[PDF] Initiation à la virologie Chapitre II : Interaction virus-cellule





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Expliquez comment `a la suite dune infection virale les lymphocytes

7. mar. 2016 Les lymphocytes T cytotoxiques détruisent les cellules infectées par les virus de mani`ere spécifique. Expliquez comment `a la suite d'une ...



IMM DS2 2017

Les lymphocytes T cytotoxiques détruisent les cellules infectées par un virus de manière spécifique. Expliquez comment à la suite d'une infection virale



Aspects immunologiques et virologiques de linfection par le SARS

25. nov. 2020 régulières par ces coronavirus banals pourrait s'expliquer plus par la ... La nécessité d'une réponse anticorps et lymphocytaire T pour ...



Problématique Comment la réponse adaptative cellulaire agit-elle

lymphocytes spécifiques d'un antigène les lymphocytes T CD8



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Ainsi des lymphocytes T spécifiques à une protéine de la myéline (protéine expliquer comment une infection virale pourrait être associée aux maladies ...



Etude comparative des lymphocytes T et B sanguins au cours dune

14. feb. 2017 chronique systémique (VIH) et d'une infection virale aigue ... lorsqu'ils sont activés par leur récepteur des cellules T suite à leur ...



Initiation à la virologie Chapitre II : Interaction virus-cellule

Expliquer comment certains facteurs de l'hôte déterminent le tropisme d'un virus. rapide (< 2 heures). suite à une infection virale une cellule.



MAINTIEN DE LINTÉGRITÉ DE LORGANISME MAINTIEN DE L

Montrer comment les macrophages interviennent dans la réponse immunitaire innée Expliquer comment à la suite d'une infection virale



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Comment fonctionne-t-il ? Comment aider notre système lymphocytes B (LB) et les lymphocytes T (LT). ... tueurs au cours d'une infection virale.



Immunité de la muqueuse respiratoire : physiologie et implications

opposant à l'infection est la barrière constituée par l'épithé- lium respiratoire. innées) qu'adaptatifs (lymphocytes T régulateurs et helper).

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    Les lymphocytes sont un type de globules blancs qui exercent une fonction immunitaire majeure dans la défense de l'organisme face à l'agression par des agents microbiens extérieurs. Ils sont produits dans la moelle osseuse et circulent dans le sang et les vaisseaux lymphatiques. Il existe plusieurs types de lymphocytes, dont deux principaux, lesB e...

  • Lymphocyte T : définition

    On appelle leslymphocytes "T" à cause de leur lieu de maturation dans le Thymus. Ils sont responsables de l'immunité dite cellulaire car ils ont la capacité de détruire les cellules reconnues comme infectées. Ils représentent environ 80% des lymphocytes. En présence d'une bactérie, d'un virus, d'un champignon ou d'un envahisseur étranger, les lymph...

  • Rôle Des Lymphocytes T

    Leur rôle est essentiel dans le système immunitaire puisqu'ils éliminent les agents pathogènes considérés comme " dangereux " pour l'organisme. En revanche, ils n'interviennent pas en première ligne mais dans un second temps, une fois activés. Ils ont aussi une mémoireleur permettant de se souvenir des caractéristiques de l'agresseur (agent infecti...

  • Différence Entre Lymphocyte T et B

    La différence entre les lymphocytes T et B réside dansleur lieu de maturation et dans leur moyen de procéder pour éliminer les agents pathogènes et les cellules infectées. Les lymphocytes B sécrètent des anticorps, des molécules capables de reconnaître spécifiquement un antigène, alors que les lymphocytes T détruisent directement les cellules conta...

  • définition Des Lymphocytes B

    Les lymphocytes "B", appelés ainsi pour la "Bourse de Fabrice" (organe chez les oiseaux dans lequel ils arrivent à maturité), arrivent à maturité, chez l'Homme, dans la moelle osseuse. Ils sont responsables de la réponse immunitaire dite humorale spécifique grâce aux anticorps (immunoglobulines) qu'ils produisent et qui servent à la reconnaissance ...

