Guide des marchés publics
du système de passation des marchés publics en Algérie réalisée par réglementation des marchés publics le code civil s'applique dans ses dispositions.
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Code des marchés publics et des délégations de service public prestations à la passation de marchés conclus avec des entreprises de droit algérien ...
6 Le renforcement des capacités un prérequis au bon
Source : adapté de (OCDE 2017[2]). Page 17.
2 Préserver lintégrité du système de passation des marchés publics
8 déc. 2011 Le graphique 2.3 présente l'indice de perception de la corruption en 2017 en Algérie dans les pays de l'OCDE et dans certains pays d'Afrique du ...
3 Transparence et dématérialisation du système de passation des
Améliorer la transparence tout au long du cycle de passation des marchés publics en Algérie est un enjeu majeur pour assurer l'efficacité et la bonne.
Algerie - Loi n°2017-02 du 10 janvier 2017 portant loi dorientation
11 janvier 2017. Loi nA 17-01 du 11 Rabie Ethani modifiée et complétée portant code de la nationalité ... Au titre de la passation des marchés publics
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23 févr. 2017 Présentation du marché algérien - opportunités et secteurs porteurs ... Loi de finance 2017 contrat de distribution et marchés publics.
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Algerie - Decret n°15-247 du 16 septembre 2015 portant
publique et la bonne utilisation des fonds publics les marchØs publics doivent respecter les principes de libertØ d™acc?s à la commande publique d™ØgalitØ de traitement des candidats et de transparence des procØdures dans le respect des dispositions du prØsent dØcret Art 6 Š Les dispositions du prØsent titre sont
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réglementation des marchés publics et des délégations de service public ; Vu le décret présidentiel n° 19-370 du Aouel Joumada El Oula 1441 correspondant au 28 décembre 2019 portant nomination du Premier ministre ; Vu le décret présidentiel n° 21-78 du 9 Rajab 1442 correspondant au 21 février 2021 modifié portant
PRINCIPAL DES SYSTEMES D'INFORMATION ET DE
COMMUNICATION
- SESSION 2017 -Mardi 7 mars 2017
SUJET N° 1
Etude de cas à partir de deux dossiers techniques de trente pages maximum, soumisau choix du candidat le jour de l'épreuve écrite, permettant de vérifier les capacités d'analyse
et de synthèse du candidat ainsi que son aptitude à dégager des solutions appropriées. (Durée : 4 heures - Coefficient 1)Le dossier documentaire comporte 22 pages.
IMPORTANT
IL EST RAPPELE AUX CANDIDATS QU'AUCUN SIGNE DISTINCTIF NE DOIT APPARAITRE NI SUR LA COPIE NI SUR LES INTERCALAIRES.ECRIRE EN NOIR
OU EN BLEU - PAS D'AUTRE COULEUR
SUJETÉTUDE DE CAS
- GESTION DES SYSTEMES D'INFORMATIONSContexte
La direction régionale de la police judiciaire (DRPJ), rattachée à la Préfecture de Police, doit
déménager son siège du 36 quai des Orfèvres vers le nouveau site de la ZAC Clichy-Batignolles (XVIIe arrondissement de Paris).L'édification de ce nouveau siège permettra de regrouper au même endroit les services de la DRPJ,
situés dans de multiples implantations de la capitale (le site du quai des Orfèvres, le site de la rue de
Lutèce, le site du
quai de Gesvres et le site de la rue du Château des Rentiers).Environ 1
700 agents y seront rassemblés ; le bâtiment sera compact, performant et doté
d'équipements modernes, visant à répondre aux besoins opérationnels des services de la DRPJ ainsi
qu'à promouvoir les nouvelles techniques d'investigation.Il permettra de
mieux garantir la confidentialité, la sécurité et la sûreté des procédures et des personnels.En tant que chef du bureau infrastructure et réseau de la direction opérationnelle des services
techniques et logistiques (DOSTL) de la Préfecture de Police, vous êtes nommé(e) chef de projet pour
le déménagement des systèmes d'information et de communication de la DRPJ vers ses nouveauxlocaux. Fonctionnellement, vous êtes placé(e) à la tête d'une équipe en charge de ce dossier.
