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Jun 2 2558 BE ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) fréquentant les lieux de convivialité gay ... L'étude ANRS-Coquelicot est une enquête séro-.
ESTIMATION DE LA PRÉVALENCE DU VIH CHEZ LES HOMMES
Jul 18 2560 BE hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes fréquentant les lieux de convivialité gay de cinq villes françaises. – PREVAGAY 2015.
PRÉVALENCE DE LINFECTION PAR LE VIRUS DE LHÉPATITE B
May 15 2561 BE VACCINALE CONTRE LE VHB CHEZ LES HOMMES AYANT DES RELATIONS. SEXUELLES AVEC DES HOMMES FRÉQUENTANT DES LIEUX DE CONVIVIALITÉ GAY.
Sommaire
Dec 31 2560 BE Enquête de séroprévalence du VIH menée auprès des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes fréquentant les lieux de convivialité gay ...
Sommaire
Dec 1 2560 BE ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH) fréquentant les lieux de convivialité gay parisiens et résidant en Île - de - France
Février 2016 - Infections sexuellement transmissibles en Nord-Pas
ans ou plus ayant eu des rapports sexuels avec des hommes au cours des douze derniers mois et fréquentant les établis- sements de convivialité gay. L'enquête s
Groupe dexperts VIH - Prévention et dépistage (avril 2018)
sexuels avec les hommes (HSH) et les populations des deux sexes Dans l'enquête PREVAGAY 2015 menée dans les lieux de convivialité gay de cinq villes.
Défaire et refaire un groupe à risque. Objectivation et prévention du
l'incidence du VIH chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes comportementales et données biomédicales montre que 20 % des gays séro-.
Untitled
Oct 5 2559 BE La sexualité des jeunes en Bretagne – État des lieux – juin 2011 ... Les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH).
Surveillance des IST et du VIH-sida - Auvergne-Rhône-Alpes (ARA
les hommes ayant des relations sexuelles avec les hommes (HSH) et les ... menée auprès des HSH fréquentant les lieux de convivialité gay à Lyon en 2015.
RAPPORT PREVAGAY 2015 - Réseau SOS Médecins
Prevagay 2015 Enquête de séroprévalence du VIH menée auprès des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes fréquentant les lieux de convivialité gay Saint-Maurice : Santé publique France 2017 7 p 8 Disponible à partir de l’URL : www santepubliquefrance
RAPPORT PREVAGAY 2015 LILLE - Réseau SOS Médecins
Prevagay 2015 Lille Enquête de séroprévalence du VIH menée auprès des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes fréquentant les lieux de convivialité gay Saint-Maurice : Santé publique France 2017 59 p Disponible à partir de l’URL :
PrĠambule 5
Le Plan RĠgional SantĠ Sedžuelle 6
Les champs d'action du Plan RĠgional SantĠ Sedžuelle 6Jeunes 7
OBJECTIF 2 - Renforcer les compĠtences des acteurs interǀenants auprğs des jeunes, notamment les familles dans le champ
de l'Ġducation ă la sedžualitĠ et ă la SantĠ Sedžuelle.Personnes sous main de justice 9
OBJECTIF 1 - DĠǀelopper des actions de SantĠ Sedžuelle dans le cadre d'une approche en santĠ globale et de dĠǀeloppement
des compĠtences psycho sociales tout au long du parcours des personnes sous main de justice.Personnes en situation de prostitution 11
adaptĠes. en situation de prostitution. LGBTI - Lesbiennes, Gays, Bi, Trans et Intersedžes 13OBJECTIF 1 - Renforcer la prĠǀention diǀersifiĠe et les dĠpistages, l'accğs audž droits et la prise en charge ă destination des
LGBTI notamment en ͨ allant ǀers ͩ.
OBJECTIF 2 - AmĠliorer la prise en charge des personnes LGBTI. dans le cadre sedžuel.OBJECTIF 4 - Lutter contre les discriminations.
