[PDF] 74 3- Etude architecturale et urbaine





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PLATEAU DASSY CHEDDE & MARLIOZ

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Le plateau d'Assy un centre de recherches médicales La cure face au mont Blanc



S O M M A I R E

intercommunal « des Hôpitaux du Pays du Mont-Blanc » à Sallanches et Villages de Santé et d'Hospitalisation en Altitude » au Plateau d'Assy. Article 1.



Centre Médical Praz-Coutant

Le. GHT permet à plusieurs établissements publics (Hôpitaux du Léman Centre Hospitalier Alpes Léman



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L'Histoire retiendra le courage dont il fit preuve face à l'occupant au Plateau d'Assy



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"Graines de Malice" Plateau d'Assy. 112 rue des Grands Bois. 04 50 58 87 09. Courriel : garderie-grainedemalice@mairie-passy.fr. LA NATURE. PAYS MONT-BLANC.



LES CHAPELLES DES SANATORIUMS DU PLATEAU DASSY

qui avaient bâti l'un Praz-Coutant



74 3- Etude architecturale et urbaine

Châteaux et maisons fortes du pays du Mont Blanc Dominique Dilphy



RAA SPECIAL MEDAILLES 14.11.2005

14-Nov-2005 A.S.H. CENTRE MEDICAL "LE MONT-BLANC"

1 Analyse et diagnostic du territoire

Etude patrimoniale sur la commune de PASSY (Haute-Savoie) Michèle PRAX et Caroline GIORGETTI (Sites et Paysages) 74

3- Etude architecturale et urbaine

Ouvrages consultés :

Architecture traditionnelle :

- Au pays du Mont-Blanc, Histoire de Passy Paul Soudan 1978 - Les sources régionales de la Savoie C. Abry R. Devos H. Raulin Fayard 1979

- Architecture et vie traditionnelle en Savoie Marie Thérèse Hermann, Fontaine de Siloe 2eme édition

- Maisons Paysannes de France, Regards sur la Haute Savoie n°116 1995 - Guide de la restauration des chalets d'alpages, Yves Brugières, Libris 2000

- Un habitat temporaire, l'écurie grange dans les Alpes françaises du Nord, annales de géographie,

1946 tome 55 n°298

- Les chalets d'alpage, Journées de l'alpage, 25-26-27 avril 2003 - Les carnets d'architecture d'Albert Laprade, Kubik éditions, 2006. - Châteaux et maisons fortes du pays du Mont Blanc, Dominique Dilphy, Sallanches 2009

- Le décor peint dans la maison noble et forte au Moyen Age en territoire savoyard du XIIe au XVIe

siècle, Élisabeth Sirot, Annick Clavier. Journée d'étude Collégiale Saint-Martin Anjou

- Noble et Forte maison : L'habitat seigneurial dans les campagnes médiévales, du milieu du XIIIe

siècle au début du XVIe siècle, Elisabeth Sirot, Ed A. et J. Picard, Paris, 2007

Architecture moderne

- Henry-Jacques Le Même architecte à Megève, Françoise Very et Pierre Saddy Mardaga 1988 - Ville de Megève inventaire topographique IFA/Ecole d'Architecture de Grenoble 1997 - Megève 1925-1950 Architectures de Henry-Jacques Le Même IFA Norma 1997 - Les chalets d'henry-Jacques Le Même, Megève architecture d'une station, CAUE74 2008 - Itinéraires d'architectures modernes et contemporaines du XX°siècle. Sanatoriums de Passy

CAUE74

- Chalets de montagne, ed Massin, slnd - Passy, Plateau d'Assy, montagne magique, l'art inspiré, Anne Tobé, 2007 - Les Rencontres d'Assy, "les quinze glorieuses de l'architecture sanatoriale », CREHA, 2006 - Historique de l'usine de Chedde et du " terroir » de Passy, Paul Soudan, Ed. Plancher, 1975

- Cité jardin de Chedde, Cahier de prescriptions et de recommandations, Bernard Lemaire Espaces et

mutations. Commune de Passy

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Etude patrimoniale sur la commune de PASSY (Haute-Savoie) Michèle PRAX et Caroline GIORGETTI (Sites et Paysages) 75

Les hameaux

La commune de Passy est constituée dès le Moyen

Age en de nombreux hameaux, sans doute en raison

de la multiplicité des sources qui jaillissent sur son territoire. Tout au long de son histoire, jusqu'au milieu du XX°siècle, Passy a conservé cette structuration. Le chef lieu qui compte la mairie, l'église paroissiale, une école et quelques activités n'est pas plus étendu que d'autres hameaux. Au XX°siècle, à partir des années 80, les constructions se sont massivement implantées sur le coteau ensoleillé de Passy, autour des hameaux traditionnels et le long des voies qui les reliaient.

