Les enfants de Jebel Irhoud
7 iun. 2017 Les enfants de Jebel Irhoud. UNE EQUIPE INTERNATIONALE DECOUVRE LES PLUS ANCIENS HOMO SAPIENS. A JEBEL IRHOUD AU MAROC.
LETTER
The age of the hominin fossils from Jebel Irhoud. Morocco
New fossils from Jebel Irhoud (Morocco) and the Pan-African origin
34 Irhoud (Morocco) and interpret the affinities of the hominins from this site with Jebel Irhoud (Maroc) dans son contexte arch?logique.
LEttER
New fossils from Jebel Irhoud Morocco and the pan-African origin of Homo sapiens. Jean-Jacques hublin1
New fossils from Jebel Irhoud Morocco and the pan-African origin of
8 iun. 2017 In 1960 mining operations in the Jebel Irhoud massif 55 km south- east of Safi
Recent Human Evolution in Northwestern Africa
the Jebel Irhoud cave 55 km southeast of Safi (Mor- occo). The site belongs to the upper part of a d'enfant mousterien (Homo 4) de Jebel Irhoud (Maroc).
A Jbel Ighoud Youssoufia
19 apr. 2018 l'histoire d'« Homo sapiens de Jbel. Ighoud Maroc». Le site de Jebel Irhoud se situe à environ 70 kilomètres au Sud Est de Safi.
Evidences et questions à propos des premiers peuplements de l
14 iul. 2005 L'EXTREME MAGHREB : L'EXEMPLE DU MAROC ATLANTIQUE ... ENNOUCHI E. 1963 - Les Néanderthaliens du Jebel Irhoud (Maroc). C.R.Acad.
The relevance of late MSA mandibles on the emergence of modern
New fossils from Jebel Irhoud Morocco and the pan-African origin of Homo sapiens. Nature 546
1 COMPTE-RENDU DE LA NEUVIEME RENCONTRE DES
conjointement par l'Association Marocaine pour du Jebel Irhoud et magnifiées par le ... environnementales - au sens large - sur le Maroc.
Une équipe internationale découvre les plus anciens Homo sapiens
1 juil 2018 · 6Le site marocain de Jebel Irhoud est connu depuis les années 1960 pour ses découvertes de restes humains et ses outillages du « Middle Stone
[PDF] Les enfants de Jebel Irhoud - Collège de France
7 jui 2017 · Le site marocain de Jebel Irhoud est connu depuis les années 1960 pour ses découvertes de restes humains et ses outillages du « Middle Stone Age
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18 avr 2018 · Le site marocain de Djebel Irhoud où les fossiles ont été trouvés marque un nouveau jalon dans l'histoire humaine la plus récente à une
(PDF) Le gisement moustérien du Djebel Irhoud Maroc: précisions
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(PDF) Jbel Irhoud une avancée paléoanthropologi que décisive
PDF The fossilized remains of 5 individuals discovered in the site of Jebel Irhoud are dated around 300 ka These fossils belong to the oldest
[PDF] hesperis decembre 2019indd
“New fossils from Jebel Irhoud Morocco and the pan-African origin of Homo sapiens ” Nature 546 (7657) (2017): 289-92 Hublin Jean-Jacques “Le fémur humain
Les enfants moustériens de Jebel Irhoud (Maroc) comparaison
MOUSTERIAN CHILDREN OF JEBEL IRHOUD (MOROCCO) COMPARISON WITH JUVENILE EUROPEAN NEANDERTALS Summary — While all the juvenile human remains from the European
[PDF] Quaternaire des Plaines et Plateaux côtiers atlantiques marocains
conjointement par l'Association Marocaine pour aspects de la recherche quaternariste au Maroc le site préhistorique du Jbel Irhoud permettent
Le gisement moustérien du djebel Irhoud Maroc - Insap
Fethi Amani - Denis Geraads Le gisement moustérien du djebel Irhoud Maroc : Précisions sur la faune et la paléoecologie Table des matières
MAROCAINS (RQM9) :
Quaternaire des Plaines et Plateaux côtiers atlantiques marocains : Géomorphologie, Préhistoire, Paléo-environnements, 15-17 Novembre 2017. SAFI. MAROC.André Weisrock, Professeur honoraire des Universités, attaché (h.) au MNHN de Paris, HNHP UMR 7194
La neuvième Rencontre des Quaternaristes
Marocains (RQM9
de la toute nouvelle Faculté Polydisciplinaire de Safi, sur le Plateau de Borj Nador, organisée co Départements de Géographie et des Sciences de la Terre de la Faculté Polydisciplinaire de Safi Marrakech). Sous le thème général de " Quaternaire des Plaines et Plateaux côtiers atlantiques marocains : Géomorphologie, Préhistoire, Paléo-environnements », la RQM9 de Safi a offert aux nombreux participants laétudes préhistoriques,
rendues incontournables par la proximité du site du Jebel Irhoud et magnifiées par le retentissement international des rechercheséponyme études paléo-
environnementales - au sens large - sur le Maroc atlantique, qui mobilisent depuis longtemps une essentiellement la réunion de ces deux grands aspects de la recherche quaternariste au Maroc la Faculté de Safi, et les coordonnateurs - lesProfesseurs A. Charif, M. Ayt Ougougdal, M.