Votre sous-direction souhaite que le déménagement soit terminé à la fin du premier semestre 2017
afin que la DRPJ puisse y assurer l'intégralité de ses missions à cette échéance. Compte tenu des délais contraints, vous avez déjà fait appel à un prestataire pour l'installation del'infrastructure réseau. Ce dernier vous annonce être dans les délais avec une fin des travaux au
31mars 2017 pour une utilisation opérationnelle au 30 avril.
Une difficulté subsiste
, sollicité tardivement, le service de la Préfecture de Police en charge dudéménagement du mobilier et des archives des différents sites vous indique être dans l'incapacité
d'effectuer cette prestation dans les temps. Acteur majeur de ce déménagement, il vous est donc
demandé de prendre à votre compte cette contrainte afin de la gérer dans les meilleures conditions et
délais.Travail demandé
Votre sous-directeur vous demande de lui rédiger une note argumentée présentant votre plan d'action
et planning associé, en tenant compte de la continuité de service ainsi que des aspects financiers et
RH associés au déménagement, permettant à la DRPJ d'assurer ses missions dans ses nouveaux locaux à la date souhaitée.Dossier documentaire :
Document 1
L'administration change avec le numérique
Source :
-change-avec-le- reseau -interministeriel-de-letat - du 23 décembre 2014 pages 1 à 2Document 2
Déménagement du " 36 » aux Batignolles
Source
: http://www.prefecturedepolice.interieur.gouv.fr/Nous- de -la-police-judiciaire/Demenagement-du-36-aux-Batignolles - du 29 janvier 2015 pages 3 à 4Document 3
Retour d'expérience : " La conduite du changement (déménagement) »Source
demenagement-par-rene-picon-dupre/ pages 5 à 6Document 4
Mobilité choisie ou subie : quelles conséquences de la loi pour les fonctionnaires ?Source
: http://www.connexite.fr/dossier/4021/connexite-magazine-n-15/connexite
consequences-de-la-loi-pour-les-fonctionnaires - du 15 septembre 2009 pages 7 à 8Document 5
Les clés d'un déménagement d'entreprise réussiSource
demenagement-d-entreprise-reussi_54155 - du 9 novembre 2015 pages 9 à 10Document 6
Construire un retroplanning efficace
Source
: http://www;journaldunet.com/management/efficacite- personnelle/conseil/realiser-retroplanning/ - du 13 mai 2008, AurélieFardeau
pages 11 à 12Document 7
UGAP - Union des Groupements d'Achats Publics
Source
:http://www.marche-public.fr/Marches- publics/Definitions/Entrees/UGAP.htm pages 13 à 14Document 8
Organigramme de la direction régionale de la police judiciaire (DRPJ)Source
: http://www.prefecturedepolice.interieur.gouv.fr/Nous- connaitre/Presentation/Organisation -de-la-prefecture-de-police-services- actifs/OrganigrammeDRPJ - Du 7 novembre 2013
page 15Document 9
Détails de l'offre " Déménagement »
Source
:http://www.ugap.fr/catalogue-marche- public/demenagement_13921.html#tab_03 pages 16 à 17Document 10
La direction régionale de la police judiciaire
Source
: http://www.prefecturedepolice.interieur.gouv.fr/Nous- de -la-police-judiciaire - du 24 novembre 2015 pages 18 à 19Document 1
1 Architecture réseaux reliées via le RIE page 20
Document 12
Le vrai coût d'un déménagement
Source
: http://business.lesechos.fr/entrepreneurs/gestion- finance/110851Du 20 janvier 2011, Laurence Boccara
pages 21 à 22Document 13
Organigramme de la Préfecture de Police de ParisSource
: http://www.prefecturedepolice.interieur.gouv.fr/Nous- connaitre/Presentation/Organisation -de-la-prefecture-de-police-service- du -cabinet/Organigramme-general-de-la-prefecture-de-police - du19/01/2017
page 23Document 1
L'administration change avec le numérique
Réseau interministériel de l'État : ses trois grandes missionsIl y a un an, le coeur du réseau interministériel de l'Etat (RIE) était mis en service et le
déploiement du premier périmètre ministériel venait d'être engagé. Depuis, 3 000 sites y ont été raccordés. L'occasion de revenir sur les principaux objectifs de ce nouveau réseau national : limiter les risques liés aux cyber-attaques, faciliter les échanges de données interministériels et mutualiser les infrastructures. Le réseau interministériel de l'Etat (RIE) est un projet symbolique de la modernisation dusystème d'information (SI) de l'Etat. Opéré par le service à compétence nationale (SCN) RIE
