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RÉPARTITION DES ENSEIGNANTS DU SECTEUR PUBLIC PAR ACADÉMIE Les enseignants sont inégalement devient déficitaire en 2017 avec 93 de postes pourvus



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7 mar 2017 · Au final le solde budgétaire est déficitaire de 857 millions d'euros aux enseignants du primaire venant d'académies déficitaires 

  • Quelles sont les académies déficitaires ?

    Ainsi, les académies de Créteil et Versailles sont "structurellement déficitaires", analyse Élise Capéran, secrétaire nationale formation du SE-Unsa.
  • Comment les nouveaux profs bousculent l'éducation nationale ?

    Ses premières semaines dans l'enseignement sont rocambolesques : « Le recrutement s'est fait 100 % en ligne, je n'ai eu aucun entretien. Puis j'ai signé mon contrat un jeudi pour commencer le vendredi. Je me suis retrouvé face à une classe de 35 élèves du jour au lendemain, sans même avoir été briefée.
  • Quelles sont les difficultés des enseignants ?

    Ils ont des difficultés à se mobiliser en classe et à faire leurs devoirs à la maison. Ils ont aussi un sentiment d'ennui et ne trouvent pas de plaisir et d'intérêt dans les cours. Ils ont du mal à se concentrer, à focaliser leur attention dans les activités scolaires.
  • 4En effet, si, de manière générale, la profession enseignante souffre d'une perte d'attractivité dans la plupart des régions du monde, il apparaît que les établissements d'enseignement sont inégaux dans leur capacité à attirer et à stabiliser leur personnel.
[PDF] Les académiciens élus en 2017 - Académie des sciences G@N 9;9?zHD;D@IN zGPN @I /-.4Jxoi HgrgoyOkgt0Unorovvk Gu"ing"jJssgt"krrk HngxvktzokxFrgot Hnkjuzgr

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L "AcadŽmie des scien ces reo it aujourd"hui sol ennellement di x-huit nouveaux membres dans ses rangs. Il s"agit lˆ, sans conteste, de l"un des moments les plus particuliers dans la vie de notre institution. Accueillir de nouveaux acadŽmiciens, c"est forger l"AcadŽmie d"aujourd"hui en imaginant celle de demain. L"enjeu est, nous le savons, de taille. Il faut d"ores et dŽjˆ accompagner le rythme f ulgura nt des avancŽe s de la science, en pleine conscience des mutations que connait notre monde. Il faut s"interroger, dŽbattre et avancer, sur des sujets qui, de plus en plus, explorent nos rapports parfois ambigus ˆ la technologie, questionnent nos valeurs et notre identitŽ en tant qu"tres humains, et revisitent nos conceptions profondes d"habitants de la peut rien - ou presque - sans de bons ambassadeurs. aujourd"hui traduit l"espŽrance que nous portons ˆ travers vous pour relever ces dŽ?s. Aujourd"hui, et pour demain, l"AcadŽmie des sciences a besoin de vous. Que vous soyez spŽcialiste des probabilitŽs alŽatoires ou du programme de Langlands, de l"Žconophysique ou des atomes froids, du traitement du signal ou biologique, de l"Žditi on gŽn Žtique ou de la biodi versitŽ planctoniqu e, du l"ŽpidŽmie de sida, de la gŽodŽsie spatiale ou des robots humanoïdes, soyez donc vous vous y sentiez libres de penser, de discuter, de douter et d"Žchanger, au

Catherine BrŽchignac et Pascale Cossart

SecrŽtaires perpŽtuels de l"AcadŽmie des sciences

©DR©M. Pelletier

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2 Depuis sa crŽation par Colbert en 1666, l"AcadŽmie des sciences se consacre au dŽveloppement et au rayonnement des sciences et de leurs applications. Les rŽflexions, dŽbats et discussions qu"elle conduit ont pour r™le de fournir ˆ la sociŽtŽ, et notamment aux autoritŽs gouvernementales, un cadre d"expertise, de conseil et d"alerte, vis-ˆ-vis des grands sujets que pose notre Žpoque dans ce domaine. Elle a en outre pour mission d"encourager la vie scientifique, de promouvoir l"ens eignement des sciences , de transmettre les connaissances, et de favoriser dans ce contexte les col laborations internationales. E lle est l"une des cinq acadŽmies - aux c™tŽs de l"AcadŽmie franaise, l"AcadŽmie des inscriptions et belles-le ttres, l"AcadŽmie des beaux-arts et l"AcadŽmie des scienc es moral es et politiques - siŽgeant ˆ l"Institut de France. ConstituŽe par les or donnance s royale s des 20 janvier 1699 et 21 mars 1 816, l "AcadŽ mie des sciences est indŽ pendante et pŽrenne ; elle est placŽe sous l a protecti on du prŽsident de la

RŽpublique. C"est une personne morale de droit

public ˆ statut particulier aux termes de la loi de programme pour la recherche du 18 avril 2006. Depuis le dŽcret de 2003, la moitiŽ au moins des ˆ des candidats ‰gŽs de moins de 55 ans, en pleine activitŽ professionnelle. Ses nouveaux statuts lui permettent dŽsormais d"augmenter son effectif, afin de rŽpondre ˆ l"accroissement des connaissances. Elle s"as sure ainsi une cou verture la p lus larg e possible de l"ensemble des domaines scientifiques, y compris les plus Žmergents.