Migrant.e.s 17
OBJECTIF 1 - Renforcer la prĠǀention et la prise en charge en SantĠ Sedžuelle des migrant.e.s
Personnes ągĠes (rĠsidants en institution) 18OBJECTIF 1 - Promouǀoir une ǀision positiǀe de la sedžualitĠ des personnes ągĠes en prenant en compte le droit ă l'intimitĠ,
la ǀie relationnelle et sedžuelle. OBJECTIF 2 - Permettre l'edžpression d'une ǀie sedžuelle au sein des Ġtablissements Personnes en situation de handicap (rĠsidants en institution) 20OBJECTIF 1 - Promouǀoir une ǀision positiǀe de la sedžualitĠ des personnes en situation de handicap tout au long de la ǀie
en prenant en compte le droit ă l'intimitĠ, la ǀie relationnelle et sedžuelle.OBJECTIF 2 - Faǀoriser l'accğs ă une offre de prĠǀention et de soin en SantĠ Sedžuelle au sein des Ġtablissements, dans le
cadre de l'application de la charte Romain Jacob adaptĠ audž contedžtes de ǀie, comprĠhensible et accessible.
AmĠlioration de la santĠ reproductiǀe 22
OBJECTIF 1 - Garantir l'accğs audž mĠthodes de contraception de leur choidž pour les femmes et pour les hommes
OBJECTIF 2 - RĠduire les grossesses non dĠsirĠes et non prĠǀuesOBJECTIF 3 - PrĠǀenir l'infertilitĠ chez les femmes et les hommes en fonction des dĠterminants comportementaudž
Interruption Volontaire de Grossesse 24
OBJECTIF 1 - Tenir a jour l'Ġtat des lieudž de l'IVG en Bretagne OBJECTIF 2 - Mieudž informer les femmes, les jeunes et les professionnel.le.s de santĠ OBJECTIF 3 - AmĠliorer le parcours et permettre l'accğs ă une offre diǀersifiĠe OBJECTIF 4 - Porter une attention accrue audž situations particuliğresSommaire
4 Infections Sedžuellement Transmissibles - IST 27 lymphogranulome ǀĠnĠrien, en population gĠnĠrale OBJECTIF 2 - RĠduire l'incidence des IST bactĠriennes dans les populations clĠsHĠpatites ǀirales B et C 29
suiǀre l'ĠǀolutionOBJECTIF 2 - AmĠliorer l'organisation des structures de prĠǀention, de soins et mĠdico-sociales et leur articulation
OBJECTIF 4 - Aiderͬ faciliter l'information sur les hĠpatites ǀirales et la formation de professionnel.le.s
agir faǀorablement pour leur santĠ.VIH 32
OBJECTIF 1 - RĠduire l'incidence de l'infection par le VIH OBJECTIF 3 - RĠduire la sĠrophobie dans la population gĠnĠrale Indicateurs de suiǀi du Plan RĠgional SantĠ Sedžuelle 34Annedžes 39
SchĠma de coordination rĠgionale en SantĠ Sedžuelle 40SchĠma des acteurs interǀenant dans la dĠclinaison rĠgionale de la StratĠgie Nationale de SantĠ
Sedžuelle 41
Edžemple de fiche projet 42
Indedž des sigles 43
Bibliographie 45
5La stratégie nationale de santé sexuelle (2017-2030) propose " une dĠmarche globale d'amĠlioration de la santĠ
sexuelle et reproductive, qui vise à garantir à chacun une vie sexuelle autonome, satisfaisante et sans danger, ainsi que
le respect de ses droits en la matiğre, mais aussi ă Ġliminer les ĠpidĠmies d'infections sexuellement transmissibles IST
politique globale de santé construite à partir de la stratĠgie nationale de santĠ (SNS), elle fait l'objet d'une 1ère feuille
de route ministérielle (2018-2020) et ses mesures phares sont inscrites dans le plan Priorité Prévention du
Gouvernement.
dĠfinition des prioritĠs rĠgionales. Pour l'ensemble de la dĠmarche, nous aǀons optĠ pour une approche
quelques fiches thématiques. Le plan régional santé sexuelle (PRSS) regroupe ainsi 7 fiches populationnelles et 5 fiches
thématiques, reprenant les grandes priorités nationales et sur la base des constats régionaux, chaque fiche décrit les
consensuelle, à mener sur la durée du PRS (5 ans).annuel du PRS. Chaque fiche sera pilotée par un référent et le bilan annuel se fera dans une réunion du groupe
thématique régional " Vie affective et sexuelle ».Le suiǀi et l'Ġǀaluation de ce plan se feront au traǀers des actions menĠes et des indicateurs. Nous aǀons choisi de
objectifs. La majorité des indicateurs sont des indicateurs recueillis déjà en routine.reprĠsentant une grande diǀersitĠ des secteurs d'interǀention. La force du modèle breton de gouvernance, représenté
sous forme de schéma en annexe du PRSS, ce sont des institutions déclinant la santé sexuelle dans leurs politiques
pour déployer les actions de notre stratégie régionale.Je remercie tout particulièrement le Pôle régional de Coordination En Santé Sexuelle (PCESS), le COREVIH et
Régional Santé Sexuelle.
