[PDF] Panneaux de lexposition Quand la beauté ose !





Previous PDF Next PDF



Céruse et cosmétiques sous lAncien Régime XVIe- XVIIIe siècles1

blancheur du teint reste une exigence et bientôt



Lexique et culture

13-Jul-2012 eduscol.education.fr/ - Ministère de l'Éducation nationale et de la ... la fabrication des cosmétiques sous l'Ancien Régime (XVIe-XVIIIe.



Skin lightening and its motives: A historical overview

Catherine Lanoë « La céruse dans la fabrication des cosmétiques sous l'Ancien. Régime (XVIe-XVIIIe siècles) »



Colour Histories_Sammern 1

3 On the link between art and cosmetics see Pichler 1999; Foster 2005; Tassi 2005; “La ceruse dans la fabrication des cosmetiques sous l'Ancien Regime.



Du constat médical à la prise en charge : le long cheminement de l

plusieurs siècles à devenir réalité et ne fut finalement adopté que sous la En France pendant l'Ancien Régime



« ON EMBELLIT MON CORPS POUR LEXPOSER AUX FLAMMES

Parmi les publications de Catherine Lanoë citons ses articles : « La Céruse dans la fabrication des cosmétiques sous l'Ancien Régime (XVIe-XVIIIe siècles) 



Untitled

10.1 Berthollet's Chemistry Course at the École normale de l'An III 264 Catherine Lanoë “Céruse et cosmétique sous l'ancien régime



Selling Beauty

umphed and even afterward



i Compound Histories

01-Jun-2013 Catherine Lanoë “Céruse et cosmétique sous l'ancien régime



Panneaux de lexposition Quand la beauté ose !

dans l'antiquité aux XVIIe et XVIIIe siècles au XIXe siècle au XXe siècle au Moyen Âge à la Renaissance. Les canons de la beauté. Quand la beauté ose.

Détail de l'enluminuremédiévale Apollon,

manuscrit français

143, fol.36v,

reproduction photographique. Coll. Bibliothèque Nationale de France.Quelques secrets de beauté de l"Antiquité

Le "plus" de Pline l'Ancien (23-79 ap. J.C.).

Pour fabriquer de la céruse, il faut mettre du

plomb dans des pots à vinaigre qu'on laisse bouchés 10 jours, puis racler la "moisissure" formée, la broyer, la tamiser, la chauffer, la laver à l'eau douce, la faire sécher et enfin en faire des pastilles.

Quelques secrets de beauté du Moyen Âge

Epilation du front : appliquer sur les parties à épiler un mélange d'orpiment (sulfure naturel d'arsenic) et de chaux vive ou de chaux bouillie dans l'huile.

Pour empêcher la repousse du cheveu :

mélanger du sang de chauve-souris ou de grenouille, du suc de ciguë ou de la cendre de chou mouillée dans du vinaigre.

Quelques secrets de beauté de la Renaissance

Pour obtenir un blond vénitien : s'enduire la

chevelure d'un mélange de safran et de citron puis rester au soleil la tête recouverte d'un chapeau sans calotte pour se protéger du soleil. Le "plus" de Catherine de Médicis (1519-1589) : pour adoucir les effets de la céruse, dormir avec une escalope de veau crue trempée dans du lait sur le visage.

Dans le monde antique

classique -grec et romain - la beauté est une exaltation de l'harmonie des proportions.

Le corps athlétique triomphe

alors. Pour souligner la blancheur de leur peau, les riches romaines utilisaient des produits parfois toxiques comme la céruse !La beauté médiévale est une jeune fille à peine pubère aux yeux gris, à la peau blanche (symbole de pureté), ventre rebondi et aux hanches

étroites. Ses seins sont hauts,

blancs et écartés. Elle est blonde aux cheveux frisés, crêpés ou tressés, mince, grande. Son front est épilé, haut et blanc, il est souligné par des coiffures très en arrière.A la Renaissance, les femmes pulpeuses et bien en chair sont à l'honneur. Les courtisanes Vénitiennes considérées comme les plus belles femmes véhiculent un nouvel idéal de la beauté, importé en France par

Catherine de Médicis :

charnues, le teint pâle et les cheveux blonds, c'est le fameux blond vénitien.

