Système de comptabilité nationale 2008
Le Système de comptabilité nationale 2008 (SCN 2008) est un cadre statistique qui Produit intérieur brut (PIB) . ... Revenu national brut (RNB) .
Revenu National et Comptabilité Environnementale
Les mesures traditionnelles de produit national brut (PNB) ou produit intérieur Le PIB n'inclut que les revenus à l'intérieur des frontières d'un pays ...
COMPTES DE LA NATION
Comptabilité Nationale des Nations Unies adopté en 1993 en abrégé le SCN 93. fournissent une évaluation du Produit Intérieur Brut (PIB 2007) et de son ...
COMPTES DE LA NATION
fournissent une évaluation du Produit Intérieur Brut (PIB 2008) et de son taux de croissance. La SCN : Système de Comptabilité Nationale.
Conseil économique et social
Dec 14 2000 Statistiques économiques : comptabilité nationale ... croissance du produit national brut et l'analyse de la balance des paiements.
Le produit intérieur brut (PIB)
base de son revenu national brut agrégat de la comptabilité nationale qui est dérivé du produit intérieur brut et en est généralement très proche.
Conseil économique et social
Mar 4 2022 Du produit intérieur brut au bien-être et à la durabilité : ... que le calcul du PIB soit fondé sur le Système de comptabilité nationale.
Page de garde DHD
PIB. Produit Intérieur Brut. PNB. Produit National Brut Système de Comptabilité Nationale ... Investissement intérieur brut (en % du PIB).
strategie africaine de mise en œuvre du systeme de comptabilite
SCN : Système de Comptabilité Nationale. PIB : Produit Intérieur Brut. CER : Comité Economique Régional. SACN : Système Africain de Comptabilité Nationale.
GDP by industry Sources and methods
cadre du Système de comptabilité nationale du Canada (SCNC) de Statistique Canada. Le produit intérieur brut (PIB) par industrie est l'une des trois séries
Le produit intérieur brut (PIB) - Comptabilité nationale
Un rôle fondamental Le produit intérieur brut (PIB) est de très loin l'agrégat le plus connu de la comptabilité nationale il est même plus connu que la comptabilité nationale elle-même Depuis des années il est reconnu comme le meilleur indicateur de l'activité économique si bien que ce sont ses évolutions que l'on suit pour
REPUBLIQUE DU BURUNDI
MINISTERE DES FINANCES ET DE LA PLANIFICATION DU DEVELOPPEMENTECONOMIQUE
Institut de Statistiques et d'Etudes Economiques du Burundi (ISTEEBU)COMPTES DE LA NATION
ANNEE 2008
Bujumbura, Décembre 2011
2Avant propos
L'Institut de Statistiques et d'Etudes Economiques du Burundi (ISTEEBU) a le plaisir devous présenter, les comptes nationaux du Burundi, élaborés selon le Système de Comptabilité
Nationale des Nations Unies adopté en 1993, en abrégé le SCN 93. La présente publication est consacrée aux comptes nationaux de l'année 2008 quifournissent une évaluation du Produit Intérieur Brut (PIB 2008) et de son taux de croissance. La
méthodologie d'élaboration utilisée dans le cadre de ce travail est conforme au SCN 93, et les
nomenclatures d'activités et de produits utilisées sont une adaptation au contexte burundaisdes nomenclatures établies par AFRISTAT pour ses Etats, à savoir la Nomenclature d'Activités
des Etats Membres d'AFRISTAT (NAEMA) et la Nomenclature de Produits des Etats Membres d'AFRISTAT (NOPEMA), qui elles-mêmes dérivent de la Classification Internationale Type par Industrie (CITI), révision 3 et de la Classification Centrale des Produits (CPC) respectivement. En cette occasion, l'ISTEEBU tient à remercier le Gouvernement et tous ses partenaires techniques et financiers pour le soutien dont il a bénéficié tout au long des travaux de production des comptes nationaux. Ces remerciements s'adressent particulièrement à laBanque Mondiale, à travers le Projet PAGE, à la Banque Africaine de Développement (BAD) à
travers le Programme de Renforcement des Capacités Statistiques (PRCS) ainsi que l'Observatoire Economique et Statistique de l'Afrique Subsaharienne (AFRISTAT). Il n'oublie pas également toutes les structures publiques et privées qui ont répondufavorablement aux différentes requêtes en informations indispensables à la bonne conduite des
travaux. Il s'agit notamment des différents démembrements de l'Administration publique etdes entreprises (financières et non financières) qui n'ont pas hésité à fournir les documents
sollicités. Les tableaux publiés ne constituant qu'une partie des informations disponibles, les utilisateurs intéressés peuvent prendre contact avec l'ISTEEBU pour des informations complémentaires.Le Directeur Général