Stéphane MULLIEZ
Directeur gĠnĠral de l'ARS Bretagne
Préambule
6Plan Régional Santé Sexuelle
7LES CONSTATS
Constats de Fil santé jeunes
Ż Les images et films pornographiques sont devenus une Référence considérée comme la sexualité
universelle;Ż Pour les jeunes, la sexualité est innée et ne pas savoir est un signe de faiblesse : refus de se soumettre à
un apprentissage; Ż La représentation des corps est souvent faussée;Ż Travail de Fil santé jeunes : transformer les pulsions sexuelles des jeunes, sous-tendues par des normes
Santé Sexuelle et reproductive : Haut Conseil de la Santé Publique -2016.Ż Environ 30% des consommateurs de pornographie sont des adolescents âgés de 13 et 14 ans ; 80% des
étaient menés par des éducateurs formés, accroître les connaissances en matière de sexualité et
diminuer les pratiques sexuelles à risques; la réd intrinsèque des deux partenaires;Ż et de huit catégories thématiques;
Ż A la Réunion,
ADSP : Santé Sexuelle et de la reproduction septembre 2016.Ż élève sur 5 (17.8%) en classe de 4e ou de 3e déclare avoir eu des rapports sexuels (22% garçons ;
13.7% filles).
sHCE juin 2016 Baromètre)
Ż 25% des
sexualité;Ż Les séances ne concernant pas toutes les classes mais en priorité CM1 et CM2, 4e et 3e, 2nde;
La sexualité des jeunes en Bretagne État des lieux juin 2011Ż Pas
santé des apprentis mars 2016); rural; Ż Manque de connaissances des pratiques contraceptives chez les jeunes; Ż Peu de données sur les grossesses précoces.Mars 2016.
Ż La grande majorité des apprentis a déjà eu un rapport sexuel (79%) ; Ż pas utilisé de préservatif lors du premier rapport;Jeunes
8 [OBJECTIF 1] relationnelle en direction des jeunes en garantissant une offre adaptée àY Références SNSS
Axe 1 / Objectif 1 / Actions 1- 2-4 Y Références PRSThème 1 / Chantier 3
Thème 9 / Chantiers 4-5
Grandes actions
1. Milieu scolaire et apprentissage
De la maternelle au lycée
Dans le cadre du contrat ARS/Éducation Nationale : veiller avec le Rectorat Santé Sexuelledans le parcours éducatif de santé et participer aux réflexions et aux modalités de déploiement de ce parcours
en référence au guide " 3 critères de qualité pour promouvoir la santé des jeunes en milieu scolaire »;
Promouvoir la Santé Sexuelle dans les é;
Promouvoir la Santé Sexuelle
lesDans les universités et les écoles de formations des carrières sanitaires, sociales et médicosociales
Promouvoir Santé Sexuelle dans les universités dans le cadre de la déclinaison régionale du Plan national
de la vie étudiante, en lien avec les SUMPPS; Î Intégrer la Santé Sexuelle dans les CPOM des SUMPPS et SIMPPS.Î Intégrer la Santé Sexuelle dans les programmes des écoles de formations des carrières sanitaires, sociales et
médicosociales.2. Hors milieu scolaire
Proposer une offre différenciée d'actions d'information et de prévention en direction des jeunes hors cursus
scolaire ou universitaire -éducatives, des activités sportives, culturelles, accueils jeunes, jeunes sous protection judicaire (PJJ) AE Identifier et cibler des jeunes publics prioritaires ; AE ; AE Prendre appui sur les réseaux modernes de communication ; AE Impliquer les jeunes et les familles au travers d'actions.Une attention particulière sera portée aux jeunes en situation de handicap (voir fiche " Personnes en situation de
handicap »), et aux jeunes se reconnaissant dans les populations LGBTI (voir fiche " LGBTI »).3. Développer et soutenir des actions .
Des structures de prévention dans les écoles mais aussi sur les lieux de vie, lieux informels pour développer la
connaissance des jeunes dans leur contexte et diffuser une information de prévention adaptée.4. Soutenir et promouvoir des nouveaux outils éducatifs.