A la cour de Louis XIV et de

Louis XV, la beauté est

synonyme d'artifice. Les cheveux sont cachés sous une perruque blanche, poudrée. Le visage, le cou, les bras et la naissance de la gorge sont recouverts de fard blanc pour donner l'illusion de la pureté et le rouge symbole de la sensualité donne du contraste sur les lèvres.

Le temps des Lumières

marquera un retour vers des beautés au teint de porcelaine aussi naturel que possible. Deux canons de la beauté coexistent pendant ce siècle : celui de la romantique alanguie et celui de la bourgeoise accomplie. Mais pour l'une comme pour l'autre, c'est enfin le triomphe des brunes, magnifiées par les peintres orientalistes séduits par leur sensualité.

Les artistes, dans le sillage de

l'idéal romantique, célèbrent la "belle malade". Elle a le teint livide, les yeux cernés et les joues creuses. A la fin du XIX e siècle et au début du XX e siècle, la présence nouvelle du corps féminin s'affirme. Le corps se dévoile dans les bains de mer, dans la pratique du sport (la gymnastique est obligatoire dans les écoles publiques dès 1880) et dans la presse féminine. Mince, élancée,

épaules musclées, cuisses

galbées, ventre aplati par une gaine, petits seins écrasés par des bandelettes, la femme a un corps androgyne confirmé par la mode à la garçonne des années

1920. Avec le XX

e siècle, c'est le millénaire de la pâleur qui disparaît au profit du teint hâlé.

La femme occupe dorénavant la

sphère du monde extérieur, elle mène une vie active, aérée. Une femme belle est une femme musclée et mince

Psyché,

huile sur toile, écoleflamande, XVI e siècle.

© Coll. musée des Beaux-Arts de Caen.

Portrait de femme,

pastel, anonyme.

© Coll. musée municipal de Bernay.

Quelques secrets de beauté à la cour du roi soleil

Les femmes du XVII

e siècle ne se lavent guère : elles s'asphyxient la peau en la recouvrant de couches de maquillage et se frottent le corps avec des linges parfumés. Pour se brosser les dents, elles utilisent de la poudre de corail, très abrasive, de la poudre d'huîtres ou un peu de vin blanc.

Portrait dit de M

me

Récamier,

Robert Lefèvre, huile sur toile, XIX

e siècle.

© Coll. musée des Beaux-Arts de Caen.

Les cheveux courts,

Kees VAN DONGEN, lithographie, 1924.

© Coll. musée Baron-Gérard, Bayeux.

dans l"antiquité aux XVII e et XVIII e siècles au XIX e siècle au XX e siècleau Moyen Âge à la Renaissance

Les canons de la beauté

Quandla beauté

ose La beauté: "caractère de ce qui fait éprouver une émotion esthétique, qui plaît à l'oeil, qui fait naître un sentiment d'admiration ou de satisfaction"

Dictionnaire le Robert.

Être belle, paraître beau est un souci largement partagé. La tyrannie de cet idéal ne s'est jamais atténuée au fil des siècles, et pourtant les canons de la beauté n'ont cessé d'évoluer : que de charmes différents entre les proportions parfaites de l'Aphrodite grecque, la pulpeuse Vénus de Botticelli et la filiforme Louise Brooks, star des années 1920 ! Mais la beauté naturelle n'est pas donnée à tout le monde... quelle imagination faut-il et à quels artifices peut-on "oser" recourir pour approcher un certain idéal ! Eh oui, ne dit-on pas qu'il faut souffrir pour être belle ?

Réalisation : Service du patrimoine

Conseil Général du Calvados

Vénus sortant du bain,

statuette gallo-romaine, coll.musée archéologique de Vieux-la-Romaine © Musée archéologique de Vieux-la-Romaine.

Histoire de

Pompée insultantPlautius Hypsaeus,

Au Moyen Âge sous l'influence de l'orient on

prend à nouveau soin de son corps : une cuve en bois cerclée fait office de baignoire ms français 289, fol. 458 v. © Bibliothèque Nationale de France.