  • définition Des Lymphocytes B à Mémoire

    Les lymphocytes B à mémoire sont un sous-type de lymphocyte B. Lorsque les lymphocytes B sont activés, certains se différencient en lymphocytes B mémoires et d'autre en plasmocytes. Alors que les plasmocytes secrètent les anticorps pour défendre l'organisme, les lymphocytes B à mémoires mémorisent les propriétés de l'antigène (marqueurs de l'agent ...

  • Rôle Des Lymphocytes B

    Une fois l'interaction avec l'antigène spécifique accomplie, les cellules B sont activées et se divisent en cellules mémoire ou en plasmocyte, une cellule spécialisée dans la fabrication et la sécrétion d'anticorps circulants. Dans certains cas, ce sont les lymphocytes T qui activent et transforment les lymphocytes B. Les anticorps combattent alors...

  • Maturation Des Lymphocytes B

    Contrairement aux cellules T qui migrent vers le thymus pour mûrir, les lymphocytes B se forment et parviennent à maturation dans la moelle osseuse. Au cours de ce processus, les cellules B acquièrent progressivement différentes molécules dans leur membrane, parmi lesquelles se trouve le récepteur de cellule B qui le rend unique, facilitant ainsi l...

Pourquoi les lymphocytes sont-ils détruits ?

Il en résulte une augmentation de la quantité de virus (charge virale) dans le corps. Plus la quantité de virus est importante, plus le nombre des lymphocytes T CD4 diminue par la conjonction de trois processus lorsque le VIH se multiplie dans les lymphocytes T CD4, ceux-ci sont détruits

Quel est le rôle des lymphocytes ?

Les lymphocytes T sont des cellules clés de la réponse immunitaire adaptative. Responsables de l'immunité cellulaire, leur rôle est de détruire les cellules de l'organisme infectées par un virus ou les cellules tumorales. Toutefois, en cas d'infection chronique ou de cancer, on observe un épuisement des lymphocytes T au cours du temps.

Pourquoi les lymphocytes sont-ils détruits par le VIH ?

les organes qui fabriquent les lymphocytes T CD4, envahis par le VIH, sont progressivement détruits et cessent de fabriquer de nouveaux lymphocytes T CD4 : la destruction des T4 devient supérieure à la capacité de production

Qu'est-ce qui diminue le nombre de lymphocytes dans le sang ?

De nombreuses maladies peuvent diminuer le nombre de lymphocytes dans le sang, mais les infections virales (y compris le SIDA) et la malnutrition sont les causes les plus fréquentes. Les personnes atteintes peuvent n'avoir aucun symptôme, ou présentent de la fièvre associée à d'autres symptômes d'infection.

Initiation à la virologie

Chapitre II : Interaction virus-cellule

[www.virologie-uclouvain.be]

Objectifs du module

les virus sont des "parasites obligés" de la cellule hôte. Ils se répliquent dans u n espace compartimenté du point de vue fonctionnel.

l'organisme réagit à l'infection virale à différentes niveaux: au niveau de la cellule infec-

se répliquer et se propager en présence des mécanismes de dé fense de l'hôte.

l'objectif de ce chapitre est de présenter les différents niveaux d'interaction entre le virus et

l'hôte et d'illustrer les conséquences de ces interactions.

Table des matières

1. Interaction virus-cellule

2. Evolution d'une infection virale

3. Mécanismes physiopathologiques

5. Quiz et tests

6. Bibliographie

Expliquer brièvement les différentes évolutions et issues de l'infection virale, au niveau cellulaire

et au niveau d'un organisme

Expliquer les moyens de protection antivirale (réponse innée) mis en place par l'organisme hôte,

à l'échelle d'une cellule et à l'échelle d'un or ganisme Expliquer comment certains facteurs de l'hôte déterminent le tropisme d' un virus.