[OBJECTIF 2] Renforcer les compétences des acteurs intervenants auprès des jeunes, notamment les familles dans le champ deY Références SNSS
Axe I / Objectifs 1-2-3-4
Actions 3-5-6-9-10-11-12-13
Y Références PRS
Thème 1 / Chantier 3
Thème 8 / Chantier 4
Grandes actions
5. Renforcer la formation théorique et pédagogique en Santé Sexuelle des personnels " de première
ligne » intervenants auprès des jeunes -culturel, du médical, du para médical.6. Communiquer auprès des organismes de formations initiales sur les structures compétentes pour
intervenir dans leurs cursus en Santé Sexuelle.7. Développer, soutenir et promouvoir des dispositifs permettant de renforcer les compétences des
parents et des représentants légaux en éducation à la sexualité. 9LES CONSTATS
" La Santé SexuelleLes pratiques sexuelles en détention sont risquées et souvent coercitives. Elles ne correspondent en
rien à la définition de la Santé Sexuelle »1AE La privation sexuelle entraîne des conséquences ravageuses à la fois sur la santé psychique, physique et
ses relations personnelles et la manière de seAE La pratique de relations sexuelles entre détenus est susceptible de prendre diverses formes : une sexualité
consentiente. AELa prostitution carcérale
carcéral, principalement chez les hommes. Le commerce de la drogue est considéré comme un des principaux
: Les rapports sexuels avec une personne de même sexe seraient une sexualité " » :la possibilité de satisfaire leurs besoins sexuels par un moyen différent que la masturbation. Cela ne permet en
que rarement sur leurs actions soin de combler leurs désirs qui prime. AE ; AE : des relations sexuelles entre détenus ont lieu et 17% avec : un détenu peut accepter des relations homosexuelles en prison et reprendre une vie hétérosexuelle à sa libération; AEViol et sévices sexuels : les nouveaux détenus peuvent être victime de viol, et ce, dès la première nuit en
prison. Les victimes les plus fréquentes seraient les détenus atteints de déficiences mentales ou physiques, les
et ceux qui ont la réputation de délateur. Le taux de dénonciation est excessivement bas : par peur de représailles
AE : en prison, je me suis déjà senti menacé sexuellement.Maladies transmissibles sexuellement : En détention les relations sexuelles non protégées, consentantes ou
non, sont frdu préservatif demeure quasi absent dans la majorité des établissements correctionnels (Saum et al. 1995). La
santé de la population carcérale est donc compromise par le risque dangereusement élevé de contracter une
infection transmise sexuellement.Enquête PREVACAR
AE ; AE (DGS/INVS), la prévalence du VIH est de 2% (IC = 0,95-4,23) versus 0,35% en population générale;AE Pour le VHC, la prévalence est de 4,8 % (IC : 3,53-6,50) versus 0,84 % (IC = 0,65-1,10) en population
générale; AE 70% des contaminations par le VHC sont liées à ;AE Chez les personnes en traitement de substitution par les opiacés (TSO), les prévalences virales sont
particulièrement élevées, tant pour le VIH : 3,6% (IC = 1,1-11,8) que pour le VHC : 26,3% (IC = 16,8-38,7);
AE Les risques de transmission
pratiques sexuelles ou de consommation, modifications corporelles, coiffure;AE Au regard des constats récents, les mesures de prévention et de réduction des risques ne sont pas optimisées
AEet des personnels est souhaitable pour faire évoluer les comportements et les représentations et proposer
une réelle et nécessaire appropriation par les intéressés des enjeux et des objectifs de la prévention.
Références
Ż (1)La sexualité en prison Par Marie-Laurence Leclerc et Sophie-Andrée Goulet (CANADA)de didž Ġtablissements pĠnitentiaires belges entre 2012 et 2013 (reprĠsentations des personnes incarcĠrĠes ă l'Ġgard de la sedžualité)
https://champpenal.revues.org/9415Personnes sous main de justice
10 [OBJECTIF 1] Développer des actions de Santé Sexuelle approche en santé globale et de développement des compétences psycho sociales tout au long du parcours des personnes sous main de justiceY Références SNSS