La distinction des hameaux traditionnels dans le

paysage est aujourd'hui difficile car les noyaux anciens sont noyés dans une nébuleuse de villas aux styles diversifiés, accompagnées de plantations arborées. Quelques hameaux sont encore lisibles dans le paysage, parfois grâce à leur éloignement et à un accès peu pratique, parfois simplement car les terrains qui les entourent (tout ou une partie) n'ont pas

été urbanisés.

Les hameaux suivants se distinguent par la présence de bâtiments traditionnels, une organisation encore lisible autour de chemins anciens, un environnement moins marqué par les constructions récentes.

Les Ruttets, Bay, Cran : ils ont une structure en

longueur, s'étirent le long d'une voie à travers pente. Le Grand Essert, Hauteville, Les Julliards, Sous le

Saix d'Aval, Les Storts: ils ont une structure en

longueur, s'étirent le long d'une voie qui suit la pente.

Les Regards, La Motte : les hameaux présentent

encore une belle cohérence dans l'architecture et leur groupement qui est organisé sur plusieurs rues

Le Cruy : petit hameau isolé, peu de place

La Contamine du Péchieu : petit groupement mais très compact au croisement de deux rues Joux et les Soudans : groupement assez lâche qui est organisé sur plusieurs rues dans la pente Les Plagnes : deux hameaux distincts, qui présentent encore une belle cohérence dans l'architecture et leur groupement qui est organisé sur plusieurs rues Plan des Plagnes : structure en longueur, le hameau s'étire le long d'une voie.

La Motte

Le hameau de Cran, vu de l'alpage de Varan

Le Grand Essert

Les Plagnes

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Le coteau vu des Plagnes : les hameaux anciens ne se distinguent plus. A droite de la tour de Dingy, le

hameau de la Motte Vus depuis les Outards : Plan des Plagnes en bas et les Plagnes de part et d'autre du nant du Vernay

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L'espace urbain des hameaux :

Bassin en pierre, Joux. piliers de pierre (granit) ici en piliers de portail,

Chedde le Haut

Murs en pierre, La Ravoire Mur en Pierre, Les Julliards Murs et pieds de vigne, Les Regards. Pierre sèche

Rue couverte, le Grand Essert

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Les constructions traditionnelles

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La maison passerande / maison permanente

Type unitaire = habitation (permanente) + écurie + grange sous un même toit Les plus anciennes maisons conservées dans leur ensemble datent de la fin du XVIII°s, La plupart datent du XIX° et du début XX°siècle. Mais certains soubassements peuvent être antérieurs.

Implantation :

Localisée dans les hameaux (" villages ») plus ou moins importants, quelquefois isolée. Implantation face à la pente (elle semble encastrée dans la pente)

Gabarit

La maison passerande présente en général un très grand volume, sur plusieurs niveaux. Rez de chaussée (parfois une cave) + étage (1 ou 2 ) + combles

A l'origine :

- rez de chaussée partagé entre habitation et écurie pour les animaux (surtout des bovins). Variante : rez de chaussée surélevé, le logis se trouve au dessus des animaux ou des caves (pressoir pour le vin) - étage(s) et comble : granges pour stocker le foin et les récoltes Accès : chaque niveau de la maison a un accès de plain pied : accès latéral pour l'écurie et l'habitation (possible accès à l'avant), accès arrière côté pente pour la grange. Des galeries de bois abritées par les grandes passées de toit prolongent les étages et le comble ; la fausse croupe apporte une protection supplémentaire. Usage des galeries : dégagement, séchage des récoltes.

Toiture

Forme : à deux pans, le pignon est face à la pente, Faible pente, entre 20 et 30°, la toiture comprend de larges passées, reposant sur des consoles. Elle peut présenter une fausse croupe dite " Allemande », modèle importé des régions alémaniques, que l'on retrouve sur les toitures construites ou reconstruites à partir du XIX°s ; les toits conçus avec allemande sont plus pentus.

Couverture :

Traditionnellement en tuiles d'épicéa, soit : - pour les faibles pentes des ancelles long : 0.6 à

0.7m, larg 0.1 à 0.25m, ep 0.02m, posées en

plusieurs couches sur lattes, maintenues par des perches lestées de pierres - pour les pentes plus fortes des tavaillons : 0.45x0.15 cloués sur voligeage continu La couverture en bois est remplacée plus tard par des ardoises (versant nord) et des tuiles (versant sud),

Carte postale ancienne

Carte postale ancienne, deux premiers niveaux

en maçonnerie

Servoz le Mont, Dessin Laprade, début XX°s

Servoz le Mont, daté 1819 Dessin Laprade,

début XX°s

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puis par la tôle, en plaques ou ondulée.