et rattaché à la DISIC, au sein du secrétariat général pour la modernisation de l'action
publique (SGMAP), ce réseau national remplacera d'ici à 2017 les différents réseaux exploités
par les 17 ministères. Au total, 17 000 sites sont concernés par cette bascule. 3 000 d'entreeux ont déjà été raccordés (voir encadré). Les gains de cette infrastructure partagée ? Une
seule maintenance, une seule gestion de la sécurité et surtout un seul canal pour échanger des données entre ministères.Vers un décloisonnement interministériel
Ce décloisonnement interministériel était très attendu, en particulier au sein de l'administration
territoriale. Depuis 2010, celle -ci a été réorganisée autour de trois entités :les directions départementales des territoires (DDT) qui regroupent les domaines de l'équipement et de l'agriculture ;
les directions départementales de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCS / DDPP) qui réunissent des périmètres aussi variés que la santé, la jeunesse et les sports, les services vétérinaires et les fraudes ;
enfin, les préfectures et les sous-préfectures.Ces trois entités sont répartie
s sur trois réseaux différents : celui de l'agriculture et de l'écologie pour les directions départementales des territoires, celui de la santé pour les directions départementales de la cohésion sociale et de la protection des populations et celuide l'intérieur pour les préfectures. Entre ces trois univers, les communications sont difficiles et
complexes. C'est précisément cet isolement que le RIE entend briser en facilitant la mise en oeuvre d'applications mutualisées.Faciliter le support informatique en région
A court terme, ce sont les processus de support informatique qui tireront le plus grand parti duRIE. A l'échelle départementale, le service interministériel départemental des systèmes
d'information et de communication (SIDSIC) assure désormais seul la maintenance et l'assistance informatique des directions départementales et des préfectures. Intervenant auprès de trois réseaux informatiques différents, sa mission s'avère a ujourd'huiparticulièrement compliquée. Lorsque l'ensemble des sites sera raccordé, il pourra uniformiser
leur support en généralisant par exemple les logiciels de prise en main à distance pour assister indifféremment les DDT, les DDCS / DDPP et les préfectures. Vers une homogénéisation du parc informatique La gestion de parc informatique profitera de la même dynamique. L'unicité du réseau favorisera la standardisation d'outils de distribution et d'installation à distance pour les applications, les patchs ou les antivirus. L'objectif est de rendre le parc informatique des directions départementales homogène.Ces différentes perspectives sont d'ores et déjà réalisables puisque la quasi-totalité des
directions départementales a été raccordée au RIE. Les préfe ctures devraient suivre le mouvement courant 2015. L'administration centrale bénéficie également de cette logique de décloisonnementinterministériel : le RIE remplace aujourd'hui Ader, le réseau qui interconnecte les réseaux
ministériels existants pour l'échange de données ou l'utilisation de grandes applications partagées (notamment d'ordre budgétaire).Limiter les risque d'attaques
L'autre vocation du RIE porte sur la sécurité des systèmes d'information. Il s'agit de contrer
une cyber-menace de plus en plus prégnante. Aujourd'hui, chaque ministère gère à samanière les interfaces qui ouvrent son réseau sur l'extérieur. En l'occurrence, sur internet et
sur les réseaux de ses différents partenaires. Il existe ainsi autant de façons de gérer les
risques et la sécurité que l'on compte de réseaux. Le RIE offrira aux ministères un accès aux mêmes ressources mais via des interfaces uniques et supervisées par le SCN RIE, en collaboration avec l'agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI). Des interfaces bien moins nombreuses, jouissant d'une sécurité renforcée et par conséquent, offrant une meilleure protection face aux risques d'attaque. La mutualisation du réseau, génératrice d'économies Précisons enfin que le RIE génère des économies significatives. La mutualisation desinfrastructures, l'exploitation et la supervision centralisée ainsi que la négociation de marchés