Nicolas NDAYISHIMIYE
3Table des matières
Avant propos 2
Table des matières 3
Liste des tableaux 4
Sigles et abréviations 5 Partie I : Analyse des comptes nationaux de l'année 2008 6 I. Introduction 6 II. Les indicateurs macroéconomiques 6 III. Le Produit intérieur Brut - Optique Production 8 III.1. Structure du PIB par secteur d'activité 8 III.2. La valeur ajoutée par secteur d'activité 8III.2.1. Secteur primaire 8
III.2.2. Secteur secondaire 9
III.2.3. Secteur tertiaire 9
III.3. La part du secteur informel dans le PIB 10 IV. Le Produit Intérieur Brut - Optique Demande 12 IV.1. Demande intérieure 12 IV.1.1. Consommation finale 12 IV.1.2. Formation Brute de Capital Fixe 12 IV.2. Echanges extérieurs 13 IV.3. La contribution des emplois à la croissance réelle du PIB 14 Partie II : Tableaux des comptes nationaux 15Annexe 1 : Méthodologie 28
Annexe 2 : Tableaux des Ressources et des Emplois (TRE) 42 4Liste des tableaux
Tableau 1.1 : Equilibres Ressources - Emplois (En milliards de Fbu) 7 Tableau 1.2. Taux de croissance de la VA du secteur primaire en % 9 Tableau 1.3 : Taux de croissance de la VA du secteur secondaire en % 9 Tableau 1.4 : Taux de croissance de la VA du secteur tertiaire en % 10 Tableau 1.5 : La part de l'informel dans l'économie par secteur d'activité 11 Tableau 1.6 : La structure de CF des ménages par produit, en % 12 Tableau 1.7 : Répartition de la FBCF par secteur en milliards de FBU 13 Tableau 1.8 : La contribution à la croissance en volume du PIB 14Liste des graphiques
Figure 1 : Structure du PIB en volume par secteur d'activité 8
Figure 2 : Importations et Exportations des biens et services 14
5Sigles et abréviations
- AFRISTAT : Observatoire Economique et Statistique de l'Afrique Subsaharienne - APU : Administration publique - BRB : Banque de la République du Burundi - BTC: Burundi Tobacco Company - BTP : Bâtiments et Travaux Publics - CAF : Coût, Assurance, Fret - CB : Compte de Branche - CCF : Consommation de Capital Fixe - CF : Consommation Finale - CI : Consommation Intermédiaire - CITI : Classification Internationale Type par Industrie - COGERCO : Compagnie de Gérance du Coton - CPC : Classification Centrale des Produits - EBE : Excédent Brut d'Exploitation - EECI : Enquête sur les Entreprises Commerciales et Industrielles - ERE : Equilibres Ressources -Emplois - ERETES : Equilibre Ressources- Emplois, Tableau des Entrées-Sorties - FBCF : Formation Brute de Capital Fixe - FBU : Franc Burundais - FOB : Free On Board - INSS : Institut National de Sécurité Sociale - ISTEEBU : Institut de Statistiques et d'Etudes Economiques et Sociales - M : Importations - MFP : Mutuelle de la Fonction Publique - OCIBU : Office des Cultures Industrielles du Burundi - OTB : Office du Thé du Burundi - P : Production - PIB : Produit Intérieur Brut - SCN : Système de Comptabilité Nationale - SOSUMO : Société Sucrière du Mosso - T : Impôts et taxes sur les produits - TES : Tableau d'Entrée-sortie - TRE : Tableau des Ressources et des Emplois - USD : Dollar Américain - VA : Valeur Ajoutée - VAB : Valeur Ajoutée Brute - X : Exportations - % : Pourcent - ѐS : Variation des stocks 6 PARTIE I : ANALYSE DES COMPTES NATIONAUX DE L'ANNEE 2008I. Introduction
En 2008, l'économie mondiale a enregistré un ralentissement de la croissance suite à lacrise financière qui a touché toutes les régions du monde et plus particulièrement les pays
avancés. La croissance mondiale a été de 3,4% contre 5,2% en 2007. D'une façon particulière,
elle a été de 0,9% contre 2,7% en 2007 pour les pays avancés. Les économies des pays émergents et en développement ont maintenu une croissancesoutenue de 6,1% contre 8,3% en 2007, malgré les effets de la crise financière, grâce à un bon
niveau d'activité des pays émergents d'Asie. Les économies africaines qui, ont tout de même
connu une croissance de 5,2% contre 6,2% en 2007, n'ont pas été épargnées par la crise financière qui a occasionné la chute des prix des matières premières et le recul des investissements étrangers directs. L'économie burundaise a été caractérisée en 2008 par de bonnes performances parrapport à l'année précédente. En effet, le taux de croissance du PIB en termes réels est de 4,9%
contre 3,4% en 2007.Le déflateur du PIB s'est aussi détérioré 24,2% contre 8,3% en 2007, suite à la montée
des prix intérieurs et en particulier les prix de consommations finales des ménages (29% contre
9,1%), des prix à l'importation (17,8% contre 4,5%) et à l'exportation (20,9% contre 5,3%).
