Annual information form
des distributions de revenu net et de gains en capital nets du Fonds date d'évaluation à la principale bourse de valeurs où ce titre est négocié.
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10 juil. 2022 Le poids de l'intermédiation dans la distribution des fonds français ... mars 2022 avant d'arrêter en juin les réinvestissements des titres.
La diversification des sources de financement du secteur du
2 mai 2019 distribution des coupons et le temps passé par les équipes sur la notation et ... un régime fiscal adapté dans le cas des fonds de logement ...
Introduction et transmission dun document dinformation sommaire
8 déc. 2016 dans le prospectus de ce fonds négocié en bourse (FNB). ... Régime de réinvestissement des dividendes – paragraphe 1 de la rubrique 2 de la.
Rapport sur les frais et commissions à la charge de linvestisseur
9 oct. 2002 financière de fonds d'investissement et en quatrième pour l'ensemble des ... encore sur le régime de distribution des produits d'épargne.
Réglementation et instructions générales
18 juin 2015 sommaire obligatoire pour les fonds négociés en bourse ... projet de régime d'information au moment de la souscription en ce qui concerne ...
Construire un avenir meilleur et plus lumineux
16 déc. 2020 de distribution d'électricité de l'Ontario ... Hydro One Inc. sont inscrits à la Bourse ... Placements Vanguard Canada et ancienne.
fondsnei prospectus simplifié daté du 25 juin 2021
25 juin 2021 Un Fonds peut investir dans des fonds négociés en bourse (un « FNB ») qui ... réinvestissement de distributions) et tous les échanges ...
STRUCTURE ET DIVERSITÉ DES MODÈLES ACTUELS DE
faut le souligner : les professions de foi long-termistes de dirigeants de grands fonds les politiques d'engagement responsable des investisseurs
18 juin 2015
18 juin 2015 115 Loi sur la distribution de produits et services financiers
Achevé de rédiger le
30 juin 2022
Cette étude a été coordonnée par la DivisionÉtudes, stabilité financière et risques de l'Autorité des marchés financiers, et rédigée par les
personnes citées en dernière page. Elle repose sur l'utilisation de sources considérées comme fiables mais dont l'exhaustivité et l'exactitude
ne peuvent êtregaranties. Sauf mention contraire, les données chiffrées ou autres informations ne sont valables qu'à la date de publication
durapport et sont sujettes à modification dans le temps. Toute copie, diffusion et reproduction de cette étude, en totalité ou
en partie, sont soumises à l'accord exprès, préalable et écrit de l'AMF. - 3 -SOMMAIRE
SYNTHÈSE ....................................................................................................................................... 5
1. FINANCEMENT DE L'ÉCONOMIE - MACRO-FINANCE ..................................................................... 9
1.1. Les tendances ......................................................................................................................................... 10
1.2. Les risques .............................................................................................................................................. 21
2. ORGANISATION DES MARCHÉS ET INTERMÉDIATIONS ................................................................ 33
2.1. Marchés actions ...................................................................................................................................... 34
2.2. Marchés obligataires .............................................................................................................................. 40
2.3. Marchés derivés...................................................................................................................................... 42
2.4. Marchés de matières premières ............................................................................................................. 46
2.5. Marchés des crypto-actifs....................................................................................................................... 57
3. GESTION D'ACTIFS ..................................................................................................................... 69
3.1. Bilan de l'année 2021 pour la gestion collective mondiale ..................................................................... 70