Prérequis

avoir lu et compris le chapitre I : généralités sur les virus et plus particulièrement le point 5 de ce

chapitre (cycle viral). sont potentiellement dommageables et sur les moyens de défense mis en oeuvre par les virus virus apparemment non-pathogènes réalisation : www.afd.be

II. Interaction virus-cellule

II. I nteract I on v I rus-cellule

1. Interaction virus-cellule

Les virus ne sont pas des organismes autonomes, à l'in verse de la plupart des bactéries ou des protozoaires. Les virus sont des parasites obligés qui dépendent de la cel lule qu'ils infectent pour la réplication de leur génome et la production de leurs constituants (protéines, enveloppe...). Ils entretiennent donc une relation particulière avec la cellule dans la mesure où ils en exploitent les ressources. tout en la ménageant pour que les ressources cellulaires ne s'épuisent pas prématurément. Par ailleurs, la cellule peut aussi réagir à la présence d'une infec- tion en activant certains processus de défense anti-virale, comme la sécrétion de cytokines, en particulier les interférons, ou en dé clenchant un programme de mort cellulaire programmée (apop tose) bloquant rapidement la réplication virale.

1. Stratégies de réplication à l'échelle cellulaire

l e type de relations qui s'installe entre virus et cellule dépend de la nature du virus mais aussi de la nature de la cellule. Par exemple, un virus donné peut avoir un comportement très diffé- rent lorsqu'il se trouve dans une cellule épithéliale, un neurone, ou un macrophage. De même, des virus d'espèces différentes sont susceptibles d'utiliser des stratégies de réplication distinctes pour se multiplier dans un même type de cellule. l a vitesse intrinsèque de réplication d'un virus dans une cellule (FMDv) peut effectuer un cycle de réplication complet (de la recon- naissance du récepteur à la sortie des virions néoformés) en moins de 6 heures. a l'inverse, un virus comme le virus de l'hépatite a nécessite plusieurs jours pour effectuer un cycle viral complet. a près reconnaissance du récepteur et relargage du génome viral dans la cellule hôte, l 'issue de l'infection peut varier. (Figure II.1.1)1

1. Interaction virus-celluleII.1.1. Issues de l'infection d'une cellule.

1. Infection abortive: se solde par l'éli-

mination du virus. - 2. Infection persis- tante: la cellule reste en vie mais le virus s'y réplique et peut éventuellement être transmis. - 3. Infection lytique: la cellule est détruite, ce qui libère les particules virales.Infection

Interaction

récepteurInfection abortive

Infection persistante

Infection lytique

II. Interaction virus-cellule > 1. Interaction virus-cellule II. I nteract I on v I rus-cellule

1. Interaction virus-cellule

2. Utilisation de la machinerie cellulaire par les virus

2.1. La cellule: un espace compartimenté

l a relation entretenue entre virus et cellule tient aussi compte du fait que la cellule est un " espace comparti- menté ". (Figure II. 1. 2). les constituants cellulaires qui peuvent être nécessaires à la réplication virale sont répartis dans différentes sous-entités de la cellule. Par exemple, l'aDn-polymérase nécessaire à la réplication des virus à aDn, l'arn-polymérase II qui assure la transcrip- tion des arn m à partir d'aDn, et la machinerie d'épissage, sont localisées dans le noyau. l es ribosomes qui assurent la traduction sont cytoplasmiques. les protéines de la mem- brane plasmique et les protéines sécrétées sont acheminées vers la surface via la voie de sécrétion impliquant le réti culum endoplasmique et l'appareil de Golgi. De même, les glycoprotéines insérées dans l'enveloppe du virus suivent cette même voie de sécrétion et acquièrent leur glycosyla tion dans le réticulum endoplasmique et l'appareil de Golgi. semble et se dissocie de manière dynamique). ces orga- nites jouent notamment un rôle clef dans le déclenchement de la mort cellulaire par apoptose et servent de support à des protéines impliquées dans la voie de déclenchement de la production des interféronsĮǃ Il existe donc un mécanisme d'adressage des composants cellulaires et viraux vers le compartiment auquel ils sont destinés. Par exemple, les protéines de la membrane ex- 2

