PROGRAMME SDC 2021 EN COTE DAZUR Conférence
22 mars 2021 Cerveau et art • Conférence (en ligne) • Côte d'Azur ... Cet escape game est un concept de divertissement amusant et novateur à la portée de ...
« De la musique avant toute chose ?»
30 janv. 2016 Pour aller plus loin : La chanson est-elle un art mineur ? ... De plus le processus de croissance du cerveau d'Homo erectus
Le divertissement provincial : roman / Henri de Régnier
1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le.
Lintelligence artificielle dans lart et les industries culturelles et
Les croisements entre art industries culturelles et IA allant en s'intensi Ces grandes plateformes captent toute la valeur ajoutée : celle des cerveaux.
Les chaînes YouTube culturelles et scientifiques francophones
physique-chimie biologie
Notes sur la `` transition des arts
3 mars 2019 Transitions des arts transitions esthétiques : processus de ... Dans la pratique
14 20 MARS
5 mars 2022 LE 7E ART DANS LA SEMAINE DU CERVEAU ... ART CRÉATION
CRC/C/GC/17 Convention relative aux droits de lenfant
17 avr. 2013 contribue considérablement au développement du cerveau en particulier ... et l'art peuvent s'exprimer et s'apprécier dans divers lieux
Poésie et politique dans lœuvre dAimé Césaire: contradictions
divertissement pour devenir ce que Victor Hugo appellera « un art pour le C'est de manière automatique que notre cerveau répond à toute information par.
Esthétique des clichés: épistémologie généalogie et usages
20 mai 2020 problématisent le rapport des corps du cerveau et des images
1978 :
- La réutilisation non commerciale de ces contenus ou dans le cadre d'une publication académique ou scientifique est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source des contenus telle que précisée ci-après : " Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France » ou " Source gallica.bnf.fr / BnF ». - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service ou toute autre réutilisation des contenus générant directement des revenus : publication vendue (à l'exception des ouvrages académiques ou scientifiques), une exposition, une production audiovisuelle, un service ou un produit payant, un support à vocation promotionnelle etc. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter utilisation.commerciale@bnf.frLEROMANLITTÉRAIRE
COLLECTIONPUBLIÉESOUSLADIRECTIONDE
HENRIDERÉGNIER
DEL'ACADÉMIEFRANÇAISE
LeDivertissement
Provincial
ROMAN PARISALBINMICHEL,Éditeur
22,RueHuyghens,22
DivertissementProvincial
LeDUMÊMEAUTEUR
POÉSIES
LITTÉRATUREEProsesdatées.
HENRIDERÉGNIER
DEL'ACADÉMIEFRANÇAISE
LeDivertissement
Provincial
ROMAN PARISALBINMICHEL,ÉDITEUR
22,RUEHUYGHENS,22
ILAÉTÉTIRÉDECETOUVRAGE
deàà65oExemplaireN°j-^-tfff
Droitsdetraductionetreproduction
LeDivertissementProvincial
AMonsieurLouisGallier-LeCkesne,
del'Académiefrançaise,43,rueGuénegaud
Paris,VIe.
8avriliQ2.