3.2. Répartition du marché en Europe ........................................................................................................... 71
3.3. Focus sur les fonds français ..................................................................................................................... 72
3.4. Le poids de l'intermédiation dans la distribution des fonds français - Focus sur l'assurance ................ 82
3.5. Les outils de gestion de la liquidité des fonds français ........................................................................... 84
3.6. Le levier dans le cadre du reporting AIFM ............................................................................................... 86
3.7. Private equity et private debt : l'essor se poursuit, les valorisations posent question ........................... 88
3.8. Les ETF asseoient leur rôle au cur de la gestion d'actifs ...................................................................... 95
4. L'ÉPARGNE DES MÉNAGES ........................................................................................................ 101
4.1. L'épargne reste élevée en 2021 ............................................................................................................ 102
4.2. Focus sur la détention d'OPC via l'assurance-vie .................................................................................. 106
4.3. Les investisseurs particuliers restent très actifs en bourse ................................................................... 107
4.4. Émergence des néo-brokers .................................................................................................................. 110
4.5. Certains épargnants sont vulnérables aux arnaques financières .......................................................... 117
4.6. Produits structurés : des produits innovants porteurs de risques en forte expansion en France
et auxÉtats-unis .................................................................................................................................... 118
LISTE DES ACRONYMES ................................................................................................................ 123
LISTE DES GRAPHIQUES ................................................................................................................ 125
LISTE DES TABLEAUX .................................................................................................................... 127
LISTE DES ENCADRÉS .................................................................................................................... 127
- 4 - - 5 -SYNTHÈSE
- 6 -Après une embellie en 2021, l'environnement des marchés financiers s'est dégradé sous l'effet conjugué de
l'invasion de l'Ukraine par la Russie et de la résurgence du risque sanitaire en Chine qui détériorent les
perspectives de croissance et accentuent le s tensions inflationnistes.2021 a confirmé la sortie de crise accompagnée d'un retour des introductions en bourse, des niveaux des
valorisations d'actifs record, une persistance du regain d'appétit des particuliers pour l'investissement en bourse
et un dynamisme renouvelé de la gestion collective. L'inflation contenue, maintenant des taux réels à des niveaux
négatifs, soutenait le financement des États et des entreprises. L'invasion de l'Ukraine par la Russie, a sonné le glas
de cette période très favorable et profondément altéré les économies et les systèmes financiers.
Les marchés de matières premières (énergie, grains, métaux) ont constitué le premier vecteur de tension. Le poids
conséquent de la Russie et de l'Ukraine sur des marchés qui étaient déjà sous pression fin 2021, s'est traduit par
une remontée des cours multipliés par deux voire trois durant les premières semaines du conflit. Conséquence
immédiate de cette volatilité, les appels de marge ont atteint des niveaux inédits pour des participants d
e marchésessentiellement non financiers, faisant peser le doute sur leur capacité à les honorer, comme en a témoigné la
première fermeture du marché du Nickel en 145 ans d'existence et l'annulation de l'ensemble des transactions
réalisées le 8 mars 2022.La persistance d'une inflation élevée pousse les banques centrales à accélérer la normalisation monétaire et
marque la fin de l'environnement de taux bas.L'inflation a atteint des niveaux records : + 8,6 % sur un an aux États-Unis et + 8,1 % dans la zone euro en mai 2022.
