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Evaluation La poésie lyrique /20

Quel poète lyrique autre que Ronsard



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Méthodologie. Analyser un poème lyrique Le poète éprouve tout d'abord de l'intérêt il est séduit ... L'envol des lettres - Français 4e



Cette séquence sur les Fleurs du Mal de Baudelaire a été réalisée

- Étudier l'architecture d'un recueil/livre de poèmes. Situer une oeuvre dans son contexte. Méthodologie: - Mener l'étude d'un poème lyrique à l'aide des outils 



Demain dès laube Victor Hugo : analyse

Analysez le lyrisme du poème. ? De quelle manière le poème reflète-t-il les émotions du poète ? ? Comment Victor Hugo s'adresse-t-il à sa fille dans ce 



3 La poésie lyrique

Quel rapport ce tableau entretient-il avec la notion de lyrisme ? LIRE Et ANALYSER. * Les Regrets sont un recueil de sonnets dans lequel. Du Bellay chante les 



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Huit propositions d'EPI permettent de lier le français à douze autres disciplines pour travailler en J'étudie les caractéristiques de la poésie lyrique.



Evaluation de fin de séquence : corrigé La poésie lyrique

Quel est le type de rimes utilisé ? (. /1). Les rimes de ce poème suivent un schéma ABAB ce sont des rimes croisées. 4. Ce poème est-il un sonnet ? Pourquoi ?



Séquence 7 Le poésie engagée pour dénoncer et dire lAmour

Séance 1. En quoi ce poème est-il lyrique ? Lire le poème. Le 4 septembre 1843 Léopoldine (la fille de Victor Hugo) et son mari se noient dans la Seine 



REVISION : LA POESIE LYRIQUE Les séparés

4 empreint : qui marque profondément. Marceline Desbordes-Valmore. (1786-1859) est une poète française reconnue pour la richesse et la variété 



LEÇONS + EXERCICES

Analyser un mot c'est identifier sa classe grammaticale et sa fonction dans la phrase. naquit l'auteur dramatique français

Méthodologie

Analyser un poème lyrique

À une passante

La rue assourdissante autour de moi hurlait.

Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,

Une femme passa, d'une main fastueuse

Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;

Agile et noble, avec sa jambe de statue.

Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,

La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

Un éclair... puis la nuit ! -Fugitive beauté

Dont le regard m'a fait soudainement renaître,

Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?

Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !

Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, 1857

fastueuse = splendide, magnifique extravagant = personne bizarre, excentrique

À une passante

La rue assourdissante autour de moi hurlait.

Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,

Une femme passa, d'une main fastueuse

Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;

Agile et noble, avec sa jambe de statue.

Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,

La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

Un éclair... puis la nuit ! -Fugitive beauté

Dont le regard m'a fait soudainement renaître,

Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?

Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !

Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, 1857

s'imprĠgnerdurythme. varient-ilsaucoursdupoème? regret:elleadisparu.

ÉTAPE 1 : IDENTIFIER DES SENTIMENTS

À une passante

La rue assourdissante autour de moi hurlait.

Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,

Une femme passa, d'une main fastueuse

Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;

Agile et noble, avec sa jambe de statue.

Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,

La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

Un éclair... puis la nuit ! -Fugitive beauté

Dont le regard m'a fait soudainement renaître,

Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?

Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tufuis, tune sais où je vais, Ô toique j'eusse aimée, ô toiqui le savais !

Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, 1857

(àquiils'adresse).

Àquilepoètes'adresse-t-il?

passante(v.11,13,14).

ÉTAPE 1 : IDENTIFIER DES SENTIMENTS

À une passante

La rue assourdissante autour de moi hurlait.

Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,

Une femme passa, d'une main fastueuse

Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;

Agile et noble, avec sa jambe de statue.

Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,

La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

Un éclair... puis la nuit ! -Fugitive beauté

Dont le regard m'a fait soudainement renaître,

Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?

Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !

Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, 1857

semble-t-ilagréable? imagenégative,agressive.