MonsieuretcherMaître,
donnél'occasiondem'approcherd'undes plusviveetlaplussincèreadmiration.Les viedeprovinceaussibiendenosjoursquedans pasunecouleurquin'ysoientdelaplusintimeExcusezdoncmesaudacesetsouffrezseulement
quejemeréjouissedelaconjoncturequi compagnie. mamémoirepuisquejeluiauraidûunedes metémoignerl'auteurdeUneProvincialedeProvinceetdeCesgensnes'adressapastant
vousparutunerecommandationvalable.Votre victoiredelaMarne.Lasimplementiondecette insistancequimefitvousparlerdelamaisondeEneffet,commejevouslecontai,lesoirde
meshommesetm'obligeaàabandonnerle avionsennemis.Naturellement,lesmalades lesavionsetlargementarrosésdeballesde demeuraientencorehabitables.Onmedonna j'enterminailalecture,interrompueparune recrudescencedemonmal,recrudescencequi amenamontransfertàunautrehôpitalet quejemislamainquimerestaitsurlesusdit l'expressiondemaprojondeadmirationetde monsympathiquerespect.ETIENNELEBRUN
uo,avenuedeLaBourdonnais,VII'.PREMIÈREPARTIE
Lorsquej'eusremislacléauconciergeet
formaitunensembleplutôtmorose.D'un cettefindejournéeapportaitunpremier poétesse. 1Cettefemmeillustreetmalheureuseavaiteu
lorsque,quinzeansauparavant,jem'étais décidéà"fairebâtir».Lamortdemamère,survenuepeudetemps
plusstupidequ'unautrej'aimaislavieet ungentilgarçon,onmefaisaitbonnemine, manouvellesituationmedonnaitdupoidset danscepetithôteldelarueDesbordes-Val-àlaSalledesVentes,passeraitend'autres
mains,neconservant,detoutcequej'yavais l'immeuble,lemienpendantquinzeans.Quinzeans1Avais-jeétéheureuxdurant
m'emporteraitloindeParis,verslanouvelle actesetdesanature?Pendantlesheuresdu plussimpledineraurestaurant,puislagare quandilmeremettraitmesvalises,monbul- perled'adieu.J'étaisenrègle. macannepourfairesigneàl'und'eux,quandNevalait-ilpasmieuxmarcherunpeuavant
semblaitsedissoudreenvapeur,commepourCependant,sansyprendregarde,j'avais
atteintlaPortedelaMuetteetlespremiers arbresduRanelagh.Quediableallais-jefaire quand,aucontraire,l'idéemevintqu'une durestaurant,sonaspectdeconfort,deluxeParisparlaPorteDauphineoùjetrouverais
aisémentuntaxipourmemenerchezLaplace unsentimentsingulierdontjenemerendis comptequeplustard,carmaviedeprovince maisj'avaislavague,lasecrète,lasourde impressionquequelquehasardsubitpouvait encoreseproduire,etparquoicequiallait jamaisconnuaucunecirconstanceexception- nelle.Lesaventuresymanquaientcomplè- imprévue,cetteattentedequelquebrusque faveurduhasard.Jemesentaisobscurémentyavoirdroit.
Touthommeestvalablepourunecertaine
sediviseenfractions,maisilarriveaussi seproduirait-ilpas,cesoir,cederniersoir? gèmesduhasardsontinfinisetsesfigures innombrables.Ceboissombre,cebrouil- lard,aussibienquen'importequellieude lesvies.Pourquoilamiennenesubirait-elle sipauvrequ'ellesoit,attendsonmiracleetla queplustard,jecontinuaisd'avancerdans composaitunparfumhumideetprofondqui commesijemefussetrouvéaucentred'uneLemieuxsemblaitdoncdesuivrelesentierqui
contournelelacetderegagnerainsilaPorteDauphine.
Commejem'engageaisdanslesentierqui
longelaberge,jecroisaiungardeduBoisetje defeuillagesassezbassequejeressentisà l'épauleunchocviolentcommesijemefusse m'éblouissaitetque,danslerayonqu'elleJenesuispaspluspoltronqu'unautre,mais
enpleinboisdeBoulogne triquequetenait,del'autremain,monagres- d'unevestedecuir.Jeserraiplusvigoureu- sementencorelebrasquej'avaissaisietdont jetordaisrageusementlepoignet.Labouche recevoirlapointedanslecorps.Soudain j'entendislebruitd'unobjettombantsurle gravieretunjuronformidable.L'homme, larddeplusenpluscompact.Atoutesjambes,je jel'atteignaisunevoixrudem'interpellaEh1ditesdonc,onnemarchepassurles
gazons1 déjàloinetilyavaitpeudechancesdeleN'était-cepasl'essentiel?