1730: apparition de la baignoire sabot.

1840: apparition des baignoires en zinc.

Ces baignoires portables, légères,

étaient très pratiques et ne

nécessitaient pas un local spécial, ni d'eau courante.

1880: premières baignoires en fonte en

Grande-Bretagne.

1916: production en série de la baignoire

en fonte.

Baignoire sabot en cuivre

© Musée du Vieux Honfleur.

Chaise bidet à nécessaire,

avec des cases à parfum, XVIII e siècle, estampillée Jean-Henri Riesener. Coll. Château-musée de Saint-Germain-de-Livet.

Femme à sa toilette

par Louis-Léopold Boily (1761-1845).

© Roger-Viollet.

"Mort de Marat", par Jean-Jacques Hauer, 1794.

Le lieu où s'est déroulé le crime est représenté ici avec fidélité, le peintre étant

allé le soir même du crime chez Marat (13 juillet 1793). La forme fermée de la baignoire sabot fut fatale à Marat assassiné par Charlotte Corday.

© Musée Lambinet, Versailles.

Petite histoire

de la baignoire

Petite histoiredu bidet

et du bain de siège

Le bidet qu'on enfourche

comme un petit cheval -d'où son nom -fait son apparition au XVIII e siècle.

A partir des années 1930,

tous les catalogues des fabricants français de mobilier sanitaire présentent des salles de bains pourvues de la trilogie obligatoire : baignoire, lavabo et bidet.

Petite histoire

de la douche

Système de collier-douche

Alexis Mantelet, père de Jean Mantelet fondateur de Moulinex, inventa ce collier douche à la fin du XIX e siècle. Posé autour du cou, il évite de se mouiller les cheveux sous la douche... Le tub, généralement en zinc, est arrivé d'Angleterre dans les années 1880. On pouvait y pratiquer soit le bain à l'éponge, soit s'en servir de bassin pour une installation de douche comme sur cette photo.

© Roger-Viollet.

Le docteur Merry Delabost,

médecin chef de la prison de Bonne

Nouvelle à Rouen, inventa la

douche, vers 1872, afin d'améliorer l'hygiène des détenus. Il s'agissait d'une installation collective, mais le système de jet était individuel. se laver

Bains et traitement électrique.

Gravures extraites de Bilz La santé à la portée de tous, vers 1900.

Dans l'Antiquité, on enrubanne...

Le haut. Les femmes portaient un assemblage de

rubans qui entouraient la poitrine et soutenaient leurs seins (le strophium, le mastodeton, le mamilare, le fashia...).

Durant une partie du Moyen Âge, le canon de

beauté est à taille haute et au buste menu.

Le haut. Le surcot, corset extérieur,

permet d'aplatir les seins et de faire ressortir le ventre. On s'efforce de diminuer au maximum le volume de la poitrine : le buste est maintenu dans un corsage lacé, la futaine, qui peut être complétée par un doublet (sorte de corsage court) mais aussi par des bandelettes et une cotte (sous-corselet en lin raidi).

Le bas. Sous sa robe la dame serrait sa

taille à l'aide d'un bandeau.

Pendant la Renaissance, la silhouette

féminine est stylisée en forme de X. Le haut. Le corselet intégré à la robe ou la basquine contraint la taille.

Le bas. Un jupon raide, en cloche, posé

sur la taille, donne de l'ampleur à la jupe et accentue les hanches : c'est le vertugadin.

Aux XVII

e et XVIII e siècles, la taille est longue et fine sur une robe bouffante. Le haut. Le corps à baleine, corsage de textile précieux avec une forte armature, maintient un buste altier. Il marque la différence de la femme de la noblesse sur la femme du peuple qui porte la gourgandine, corselet non baleiné lacé sur une chemise marquant la taille et soutenant les seins. La gourgandine est aussi surnommée "le boute en train", "tâtez-y", "parfait consentement". Le bas. Le vertugadin évolue vers le panier. Cette sorte de cage de métal est portée sous les jupons, donnant ainsi de l'ampleur aux hanches et de la largeur à la jupe.