à l'échelle nationale, feront chuter les coûts d'exploitation du réseau de 30 % en moyenne par ministère (à parc déployé h omogène).Générer des économies de fonctionnement à grande échelle, renforcer la sécurisation de
l'informatique de l'Etat et favoriser le décloisonnement d'applications entre administrations :ces trois grands piliers du RIE font de ce dernier un élément d'infrastructure indispensable aux
chantiers interministériels, actuels ou futurs (messagerie unifiée, rationalisation des datacenters, cloud d'Etat, etc.). En ce sens, il participe pleinement à la stratégie de transformation du SI de l'Etat.RIE : 4 marchés pour raccorder 17 000 sites
Le premier, notifié en août 2013 à l'opérateur Orange, concerne les ministères del'Agriculture, de la Culture, de l'Ecologie, de l'Intérieur, de la Santé et du Travail. D'ici la
fin de l'année 2014, l'ensemble de ce périmètre sera raccordé au RIE, exception faite de l'Intérieur et du Travail dont le déploiement sera achevé courant 2015. Le second marché, notifié en mars 2014 à l'opérateur SFR, concerne principalement les 3 300 sites de la direction générale des Finances publiques (DGFiP), ainsi que ceux de l'INSEE et de l'Administration centrale (SEP). Fin de déploiement : juin 2015. Le troisième marché, notifié en novembre 2014, porte sur les 4 200 sites de la Gendarmerie nationale, pour un déploiement courant 2015. Les quatrième et cinquième marchés seront lancés en 2015 pour les 1 600 sites du ministère de la Justice et les douanes. du 23 décembre 2014Document 2
Déménagement du " 36 » aux Batignolles
Le siège de la direction de la police judiciaire jusqu'à présent situé au 36 quai des Orfèvres
(1e arr.) sera implanté en 2017 dans de nouveaux locaux, sur le site de la ZAC Clichy- Batignolles (17e arr.). Suivez, étape par étape, l'avancée des travaux !27 Janvier 2015 : 3 mois après le début de travaux
Au terme de 16 mois d'études, le chantier du nouveau siège de la Direction de la Police Judiciaire, d'une durée prévisionnelle de 28 mois, a démarré le 1er octobre 2014. Le chantier est réalisé par un groupement d'entreprises piloté par Campenon -Bernard-Construction (CBC), filiale du groupe VINCI. Da
ns un premier temps, l'entreprise CBC aprocédé à la mise en place des cantonnements et à l'enlèvement d'une centaine de mètres
carrés d'enrobés bitumineux amiantés encore présents sur la parcelle issue des anciennes emprises ferroviaires liées au fa isceau de la gare Saint Lazare.Les premières opérations de forage sur 27 m de profondeur, destinées à la réalisation des
parois moulées périphériques en béton armé, ont commencé le 3 novembre 2014 et doivent
permettre la création des 4 niveaux de sous-sol qui se développeront sur la totalité de la surface de la parcelle de 5200 m².
Les parois moulées périphériques constituées de 75 panneaux coulés in situ, viennent d'être
achevées. Les travaux de terrassement d'une durée totale de 3,5 mois démarreront débutfévrier prochain, dès l'enlèvement de la centrale à injection et des ateliers de coulage des
parois moulées. Une première phase de terrassement sur une profondeur de 9 m sera réalisée depuis l'intérieur de la parcelle à partir de la rampe prévue à cet effe t. Pour la phase suivante sur 10 m de profondeur, l'évacuation des terres se fera depuis le niveau de la voirie desservant le chantier.Selon le planning prévisionnel, le démarrage du gros-oeuvre (superstructure) est prévu en mai
2015, et l'intervention de
s corps d'états secondaires début 2016. La démarche de Haute Qualité Environnementale, initiée dès la phase programmation de l'opération DRPJ auprès de l'organisme CERTIVEA a permis après audits, d'obtenir lacertification du droit à l'usage de la marque " NF HQETM Bâtiments tertiaires » de niveau très