ToutenmedirigeantverslaPorteDauphine,
croyaisavoirdroit,semanifestaitd'une supposeretvousserezdemonavislorsque ilvraimentcettequalificationdramatique?Toutd'abord,enreconstituanttantbienque
mallasilhouettedemonagresseur,jenepou- del'apache.L'hommeavecsavestedecuir unprofessionneldel'agression,carlasienne etdemepousserdanslelacaprèsm'avoir cecouteaubrandid'unemainetcettelampe d'unfou?Encecasj'avaiscouruunréel danger.Aquoibon,d'ailleurs,yavoiréchappé?
gestedecethommenesignifiait-ilpasqne j'eusseditm'endélivrer?Ehquivousditàquelqu'un"Tun'asplusrienàfaireen
cemonde.Supprime-toi.»Onabeaujeu deconseillerlesuicideàautrui.Oui,je savaisbienquej'étaiscequ'onappelleun "hommefinietcependantuneforceobscure, nousl'échéance.VousconnaisseztroplasalleduRestaurant
Laplacepourqu'ilsoitutilequejevousla
décrive.Elleoffreunbondécordevie trerilfautfairepartiedeceuxquel'on tionavecsérieuxetnonplusaveccette oudeDinardoulesdélicesmondainset maconvenance.Unefoisassis,jememisà considérerl'assistance.Parunhasarddontjemefélicitai,jen'y
distinguaiaucunefiguredeconnaissance.Cet unvivantetjecessaisuninstantdemecroire quesilecoupdecouteaudel'hommeduBois l^-bas,giflercetautresicelameplaisait,Jelesconsidéraisdumêmeoeilquejeles
regardaisjadis.Or,jedoisnoteruneparticu- adesgensàquilavued'unefemmejolieet procheoulointained'unefemmefaitnaître enleurespritcequej'appelleraisvolontiers tancesplusoumoinsromanesquesquivont entrerontdansledramatique,letragiqueoule aubonheur.Lafemmelesmetdansunsingu- queparfoisilsenperdentlesmoyensquileurCettedernièredispositionquej'aiassez
quej'aieues,jenelesaijamaisattendues duesqu'àundiscernementassezjustedes paisguère.Enamour,oudumoinsentactique loureux.J'aipusouffrirdecertainesfemmes, coeurqu'onressentd'elles,quandellessont undonmiraculeuxdelavie. montrerqu'iln'yavaitrienenmoiduhéros deroman,nirienquifitdemoiquelqu'un lecroyais,touteviehumaineendoitcomporter cettepartmereviendraitunjour,etquelles sauraitbienmerelanceretmesaisirquand ellelejugeraitbon.Ellepouvaitlefaireà faireauparavant,commeellelepourraitdans depeuquejenereçussedanslapoitrinele assailli.Quecelutunapacheouunfou,le mêmeplace,soitseul,soitavecdesamis.Je merappelaisdesvisagessympathiques,des oudeconcert,visitantquelqueexpositionje chaientcertainesimagesplusintimes.Des mainspressaientlesmiennesjegoûtaisla sortedemémoiresensuelleetsentimentale venaitdeseréveillerenmoi,avecuneenvie demondésir.Ilyavaitdanslasalleuncertainnombrede
avecunetelleinsistancequeplusieurss'en seproduisitenmoi.Dechacundecesvisages jecueillaisuntrait,uneexpression,puisClaire.Apeinecenomprononcé,l'imagede
couflexible,sabouche,sesyeux,etcetteche- veluresoupleetmassivequiétaitsaplus bellebeauté.Claire,ClaireDerveneuse!CetteClaireavait
savaisClaireunefemmecoûteuseetqu'elle mesamisetiln'yavaitaucuneraisonpour dépenseetdeluxe?Pourquoiseserait-elle dispendieuse.Ellelefut.Enlavoulant,je savaisàquoijem'exposais.Jesavaisqu'au tempsoùjeseraiscapabledeluienfournir indifférente,complaisanteetpaisible.Jemesuisdemandésouventpourquoi,
perspectivedel'avenirquim'attendait.Com-Notezquejen'aimaispasClaireDerveneuse.
