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Les déterminants des décisions de localisation -Les créations de

UNIVERSITE PARIS I - PANTHEON SORBONNE

Institut d'Administration des Entreprises

Ecole Doctorale en Sciences de Gestion Paris I - HEC / ED 118

Equipe de recherche GREGOR / EA 123

THESE présentée et soutenue publiquement le 6 décembre 2004 en vue de l'obtention du

DOCTORAT EN SCIENCES DE GESTION

Par

Bertrand SERGOT

JURY

Directeur de recherche : José ALLOUCHE

Professeur à l'Université de Paris 1 - Panthéon Sorbonne

Institut d'Administration des Entreprises

Rapporteurs : Alain DESREUMAUX

Professeur à l'Université de Lille 1

Institut d'Administration des Entreprises

Isabelle HUAULT

Professeur à l'Université Paris 2 - Panthéon Assas

Suffragants : François BLANC

Professeur à l'Université de Paris 1 - Panthéon Sorbonne

Institut d'Administration des Entreprises

Bertrand QUELIN

Professeur Associé au Groupe HEC

Les déterminants des décisions de

localisation Les créations de nouveaux sites des entreprises françaises de l'industrie et des services L'université de Paris I - Panthéon Sorbonne n'entend donner aucune approbation ni improbation aux opinions émises dans les thèses ; ces opinions doivent être considérées comme propres à leurs auteurs. 1

REMERCIEMENTS

S'il est vrai que le travail de thèse constitue avant tout un exercice solitaire, la présente recherche n'aurait pu aboutir sans le concours de nombreuses personnes autres que son

auteur. La liste de ceux et celles qui ont apporté leur pierre à cet édifice est bien trop longue

pour figurer ici in extenso. Que ceux qui ne sont pas nommément cités n'y voient donc pas le reflet d'une quelconque ingratitude ou d'un oubli de ma part. Mes remerciements s'adressent en premier lieu à José ALLOUCHE. En effet, cette

thèse n'existerait pas s'il n'avait pas accepté de la diriger, malgré le caractère relativement

atypique du sujet dont j'étais porteur. A cette qualité d'ouverture d'esprit, s'ajoute une exigence qui, si elle est synonyme, à court terme, de longues séances de travail, ne peut

qu'être bénéfique à plus long terme. Je peux dire aujourd'hui que les échanges que j'ai eus

avec mon directeur de thèse ont toujours été riches et denses et qu'il a été un guide avisé tout

au long de mon cheminement vers la soutenance. Je tiens également à remercier chaleureusement les membres du jury, Mme Isabelle HUAULT, MM. François BLANC, Alain DESREUMAUX et Bertrand QUELIN d'avoir bien

voulu porter leur attention à ce travail dont ils n'avaient peut-être pas anticipé le volume final.

La mise en place des thèses " Nouveau Régime » laissait augurer d'une diminution du volume unitaire des recherches doctorales soutenues. Une probable incapacité à la concision m'a toutefois amené à dépasser les normes communément admises dans le cadre de ce nouveau

doctorat à l'histoire déjà longue. Je prie donc les évaluateurs de ce travail et les futurs lecteurs

de bien vouloir m'excuser de ce travers. J'adresse également mes remerciements les plus sincères à tous les praticiens qui ont

participé à la partie empirique de la thèse. Ils ont su me convaincre, par le temps et l'intérêt

qu'ils ont bien voulu consacrer à ma recherche, qu'il ne fallait pas désespérer des relations

entre le monde de l'entreprise et le monde de la recherche en sciences de gestion en France. Un tel travail, avec son lot de difficultés, de doutes et de remises en question ne peut se concevoir que dans un environnement propice à sa réalisation. C'est pourquoi je souhaite ardemment rendre hommage à mes parents et à mon frère François pour leur affection, leur