bon pour les phases de programme et de conception. L'objectif désormais recherché est de maintenir ce niveau de performance, en phase réalisation.Du 10 au 12 octobre
: Paris BatignollesEn partenariat ave
c Paris Batignolles Aménagement, le Pavillon de l'Arsenal ayant pour mission de contribuer à la diffusion de la connaissance de l'urbanisme et du patrimoine architectural organise pendant 3 jours une manifestation aux Batignolles à Paris (17e arr.). Ce rendez-vous aura lieu dans le parc Martin Luther King situé dans la ZAC Batignolles, les10, 11 et 12 octobre 2014. Il a pour objectif de faire découvrir et valoriser auprès du plus large
public ce secteur en pleine mutation en présentant les premières réalisations celles en cours
et à venir. La préfecture de police, en tant que maître d'ouvrage, a souhaité s'associer à cette manifestation. Elle présentera le projet du nouveau siège de la direction de la police judiciaire qui seraconstruit à proximité immédiate du futur palais de justice, afin de former la nouvelle cité
judiciaire des Batignolles.1er octobre : démarrage des travaux
Les travaux commencent pour le nouveau siège de la direction de la police judiciaire sur le site de la ZAC Clichy-Batignolles (17e arr.).Le chantier à réaliser par un groupement d'entreprises piloté par CBC, filiale du groupe VINCI,
est d'une durée prévisionnelle de 28 mois. Le bâtiment sera livré début 2017 pour une mise en service progressive au cours du 1 er trimestre 2017. Ce futur bâtiment regroupera les services non territoriaux de la police judiciaire parisienne,éclatés actuellement sur 4 implantations : le 36 quai des Orfèvres, le 3 rue de Lutèce, le 12-14
quai de gesvres, et le 126 rue du Château des Rentiers (13ème arrondissement).Le projet prévoit une surface de plancher 32
500 m2 répartis sur 10 niveaux en
superstructure, et 16100 m² de stationnement sur 4 niveaux de sous-sol.
Environ 1
700 agents y seront ainsi rassemblés ; le bâtiment sera compact et performant, et
doté d'équipements modernes, visant à répondre aux besoins opérationnels des services, à
promouvoir les performances et les nouvelles techniques d'investigation. Il permettra degarantir la confidentialité, la sécurité et la sûreté des procédures et des personnels.
Par ailleurs, il bénéficiera d'une certification NF Bâtiments tertiaires associée à la démarche
HQE (Haute qualité environnementale).
police/La du 29 janvier 2015Document 3
Retour d'expérience : " La conduite du changement (déménagement) » par René Picon-Dupré En tant que DRH, j'ai eu à accompagner le déménagement d'environ 5000 personnes vers
un site situé en banlieue parisienne, où devaient être regroupés des services éparpillés
jusque -là dans Paris. Sur le plan fonctionnel et organisationnel donc, un changement plutôt positif puisque créant des facilités de travail sur le même site, de communication inter- services, de gain de temps et, même d'image. Cependant, le personnel, les syndicats, certains cadres même top niveau se sont montrés très réservés, tant un changement d'habitude, qui de plus impacte le temps de transport, créé par nature un refus et un stress. La première opération a été de convaincre l'encadrement, à tous niveaux, du bien -fondé d'une telle décision, dont la mise en oeuvre a été suivie au niveau du COMEX avec une implication très forte du grand patron. Mais le top d own n'a qu'un temps, et il faut en parallèle associer et convaincre tous les niveaux de la hiérarchie, au minimum que ce n'est pas la fin du monde ni un PSE, mais un changement de lieu de travail avec des avantages (beaucoup) et quelques inconvénients.Afin d'éviter des effets silos et une trop grande perte de temps, il a été décidé de mettre en
place un groupe de réflexion et de suivi, présidé par un de mes proches collaborateurs (pas moi, à chaque fois, même si je venais faire l'ouverture de certaines sé ances, afin de me conserve r une possibilité d'arbitrage) : ce groupe comprenait 3 personnes (et pas plus) de chacune des 6 directions de la structure, nécessairement un cadre supérieur, un cadreintermédiaire et un employé, volontaires si possibles, sinon désignés par leur structure.