Axe IV / Objectifs 1.4 / Action 64 Y Références PRSThème 1 / Chantier 3
Thème 7 / Chantiers 1-2-3
Grandes actions
1. Promouvoir .
2. Favoriser :
AE former le personnel des Unités Sanitaires Mobiles Pénitentiaires (USMP) aux TRODS ;AE mettre Santé
Sexuelle ;
AE associer les problématiques de consommations de produits (produit.3. Rendre accessibles les outils de prévention, de RDR et les préservatifs adaptés aux besoins des
personnes.4. Communiquer auprès des organismes et des associations sur les structures compétentes pour
intervenir en Santé Sexuelle en milieu carcéral.5. Renforcer les compétences des personnels de la pénitentiaire, des USMP etdes intervenants
extérieurs Santé Sexuelle, sur les représentations de la sexualité en prisonAE Communiquer auprès des organismes de formations sur les structures compétentes pour intervenir dans
les formations des personnels.6. Développer les notions de Réduction des Risques en Santé Sexuelle dans le cadre de
11LES CONSTATS
AE Environ 30 000 personnes sont prostituées en France;AE 85% des personnes prostituées en France sont des femmes. 93% sont étrangères, principalement originaires
AE 51% des personnes prostituées ont subi des violences physiques dans le cadre de la prostitution (au cours
des 12 derniers mois), 64% des insultes et/ou des ac;AE 38 % des personnes prostituées ont subi un viol au cours de leur vie. Ce taux est de 6,8% pour les femmes
en population générale. AE 29% des personnes prostituées ont eu des pensées suicidaires au cours des 12 derniers mois)Ż Prostitution en France : ampleur du phénomène et impact sur les personnes prostituées ; Mission Interministérielle pour la Protection des Femmes contre les
Violences et la Lutte contre la Traite des Etres Humains. http://stop-violences-femmes.gouv.fr/IMG/pdf/Lettre_ONVF_no7_-_prostitution_-_oct_2015.pdf
AE Une part importante de cette population (60 à 90 %) est soumise aux contraintes, aux violences et à la
traite des êtres humains, et cumule de nombreux indicateurs de précarité (absence de soutien social, de
logement, de titre de séjour, de couverture maladie). AEintensification de la traite), les personnes concernées par la prostitution (subie ou choisie) sont de fait
éloignées des réseaux de solidarité entre pairs, des actions de prévention et des offres sanitaires adaptées.
AE Plus de la moitié des personnes qui se prostituent sont dans un état de santé moyen, mauvais ou très
mauvais avec une vulnérabilité particulière sur le plan gynéco-obstétrical (faible prévention vis-à-vis du
volontaires de grossesse).AE Les personnes transgenres qui se prostituent sont plus touchées par le VIH, avec une prévalence déclarée de
44 %.Ż Santé Sexuelle et reproductive. Paris: Haut Conseil de la Santé Publique; 2016 mars http://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=550
Ż FNARS, InVS. Étude ProSanté 2010-
rencontrées dans des structures sociales et médicales. Saint-Maurice: Institut de veille sanitaire; 2013. Synthèse et rapport :
une mission sur les enjeux ns, recouvrant des enjeux sanitaires différents :Des conditions de vie très contrastées ;
Des niveaux ;
Une capacité inégale des personnes à se prémunir contre les risques de leur activité.Des ob ;
La crainte des jugements de valeur et de la discrimination ; Des difficultés spécifiques pour faire valoir ses droits ; Une couverture sanitaire qui souffre de plusieurs lacunes ; nelle imparfaitement satisfaits. Des réponses associatives pertinentes dans un cadre institutionnel qui manque de cohérenceUne action publique rendue difficile par la diversité des situations des personnes qui se prostituent ;
Des moyens en baisse, délégués au secteur associatif sans véritable pilotage ;Les dernières évolutions législatives, tendant à répondre aux difficultés mises en évidence dans ce rapport,
Ż Prostitutions : les enjeux sanitaires. FRANCE. Inspection générale des affaires sociales. Décembre 2012
Ż Actes du colloque : " a
prostitution dans les pratiques professionnelles ». http://education-sante-ra.org/publications/2016/ACTES_ProstitutionS_Sante_15_12_15.pdf
Personnes en situation de prostitution
12 [OBJECTIF 1] Repérer les situatio santé du public cible et construire des réponses adaptéesY Références SNSS Axe IV / Objectifs 1.4 / Action 64 Y Références PRS Thème 1/ Chantier 3
Thème7 / Chantiers 2-3
Grandes actions
1. Participer
des personnes qui se prostituent et des professionnel.le.s qui sont au contact de ces populations. [OBJECTIF 2] Améliorer isques situation de prostitution. Y Références SNSS Axe IV / Objectifs 1.4 / Action 64 Y Références PRSThème 1/ Chantier 3
Thème7 / Chantiers 1-2-3
Grandes actions
2. et formations sur
le soin, la prise en charge (professionnel.le.s, bénévoles des champs du soin, du social, de 3. langues (format papier + numérique).4. Encourager la mise au point et le
formes de prostitution (indoor et internet).5. Promouvoir les actions de prévention et de promotion de la RDR.