La présente publication présente les principaux résultats des comptes nationaux à travers l'analyse de l'évolution des indicateurs macroéconomiques et de la structure des ressources et des emplois du Produit Intérieur Brut (PIB).II. Les indicateurs macroéconomiques
L'économie burundaise a enregistré un taux de croissance de 4,9% en 2008, après celui de 3,4% enregistré en 2007, ramenant ainsi le PIB réel à 1 539,1 milliards de FBU en 2008 contre 1 354,7 milliards en 2007. Cette progression de l'activité économique est principalement liée à la contribution positive de tous les secteurs de l'économie, mais beaucoup plus au secteur tertiaire, qui acontribué à elle seule à 2,7 points dans la croissance du PIB. Cette forte contribution du secteur
tertiaire provient essentiellement de l'administration publique et des services " restaurant et hébergement ». Les secteurs primaire et secondaire ont aussi contribué positivement à la croissance du PIB, respectivement de l'ordre de 0,7 point et 0,8 point. 7 La contribution du secteur primaire est tirée par l'agriculture vivrière (0,7 point) et l'agriculture d'exportation (0,8 point), tandis que celle du secteur secondaire par les industries (0,5 point) et la construction (0,5 point). Le PIB à prix courants a connu une progression de plus de 30%, sous l'effet de la fortehausse du déflateur du PIB (24,2%). En effet, le PIB à prix courants s'élève à 1 911,1 milliards de
FBU en 2008 contre 1 467,2 milliards de FBU en 2007. Cet accroissement a également induit un relèvement de 28% du PIB par habitant qui se situe à 235 938 Fbu en 2008 contre 184 477 FBU en 2007, pour une population estimée à 8,1millions d'habitants. Exprimé en dollars américains, le PIB par tête progresse de 29 dollars entre
2007 et 2008, soit 199$ en 2008 contre 170$ en 2007, pour le taux de change de 1185,7 FBU
pour 1 dollar américain. En dépit de cette augmentation du PIB par tête, la forte inflation enregistrée en 2008a contribué à grever le niveau de vie des ménages. Cette évolution des prix à la consommation
est principalement liée à la flambée des cours des produits pétroliers sur le marchéinternational, à l'insuffisance de la production nationale, à la dépréciation du franc burundais,
etc. L'économie burundaise tient beaucoup au secteur primaire qui occupe 90% de la population totale et qui génère plus de 80% des recettes d'exportation. Sa part dans le PIB va en diminuant au profit du secteur tertiaire qui, lui est en ascension surtout grâce aux services marchands. Le secteur primaire occupe actuellement moins de 40% dans le PIB (33,4%), à prix constants de 2007, contre 41,7% du secteur tertiaire. Quant au secteur secondaire, il est resté stable avec un poids d'environ 16% du PIB réel total. Du côté de la demande, la croissance est tirée par la consommation finale avec une contribution à la croissance du PIB d'environ 9%. La consommation finale reste la principale composante de la demande finale avec un poids dans le PIB réel se situant à 113% en 2008. Acontrario, l'investissement et la demande extérieure nette n'ont pas contribué positivement à
la croissance réelle du PIB. En effet, bien que la FBCF ait connu une croissance en volume de2,5% de 2007 à 2008, cela n'a pas empêché que sa contribution à la croissance du PIB soit nulle.
Aussi, malgré l'augmentation des importations et des exportations au cours de l'année sous revu, la contribution des exportations nettes est négatives (-4%). Le taux de couverture desimportations et des exportations s'est tout de même amélioré, passant de 21% en 2007 à 29%
en 2008. La supériorité de la consommation finale par rapport au PIB est expliquée par le fait que les burundais consomment beaucoup plus qu'ils ne produisent (insuffisance de la productionintérieure) et sont donc obligés de faire recours aux importations, malgré le faible poids des
exportations dans les échanges extérieurs, d'où la balance commerciale est toujours déficitaire.