Chaque structure, à son niveau, devait relayer les résultats de ce groupe et le COMEX était tenu informé chaque mois des avancées et des difficultés éventuelles.Et les syndicats ? Bien entendu, ils s'étaient mobilisés très vite et il fallait traiter avec eux ;
après avoir hésité à les impliquer dans le groupe précédent, j'ai opté pour un traitement
séparé, d'autant qu'ils appréciaient modérément que nous puissions parler de ce dossier
directement avec des représentants du personnel. J'ai présidé personnellement les réunions
avec les syndicats, afin de garder la main et d'éviter tout risque de demandes ou de promesses inconsidérées.L'un des points importants et qui contribue à la crédibilité et à la détente est l'information. Il ne
faut pas en effet confondre annonce et information (l'annonce ne suffit pas, il fautaccompagner dans le temps) : nous avons créé un site électronique dédié accessible à tous,
personnel et syndicats, qui permettait de passer l'information et de préparer les phases importantes (déménagement notamment). Ce site comportait une FAQ.Il faut également répondre de façon claire à certaines questions, afin de démythifier certaines
idées fausses. C'est ainsi qu'un examen des fichiers m'a permis de montrer que50 % des
agents étaient gagnants en temps de transpo rt, ce qui permet de remettre " certaines pendules à l'heure De même, j'ai pris le risque d'organiser très tôt des visites sur place, y compris avec les syndicats, avant même que les travaux ne soient terminés, et tant le personnel que les syndicats m'en ont su gré. Bien entendu, il ne faut pas refuser d'examiner si des contreparties sont possibles, mais enrestant réaliste. J'ai ainsi refusé catégoriquement la création d'une prime, demandée par les
syndicats, liée au déménagement sur ce site, car rien ne la justifiait sur le plan des contraintes
financières et de telles réponses s'avèrent contre -productives dans le temps le jour où les " anciens » perçoivent ladite prime, et les " nouveaux » ne la perçoivent pas. A contrario, nous sommes convenus de mesure de confort : mise en place de l'horaire variable (contre l'avis de mes collègues qui craignaient une désorganisation des services, conciergerie, DAB, marchand de journaux, 3 cantines de niveau x différentes, installations sportives), et le summum, nous avons même obtenu du STIF le détournement de 2 lignes bus pour desservir au plus près les portes du site. Enfin, une fois l'opération terminée, on peut maintenir quelques temps les groupes, mais ilfaut avoir s'arrêter et entrer dans sa nouvelle vie, afin d'éviter que tout nouveau problème ne
soit rattaché à cette opération.René Picon
-DupréAncien DRH au ministère de la Défense
Membre d'honneur du comité de pilotage et d'organisation du Club Dé ciDRHDocument 4
Mobilité choisie ou subie : quelles conséquences de la loi pour les fonctionnaires ? La loi sur la mobilité est parue au Journal officiel le 6 août dans un calme relatif, après plusieurs mois de débat virulent. En cause notamment, l'article 7 du projet de loi qui autorisela " mise en disponibilité d'office » d'un fonctionnaire, sous certaines conditions. " Démolition
sociale », " droit à licencier les fonctionnaires », " réduction de l'engagement de l'Etat »,
" une loi contraire aux intérêts des fonctionnaires » : la loi relative à la mobilité des
fonctionnaires a essuyé, lors de son adoption, le feu des critiques des syndicats. Un article dela loi a mis le feu aux poudres : l'article 7, relatif à la réorientation des fonctionnaires de l'Etat.
" En cas de restructuration d'une administration de l'Etat ou de l'un de ses établissements publics administratifs, le fonctionnaire peut être placé en situation de réorientation professionnelle dès lors que son emploi est susceptible d'être supprimé», dispose la sous-
section 3 de l'article 7. Cette réorientation professionnelle s'achève lorsque le fonctionnaire a
retrouvé un poste. Jusque -là tout va bien... Mais lorsque le fonctionnaire a refusé successivement " trois offres d'emploi public fermes et précises correspondant à son grade et à son projet personnalisé d'évolution professionnelle, et tenant compte de sa situation defamille et de son lieu de résidence habituel. Dans ce cas, il peut être placé en disponibilité
d'office ou, le cas échéant, admis à la retraiteUne mobilité contrainte
Une mesure jugée inadmissible par les syndicats qui dénoncent la fin de la garantie de l'emploi public. Pour Jean -Claude Mailly, secrétaire général de Force ouvrière, cette disposition menace le " principe de neutralité et de continuité du service public ». Du côté de la FSU, on estime que l'article 7 " remet implicitement en cause la garantie de l'emploi qui constitue un principe fondamental du statut général de la fonction publiquePour Anne Baltazar, secrétaire générale de la fédération générale des fonctionnaires FO,
cette disposition met en place une " contrainte » de mobilité auprès de l'agent public de l'Etat.