Textes de Références :
AE Décret n° 2016-1467 du 28 octobre 2016 relatif au parcours dAEDécret n° 2017-281 du 2 mars 2017 approuvant le référentiel national de réduction des risques en direction des personnes
prostituées et complétant le code de la santé publique. 13LES CONSTATS
Taille des populations
population sexuellement clarent avoir eu 1,4 partenaire femme et1,4 partenaire homme;
partenaire femme;1 en France est actuellement inconnue;
La SoFECT2 donne une estimation de la population concernée, mais cette estimation est établie
uniquement en fonction des personnes venues les consulter (soit 20 % de la population Trans) et quiont réalisé une transition, soit : les hommes qui ont réalisé leur transition en femmes (Male to Female:
MtF) de 1 100 à 1 600 individus et les femmes qui ont réalisé leur transition en hommes (Female to
Male : FtM) de 320 à 625 individus (Zuker). Ces estimations ne recouvrent donc pas la réalité de la
-identifie comme Trans, ils et elles ne sont pas toutes et tous pris en charge par ce circuit de soin. AE Santé Sexuelle et reproductive. Paris: Haut Conseil de la Santé Publique; 2016 marsDes problématiques communes
Une prévalence élevée des IST, du VIH pour les HSH et les personnes trans ; ons ou aux centres de dépistage du VIH et des IST ; groupes ; élevés que la population hétérosexuelle) ; Un réseau associatif via une plate-forme identitaire et de lutte commune ; Des interactions sexuelles croissantes entre homosexuels identitaires, bisexuels.le.s, Trans et hétérosexuel.le.discrètes ou en fréquentant des lieux extérieurs de rencontres sexuelles à des horaires
compatibles entre travail et vie familiale. AE Santé Sexuelle et reproductive. Paris: Haut Conseil de la Santé Publique; 2016 mars Les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH)49% des HSH déclarent avoir vécu un épisode dépressif au cours de leur vie (26% des moins de
25ans ont eu un état dépressif au cours des 12 derniers mois), 19% ont fait au moins une
tentative de suicide au cours de leur vie soit 5 fois plus que dans la population générale; Concernant les homosexuels masculins, ils révèlent que leur consommation de droguespsychoactives est 4 fois supérieure à celle de la population générale (poppers 37% et cannabis
28%) (enquête Presse gay 2004) ;
1 Trans : Le plan national VIH/IST 2010 Ǧ 2014 a choisi, le vocable " Trans » pour définir des personnes désignées ou
auto- désignées transsexuelles, transgenres ou transidentitaires, ayant subi ou non une intervention chirurgicale de réassignation
sexuelle.2 SoFECT
" Les associations trans sont souvent très critiques vis-à-vis de cette société et de la nature de la prise en charge proposée. Pour
ères
pproche pathologisante des transidentités et de monopoliserRemaides N°98 / p.28
LGBTILesbiennes, Gays, Bi, Trans et Intersexes
14 hommeUne incidence
Des comportements sexuels non protégés en augmentation chez les HSH avec des partenaires stables ou occasionnels Recrudescence des infections sexuellement transmissibles (IST) depuis 2000, notamment de la syphilis précoce, de la lymphogranulomatose vénérienne (LGV) rectale et augmentation des infections à gonocoques AE Santé Sexuelle et reproductive. Paris: Haut Conseil de la Santé Publique; 2016 mars AE Plan national de lutte contre le VIH/SIDA et les IST 2010-2014AE Enquête Presse gay 2004
Population trans
aux risques sexuels, sous-évalués. Peu de données fiables sont disponibles en France sur la population Trans.Deux enquêtes (INVS 2007 et INSERM 2010) permettent toutefois de déterminer quelques
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