Au début du XIX

e siècle : poitrine haut placée, hanches bien rondes et taille si fine qu'elle doit tenir entre les mains ! Le haut. Avec la Révolution toute pièce de corsetterie est bannie. Il faut attendre le retour de la monarchie avec Louis XVIII pour que le corset revienne, mais en tant que sous vêtement. Plus souple que le corps à baleine, il donne forme à la silhouette et au vêtement en serrant la taille et le ventre, en comprimant les cuisses et en modelant la poitrine par des goussets qui accueillent les seins. Il donne ainsi à la femme des rondeurs généreuses. Il se ferme à l'arrière par un système qui permet de s'habiller seule. Il est dénommé corset "à la paresseuse".

Le bas. La tournure dit

faux-cul est un rembourrage porté sous la robe, à l'arrière, à hauteur des reins. Il succède vers

1870 à la crinoline, étoffe

formée à l'origine d'une trame de crin de cheval et qui servait à supporter une succession de jupon donnant du volume à la jupe.

Le début du XX

e siècle. Ces années sont marquées par une certaine liberté pour la femme, mais elle porte toujours un corset court, plus souple, pour lui affiner la taille. Il est posé bas sur les hanches et entrave le haut des cuisses. Sous le corset la femme porte un nouveau type de sous-vêtement combiné, qui se compose d'une brassière associée à un jupon étroit ou à un caleçon court.

Invention et succès du soutien-gorge.

Une corsetière aux idées féministes, Herminie Cadolle, tente de libérer la femme du corset. Elle le sépare en deux parties, ajoute une protection de la poitrine en créant une armature : le soutien-gorge était né, dont elle déposa le brevet en 1889. Le soutien-gorge ne se diffusera vraiment qu'à partir des années 1920 avant de connaître le succès que l'on sait.

Corset,

extrait du Journal des Dames et des modes. Coll. Particulière © Photo RMN - Gérard Blot.

Modeler le haut et le baspar les dessous

Statue de Sainte-Catherine

Cerisy-la-Salle (50)

© P.Y. LEMEUR, Conservation des antiquités et objets d'arts de la Manche. Femme se regardant dans un miroir portant la gourgandine, par Jacob Toorenvliet, 2 e moitié du XVII e siècle - 1 er quart du XVIII e siècle. Coll. musée des Beaux-Arts de Rennes © Rennes, Dist. RMN - Adélaïde Baudoin.

Contesse de Ségur,Comédies et proverbes,

illustration d'Emile Bayard, 1865.

Ceinture de bonne tenue,

Coll. musée de la Comtesse de Ségur.

© Service du patrimoine.

Petite histoire du maquillage

Jeune femme se poudrant,

par Berthe Morisot 2 e moitié XIX e s. Coll. musée d'Orsay, Paris © Photo RMN - Hervé Lewandowski.

Artiste se maquillant.

© Roger-Viollet.

Le fard entre la culture......et la morale

Depuis toujours et dans toutes les sociétés, l'être civilisé a cherché à s'affranchir de la nature : fards, peintures et tatouages lui permettent de parfaire son apparence et de répondre à des codes sociaux. Symbole de pureté et d'oisiveté d'une classe privilégiée, la blancheur de la peau restera le point commun de toutes les modes jusqu'au XX e siècle, avant que le teint hâlé du sportif et le bronzage du vacancier ne deviennent l'idéal recherché.

Du poison...

A la fin du Moyen Âge et pendant la Renaissance, la femme à la beauté idéale présente un teint pâle et diaphane : pour l'obtenir elle s'applique sur l'épiderme un baume à base de céruse (chlorate de plomb), d'arsenic ou de mercure (mais qui jour après jour...ronge la peau !) ou de poudre de perles. A partir de la Renaissance, les femmes de la bonne société s'efforcent toujours de montrer un teint blanc et posent du vermillon sur leurs lèvres, leurs joues et leurs ongles (certaines vont même jusqu'à rougir le bout de leurs seins !), de l'antimoine -noir-sur leurs paupières, leurs cils et sourcils. Elles teignent leurs cheveux en blond vénitien.