Issues de l'infection d'une cellule

- l'infection peut être abortive si le génome viral, après avoir été introduit dans la cellule ne peut s'y répliquer (par exemple, vu l'ab et prévient ainsi la réplication du virus. - l'infection peut être persistante lorsque la cellule survit à l'infec- tion et produit du virus sans être lysée. ce type d'infection est bien connu dans le cas de certains virus enveloppés capables de bourgeon- ner sans entraîner de lyse cellulaire. on comprend particulièrement facilement que les virus comme les rétrovirus, qui intègrent leur gé nome dans le génome de la cellule hôte, ne produisent pas systéma- tiquement la lyse de cette cellule. o n suspecte l'existence de mécanismes alternatifs, non-lytiques, pour la sortie des virus non-enveloppés, comme l' exocytose, ou le pas- sage direct de cellule à cellule. - Dans la plupart des cas, les virus non-enveloppés et certains virus enveloppés entraînent la destruction de la cellule infectée. on parle alors d'infection " lytique ". Dans le cas des virus non-enveloppés, la lyse cellulaire assure le relargage des virions dans le milieu extra cellulaire, permettant alors l'infection des cellules voisines. Dans le cas des virus enveloppés, la production virale implique une étape de bourgeonnement et donc l'intégrité des membranes cellulaires. Dans ce cas, la lyse cellulaire peut survenir après la production des virus, suite à la perturbation du métabolisme cellulaire. II. Interaction virus-cellule > 1. Interaction virus-cellule II. I nteract I on v I rus-cellule

1. Interaction virus-cellule

terne et les protéines sécrétées sont synthétisées sous forme d'un précurseur muni d'une "séquence signal" (ou "peptide signal") n -terminale permettant leur interaction avec la machinerie d'exportation et leur translocation dans la lumière du réticulum endoplasmique où la séquence si gnal est éliminée. 3 (Dégradation des protéines)Respiration - Energie

ApoptoseRégulation expression IFN

Dégradation

EndocytoseAutophagie

Voie d'exportation

RecyclageSynthèse

protéique

Trafic nucléo-cytoplasmique

- ARN - protéines

Peroxysomes

Lysosome

Ribosomes

(Traduction)

Mitochondries

Enzymes

(Métabolisme)

ProtéasomeCytosquelette

Golgi

Réticulum

endoplasmique

Granules de stress et P-bodies

RéplicationTranscriptionEpissage

N o y a u C y t o p l a s m e M e m b r a n e p l a s m i q u e

II.1.2. Compartimentation d'une cellule

animale. (La cellule de plante est illustrée dans l'exemple choisi TMV).Pour obtenir les schémas détaillés des différents élém ents: II. Interaction virus-cellule > 1. Interaction virus-cellule II. I nteract I on v I rus-cellule

1. Interaction virus-cellule

virus s i les virus adaptent leur cycle de réplication au fonction- nement de la cellule, ils peuvent aussi considérablement

Apport direct de composants

: l'infection par un virus peut apporter à la cellule des acides nucléiques (génome viral), des protéines (par exemple les protéines de tégu ment des virus Herpès), ou même des ribosomes (trans- portés par certains arénavirus). l'effet le plus critique de l'infection d'une cellule est proba- capacité codante du fait de la présence du génome viral. celui-ci codera une série de protéines structurales et non-structurales nécessaires au cycle de réplication du virus. les protéines structurales sont nécessaire à l'élaboration du virion. l es protéines non- structurales ne sont détectées que dans la cellule infectée participent au processus de réplication virale et ont souvent