ÉTAPE 2 : EXPLIQUER COMMENT LE POÈTE

PARVIENT À FAIRE NAÎTRE DES SENTIMENTS

À une passante

La rue assourdissante autour de moi hurlait.

Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,

Une femme passa, d'une main fastueuse

Soulevant, balançant le festonet l'ourlet;

Agile et noble, avec sa jambe de statue.

Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,

La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

Un éclair... puis la nuit ! -Fugitive beauté

Dont le regard m'a fait soudainement renaître,

Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?

Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !

Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, 1857

sembletriste,en"granddeuil»(v.2).

ÉTAPE 2 : EXPLIQUER COMMENT LE POÈTE

PARVIENT À FAIRE NAÎTRE DES SENTIMENTS

À une passante

La rue assourdissante autour de moi hurlait.

Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,

Une femme passa, d'une main fastueuse

Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;

Agile et noble, avec sa jambe de statue.

Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,

La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

Un éclair... puis la nuit ! -Fugitive beauté

Dont le regard m'a fait soudainement renaître,

Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?

Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !

Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, 1857

3.Observerlamiseenpagedupoème.

Quelleestlaformedupoème?

tercets:ils'agitdoncd'unsonnet.

ÉTAPE 2 : EXPLIQUER COMMENT LE POÈTE

PARVIENT À FAIRE NAÎTRE DES SENTIMENTS

À une passante

La rue assourdissante autour de moi hurlait.

Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,

Une femme passa, d'une main fastueuse

Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;

Agile et noble, avec sa jambe de statue.

Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,

La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

Un éclair... puis la nuit ! -Fugitive beauté

Dont le regard m'a fait soudainement renaître,

Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?

Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !

Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, 1857

4.Repérerlesétapesdupoème.

visiondelafemmeaététropfugace.

ÉTAPE 2 : EXPLIQUER COMMENT LE POÈTE

PARVIENT À FAIRE NAÎTRE DES SENTIMENTS

À une passante

La rue assourdissante autour de moi hurlait.

Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,

Une femme passa, d'une main fastueuse

Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;

Agile et noble, avec sa jambe de statue.

Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,

La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

Un éclair... puis la nuit ! -Fugitive beauté

Dont le regard m'a fait soudainement renaître,

Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?

Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !

Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, 1857

mélioratifetpéjoratif).

àlamort.

ÉTAPE 2 : EXPLIQUER COMMENT LE POÈTE

PARVIENT À FAIRE NAÎTRE DES SENTIMENTS

À une passante

La rue assourdissante autour de moi hurlait.

Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,

Une femme passa, d'une main fastueuse

Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;

Agile et noble, avec sa jambe de statue.

Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,

La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

Un éclair... puis la nuit ! -Fugitive beauté

Dont le regard m'a fait soudainement renaître,

Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?

Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !

Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, 1857

6.Releverlessonorités.

sentimentpeut-onl'associer? lepoète.

ÉTAPE 2 : EXPLIQUER COMMENT LE POÈTE

PARVIENT À FAIRE NAÎTRE DES SENTIMENTS

À une passante

La rue assourdissante autour de moi hurlait.

Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,

Une femme passa, d'une main fastueuse

Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;

Agile et noble, avec sa jambe de statue.

Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,

La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

Un éclair... puis la nuit ! -Fugitive beauté

Dont le regard m'a fait soudainement renaître,

Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?

Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !

Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, 1857

Querévèle-t-elle?

surlui-même.

ÉTAPE 3 : ANALYSER LA VISION DU POÈTE

À une passante

La rue assourdissante autour de moi hurlait.

Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,

Une femme passa, d'une main fastueuse

Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;

Agile et noble, avec sa jambe de statue.

Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,

La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

Un éclair... puis la nuit ! -Fugitive beauté

Dont le regard m'a fait soudainement renaître,

Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?

Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !

Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, 1857

Expliquezlamétaphoredesvers7-8.

indissociables.

ÉTAPE 3 : ANALYSER LA VISION DU POÈTE

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