Hors énergie et alimentation, elle s'établit à 3,8 % en zone euro et atteint même 6 % aux États-Unis. Ces niveaux,
laissant craindre une évolution durable substantiellement au -dessus de l'objectif des 2 %, ont poussé les banquescentrales à accélérer la mise en uvre de la normalisation monétaire en actant la fin des mesures
d'assouplissement quantitatif, par la fin des achats nets d'actifs, et de la politique de taux extrêmement bas. Ainsi,
après deux hausses des taux directeurs initiées par la Réserve fédérale américaine (Fed) dès le début de l'année
2022, et une troisième hausse historique de 75 points de base (pb) annoncée en juin 2022, la Banque centrale
européenne (BCE) a également été conduite à modifier sa stratégie et annoncer deux hausses de taux, 25 pb en
juillet et au minimum 25 bp en septembre, en plus de l'arrêt du programme d'achats d'urgence pandémiqueannoncé au printemps (avec toutefois, le maintien du réinvestissement intégral des tombées qui permet le
maintien de l'encours global).Les normalisations, dont le durcissement est anticipé par les marchés, se sont immédiatement traduites par une
remontée des taux nominaux : l'écart entre les taux souverains à 10 ans italien et allemand s'est ainsi sensiblement
creusé, pour atteindre 250 pb à la mi-juin 2022, soit plus du double du niveau qui prévalait à la mi-2021, reflétant
les craintes d'une fragmentation des conditions de financement au sein de la zone euro. L'annonce par la BCE d'une
souplesse dans le réinvestissement des actifs acquis dans le cadre du programme d'achats ainsi que la conception d'un nouvel instrument anti-fragmentation a permis à ce stade de détendre les marchés.Au regard des niveaux de prix sur certains marchés et des excès d'endettement, le risque de correction abrupte
des marchés demeure la principale vulnérabilité.Les prix d'actifs ont connu une correction sensible depuis le début d'année 2022 : fin juin 2022, le CAC 40
(dividendes réinvestis) a perdu près de 15 % par rapport à son niveau de fin 2021, mais les prix restent volatils et
les valorisations demeurent élevées sur certains segments. Les corrections ont notamment affecté les marchés de
crypto-actifs qui ont connu de fortes turbulences durant les premiers mois de 2022, comme l'ont par exemple
montré la chute du Bitcoin, qui a perdu plus de la moitié de sa valeur, et la disparition du " stable coin » Terra Luna.
La prolongation du conflit ukraino
-russe, les perturbations renouvelées des chaînes d'approvisionnement du faitde reconfinements en Chine, la persistance d'une pénurie de main-d'uvre, sont autant de facteurs additionnels
- 7 -qui laissent craindre de nouvelles corrections à venir. Leur impact serait, en particulier, sensible au degré de
dépendance des pays et des secteurs économiques aux cond itions prévalant sur les marchés de matières premièresainsi qu'aux anticipations des marchés concernant la sévérité et le rythme des normalisations monétaires et, le cas
échéant, budgétaires à venir.
Les excès de dette se sont de nouveau accrus en 2021. Les émissions obligataires sont restées très dynamiques etont fait preuve d'une bonne résistance durant les premiers mois de 2022, malgré la détérioration de
l'environnement macro-financier. Ces excès s'observent sur le segment des dettes souveraines. Les États ont, de
fait, pu financer des politiques budgétaires et fiscales atténuant les effets de l'inflation. Sur le segment de la dette
privée, l'endettement a bénéficié aux entreprises les mieux notées, et a favorisé un recours aux prêts à effet de
levier.L'année écoulée a, de fait, confirmé le développement de la finance à effet de levier dont les encours, également
tirés par l'essor des fonds de capital investissement ont atteint des niveaux semblables à ceux atteints avant la
crise de 2008. Plus rapide qu'anticipée, la remontée des taux directeurs pourrait ramener les taux réels en territoire
positif et menacer fortement la capacité de remboursement de nombreux émetteurs, remettant en question leur
solvabilité dans une période où la forte hausse des coûts de production génère déjà d'importantes compressions
des marges.Grâce à des expositions à la Russie très limitées, les fonds d'investissement français n'ont pas subi, dans leur
ensemble, de vagues massives de rachats comme ce fut le cas pour les fonds monétaires lors de la crise sanitaire.