Les aca dŽmiciens sont rŽpartis da ns huit

Ç sections È regroupŽes en deux Ç divisions È. La physiques, les sciences mŽcaniques et informatiques,

les sciences de l"univers, et leurs applications ; laseconde division regroupe les sciences chimiques,

biologiques et mŽdicales, et leurs applications. Il existe Žgalement une Ç inter-section È des applications des sciences, dont chaque membre appartient aussi ˆ une des huit sections prŽcitŽes. Les acadŽmiciens exercent leur mission au sein de comitŽs de rŽflexion thŽmatiques permanents et de groupes de trav ail ad hoc crŽŽs sur d es suj ets d"actualitŽ ; ils allient les avantages de l"excellence et de la compŽtence sur chaque sujet pointu, et du dialogue interdisciplinaire au meilleur niveau entre personnes qui ont l"habitude d"interagir ensemble. Ces com itŽs et groupes consti tuent la pierre angulaire du r™le d e cons eil et d"e xperti se de l"AcadŽmie. L"AcadŽmie Žlit Žgalement des associŽs Žtrangers qui contribuent ˆ sa rŽputation internationale. Elle s"appuie aussi sur l"expertise de correspondants - Ž lus jusqu" en 2000 -, qui par ticipent ˆ son activitŽ.

©G. Blot - Institut de France

UNEAS SEMBLƒEMULTIDISCIP LINAIRE

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Ph jYo X!bcmniclY

C"est Colbert qui, en 1666, dŽcide de

crŽer une acadŽmie rŽunissant, en un lieu de r Ž?exio n, les savants de

1699 cette assemblŽe au rang

d"AcadŽmie royale des sciences, avant que celle-ci ne soit, comme les autres acadŽmies, dissoute sous la RŽvolution.

En 1795, un institut des sciences et des

arts, organisŽ en trois classes - sciences physiques et mathŽ matique s ; littŽrature et beaux- arts ; sciences morales et politiques -, vient prendre le re lai. Sous Napo lŽon, cet institut, baptisŽ Institut de France, inve stit quai de Conti. Les classes deviennent par la suite des acadŽmies : AcadŽmie franaise, AcadŽmie r oyale des inscriptions et belles-lettres, AcadŽmie royale des sciences, et AcadŽmie royale des beaux-arts, bient™t rejointes par l"AcadŽmie royale des sciences morales et politiques. Ces cinq acadŽmies, qui de nos jours ont perdu leur quali?catif de Ç royal È, sont toujours rŽunies au sein de l"Institut de France. ./1

UmmiWc"m

"nlUhaYlm 79
correspondants 273
membres

Chi?res au 15 avril 2018

PI@BJ PQ@MI9I;@MDBJPM@PN@

: 2HFIhQNJIJWWHNJRHJW"TFVPJQJRYIJWWFaFRYWIJTZNW-/// L"AcadŽmie des sciences est gŽrŽe par un bureau composŽ du prŽsident, du vice-prŽsident et des deux secrŽtaires perpŽtuels - un(e) par division. Le bureau, prŽsidŽ par le prŽsiden t de l"A cadŽmi e, organise la vie s cienti fique et les travaux de l"AcadŽmie et veille ˆ son bon fonctionnement. Les dŽcisions relatives aux budgets et ˆ la gestion des personnels et des fondations, donations et propriŽtŽs de l"AcadŽ mie so nt prises sous la avis de la commission administrative, composŽe des membres du bureau et de deux membres Žlus. Le Ç comitŽ restreint È, constituŽ des membres du bureau, des deux acadŽmiciens de la commission administrative, des dŽlŽguŽs des huit sections et de l"inter-section des applications et de membres Žlus, est rŽuni une fois par mois. Il dŽfinit les axes de tr avail et de rŽfl exion de l"A cadŽmie : orientation et structur e de l a recherche, science et sociŽtŽ, rapports et avis de

l"AcadŽmie,propositions de colloques, crŽation de comitŽs,etc. Les dŽcisions de l"AcadŽmie sont prŽparŽes