Grande cheminée en bois, en forme de pyramide

tronquée, dépassant le toit de 1m.

Façade

- Rez de chaussée en maçonnerie : les murs sont montés en pierres d'origine locale (champs, torrents...) en gardant les pierres plus importantes pour les chaînes d'angle, le tout est grossièrement enduit ; Les ouvertures sont construites en pierre de taille (pierre grise calcaire ou grès, granit au XIX°s,). pour les plus anciennes : murs épais de 0.8m, liant : terre, plus tard : murs épais de 0.5 à 0.6m, liant chaux ou plâtre. Certaines maisons on un enduit plus fin, passé au badigeon coloré (ocre) et comportent parfois un décor peint (bandeau autour des ouvertures ou chaîne d'angle contrastant, souligné par un liseré coloré). Les ouvertures sont peu nombreuses (une porte pour le logis une pour l'écurie, une ou deux fenêtres) et réduites (portes étroites et basses, petites fenêtres). Les fenêtres du logis ont des barreaux métalliques, et n'ont pas de volets ; les volets rajoutés à postériori sont en bois à cadre, on trouve aussi des persiennes avec mécanisme de fermeture. - étage (s) et comble, en ossature bois : Structure : des colonnes s'appuient sur des sablières reposant sur les murs de pierre, Mantelage : il est constitué d'une double paroi de planches verticales fixées ou enfoncées dans les sablières basses et hautes ; à l'origine le mantelage est non jointif en raison du besoin de ventilation, il comporte aussi des trous d'aération caractéristiques pour leurs motifs variés (croix, fleur, coeur, trèfle..). Balcons ou galeries : étages et comble sont prolongés par des balcons, constitués par des perches verticales et des planches horizontales. Les planches des balustrades ne sont pas ouvragées. En fonction des élévations les maisons comportent 1 ou 2 balcons, parfois 3. Les bois ont vieilli naturellement, aujourd'hui ils sont presque noirs. Abords immédiats, espaces privatifs, plantations On retrouve quelques traces de sols anciens en galets ou gros pavés qui longeaient les murs sur une largeur de 1m environ (correspond à la partie protégée par la passée de toit. Un pied de vigne court en façade le long des balcons, il constitue parfois une véritable structure végétale. Il est remplacé aujourd'hui par une plante fleurie (glycine). Pouvait peut être tempérer. Souvent présence à proximité d'un bassin en pierre (granit ou calcaire) monobloc, d'une remise, d'un grenier, d'un four.

Il n'y a pas de clôtures.

Maison passerande représentative du type ;

Plateau d'Assy. Un rez de chaussée maçonné (les ouvertures ont été agrandies vers 1960),

étage et comble en bois, toit à deux pans

débordant largement .

Maison passerande Cran. Rez de chaussée

maçonné (les ouvertures ont été agrandies vers

1930), étage et comble en bois, toit à deux

pans avec fausse croupe dite " Allemande ».

Maison passerande Champlan. Variante, 2

niveaux maçonnés (logis au dessus des animaux ou d'une cave pour le vin ?), étage et comble en bois, toit à deux pans avec fausse croupe dite " Allemande ».Ici couverture en ardoises.

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Enduit grossier, Maffrey. Tous les murs en pierre

" tout venant » étaient enduits. Tout aspect de pierre apparente correspond à un enduit usé. En règle générale l'enduit était jeté sur les pierres et raclé à la truelle. Détail d'un décor peint, badigeon ocre pour le mur, blanc pour les bandeaux soulignés d'un liseré gris fumée. Les Plagnes L'enduit pouvait aussi être traité plus finement et coloré avec décor peint pour les encadrements d'ouvertures ; fenêtres doublées d'un barraudage métallique, il n'y a pas de volets. Les Plagnes. Décor peint pour la chaîne d'angle, barraudage métallique, volet rajouté. Les Ruttets

Encadrement de porte en granit, Ouverture ancienne, XVII°s Encadrement de porte et fenêtre en granit

Les Ruttets Chedde le haut La Ravoire

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Galeries avec ou sans balcons en façade sud, Les

Julliards

Galeries, soulignée par un pied de vigne Les Regards Vigne , les Outards. Exemple de maison où le logis est surélevé. Restes de pressoir. Détail des galeries, les garde-corps sont très simples, il n'y a pas décor. Les Julliards