Elle rappelle cependant que la possibilité de licencier un fonctionnaire n'est pas unenouveauté. Elle existe déjà dans les statuts de la fonction publique territoriale, qui autorise le
licenciement d'un agent public ayant refusé un poste qui lui est proposé, pour nécessité de
service par exemple. Une procédure qui n'était jusqu'alors presque jamais utilisée, selon Anne
Baltazar. Elle craint que la nouvelle mesure introduite par la loi le soit, quant à elle, beaucoup
plus, mettant en cause la politique d'économie et de redéploiement des fonctionnaires menée par le gouvernement.Quelle réorientation ?
Si l'article 7 a suscité un véritable débat public, les fonctionnaires ne se sentent pas tous
menacés par la mesure. " Si les trois propositions de postes tiennent réellement compte de la situation professionnelle, géographique et familiale, il n 'y a pas de raisons de s'inquiéter », estime Nicolas Grellier, attaché au ministère de la Justice. Sur le papier, les mesures de réorientations d'un fonctionnaire, dont le service est en restructuration, semblent garantir un emploi satisfaisant. " Concrètement, cela va sans doute être difficile de trouver un poste decatégorie A qui correspond à la fois au projet professionnel, à la situation familiale et au grade
de l'agent », relativise-t-il. Quels sont les critères permettant de juger qu'une proposition d'emploi correspond au projet professionnel de l'agent ? Cette difficulté, Anne Baltazar la perçoit également et émet " des doutes sur la bonne gestion de ce dispositif, sachant qu'il y a une vraie volonté politique de réduire les effectifs de fonctionnaires ».Faire sauter les verrous
La mobilité n'a pas que des mauvais côtés, les détracteurs du projet le reconnaissent eux-
mêmes. La création du droit au départ en mobilité est considérée comme une avancée. Les
premiers articles de la loi, qui définissen t les conditions d'intégration des agents dans d'autrescorps et cadres d'emploi n'ont pas été très médiatisés. Ils introduisent cependant des
nouveautés en matière de mobilité, tel l'article 1, qui ouvre la possibilité à un fonctionnaire
d'être intégré, à la suite d'un détachement, dans le corps ou le cadre d'emploi où il a effectué son détachement.On peut citer également l'article deux qui détermine les conditions de l'intégration directe d'un
fonctionnaire, qui en fait la demande, dans un corps ou cadre d'emploi similaire à celui d'où il
vient. L'article 3 permet aux militaires qui le souhaitent d'accéder aux trois fonctions publiques
dans le cadre d'une procédure de mobilité. L'objectif affiché d'emblée par ces tro is premiers articles est clair : il s'agit de rendre réellement possible la mobilité, en faisant sauter un maximum de verrous. Anne Baltazar le reconnaît : " avant la loi, demander un détachementétait difficile, l
es procédures étaient complexes ». Intérim, contractuels et ouverture du concours interne Alors mobilité oui, mais pas question de toucher aux statuts du fonctionnaire ! C'est plus ou moins le credo repris par les syndicats de la fonction publique au moment du vote de la loi.Car au
-delà du fameux article 7, la généralisation du recours au non titulaires, la possibilité de
recourir à l'intérim, l'ouverture du concours interne aux ressortissants communautaires (y compris ceux du secteur privé) sont des dispositions considérées par les représentants syndicaux comme autant de menaces sur la fonction publique. Faut-il pour autant en conclure que la fonction publique glisse dangereusement vers le secteur privé ?Du côté des jeunes (et futurs) fonctionnaires, on considère la situation avec plus de calme.
Telle cette jeune non titulaire de 28 ans, dont le contrat d'un an vient d'être renouvelé à la
direction des affaires culturelles d'une ville de banlieue parisienne. " L'intérim, les collectivités territoriales y ont déjà recours dans une certaine mesure aujourd'hui », souligne-t-elle.quotesdbs_dbs50.pdfusesText_50[PDF] code des marchés publics algérie 2016 en arabe pdf
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