Chaibi et M. Ridaoui aidés par un Comité (Figure 1).Fig. 1. Ouverture de la RQM9 à la Faculté Polydisciplinaire de Safi par la Présidente, Mme H. Aït
A. Charif, Coordonnateur.
Cette réussite se traduit dans les chiffres : 220 chercheurs ou auteurs (dont plus de 120 participants venus à Safi et plus de 70 encore à présentations orales et posters (1) ; les contributeurs, à 50,4% Marocains, sont issus J. Wat. Env. Sci. Vol. 3, Numéro spécial RQM 9 (2019) 2 aussi de France (17,3%), Espagne (10,4%),Algérie (8,6%), Canada (2,7%), Allemagne
-Uni, Italie, Etats-Unis, Tunisie, Suisse, Belgique etPays-Bas. On constate donc que non seulement
la RQM remplit sa fonction de réunion bisannuelle des spécialistes marocains, servant notamment de vitrine pour les travaux des nouveaux thésards - particulièrement nombreux cette année - mais communauté scientifique internationale. Devant cette grande richesse, ce compte-rendu se limitera volontairement aux communications et posters réellement présentés à Safi au cours des deux premières " journées-marathons » puis année même sur (2, 3) est probablement pour beaucoup dans la réussite avérée de cette manifestation. Il était donc tout naturel que le Professeur A. Ben Ncer, co-auteur de ces articles, présente le point sur ces inaugurale, puis sur le site lui-même lors de En effet, " les nouvelles précisions obtenues sur le site préhistorique du Jbel Irhoud permettent Homo sapiens ». Celle- temps, " mains (au nombre de 22 à ce jour) étant estimée à 300 000 ans », bien plus que ce qui était connu auparavant (autour de 200 000 ans en Afrique orientale). " SiHomo sapiens subsiste,
elle effectue donc une grande translation vers leNord-Ouest du continent et redonne une
marocain ». Les autres précisions apportées par lithique des couches fossilifères, typique du Paléolithique moyen, et la faune associée, riche en Mammifères, particulièrement du genre Gazella, ce qui implique un climat plus humide palpable, a permis aux participants de mieux se rendre compte de son attractivité, presque au paléozoïques visible à plus de 30 km à la ronde et qui domine la pénéplaine aride des Jebilet occidentales. De mieux comprendre aussi les étapes successives de la découverte, retracées scrupuleusement par A. Ben Ncer, depuis lesFig. 2. Visite du site du Jbel Irhoud : Le
Professeur A. Ben Ncer devant la partie visible
des couches fossilifères (numérotées) du remplissage karstique. La stratigraphie du remplissage de la cavité visible actuellement, les premières fouilles ayant fait disparaître le toit de la cavité et le sommet du remplissage ; les sédiments fouillés visibles consistent en brèches hétérométriques rouges fortement consolidées ; les sédiments inférieurs sont protégés et ne seront découverts que lors pu fournir une part de leur matériel lithique aux achevées à Youssoufia, où Monsieur Mohamed Salem Essabti, Gouverneur de la Province dont -ronde de devenir du site (Figure 3). J. Wat. Env. Sci. Vol. 3, Numéro spécial RQM 9 (2019) 3Mais les communications sur la Préhistoire
ne se sont pas limitées à ce sujet primordial. Si le Paléolithique inférieur a été évoqué dans la communication -P. Raynal et al. sur la spectaculaire mis en évidence deux paléorivages marins (MIS21 et 19 Homo
heidelbergensis/rhodensiensis et de deux techno- encore le Paléolithique moyen au Maroc atlantique : au Nord, une rétrospective des M.A. El Hajraoui) et une attribution au stade isotopique 7 des couches sédimentaires ayant al.) ; toujours au Maroc atlantique, mais plus au Sud, les premiers résultats des fouilles de Bizmoune (A. Bouzouggar & al.) complétées par des (Y. Djellal, outils sur quartzites ; A. Elouafi, coquillages perforés ; F.-Z. Rafi, sources du matériel lithique ; Z. Moubtahij, reconstitution des stables de C et N) ; H. Oudouche, étude du occidentale. Une communication sur le Paléolithique supérieur a déplacé le centre des lamelles de Tamar Hat (L. Sari). LesHolocène ont été fournies