2aide et, quand cela était nécessaire, leur indulgence à mon égard. Ces remerciements

s'adressent également à tous ceux, famille, amis ou relations qui m'ont soutenu par leur présence ou leurs conseils. Je tiens tout particulièrement à exprimer ma profonde reconnaissance à Céline pour sa

patience et sa compréhension, son soutien indéfectible et, de manière plus générale, pour

avoir si bien su m'accompagner sur ce long chemin. A notre nouvelle vie, Céline ! 3

SOMMAIRE

INTRODUCTION GENERALE ............................................................................................5

PARTIE 1 : LA COMPREHENSION DES DECISIONS DE LOCALISATION ET DE

LEURS DETERMINANTS...................................................................................................17

C HAPITRE 1 : DEFINITION ET ENJEUX DES DECISIONS DE LOCALISATION...............................19 C HAPITRE 2 : LES APPROCHES D'INSPIRATION ECONOMIQUE DES CHOIX DE LOCALISATION D 'ENTREPRISES - DES TENTATIVES DE REPONSE A LA QUESTION " POURQUOI LA ? » ...........39 C HAPITRE 3 : INCERTITUDE, INFORMATION ET INSTITUTIONS - DE NOUVEAUX CADRES CONCEPTUELS POUR APPREHENDER LES DECISIONS DE LOCALISATION ..................................81 C HAPITRE 4 : LES APPLICATIONS EMPIRIQUES DES NOUVEAUX CADRES D'ANALYSE DES

DECISIONS DE LOCALISATION

C HAPITRE 5 : LA DELICATE QUESTION DE L'EVALUATION DES RESULTATS DES DECISIONS DE

LOCALISATION

PARTIE 2 : LA PROBLEMATIQUE ET LES CHOIX METHODOLOGIQUES DE LA C HAPITRE 1 : DEFINITION ET TRADUCTION OPERATOIRE DE LA PROBLEMATIQUE RETENUE165 C

HAPITRE 2 : LES CHOIX METHODOLOGIQUES.....................................................................177

PARTIE 3 : LES COMPORTEMENTS DE LOCALISATION DES ENTREPRISES FRANCAISES - LES RESULTATS DE LA RECHERCHE..........................................241 C

HAPITRE 1 : LES CARACTERISTIQUES DE L'ECHANTILLON.................................................243

C HAPITRE 2 : LES CARACTERISTIQUES DU PROCESSUS DE DECISION DE LOCALISATION.......271 C HAPITRE 3 : LES FACTEURS DETERMINANTS DU CHOIX DU LIEU D'IMPLANTATION DU

NOUVEAU SITE A L

'ECHELLE INFRA-NATIONALE..................................................................361 C HAPITRE 4 : LES DIFFICULTES RENCONTREES LORS DE MISE EN OEUVRE DE LA DECISION DE

LOCALISATION

CONCLUSION GENERALE.............................................................................................523

TABLE DES MATIERES...................................................................................................549

4 5

INTRODUCTION GENERALE

" Nous ne délocalisons pas, nous localisons. »

Jean-Martin Folz,

Président du directoire de Peugeot SA

France Inter, journal de la mi-journée du 23 septembre 2004 La citation présentée ci-dessus est la réponse que le dirigeant du deuxième groupe

automobile français a donnée à un journaliste lui demandant si la nouvelle unité de production

que son entreprise construit actuellement en Slovaquie 1 constituait une " délocalisation » 2 d'activités. A l'image de Jean-Martin Folz, il nous paraît indispensable de préciser dés maintenant

que la présente recherche ne porte pas sur les décisions de " délocalisation » mais sur les

décisions de localisation. Sans être totalement disjointes, les réalités désignées par ces deux

expressions sont en effet différentes 3 . Les " délocalisations » constituent néanmoins une

entrée en matière intéressante et, à dire vrai, incontournable, au regard de leur actualité

brûlante. Les " délocalisations » au coeur de l'actualité Journalistes et hommes politiques se sont largement appropriés ce terme. Ils lui ont

conféré une charge émotionnelle qui représente un obstacle à toute tentative de définition

précise. Toutefois, le terme de " délocalisation » est communément employé pour désigner