Les baisses d'actif net observées début 2022 ont plutôt résulté d'effets de valorisation consécutifs à la chute des
cours boursiers. Les niveaux de levier observés pour les fonds d'investissement alternatifs demeurent limités et ne
nécessitent pas la mise en uvre effective de l'article 25 d de la directive sur les gestionnaires de fonds alternatifs
(AIFMD) qui permet désormais aux autorités compétentes de plafonner le levier en cas de prise de risques
excessive. Les fonds monétaires continuent d'afficher des coussins de liquidité supérieurs aux exigences réglementaires, et sont d'autant plus importants que la taille du fonds est élevée. Ces facteurs de résilience
pourraient cependant être significativement affectés par la hausse des taux d'intérêt qui s'annonce. Elle aura
nécessairement un impact sur la valorisation des titres en portefeuilles et pourrait donner lieu à des réallocations
importantes. Cela pourrait affecter en particulier les fonds obligataires, dont la duration s'est accrue ces dernièresannées, dans leur quête de rendement ; ou encore les fonds immobiliers, en cas de baisse de prix, par exemple de
correction des prix de l'immobilier commercial. Le développement prononcé de la gestion passive, des fonds
cotéssur indices (ETF) obligataires notamment, s'accompagne d'une concentration des encours par un nombre limité de
produits. Certains segments pourraient être vulnérables aux chocs de marché, ou les propager à travers les
marchés.Enfin, les infrastructures de marché se sont révélées résilientes malgré les turbulences de début d'année ou
l'occurrence d'événements fortuits comme le flash crash du 2 mai 2022, provoqué par une erreur de saisie d'unordre par un participant au marché. Le déclenchement du conflit par la Russie génère toutefois de nouvelles
craintes quant à de possibles cyber-attaques, à défaut d'une matérialisation caractérisée de ce risque à ce stade.
Les comportements d'épargne et sa réorientation vers les fonds propres des entreprises constitueront un
véritable défi dans un environnement de taux plus élevés.L'épargne des ménages français est restée très élevée en 2021 et traduit avant tout un comportement de
précaution : les dépôts et détentions de liquidités y restent prédominants. Toutefois, la recherche de rendement
des investisseurs perdure voire s'exacerbe sur certains segments - au risque de corrections brutales des prixd'actifs. L'assurance-vie, qui concentre l'essentiel de l'investissement financier des ménages (hors dépôts et
liquidités), expose pour moitié, via les contrats en unités de compte, les assurés aux risques des marchés d'actions
et d'obligations, et de façon croissante à des actifs illiquides (immobilier, etc.). Les particuliers ont par ailleurs
confirmé le regain d'activité observé durant la crise covid. En effet, depuis 2020, le nombre de français réalisantau moins une transaction par mois a presque doublé. L'offre des néo-brokers, a notamment favorisé l'émergence
- 8 -d'une catégorie d'investisseurs plus jeunes, leur donnant également accès à des produits et services moins ou pas
régulés (marchés étrangers, crypto, fractions d'actions, etc). Par ailleurs, les signalements et réclamations pour
escroqueries à l'investissement continuent de se multiplier (notamment sur les cryptos-actifs et les devises) et
touchent un public toujours plus large - jeunes, personnes âgées, petits épargnants, etc.Le financement de
la transition énergétique, qui implique un investissement long et de faible rentabilité, pourrait également être impacté par la hausse des taux.Depuis le début de la crise sanitaire, le marché des obligations durables est apparu très bien orienté. En 2021, le
doublement des émissions d'obligations vertes et l'émergence des sustainability-linked bonds ont permis de lever,au niveau mondial, près de 950 milliards d'euros. La hausse des taux d'intérêt pourrait néanmoins freiner ces
développements. En effet, la transition énergétique exige des investissements significatifs sur des horizons très
longs et de rentabilité financière souvent faible. Si l'environnement de taux bas pouvait inciter à investir sur des
projets plus longs, un environnement inflationniste avec des taux plus élevés pourrait rendre ces investissements
plus difficiles à financer car moins attractifs.Description des risquesNiveau mi-2021Niveau mi-
2022Perspectives
20231. Relèvement des primes de risque, fragilisant les acteurs endettés ou ayant des actifs dont
les prix, ne reflétant pas leurs données fondamentales, pourraient être brutalement corrigés
Niveaux de valorisations élevées avec primes de risque très faibles, malgré la correction de
début d'année Des marchés de matières premières qui demeurent tendus sans perspective de résolution du conflit à court-terme2. Manque de coordination internationale des politiques
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