8 Tableau 1.1 : Equilibres Ressources - Emplois (en milliards de Fbu) 2007aux prix de 2007 % 2008 aux prix de % prix% valeur
2008 aux
prix de 2008PIB1467,2 4,90%1539,1 24,20% 30,30%1911,1
Importations469,2 26,90% 595,4 17,80% 49,50%701,4
Total Ressources1936,4 10,20% 2134,5 22,40% 34,90%2612,5Consommation finale des ménages1333,37,90%1369,129,00%39,10%1786,5
Consommation finale de l'administration publique279,59,30%374,63,80%13,40%385,6FBCF217,62,50%223,3 6,40%9,10%237,5
Variation des stocks6,51,01,7
Exportations99,567,30% 166,5 20,90% 102,30%201,3
Total Emplois1936,4 10,20% 2134,5 22,40% 34,90%2612,5Source : ISTEEBU, Comptes nationaux, base 2005 III. Le Produit Intérieur Brut - Optique ProductionIII.1. Structure du PIB par secteur d'activité
L'activité économique burundaise en 2008 est caractérisée par une montée du secteur tertiaire dont le poids dans le PIB réel est de 41,7% contre 40,3% en 2007. Ce secteur est actuellement tiré par les branches " Hébergement, restauration et autres servicesmarchands » ; " l'administration publique », " Commerce », " Banques et assurances » et
" Transports et communication ». Le secteur primaire a, quant à lui, connu une régression de sa part dans le PIB réel en passant de 35,5% en 2007 à 33,4% en 2008. Le poids du secteur secondaire oscille autour de 16,6% du PIB depuis 2005. Ce secteur est tiré beaucoup plus par les industries et la construction , bien que leurs poids dans le PIB restent stables de 2005 à 2008, autour d'une moyenne de 11,3% pour les industries et 4% pour la constrcution. Cependant, on remarque la faible part dans le PIB du secteur " énergie, eau et mines » de l'ordre de 1,3% seulement. Figure 1 : Structure du PIB en volume par secteur d'activité 9Source : ISTEEBU, Comptes nationaux, base 2005
III.2. La valeur ajoutée par secteur d'activité.III.2.1. Secteur primaire
Le secteur primaire a enregistré en 2008 une augmentation de 1,9% de sa valeur ajoutée par rapport à 2007 en termes réels, et cela grâce aux bonnes performancesenregistrées par les branches " Agriculture vivrière » (2,5%), " Agriculture d'exportations »
(52,2%) et " Pêche » (27,5%). Les améliorations au niveau de la branche " agriculture d'exportation » de plus de50,0% en 2008 sont dues principalement à la hausse de la production du café qui est la
principale culture d'exportation. Cette montée vertigineuse est liée au phénomene de cyclicité,
une hausse des prix au producteur suite à une augmentation des prix au marché mondial. La hausse de production de la branche " Pêche » est le résultat des politiques entreprises dans ce secteur pour accroître le rendement, notamment l'augmentation du nombre de bateaux qui passe de 129 unités à 410 unités en 2008, les bonnes conditions sécuritaires, la mise en place des mesures de réglementation des plages par la police de l'environnement et enfin l'introduction de nouveau matériel de pêche conforme aux normes. Tableau 1.2. Taux de croissance de la VA du secteur primaire en %200620072008
Secteur primaire3,2%-9,5%1,9%
Agriculture vivrière-2,60% -4,80%2,50%
Agriculture d'exportation141,0% -52,9%51,2%
Forêt-3,9%3,1% -21,7%
Elevage3,7%-2,4% -30,1%
Pêche56,0% -48,9%27,5%
Source : ISTEEBU, Comptes nationaux, base 2005
III.2.2. Secteur secondaire
Le secteur secondaire a connu des performances en 2008 par rapport à l'année 2007. Eneffet, elle a enregistré un taux de croissance réel de 4,8% par rapport à l'année 2007 et cela
grâce à la branche " construction » (11,7%). Les branches " Industries » et " Electricité, gaz et
eau » ont aussi enregistré en 2008 des taux de croissance réel positifs. 10 Tableau 1.3 : Taux de croissance de la VA du secteur secondaire en %200620072008
Secteur secondaire5,4%8,7%4,8%
Extraction-1,5%-6,0% -28,5%
Industries6,4%3,0%4,6%
Electricité, gaz et eau-18,1% 44,2%2,7%
Construction9,6% 22,3%11,7%
Source : ISTEEBU, Comptes nationaux, base 2005
III.2.3. Secteur tertiaire
La croissance réelle dans le secteur tertiaire enregistrée en 2008 se situe à 6,7% contre16,8% en 2007. Cette chute est totalement imputable aux branches " Commerce » et
" Transport et communication » qui ont enregistré des taux de croissance réel négatifs. Cependant, les activités des banques et assurances ainsi que les services des Hôtels et Restaurants ont connu des améliorations par rapport à l'année 2007 avec des taux de croissance réel respectifs de 21,6% et 12,5%. Quant aux services non marchands, la croissance enregistrée est due d'une part auxservices de l'APU qui ont connu une croissance considérable de leur VA, liée à l'évolution des
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