par le comitŽ restreint, puis proposŽes au vote du Ç comitŽ secret È. Ce terme historique dŽsigne l"assemblŽe gŽnŽrale fo rmŽe des seuls acadŽmiciens et membres associŽs Žtrangers, en l"absence de tout public. Cependant, la plupart des sŽa nces de l"AcadŽm ie son t publiques et prennent la forme de co nfŽrences-dŽ bats, de colloques, de rencont res ou de sŽances solennelles sous la cou pole consa crŽes ˆ des prix, accueil des nouveaux Žlus...). Trois dŽlŽgations, confiŽes ˆ des acadŽmiciens, l"AcadŽmie sous la re sponsabili tŽ du bureau (relations internatio nales, Žducation et formation, informatio n scientifique et communication). Les trois dŽlŽguŽs sont invitŽs permanents du bureau et du comitŽ restreint. 1 2

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dynamique des verre s de spi ns, des concep ts de mŽcanique statistique qui modŽlisent des matŽriaux comprendre le vieillissement physique que subissent ces matŽriaux, dont les propriŽtŽs Žvoluent sur des Žchelles une avancŽe marquante, qui lui vaut d"tre recrutŽe au CNRS avant mme la ?n de son doctorat. Elle est aujourd"hui directrice de recherche au CNRS, dans l"unitŽ de mathŽmatiques pures et appliquŽes de l"ENS de Lyon. coe?cients alŽatoires pour quanti?er l"inte nsitŽ de l"interaction entre les particules. Celle-ci dŽpend en e?et de la distribution des impuretŽs du milieu, elle-mme fonction du choix de l"Žchantillon. C"est ainsi que les alŽatoires, ?gurant dan s ce cas des tab leaux des

Guionnet ˆ s"intŽresser ˆ ces objets, qui deviennent alorsl"axe central de ses recherches. Elle Žtudie en particulier

leurs liens avec les probabilitŽs libres dites de Voiculescu. classiques, les spectres de grandes matrices alŽatoires et thŽorie des grandes dŽviations, qui permet d"Žtudier la probabilitŽ d"ŽvŽnements rares, a?n de comparer deux entropies dŽ?nies par Voiculescu comme analogues non-commutatifs de l"entropie introduite par Shannon. Ç S ingle Ring È, qui indiqu e que les matr ices non normales tirŽes a u hasard ont u n spec tre qui se concentre dans un anneau (ring) du plan complexe. Plus rŽcemment, Alice Guionnet s"est Žgalement investie dans le domaine des pavages alŽatoires. Dans ce type de recouvert intŽgralement de losanges. Dans certains cas, il y a de nombreuses combinaisons possibles. L"objectif est de comprendre comment ces pavages s"ordonnent pour un pavage typique. Alice Guionnet revisite ces questions en Žtablissant de nouveaux liens avec les grandes matrices alŽatoires.

LoYfkoYm XUnYm

3

1989-1993 ƒcole normale supŽrieure de Paris

1993-2005 ChargŽe de recherche au CNRS

Depuis 2005 Direc teur de recherche au CNRS

2009 Prix Loeve

2010 MŽdaille d"argent du CNRS

2012-2015 Ç

6ZPPTVSKJWWSVÈ au dŽpartement de mathŽmatiques du Massachusetts Institute of

Technology (MIT)

2015 Directeur de recherche CNRS ˆ l"ENS de Lyon

©DR

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d"arithmŽtique sur un sujet q ui const ituera l"axe central de l"ensemble de ses travaux : les formes automorphes, des fonction s mathŽm atiques ˆ la recherches, s"investit dans l"Žtude de la thŽorie dite de l"endoscopie, domaine constituant l"un des pans du programme de Langlands. Ce champ de recherche est nŽ ˆ la ?n des annŽes 1960 quand le canadien Žtroits entre la thŽorie des formes automorphes et celle des reprŽsentations des groupes de Galois. Un coup de t onnerr e dans le monde de s mathŽmatiques... Encore restait -il ˆ prouver les conjectures avancŽes par Langlands. Or, depuis les annŽes 1980, le programme de l"endoscopie Žtait au WYFYSUZS, b loquŽ dans la rŽsolution d"une Žtape majeure, appelŽe Ç lemme fondamen tal È. Les

travaux de Jean-Loup Waldspurger ont apportŽ desŽlŽments capitaux, qui ont par la suite permis de

rŽsoudre ce lemme, l"Žtape dŽcisive ayant ŽtŽ franchie par le vietnamien Ng™ Bảo Ch‰u. Ils ont valu en

2009 au mathŽmaticien franais le prestigieux prix

Clay.

