Analyser une sculpture Document réalisé par Corinne Bourdenet
Document réalisé par Corinne Bourdenet enseignante en arts plastiques Michel-Ange demande qu'elle soit exposée devant le palais Vecchio mais en 1873
La Palette du ciel. Art baroque ibéro-américain (XVIe-XVIIIe siècles
Ainsi à l'opposé de la plastique cosmologique précolombienne
« Narcisse »
Florence Dusart CPD Arts visuels DSDEN 50 en histoire de l'art contesteraient le fait que Caravage en soit l'auteur et attribuerait ce tableau à.
Le curriculum de lOntario de la 1re à la 8e année Éducation
de l'art dramatique des arts visuels
LE MUSÉE EN AUTONOMIE
le visiteur à un parcours allant de l'art roman tale contemporaine (voir l'Ange au sourire de la cathé- drale de Reims). ... plastiques l'artiste invite.
histoire de l?art 2e partie période moderne I (de la renaissance au
l?architecture renaissance la renaissance du nord opposition au sud. Michel-Ange le maniérisme les arts baroques
La Palette du ciel. Art baroque ibéro-américain (XVIe-XVIIIe siècles
Art baroque ibéro-américain (xvi e-xviii e siècles). Colonisation de l'esprit et iconophilie chrétienne dans le Nouveau Monde. Juan Carlos Baeza Soto.
Dossier péDagogique
Sep 14 2013 Sciences et vie de la terre
Ressources - Liste dexemples doeuvres
- Jean-Jacques. Annaud Le Nom de la Rose. Direction générale de l'enseignement scolaire – Histoire des arts – école primaire - Page 2 sur 5. Page 4
Mythes et métaphores du regard chez Rubens. Aveuglement et
Feb 3 2012 L'histoire de l'art a aussi fait de Rubens une figure du baroque éloquent de Michel-. Ange
Couverture :
Deux satyres, 1618-1619
Rubens
76 x 66 cm, huile sur bois
Alte Pinakothek, Munich
3Emilie Etienne
2010Sous la direction de Jean-Pierre Mourey
Mythes et métaphores du regard chez Rubens
Aveuglement et toute-puissance de l"oeil désirant 4Remerciements
Mes premiers remerciements s"adressent bien sûr à Jean-Pierre Mourey, mon directeur de recherche depuis plusieurs années qui a suivi avec bienveillance et rigueur mon travail et mon parcours universitaire placé sous le signe de la peinture.Merci à Pascal Bonafoux et Bernard Lafargue d"avoir accepté d"être le jury de cette thèse.
Merci à Bruno Duborgel, professeur d"esthétique. Pensées à mon amie Souad Natech, docteur en arts plastiques, avec qui je partage depuis longtemps l"amour de la musique et de la peinture. Merci aux auteurs, chercheurs, cités en bibliographie. Merci enfin à mes parents, à mon mari Dany, vers qui je me tourne toujours pour son oeil affuté sur la peinture. Au doux regard de ma fille Sarah Gabrielle née pendant l"écriture de cette thèse. Et à la peinture de tout genre et de toute école, pourvu qu"elle soit forte de ses images... 5 " Je dis qu"il faut être voyant, se faire voyant.Le Poète se fait voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens. »
Arthur Rimbaud
Lettre adressée à son ami Paul Demeny, datée du 15 mai 1871Correspondances
6Sommaire
Introduction : L"Allégorie de la vue
9Chapitre premier
La femme interdite : une modalité du désir
L"oeil prédateur et ses dispositifs picturaux
471.
Du désir né de l"oeil : Rubens à la lecture de Bataille, Lacan et Nietzsche 49
2.Interdit et transgression en la figure de Suzanne 85
L"érotique de Suzanne
85Un nouveau but : se montrer
99Voir l"oeil de l"autre me voir
1033. Voir et avoir, petite histoire d"une confusion des genres 109
L"aveuglement de Samson en conversation avec une séquence du Chien andalou 125 4.Le jugement de Pâris : l"oeil et l"expérience du beau 131
Première entrevue avec Méduse
143Un regard extatique
1547
Chapitre deux
L"oeil dans les amours réciproques 161Petit préambule au deuxième chapitre
1621.
Victoire de l"éros sur Thanatos 165
Bethsabée : baroque clair, baroque sombre
1652.
Vertige, répétition, obsession : l"oeil de Rubens voit triple 175
L"érotique du corps à corps des Trois Grâces 183
Le cheveu, le poil et le pinceau : métaphores réciproques 190Femmes à poil, femmes à poils
192Ecart et pérennité de Rubens : Manet et Cézanne 195
3.
