,3 32

Diagnostic

précoce*(%) 39 41 37

Diagnostic tardif **(%) 34 43 28

+ Données provisoires *Def diag précoce ; cd4>500/mm3 ou PIV au diagnostic **Def diag tardif ; cd4 < 200/mm3 ou Sida au diagnostic NB : Les variables CD4 et diagnostic précoce ou tardif sont dispo- nibles seulement depuis 2008 Mode de contamination : Parmi les personnes ayant décou- vert leur séropositivité VIH en 2014, 63 % ont été contaminées par des rapports homosexuels (55 % en 2003-2013), 34% par des rapports hétérosexuels (43 en 2003-2014) et 3% par usage de drogues injectables (2% en 2003-2013). Les rap- ports hétérosexuels représentaient le mode de contamination le plus fréquent entre 2003 et 2004, puis, à partir de 2006, les rapports homosexuels sont devenus le mode de contamination le plus fréquent (Figure 5). Co-infection hépatite C et B: La proportion de personnes co- infectées par le VHC représente plus de 3% en 2014 (5% en

2003-2013). Cette proportion est similaire pour les personnes

co-infectées par le VHB (tableau 1).

CD4 au diagnostic: En 2014, plus

de séropositivité ont un taux de cd4 inférieur à 200/mm3. | Figure 5 | Evolution de la part des principaux modes de dans le région Nord Pas-de-Calais de 2003 à 2014 Source : InVS, données DO VIH brutes au 31/12/2014 Stades cliniques au moment du dépistage : Parmi les personnes ayant découvert leur séropositivité entre 2003 et 2014, 12 % ont été diagnostiqués précocement au stade de la primo-infection, 63 % à un stade asymptomatique, 8 % à un stade symptomatique non sida, et 17 % au stade sida (fig.6). Les homosexuels ont été plus fréquemment diagnostiqués au stade de primo-infection que les hétérosexuels (16% vs 6%). En 2014, 43% des diagnostics sont réalisés tardivement (cd4 < 200/mm3 ou Sida au diagnostic) dans la région, proportion supérieure à celle du niveau national (28%). Les donnés 2013 et 2014 ne sont pas encore consolidées et doivent être in- terprétées avec prudence (fig.7) | Figure 6 | Stades cliniques au moment de la découverte de la séropositivité selon le mode de contamination, région Nord

Pas-de-Calais , 2003 à 2014.

Source : InVS, données DO VIH brutes au 31/12/2014 50
64

4846384146

3332363134

4528

4850625852

6466646963

22430220003

0 10 20 30
40
50
60
70
80
90
100
HétérosexuelHSHUsager de Drogues InjectablesAutres 0% 20% 40%
60%
80%
Homo/BisexuelHétérosexuelAutres modes de contamination

BVS | Bulletin de veille sanitaire | CIRE Nord | | Février 2016 | Page 5

| Figure 7 | Pourcentage de diagnostics tardifs parmi les découvertes de séropositivité, région Nord Pas-de-Calais, 2008 à 2014. (Def diag tardif ; cd4 < 200/mm3 ou Sida au diagnostic) *Données provisoires Source : InVS, données DO VIH brutes au 31/12/2014

1.3 Diagnostic de Sida

En 2014, le nombre de cas de Sida dans la région est de 26 (IC95%: [16-36]). Il est en diminution depuis 2010. Le taux de diagnostic de sida est estimé à 6 cas pour

1 000 . Ce taux est près de trois fois

inférieur à celui observé en France, qui atteint 15 cas pour

1 000 -de-France qui atteint 34

cas pour 1 000 (prés de 6 fois inférieur à celui de la région Nord Pas-de-Calais). (Figure 8). | Figure 8 | Evolution annuelle du taux de diagnostics de Sida en France métropolitaine, Ile-de-France et région Nord Pas-de-Calais de

2003 à 2014.

Source : InVS, données DO VIH au 31/12/2014 corrigées pour les dé- lais et la sous déclaration

Mode de contamination

Parmi les personnes ayant un diagnostic de Sida en 2014, la part des contaminations par rapports homosexuels et hétéro- sexuels est égale (45% chacune). Les contaminations hétéro- sexuelles représentaient le principal mode de contamination sur la période 2003-2013 (52%) (fig. 9). | Figure 9 | Evolution du la part des cas de Sida pour les 3 modes de contamination (Hétéro, HSH, UDI), région Nord Pas-de-Calais,

2008 à 2014.

Source : InVS, données DO Sida brutes au 31/12/2014 non corrigées

35%34%

37%36%

26%
31%
43%
0% 10% 20% 30%
40%
50%

200820092010201120122013*2014*

% Diagnostic tardif 0 10 20 30
40
50
60
70
80
90
taux de diagnostics de sida / 1000 000 habitants

Nord-Pas-de-CalaisIle de France

France (hors IdF et NPdC)

48
2924

43402729

565043

70
46
7 711
9 0 08 05 0 0 9 44
5960

46607358

414557

30
45
0 10 20 30
40
50
60
70
80
90
100
HSHUsagers de drogue injectablesHétérosexuelAutres modes

PONTS FORTS - VIH ± Nord-Pas-de-Calais

- Depuis 2006, la proportion de sérologies positives pour

1 000 tests est stable et varie entre 0,7 et 1,1 dans la ré-

gion Nord Pas-de-Calais. Elle est de 0,8/1000 en 2014. Cette proportion demeure plus de 2 fois inférieure à celle retrouvée au niveau national. - Le taux de découverte de séropositivité pour le VIH en Nord Pas-de-Calais, est stable et 2 fois inférieur à celui du national (42 p au ni- veau national hors Ile-de-France). - Depuis 2006, les rapports homosexuels sont devenus le mode de contamination le plus fréquent (toujours supé- rieur à 60% depuis 2010), ce qui incite à cibler ce groupe de transmission lors des campagnes de prévention. - L t globalement compa- rable aux années précédentes

BVS | Bulletin de veille sanitaire | CIRE Nord | | Février 2016 | Page 6

| Surveillance de la syphilis dans la région Nord Pas-de-Calais de 2000 à 2014

Bulletin du réseau RésIST |

NOTA :

Les analyses qui suivent sont réalisées à partir des données régionales de surveillance recueillies sur la période 2000-

2014. Elles concernent les cas de syphilis récente (primaire,

secondaire et latent) rapportés par les praticiens participant au réseau de surveillance. -questionnaire comportemental. C que pour la moitié des patients au niveau régional.

1. Syphilis récente

1.1 Evolution du nombre de cas de Syphilis et

vent

Pas-de-Calais, observée en 2013

le nombre de cas a atteint 139 (+19% par rapport en 2013) (figure1), bien au delà des pics observés en 2006 et 2007 (86 centres déclarants constants » pour les années 2012 à 2014 confirme une augmentation du nombre de cas de syphilis dans la région Nord-Pas-de-Calais (NPDC)quotesdbs_dbs43.pdfusesText_43
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