Perturbation du fonctionnement cellulaire

par les protéines non-structurales virales c ertaines protéines non-structurales participent essen- tiellement ou uniquement au processus de réplication du virus. un exemple type en est l'arn-polymérase arn-dé- pendante codée par les virus à arn. D'autres protéines le fonctionnement de la cellule. s ouvent, les protéines non- structurales virales peuvent avoir les deux fonctions: elles participent à la réplication du génome viral, tout en modi 3 c des picornavirus est requise pour assurer le clivage de la polyprotéine virale en ses composants mais elle clive aussi certaines protéines cellulaires, notamment impliquées dans la voie de l'apoptose ou de l'interféron. l es effets des protéines non-structurales peuvent s'exercer

à plusieurs niveaux :

- le cycle de réplication cellulaire: De nombreux virus à a D n codent pour une ou plusieurs protéines qui favorisent la progression du cycle cellulaire vers la phase s (phase de synthèse des acides nucléiques), de manière à pouvoir exploiter les métabolites et enzymes produits au cours de cette phase pour assurer la réplication de leur propre gé nome (Fig.II.1.3). u ne conséquence de cette activité est que ces virus ont souvent pour effet de favoriser la mitose avec pour consé- quence la possibilité de provoquer l'immortalisation et la transformation cellulaire. ceci ne survient cependant qu'en cas d'échec du cycle lytique. 4

II.1.3. Cycle cellulaire

G0: phase de repos (cellule qui ne se

divise pas)

G1: cellule diploïde (2 chromatides)

S: phase de synthèse d'ADN (chromatides:

2 -> 4)

G2: cellule diploïde (4 chromatides)

M: phase de mitose: séparation de 2

cellules II. Interaction virus-cellule > 1. Interaction virus-cellule II. I nteract I on v I rus-cellule

1. Interaction virus-cellule

5 Des exemples types de telles protéines virales sont la pro téine t produite par les Polyomaviridae (sv40 ou le virus polyoma) ou les protéines E6 et E7 codées par les pa- pillomavirus. - l'expression des gènes cellulaires: l'expression de gènes cellulaires peut être activée ou inhibée par certaines protéines virales. Par exemple, la protéine tax du virus Ht- lv-I peut activer l'expression de gènes de cytokines comme l'I l-13 ou moduler le cycle cellulaire en activant l'expres- sion de la protéine suppresseur de tumeur p21. - : les virus à arn ont le plus souvent un cycle de réplication cytoplasmique car il ne requièrent pas les enzymes nucléaires de la cel lule. néanmoins, la réplication de ces virus peut être fa- vorisée par la présence de facteurs cellulaires, normale ment présents dans le noyau. Plusieurs

Picornavirus ont,

par exemple, développé une stratégie visant à perturber le fonctionnement des pores nucléaires pour entraîner une redistribution de protéines nucléaires vers le cytoplasme, où elles s'associent avec le génome viral pour en faciliter la réplication ou l'expression (Fig. II.1.4).

Tableau:

exemples de protéines non- structurales virales qui interfèrent avec le - Poliovirus protéine 3A - Rhinovirus - Poliovirus protéine 2A - Cardiovirus protéine L - Virus du Sida (HIV) protéine Nefinhibe la voie de sécrétion: blocage du passage dans le Golgi -Virus de la stomatite vésiculeuse (VSV) protéine M - Cytomégalovirus (CMV)

protéine US3perturbe le tra?c nucléo-cytoplasmiqueprotéase qui clive certaines nucléoporines et

entrave le tra?c nucléo-cytoplasmique. interfère avec la GTPase RAN et avec la phophorylation des nucléoporines : perturbe le tra?c nucléo-cytoplasmique protéine qui séquestre les chaînes naissantes du complexe HLA de classe I dans le réticulum endoplasmique, les empêchant ainsi d'atteindre la surface cellulaire. séquestre la molécule CD4 dans les endosomes... et entraîne ensuite sa dégradation.

Picornavirus

Rhabdovirus

Herpesvirus

Lentivirus

II.1.4. Perturbation de la localisation de

la protéine PTB par le virus de Theiler (TMEV)

Marquage de la protéine nucléaire PTB

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