l'ensemble des opérations par lesquelles les entreprises, à la recherche de coûts d'exploitation

moins élevés, notamment en matière de main d'oeuvre, transfèrent des activités de leur pays

d'origine vers des pays étrangers sans que la destination des biens ou services produits ne change, qu'il s'agisse du marché domestique du pays d'origine ou de marchés étrangers. Par extension, ce terme est également employé pour désigner les opérations d'augmentation de

capacités réalisées par les entreprises hors de leur pays d'origine mais qui sont destinées à

desservir le marché de ce dernier (Arthuis, 1993) 4 . Ainsi défini, le phénomène des

6" délocalisations » n'est pas réellement nouveau. En France, son apparition au premier plan

du débat public peut être datée de l'annonce par la société Hoover en 1993 de la fermeture de

son usine d'aspirateurs de Dijon et du transfert de son activité en Ecosse 5 . Ces

" délocalisations » ont d'abord concerné les activités de production industrielle, en particulier

les activités à fort contenu de main d'oeuvre. Elles touchent aujourd'hui de plus en plus des

activités de services telles que les centres d'appel, la comptabilité ou encore les activités

informatiques 6 . De manière générale, ces phénomènes concernent aujourd'hui l'ensemble de

ce que les géographes qualifient d'activités spécifiques (Manzagol, 1992), c'est-à-dire toutes

celles dont la localisation n'est pas contrainte par la nécessité d'un contact physique direct avec le consommateur final. 7 Ainsi, si les entreprises industrielles ont initié le mouvement, les éditeurs de logiciels sont aujourd'hui particulièrement affectés par ces tendances. La

banalisation croissante des activités de développement informatique, la nécessité d'en mieux

maîtriser les coûts et l'utilisation d'outils de réseau facilitant la gestion de la dispersion

géographique se conjuguent pour expliquer la forte propension des entreprises du secteur à " délocaliser » 8 Les entreprises, des entités localisées et mobiles De manière quelque peu paradoxale au regard de l'étymologie du terme, l'existence

même de " délocalisations » rappelle que les entreprises sont des entités localisées. Nombre

d'entre elles sont même multilocalisées au sens où elles exercent leur activité dans différents

lieux géographiques distincts que nous qualifierons de sites 9 . Beaucoup passent sous silence cette dimension spatiale de l'entreprise, à commencer par les spécialistes en sciences de gestion (Joffre et Koenig, 1985). Pourtant, l'inscription dans l'espace géographique de l'entreprise est consubstantielle de son caractère de communauté humaine. En effet, c'est

Le " near shore » présent dans

tous les discours, Les Echos, 4 avril 2003). 5 Pour une présentation détaillée de ce cas, voir Chanteau (2001), p. 170-172. 6

La CNUCED estime ainsi dans son Rapport sur l'investissement dans le monde, 2004 que le phénomène des

" délocalisations » de services est appelé à connaître un fort développement ces prochaines années, notamment

pour ce qui concerne les activités informatiques (Les délocalisations dans les services ne font que commencer,

Le Monde, 24 Septembre 2004).

7

Le vocable d'" activités spécifiques » désigne l'ensemble des activités de production industrielle ainsi que

toutes les fonctions de services, de la conception au service après-vente, qui y sont plus ou moins directement

liées, qu'elles soient intégrées au sein des entreprises industrielles ou prises en charge par des sociétés de

services aux entreprises spécialisées. Les géographes leurs opposent les activités banales qui correspondent, dans

les grandes lignes, aux services à destination des particuliers (Béguin, 1992). 8 The New geography of the IT industry, The Economist, July 17 th 2003.
9

Les raisons de l'emploi de ce terme ainsi que le sens exact qui lui est conféré seront précisés plus loin dans la

partie 1, chapitre 1.

7précisément " l'attachement des hommes à un territoire

10 [qui] induit l'enracinement des firmes » (Zimmermann, 1995, p. 162). L'idée d'enracinement ne doit cependant pas tromper.