Le programme de Langlands a ouvert de nouvelles

perspectives, qui nourrisse nt toujo urs les mathŽmatiques d"aujourd"hui, et en particulier les travaux de Jean-Loup Waldspurger. Le champ de ses recherches couvre notamment la correspondance de

Shimura, la preuve de la correspondance de Howe

pour les groupes T-adiques, le spectre discret des groupes linŽaires, les intŽgrales orbitales nilpotentes et l"endoscopie des groupes classiques non rami?Žs, ou encore la preuve de la conjecture locale de Gross-

Prasad... Dans ce s domaines , Jean-L oup

Waldspurger est l"auteur d"une dizaine de rŽsultats quelque 4000 pages, et fait de lui l"une des rŽfŽrences mondiales de la thŽorie de Langlands.

LoYfkoYm XUnYm

7

1972 - 1976 ƒcole normale supŽrieure de Paris

1975 AgrŽgation de mathŽmatiques

1976 ChargŽ de recherche au CNRS, a?ectŽ ˆ l"ƒcole normale supŽrieure de jeunes ?lles

(ENSJF), puis dans l"Žquipe de ?Žorie des groupes de Paris VII.

1986 Directeur de recherche ˆ l"Institut de mathŽmatiques de Jussieu

1996 MŽdaille d"argent du CNRS

1996 Prix Mergier-Bourdeix de l"AcadŽmie des sciences

2009 Prix Clay

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Mener des travaux de physique fondamentale reconnus au plus haut niveau et diriger de front l"un des plus gros fonds d"investissement franais, avec 200 employŽs ˆ Paris, New York et Tokyo... c"est le quotidien de Jean-

Philippe Boucha ud. Le parcours atypiq ue de ce

thŽoricien se construit d"abord dans le domaine de la mŽcanique statistique. A l"ƒcole normale supŽrieure les gaz quantiques polarisŽs. Il travaille ensuite au Les m odŽlisations de Jean-Philippe B ouc haud se vieillissement physique liŽs au dŽsordre ˆ la statistique des ŽvŽnements extrmes et leur lien avec le refroidissement laser. Il contribuera ensuite ˆ Žclaircir les mŽcanismes physiques ˆ l" origine du g el du Au dŽbut des annŽes 1990, ses recherches en physique

statistique l"orientent naturellement vers le monde del"Žconomie, pour lequel il a l"intuition que les concepts

et les mŽthodes qu"il dŽveloppe sont transposables. En

1994, il cofonde la sociŽtŽ Science et Finance, qui

fusionnera en 2000 avec CFM, fondŽe par son ami Jean-Pierre Aguilar, disparu prŽmaturŽment en 2009. donnŽes. La m odŽlis ation cherche ˆ intŽgrer les imperfections des marchŽs, comme les biais cognitifs, les paniques et les nŽg ligen ces h umaines qui engendrent des instabilitŽs et des crises Žconomiques notions classiques d"e?cience des marchŽs et de risque les ingŽnieurs ?nanciers. Depuis 2006, Jean-Philippe

Bouchaud a quitt Ž le CEA pour se consacr er

pleinement ˆ CFM. Il n"en poursuit pas moins ses recherches thŽoriques... en prenant pour laboratoire la rŽalitŽ des marchŽs ?nanciers. Il partage aussi sa passion pour l"interdisciplinaritŽ en donnant un cours puis, depuis 2017, ˆ l"ENS.

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1985 - 1992 Chercheur au CNRS

1992-1993 SŽjour au laboratoire Cavendish de Cambridge

1993-2006 IngŽnieur puis expert senior au CEA

1994 CrŽation de la sociŽtŽ Science et Finance

1996 MŽdaille d"argent du CNRS

2000 Fusion de Science et Finance avec CFM, dont il prend la prŽsidence

2000-2008 Professeur ˆ l"ESPCI

2009 CrŽation de la fondation CFM pour la recherche

2009-2017 Professeur ˆ l"ƒcole polytechnique

2017 Prix Ç Quantitative analyst of the year È du magazine Risk

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FascinŽ par les premiers travaux aux ƒtats-Unis sur la manipulation d"objets et d"atomes par laser, Christophe Salomon s"init ie ˆ ces nouvelles te chniq ues ˆ l"universitŽ du Colorado, avant de rejoindre le premier groupe de recherche en France sur les atomes froids, crŽŽ par Claude Cohen-Tannoudji ˆ l"ƒcole normale supŽrieure. Il est aujourd"hui directeur de recherche CNRS au la boratoire Kastler Brossel . Ç BMcWNHNJR

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faible, et peuvent tre utilisŽs pour mesurer avec grande prŽcision le temps, l"esp ace et la grav itation. En collaboration avec AndrŽ Clairon, Christophe Salomonquotesdbs_dbs33.pdfusesText_39
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