Défaillance du regard amoureux 211
Orphée ou l"appel du regard
211Psyché et les visions nocturnes
218Interlude : le sommeil d"Argos aux cents yeux
227Le regard éclairant de Psyché et l"oeil du peintre en abîme 234
Psyché et sa petite flamme sous l"éclairage de Bachelard 242
Premier regard de Psyché : un ancien souvenir... 252
Les mille plis du corps et de l"âme vus par Deleuze 264
L"obscène dans la scène baroque du XVIIème siècle 274
Eros et Psyché : deux visions d"un même motif 282
8
Chapitre trois
L"oeil de la métamorphose minérale, végétale et animale de la chair, sous l"égide de la peinture 299Petit préambule au troisième chapitre
3001.
Miroirs : fixité et transformation 303
Renaissance et baroque 305
Femme au miroir
307Résurgence du baroque à travers Vénus au miroir : Rauschenberg 319
2. Narcisse, reflet mortifère de soi
327Miroir, mon beau miroir 329
L"eau tombeau
341Narcisse et la question de l"autoportrait chez Rubens 350
3. L"empierrement et la chair : Botticelli et Rubens 365
4.Le filtre du miroir déformant ou les analogies animales 373
Fantasmer l"oiseau ou l"amant icarien 373
L"autre visage de l"aigle : corps déchirés sous nos yeux 3865. Métamorphoses punitives et picturales : satyres et autres hybrides masculins 391
L"oeil et le rire du satyre 396
L"ivresse du voir dionysiaque: Silène
4026.
L"animalité féminine : un délire plastique, onirique, érotique 411
Improbables sirènes 414
Le blason du corps ou la beauté fragmentée
423La Grâce et la jument
431L"oeil du lion : l"élan zoomorphique au masculin 439
Femmes et fauves traqués dans un même " sadisme délirant » : Rubens, Delacroix, Cézanne
454Nuages : motifs de métamorphoses
4617. Imminences 469
L"instant-clef, métamorphose du temps 469
Esthétique du juste-avant
475Epilogue
483Annexe
505Index 1
523Index 2
525Iconographie
516Bibliographie
5239
Introduction
" Les mythologues amateurs sont quelquefois utiles. Ils travaillent de bonne foi dans la zone de première rationalisation. Ils laissent inexpliqué ce qu"ils expliquent puisque la raison n"explique pas les rêves. Ils classent aussi et systématiquement un peu vite les fables. Mais cette rapidité a du bon. Elle simplifie la classification. » 1 Au fil de mon étude, je vais tenter de garder du coin de l"oeil et de l"esprit ces mots de Bachelard, qui résonnent comme une mise en garde précieuse, pour explorer un instant l"univers des mythologies du regard désirant et leur empreinte dans la peinture rubénienne. La mythologie amoureuse et l"oeuvre de Rubens se répondent en écho : les images qu"elles se renvoient alimentent la relation contiguë que la peinture baroque entretient avec les récits et leurs fantasmes. Tout au long de mon étude, j"essaierai de ne pas me satisfaire du simple rapport entre la source littéraire et son résultat pictural, pour prendre en compte une épaisseur philosophique, esthétique et voir comment la peinture de Rubens travaille par écart, par réécriture du mythe. " La fabulation antique, la mythologie [...] on en a fait de tels jus qu"on ne sait plus par quel bout la prendre. » 2 La nature tentaculaire et labyrinthique de la mythologie est un autre danger : c"est la persistance du regard et du motif oculaire qui fera le lien entre tous les récits édifiants. Nombre d"entre eux s"articulent autour du regard et du désir: dans les mythologies grecques, mésopotamiennes ou dans les récits bibliques, l"oeil jouissant est sans cesse en cause :1. Gaston Bachelard, L"eau et les rêves, chapitre III, Livre de poche, 2001, p. 85.