et variées, consacrées notamment à l'anthropoclimatologie qui joue un rôle capital dans les déplacements de populations du Nord- surtout dans le domaine de (B. Ouchaou & al.), la région de Goulimine-Tarjijt (M. Bouajaja & al.) et Assa Zag (A. Ewague & al.). Cette revue des découvertes récentes a abouti à un plaidoyer ardent de M. Hachid pour une re- archéologie rupestre » et pour une révision urgente de sa chronologie. Les temps protohistoriques et historiques ont été illustrés fort brillamment par trois présentations al. sur le patrimoine culturel extraordinairement riche de la -Oued Dahab) où, en 3 ans, 36 nécropoles, plus de 1730 monuments funéraires et 242 dalles gravées ont été répertoriés, les tumuli, bazinas et stèles y présentant une grande variété ; celle de S. Aït AliYahia sur les inscriptions libyques des peintures
rupestres de Grande Kabylie et celle de R. Mahjoubi et al. sur les techniques et matériaux de construction du site antique de Rirha (plaine du Gharb). Encore pourrait-on joindre à cette liste Préhistoire est présente, mais qui sont davantage Comme le libellé du thème général de la RQM9 y invitait, une place importante a été réservée aux travaux sur les paléoenvironnements des plaines et plateaux côtiers atlantiques marocains. Du Nord vers le Sud, on a pu suivre une étude sédimentologique des dépôts récents (holocènes ?) de la vallée du Bou Regreg (M. Jamal & M. Boukhir) ; une mise au point fort utile de D. Lefevre & al. sur les paléorivages deCasablanca Sidi Abderrahmane, où les
recherches menées depuis les années 1990 ont permis de mettre en place une nouvelle chronostratigraphie du Quaternaire atlantique marocain basée sur la reconnaissance préalable, indispensable, des unités morphosédimentaires et de leur agencement ; quatre études très : une reconnaissance générale de sa configuration géomorphologique originale (S. Khouaja & al.),Ouadia & al.), la mise en relation des terrasses
alluviales de ce même oued avec les fluctuations du niveau marin au Quaternaire (M. Ouadia & al.) Ayad & al.) ; plus au Sud ont été présentées trois études préliminaires, les deux premières, géomorphologiques, de la longue côte desChiadma, entre Cap Sim et Oued Tensift (M.
Ouadrim & D. Doghmi) et de la plaine de Guelmim
(H. Atbir & A. Charif), la dernière, sédimentologique, de la lagune de Khnifiss (M. Naaji & al.). Enfin, A. Ouammou & al. ont attiré inversée des industries lithiques du Paléolithique moyen et supérieur au sein des dépôts éoliens et J. Wat. Env. Sci. Vol. 3, Numéro spécial RQM 9 (2019) 4 colluviaux fossilisant le paléorivage du stade 5 (ex-" Ouljien plus en plus forte est portée également à la malacofaune du domaine littoral atlantique, tant sur le plan des déterminations et de la systématique (A. Chakroun) que de son utilisation térien, al.). Une mise au point plus générale concernant Nord dans la vie des populations préhistoriques a été présentée par I. Saafi & al. Les études de la malacofaune terrestre en tant que marqueur climatique sont encore rares au Maroc : celle de F. Segaoui & al. (en moyenne vallée de la Moulouya) montre avec rigueur et précision quelles variations paléoclimatiques on peut ainsi Les falaises vives de Safi, qui sont les plus été oubliées : toutefois, les travaux qui les concernent, comme ceux que nous citons ensuite, régions littorales et sur les processus actuels : les deux aspects sont traités pour les falaises de Safi par M. Ayt Ougougdal & al. ; des études plus techniques et plus ponctuelles obéissent davantage à la nécessité pour les scientifiques de répondre aux questions posées par la montée actuelle du niveau océanique, par la recrudescence des phénomènes exceptionnels (H. Aït Malek & al risques : cartographie par AHP des zones à al.), lyse par SIG du recul de la falaise sud de Safi (C. Nakhcha & al.), impact du recul des falaises atlantiques sur les monuments historiques à Larache, Rabat et Safi (M. Aberkan & H. Zoual). Même si la relation avec la position idente, le bas plateau côtier de Safi est également soumis aux risques al.), dont la cartographie est en cours (O. Boualla & al.). A propos des phénomènes maritimes exceptionnels, M. Aberkan, H. Korchy & al. ontquotesdbs_dbs33.pdfusesText_39[PDF] comment changer le nom d'une association
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