Galeries Cran

Vigne, la Ravoire. Exemple de maison où le logis est surélevé

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Porte de grange, côté nord, Le Pechieu ou Loisin Ouvertures de grange, côté nord, Hauteville

Détail protection du mur. Plateau d'Assy

Tavaillons (très rare aujourd'hui). Plateau d'Assy Toiture en tuiles mécaniques plates à côte centrale. Le modèle losangé est très fréquent. Toitures en ardoises naturelles, la Motte Sol empierré, plateau d'Assy Sol en galets, Chedde - haut

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Evolution des anciennes fermes passerandes :

Les aménagements des maisons anciennes pour

améliorer et étendre la partie habitation ont eu lieu à toutes les époques. Les petites ouvertures du rez de chaussée ont été agrandies, augmentées en nombre, la partie habitat a gagné sur l'espace de l'exploitation. Au fur et à mesure des besoins, l'habitat a aussi pris de l'espace sur la grange à l'étage, et de ce fait la maçonnerie a souvent gagné sur la structure bois. Ainsi les transformations peuvent être plus ou moins importantes, plus ou moins visibles.

Certaines maisons passerandes ont encore leur

cachet d'origine à l'issue de leur réhabilitation, d'autres sont complètement transformées et reflètent bien la mode de l'époque de leur modification.

A priori une maison ancienne entièrement

transformée. Tout l'espace est habité.

Réhabilitation années 60 (volets à cadre

bicolores, bleu azur, balcon béton avec garde- corps métallique, abouts de chevrons peints) et postérieur (retour au ton bois, menuiseries standardisées) Maison ancienne transformée, à l'exception du comble. Réhabilitation années 60 (volets à cadre bicolores, cadre blanc saillant, balcon béton avec garde-corps métallique) et postérieur (retour au ton bois, menuiseries standardisées) Cran

Aménagement ancien d'une grange, Cran.

L'enduit dégradé laisse apparaître un lattis qui recouvre une structure bois remplie d'une maçonnerie légère.

L'habitat a gagné le premier niveau de la

grange, le dernier niveau n'est pas habité. Les

Regards

Maison ancienne transformée, comble compris.

Réhabilitation années 60. Joux et Soudan

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Dénaturations constatées dans les réhabilitations ou interventions récentes :

Juxtaposition peu

judicieuse : architecture banale reprenant des

éléments régionaux,

des couleurs criardes sans souci de leur environnement au voisinage immédiat de cette maison passerande

Rajouts d'éléments saillants qui

font perdre la lisibilité et la simplicité du volume initial.

Reconstruction en parpaings +

bardage, bande de rive épaisse

Interventions différentes sur un

même bâtiment Idem : Interventions différentes sur un même bâtiment

Doublage de la grange par un

bardage extérieur banalisant

Réhabilitation de la grange :

éclaircissement des bois,

introduction d'éléments de décor : balustrades découpées, bandeau

découpé marquant l'étage. idem : éclaircissement des bois, introduction d'éléments de décor :

balustrades découpées, bandeau découpé marquant l'étage.

Reconstruction avec utilisation de

vieux bois. Le Cruy

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Dénaturations constatées dans les réhabilitations ou interventions récentes :

Décroutage de l'enduit pour

" pierres apparentes » ; Les pierres ne sont pas faites pour être vues, le mur est fragilisé, il perd en isolation.

Décroutage de l'enduit pour

" pierres apparentes » mais qui laisse apparaître les transformations d'ouvertures réalisées en ciment Décroutage de l'enduit et rejointoyage des pierres avec un mortier contrastant

Les enduits au ciment, les faux

pierre vue

Les tuiles à rabat qui rendent la

toiture plus épaisse

Les enduits au ciment, les faux

pierre vue (enduit en surépaisseur, creusé à postériori pour faire apparaître les pierres) Les teintes trop vives (l'enduit est correct)

Les rétrécissements d'ouvertures

anciennes sans respect de leur forme d'origine. Ici le porche a été maçonné pour installer une porte.

Ouverture banalisée , le Crey

Enduit projeté et dressé (ce qu'on

fait sur les maisons neuves), bardage clair en planches étroites, cadres en bois autour des ouvertures, pose de menuiseries banalisantes (ici porte de style anglo-saxon !) Mur décrouté, porte de style anglo-saxon qui n'est pas adaptée à l'ouverture d'origine

Cette maison de 1829 a perdu

toute son authenticité : enduit projeté et dressé, auvent massif.

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