2. Jacques Lacan, Le séminaire, livre XX, Encore, Seuil, 1975, p. 104.
10 " Le domaine de la vision a été intégré au champ du désir. »3 Regard, désir, plaisir... Trois notions enchâssées jusque dans le champ psychanalytique pour qui " l"impression visuelle définit une topographie sexuelle et désirante de la surface des corps. C"est dans cette impression visuelle que s"éveillent les désirs sexuels »4 ... Dans les récits qui mettent en scène cette triade, il est presque toujours
question de nudités surprises et des sentiments amoureux qu"une telle vision procure. L"exhibition du corps évoque la jouissance et les histoires de femmes au bain sont toutes des histoires de l"oeil, elles racontent et mettent en scène un homme qui surprend une femme qui se baigne. Dès lors, la frontière entre Actéon épiant Diane et le peintre scrutant son modèle au bain est poreuse... Cette confusion, ce glissement possible entre deux registres n"est pas sans alimenter l"imaginaire des artistes. Qu"ils soient engendrés par la mythologie, qu"ils soient peintres ou spectateurs d"une quelconque scène : " Tous les hommes qui ont des yeux ont été quelque jour témoin. »5 Ce postulat de Merleau-Ponty, placé sous le signe du masculin, répond à celui selon lequel la femme est faite pour être regardée. D"emblée, les termes du contrat sontposés et la relation vu-voyant s"élabore : " la peinture ne célèbre jamais d"autre énigme
que celle de la visibilité. »6 Quelle peinture, aussi hermétique ou avare d"image soit-
elle, n"est pas faite pour être regardée d"une manière ou d"une autre? Une triade semble impérative : la baigneuse qui est épiée est aussi divine, jeune etbelle. Les divinités sont aussi triples, à l"image des Trois Grâces, qui déclinent les trois
aspects de la déesse grecque : chaste, tentatrice mais redoutable pour celui qui bafoue les codes amoureux. Les récits se décomposent ainsi en trois actes, dont le dernier est généralement la représentation d"un désir de mort ou d"un interminable supplice. Rubens indique dans une lettre la charge dramatique de tels récits : " Ce seront toujours des tragédies conformes à l"extrême violence de l"antiquité. »7 C"est à partir
de ces schémas ternaires que gravitent la majorité des tableaux mythologiques liés au regard, d"avant 1630.3. Jacques Lacan, Le séminaire, livre XI, Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse,
Seuil, Paris, 1973, p. 80.
4. Hervé Huot, Du sujet à l"image, Une histoire de l"oeil chez Freud, Ed. Universitaires, Paris, 1987, p. 122.
5. Maurice Merleau-Ponty, L"oeil et l"esprit, Gallimard, Paris, 1964, p. 29.
6. Ibid. p. 26.
7. Rubens, Lettre datée du 25 juin 1627, Correspondances, Tome II, L"Harmattan, Paris, 2005, p. 154.
11 Point nodal des peintures mythologiques de Rubens : c"est l"oeil désirant dans safonction captatrice qui est exalté et rabâché. Pourtant, parmi toutes ces fables et
toutes leurs déclinaisons possibles, il arrive que l"homme change de statut et devienne la proie. Juste retour des choses ! Cet inversement redessine l"ambigüité du voir et dudésir. Entre les pulsions qui ont pour but de regarder et celles qui s"attachent à
montrer, quelle différence ? Il y a sans doute une forme de réciprocité : qui désir voir,
désir se montrer et lever le voile sur les fantasmes qui le hantent. Le voir incognito n"a qu"un temps et ouvre vers la pulsion jumelle. Voir, c"est nécessairement être vu, nul n"y échappe et ce retournement de situation coûte cher, c"est être pris à son piège dans une ironie macabre. Bien peu de représentations érotiques parlent à vive voix de la femme en jouissance du regard. Ce motif, largement minoritaire, demeure un tabou mémorable, une effraction au règne masculin: " La femme jouit plus du toucher que du regard, son entrée dans cette économie scopique dominante signifie une assignation pour elle à la passivité : elle restera le bel objet à regarder. » 8 La femme touche, frôle, l"homme regarde, dévore... Les catégories rigides sont naïves et sans nuances : elles aplatissent tout, ne laissent pas de place à l"imaginaire et au pictural. Pour bousculer les schémas établis, quoi de mieux qu"un contre-exemple ? L"histoire de Psyché bouleverse le dispositif vu-voyant traditionnel. Habitée par undésir irrépressible de voir, elle incarne la pulsion scopique au féminin et c"est
probablement Apulée qui s"en fait le plus beau poète, et Jules Romain, le peintre leplus fidèle. Les artistes sont fascinés par cette figure spécifique qui apporte avec elle la
lumière sur la nudité masculine et qui, métaphoriquement évoque le principe-même de la peinture. Bachelard et Lacan nous éclairent sur cette question : " C"est par le regard que j"entre dans la lumière, et c"est du regard que j"en reçois l"effet. Le regard est l"instrument par où la lumière s"incarne. » 9 L"oeil, le désir puissant de Psyché, et la peinture se répondent en écho car les trois entités n"existent pas sans la lumière. Cette Psyché se fera alors l"effigie féminine de l"esthétique et de l"oeil baroque, par sa soif de voir. Un oeil insatiable dans le répertoire du féminin. C"est aussi son corps de peinture, assujetti à la figure elliptique, au voile et aux plis qui se fera baroque, à la lecture de Deleuze.8. Elvan Zabunyan, Cachez ce sexe que je ne saurais voir, Ed. Dis voir, Paris, 2003, p. 15.