Cen'estdoncpaslapassionquim'aconduità
Jenesouhaitaisriend'autrequ'unmoment
desachairetdesabeautéetjecalculaisle plusfroidementdumondecequemecoûteraitC'esttoutcelaquimedonneàpenserque
Nefallait-ilpas,pourdesbutssecrets,que
tancesafinquej'enarrivasseoùjesuis? deClaireDerveneuseetjeviensderésumerévoquaitenmoi.Pourmieuxensuivrele
voyaisClaireDerveneuseassiseàunetable voisinedelamienne,maiscettefoisjen'avais sansquejem'enaperçusse,elleavaitArgentinsprobablement.Undeceshommes
imaginaisrentrantdanscettechambredontles demi-nue,danslefraisetviolentparfumdesa peauodorante.Jemerappelaisdesattitudes, beaucoupdeplaisiràsapossession?Pourmeretrouverplusprochedupassé
sesfermesseins,sonventredoux,jebaisaisRiendeplus.Clairen'avaitpasprispourmoi
devaleurnouvelle.Letempsneluiavaitrien desoncollier.DepuismoiClaireavaitfait deromanfeuilleton.Enuninstantlespires estpleinederisquesetdedangers.Soudainces gensnemedisaientriendebon.Leplusgrand avaitl'airplusquesuspectetlesdeuxautres avaientvéritablementminesdebrigands.J'imaginaisClaireemmenéepareuxdans
blanchesquicerclaientsoncoudevenaientdes maislesperlesvalaientbienuntelforfait.Mentalementjesupputaisleurvaleur.Elles
commel'enseignedesaprofessiondecourti- lesportesdemaDestinéeserouvraient.M.JulesPrélart,moneoncierge,ramenait
delagaremesbagages,Monhôtelredevenait m'appartiendraitdenouveauensoncorpsjeune maintenantlasaveuretleparfumCommela vieprendraitàmesyeuxunnouveauprixIl mesemblaitquejen'eneussepassujouir. neseraisniexigeant,niromanesque.Qu'elle lafaveurdedisposerdemoi-même.Ettoutes contenuesdanscesperlesqueretenaitunfilsi m'enrevintquelques-unes,cellesqueClaire medevait.Ah1commeelleriraitsijem'avisais moiAmoiUnlégertintementdeverrerieme
verreaveclalameducouteaudetablequeje gationssaugrenues?Est-cequemarencontre dorénavantdecommunavecceshommeset mavie.Leursplaisirsneseraientplusles miens.Ilsfaisaientpartied'unmondeautreétaitlemondedutravailetdelapuissance.
trieleurdonnaientledroitd'yfigurer,de fairedesviandes,desvins,desfemmes,des mereconnaissaitmêmepas.Aubruitdemon deneplusexisterpourunêtrequ'onatenu est-cetrèsdouloureux?Jenesavaisplus. gras.Aunfortpourboirel'hommes'in- clinaJefissignequenonetjesortis.
desretours,jenevousconnaîtraisplusAh jemedirigeaisallaits'emparerdemoietne prendraism'emporteraitpourjamais.Toute dupassé.Jenereverraisjamaispluscette cocher,plusjamaislevisageancillairede demesvalises,danslebrouhahadugrand monterdanscecompartimentdewagonqui souslacalmeclartédelalune?`? moi,mais,finalement,aucunn'ypritplace.L'und'eux,ungroshomme,quiavaitdisposé
auboutd'unmomentpourleporterailleurs. moipourlesruminer.Aucundérangement tiondescorrespondancesetmaudissaitla quivenaits'attelerautrainpourP.après miqueduposted'eau.J'aidûfairecinqousixdecesvoyages,de
futledernier.Acetteépoqueunebrouille séparamonpèredesasoeurMm*deChal- lesrelationsfurentrompuesentrelatanteChaltrayetnous.Apartirdecemoment,nous
deP.dataient-ilsd'entremesseptetquatorze masse.Celavientsansdoutedeceque estvraiquelavied'unenfantdansunepetite tationsdemonpère,maismatanteChaltray tenaitbon.Pourmoi,cequejevoyaisdeplus mongréetlesoccupaisdemonmieuxauxjeux maisonparleMailetleChampdefoire.Les murpourm'yteniràcalifourchon.Dansla uninstantavantdes'enretourner;longerleétangsdeVitryoujusqu'auboisdeVunay