Le mot "maquillage" apparaît au XVII

e siècle, mais d'abord dans le sens de "tromper" (maquiller les cartes). Sous les règnes de Louis XIV et Louis XV, la cour donne le ton d'une grande sophistication. Le visage, le cou, la naissance de la gorge voire les bras, sont toujours fardés de blanc, le bleu souligne parfois les veines. Le rouge, symbole de sensualité, est plus que jamais apprécié sur les joues et des petits bouts de taffetas noir, les mouches, sont appliqués sur le visage.

Vers la fin du XVIII

e siècle on prend enfin conscience de la toxicité de certains produits composant les cosmétiques, comme le plomb de la céruse, le mercure, le zinc ou l'arsenic. Des professionnels ouvrent des boutiques de produits cosmétiques et de maquillage. Le règne du "Paris des parfumeurs" et des produits de luxe commence.Pourtant la morale du début du XIX e siècle fait de la femme fardée une femme de mauvaise vie ou une actrice du théâtre ; l'épouse vertueuse ne se maquille pas, ou avec discrétion. On considère que le meilleur soin du visage reste l'eau de la toilette. Cela n'empêche pas le succès du nouveau cold cream au blanc de baleine. Les romantiques, quant à eux, aiment les "belles malades" au teint cireux, aux yeux cernés (lire tard le soir, boire du vinaigre et du jus de citron...). ...à l'industrie des cosmétiques Après la Première Guerre mondiale, les progrès de la chimie rendent les produits de beauté accessibles à toutes les femmes, même si dans les milieux populaires et à la campagne on se maquille peu, juste certains jours de fête où l'on emploie avec parcimonie crèmes et poudre de riz. Le cinéma est dorénavant le vecteur de la mode et les conseils de beauté sont diffusés à profusion par les magazines et la réclame. Boite contenant 6 rouge géraniumpour les lèvres, vers 1900.

© Patrimoine Roger&Gallet.

Boîtes de poudre de riz,

Coll. Culture Patrimoine Pays d'Ouche (C.P.P.O.),

© Service du patrimoine.

Brosse à sourcils,

Coll. Culture Patrimoine Pays d'Ouche (C.P.P.O.),

© Service du patrimoine.

Fard à joue,

Coll. Culture Patrimoine Pays d'Ouche

(C.P.P.O.),© Service du patrimoine.

Petite histoire du parfum

Dans l'Antiquité : une senteur divine

Pour les civilisations antiques autour de la Méditerranée, les matières premières brutes odorantes (plantes, résines, fleurs) sont avant tout des présents que l'on offre aux dieux.

Le parfum sous forme de fumigations, d'huiles, de

baumes, de liqueurs fermentées permet aux mortels de s'approcher un peu plus du divin en sublimant son corps et le guérissant de ses maux.

Pendant le Moyen Âge et la Renaissance : des

senteurs nouvelles A la suite des croisades et des grandes découvertes en Orient et dans le Nouveau Monde, l'Europe développe le commerce de nouveaux épices et découvre les techniques de la parfumerie (l'alcool éthylique et la distillation).quotesdbs_dbs24.pdfusesText_30
[PDF] Cerussa Roll-IT, le poste de travail mobile pour le personnel infirmier

[PDF] cervantes pascale

[PDF] Cervantes-Shakespeare une « pétrifiante » coïncidence morts tous - France

[PDF] cerveau - Art Et De Divertissement

[PDF] cerveau cas cliniques video

[PDF] Cerveau de femme, cerveau d`homme: Le point sur les différences

[PDF] Cerveau et intelligence

[PDF] cerveau, drogues et dépendances

[PDF] cervelas truffé - Cuisine des Gones Cuisine lyonnaise - Anciens Et Réunions

[PDF] Cervelle de pingouin

[PDF] cervelles d agneau panées.pub

[PDF] Cervélo Launches New P3 – Speed Within Reach - Anciens Et Réunions

[PDF] Cervezas Vino - Anciens Et Réunions

[PDF] Cervia e Milano Marittima

[PDF] Cervilux Latex