9. Jacques Lacan, Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse, op. cit., p. 98.
12 De même qu"il y a plusieurs façons de voir : jeter un coup d"oeil, apercevoir, regarder, surveiller, fixer du regard, dévorer des yeux, imaginer, rêver... il y a plusieurs façons d"être vu : entre se montrer ouvertement et se couvrir intégralement existe toute une palette de postures. De même qu"entre l"opaque et le diaphane, tout un champ de voiles s"interposent entre l"oeil et l"objet convoité. Le regard est donc multiple,presque infini : il se décline au fil des récits. Pourtant de grands schémas se répètent,
des modèles autour desquels les artistes élaborent leur imaginaire pictural. De fil en aiguille les récits se transforment et s"ajustent à l"univers du peintre, mais ce qu"il y a de plus archaïque résiste à toutes les relectures du mythe : jamais l"oeil ne renonce àl"appel érotique. De cette réciprocité entre le vu et le voyant émerge la trame
structurelle de cette thèse : il s"agira du regard des personnages mythologiques peints et de celui du spectateur. Dans et hors le tableau donc. Oui ! L" " aveuglement et la toute-puissance de l"oeil désirant » énoncés dans le sous-titre concernent les deux ! Quels qu"ils soient, les dispositifs optiques du scénario amoureux hantent la peinture de Rubens, ils constituent son esthétique, son oeil ouvert sur le monde et la peinture. Il est alors intéressant de dresser une typologie du regard des amants à travers les mythes fondateurs et leurs diverses versions, pour en découvrir les symboliques cachées ou revendiquées et voir pourquoi ces histoires de l"oeil ont une résonnanceparticulière dans la pensée baroque en général, et dans l"oeuvre de Rubens en
particulier. Car il n"est pas le seul à citer les mythologies du regard, c"est uneréférence quasi-immémoriale puisque ces légendes, qu"elles soient écrites ou orales, se
sont toujours accompagnées d"une représentation dessinée, sculptée, imaginée...
Qu"il s"agisse des récits grecs ou latins, les représentations sont donc innombrables, depuis toujours les peintres se nourrissent de ces histoires largement diffusées dans l"iconographie occidentale pour alimenter leur univers poétique. Mais à l"ère renaissante et baroque, elles connaissent une montée en puissance et une apogée, semble-t-il avec Rubens, l" " Homère-peintre ». Comment rejoue-t-il à l"image ces antiques récits en créant ses propres espaces imaginaires ? Qu"est-ce que ces mythes du regard nous donnent précisément à voir en dehors de la composante narrative et symbolique ? En guise de prologue, j"envisage de jeter un coup d"oeil sur un beau tableau deRubens et Bruegel, fruit d"une collaboration plusieurs fois répétée. Cette spécificité,
cette image unique où deux regards se confrontent et s"allient fait sens : n"est-ce pas déjà là une allégorie de la vue ? J"ai l"espoir de trouver dans cette Allégorie une sorte d"anthologie visuelle, foisonnante mais construite, baroque et renaissante, comme toujours chez Rubens, qui 13 annoncerait en une seule image toutes les mythologies que l"on va approcher, et qui montrerait une réflexion sur l"oeil désirant. Comme si cette peinture, relativement petite pour Rubens, tirait sa puissance visuelle et évocatrice non pas d"un habituel gigantisme mais des métaphores " optiques » qu"elle renferme. Allégorie de la vue, 1617, Rubens & Bruegel (ill. 1) Petit bijou de peinture serti de mille détails, autant à voir qu"à lire tant les discours imagés semblent à chaque recoin, l"Allégorie de la vue est un tableau dans le tableau : cette mise en abime est nécessairement porteuse de sens. En somme, cette peinture semble montrer de manière redondante son principe d"existence, sa fonction fondamentale qui est de s"offrir et/ou de se dérober aux yeux du spectateur. " Ce qui me plait justement dans la peinture, c"est qu"on est vraiment obligé de regarder. Alors là, c"est mon repos. » 10 Cette allégorie de la vue, à la fois fourmillante et organisée, est plus que jamais faite pour les yeux ; mais quelle peinture ne l"est pas ? Quelle musique n"est pas faite pourêtre écoutée ? Les mots de Michel Foucault indiquent d"emblée cette évidence et
Lacan l"évoque aussi : " Assurément dans le tableau toujours se manifeste quelque chose du regard »11. L"un et l"autre parlent du plaisir de regarder, de la jouissance
oculaire qui trouve écho dans tous les mythes amoureux que l"on croisera : " Le voir, c"est où pour lui réside le plaisir suprême [...] celui qui se produit du coeur, du centre du pur plaisir. Nulle peine n"a besoin de précéder le fait que nous voyons pour que ce soit un plaisir. » 12 D"ores et déjà, spectateur du tableau et mythe s"entrecroisent, et cette relation, mise en scène par les dispositifs picturaux, ne cessera de se tisser au fil de mon étude. Maisquotesdbs_dbs49.pdfusesText_49[PDF] angel island immigration histoire PDF Cours,Exercices ,Examens
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