plusilfallaitcompterlesvisites.IlyavaitDanscertainesmaisonsjerencontraisdes
madameZ.lespetitsG.lespetitesL.? impressionscomplètementoubliés.Mamémoire,endéfautausujetdesper-
miniature.Jelarevoyaisrueparrue,maison parmaison,et,pourainsidire,pierrepar bruits.JesavaismonP.parcoeur.Ilestvrai queP.n'estpasgrand.QuandonavusonRenaissance,sesquelquesmaisonsdebonne
époque,onconnaittoutcequ'ilyaderemar-
derueMontanteouGrand'Rue,secontinueC'estentrelaplaceduMarchéetleMail
qu'étaitlamaisondematanteChaltray.De mentheureuxoumalheureux,quequelque avaitmarquédansmavied'enfantdurantles quelquesvacancesquej'yavaitpasséeset deP.occupaittoutemapenséeetmedis- trayaitdemessoucis.Elledonnait,commejel'aidit,surlaplace
Pourysonner,ontiraitunepattedechevreuil
onentendaitletintementdecettesonnetteet, surledallageduvestibule,lepasdelaser- vantequivenaitouvrir.Cevestibuleétait marrons.L'escalieryprenaitnaissance.Ses resbombaientleurspanneaux.Unpoêleen fauxmarbre. tes,l'uned'unepetitechambredonnantsurla placeduMarchécommelesalon.Cesalon deformeEmpire,recouvertsdevelours lacheminéeoùreposait,sousunglobe, leportraitdeM.deChaltray,oeuvred'un detenture,donnaitpassageàunegrande uneporte-fenêtrequiouvraitsurunbalcon qu'onappelaitla"galerie»etquilongeait chambreoùlogeaientmesparentslorsde tuettesdesaintsetdesaintes.Lepapierdes mursdisparaissaitpresquesousdesimagesde jamaisoubliée.LachambredematanteChal- uneautreodeurprovenantduvoisinaged'un danslaviedemabonnetanteàquilesoin, cellesdesdemoisellesdeB.fameuseparses pureetfroidedesonpuitsetl'honneurd'avoirChaltray.
desonveuvagesinoninconsolable,dumoins enrentes,unebonnesituationencettepetite unlieuuniqueaumonde,incomparableetines- timable.Lefaitd'yvivre,d'yavoirunemaisonPourellerienau-dessusdeP.Elleattribuait
mementspirituels.Or,d'ordinaire,lesper- deshabitantsdecettevilleexemplaire.Cebon mention"quiestsibonne»oucquiestsi plusscrupuleux.AP.onétaitinvestid'une aucundevoirenversleprochainetenverssoi- même. sanceaussibienqueparlesdonsdel'espritet rienpourembellircettedemeureetmême pourl'entretenir.Aquoibon?Quelepiedde favorisaitsonégoïsme. surlesquellesjereviendraietdontlapre- cuisinièreetd'unefemmedechambre.La yvieilliraitsursesfourneaux.Rienn'aurait pourtourmenterlesfemmesdechambre parfoisassezlongtempsenplace.Matanteins- mentetdepatienceinexplicables,quoique etdesgagesparcimonieuxpourlesquelsil fallaitfourniruntravailcontinueldontma tanteneleurtémoignaitjamaisaucune niàuncongéetdanslequelilnefallait posée,tandisquematante,quandillui plusrebutants.Matanteselaissaitpeu toucherparlesmauxd'autrui.Lessiensluifaisaientuneoccupationdes
bâtiepourvivrecentans,ellesetenaitauxquotesdbs_dbs24.pdfusesText_30[PDF] Cerveau de femme, cerveau d`homme: Le point sur les différences
[PDF] Cerveau et intelligence
[PDF] cerveau, drogues et dépendances
[PDF] cervelas truffé - Cuisine des Gones Cuisine lyonnaise - Anciens Et Réunions
[PDF] Cervelle de pingouin
[PDF] cervelles d agneau panées.pub
[PDF] Cervélo Launches New P3 – Speed Within Reach - Anciens Et Réunions
[PDF] Cervezas Vino - Anciens Et Réunions
[PDF] Cervia e Milano Marittima
[PDF] Cervilux Latex
[PDF] Cervin, à chaque heure sa bonne hauteur - France
[PDF] CERVOISE ALESIA POINTS DE VENTE
[PDF] Cerwin Vega CVA 28X
[PDF] Cerwin Vega PACK 1500W