Si les entreprises sont inscrites dans l'espace géographique, cette inscription n'est pas figée

une fois pour toute. Elle est susceptible de modifications. D'ailleurs, les entreprises sont plus

mobiles, c'est-à-dire moins attachées aux lieux géographiques qu'elles occupent à un moment

donné, que les salariés qu'elles emploient. Les choix de localisation, des outils au service de la réduction des coûts ? C'est précisément ce décalage qui est mis en avant dans le traitement, par les médias,

des décisions de " délocalisation ». Il en ressort une représentation de l'entreprise industrielle

ou informatique comme une entité volatile (ou footloose en anglais), voire prédatrice,

modifiant de manière relativement libre la localisation de ses activités au gré des fluctuations

de ses intérêts économiques sans se soucier des conséquences de ses décisions sur les

territoires qu'elle quitte. Dans le contexte actuel, cette mobilité serait favorisée par la baisse

tendancielle des coûts de transport et de communication ainsi que celle des barrières douanières entre états nationaux. Le terme de " délocalisation », dans son emploi courant, est connoté négativement. Ce jugement de valeur implique l'adoption d'un point de vue particulier sur ces pratiques managériales : C'est systématiquement celui du territoire de départ 11 et de ses composantes

(collectivités territoriales, salariés de l'entreprise en poste localement) qui est adopté et les

conséquences, forcément négatives, de ce départ sur l'emploi local qui sont mises en avant.

Toutefois, ce traitement égocentré (Chanteau, 2001) conduit à biaiser l'analyse du réel. En l'occurrence, il occulte le fait que le vocable de " délocalisation » désigne une double

décision de la part de l'entreprise concernée : D'un côté, elle décide, selon les cas, de fermer

ou de ne pas développer une activité préexistante dans un lieu géographique particulier et, de

l'autre, elle décide de la création d'une nouvelle capacité dans un autre lieu géographique,

nettement disjoint du premier. L'angle d'attaque adopté conduit donc à escamoter à la fois le

point de vue du territoire qui bénéficie de l'opération et celui de l'entreprise qui la décide et la

met en oeuvre. L'optique choisie vise avant tout à stigmatiser le conflit existant entre les

intérêts de l'entreprise en question (et de ses actionnaires) et ceux du territoire qui pâtit de la

" délocalisation » (et des salariés éventuellement menacés par l'opération), soulignant par là

8même le comportement bien peu citoyen de la première citée. A de rares exceptions prés, le

bien-fondé de la décision prise n'est cependant pas remis en cause. Ce faisant, on postule la

rationalité économique des décideurs. S'ils ont choisi, typiquement, de transférer certaines

activités vers un pays ou une région où les coûts de main d'oeuvre ou les niveaux d'imposition

sont plus faibles que dans leur localisation d'origine, ce choix ne peut qu'avoir des conséquences bénéfiques sur le niveau de profit de l'entreprise. Les délocalisations obéiraient ainsi à des forces économiques implacables et inéluctables auxquelles les entreprises ne sauraient se dérober sous peine de disparaître purement et simplement. La meilleure expression académique de cette mécanique économique parfaitement huilée se trouve dans le modèle de cycle de vie du produit développé originellement par Vernon (1966). Appliqué aux comportements de localisation d'entreprises, ce modèle pose que, au fur et à mesure qu'un produit progresse le long de sa courbe du cycle de vie, la localisation optimale pour sa production se déplace des pays

développés à la main d'oeuvre qualifiée et relativement chère vers des pays en voie de

développement à faible coût de main d'oeuvre (Hayter, 1997). Dans cette perspective, la localisation acquiert le statut de variable d'action stratégique sur laquelle les entreprises peuvent jouer afin de réduire leurs coûts. Elle n'intervient

cependant que dans le cadre de stratégies purement défensives visant à assurer la survie à

court terme de l'entreprise, ou du moins de certaines de ses activités de production les plusquotesdbs_dbs33.pdfusesText_39
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