[PDF] delInstructionpublique.Ilestconfessionnel2etdivisé subventions etc

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L

GéraudTurcotte

Professeur -CégepJoiiette- DeLanaudière

tière depédagogie.Il y a,enpremierlieu,les écoles normales qui forment lepersonnelenseignantIIy a ensuitelahautedirectiondel'enseignement,le conseil tre, quidéfinissentlesorientationspédagogiquesgé d'écoles qui, eux, sechargentdel'applicationplus niveausupérieur.

Mêmesi cesystèmeseveuthiérar

chisé etcoordonné,iln'endemeurepasmoinsqu'il peutexister desdifférencesd'interprétationdes direc tivesquisetraduisentpar desapplicationsdifférentes dant,l'enseignementde lapédagogiedansles écoles normalesetce queconstatent-ouaimeraientconstater - lesinspecteursd'écoleslors deleursvisitesdes classes,il peutyavoirdes écarts. LeXXesièclequébécoisavuson systèmescolaire cal audébutdusiècle au libéralismeétatiquedes peutsedemandersi laconceptiondel'enseignement, oude lapédagogie,asuivilamêmeévolutionetquel est le rôle joué par lesinspecteursd'écolesdansce processus.Ont-ils été desprécurseurseninsoufflant denouvellesméthodespédagogiquesou ont-ils été plutôtdesagentsréactionnaires,réfractaires àtout

àla remorqued'unmouvementderenouveaupéda

gogique?. Lebutde cetexposéest detenterderépondreà ces multiplesquestions et ce, encentrantnotreétudesur les inspecteurs d'écoles. Eneffet,cesonteux qui, de par leur fonctiond'intermédiaireentreles officiers directives venues d'en haut, sont lesmieuxplacés pour observerl'écartentre lathéorie etlapratique. De

plus, en tant qu'aviseurs pédagogiques, ils étaient àmêmed'imposer auxinstituteursleur propre vision

fiésdans ledomainede lapédagogie,ilssontàmême de réfléchirsurleurpratiqueet de setenir àl'affûtdes progrès de lapédagogiemoderne. Même si cetteétudeestcentréesur le rôle joué parles inspecteurs d'écoles,il n'endemeurepasmoinsqu'on ne peutaborderlaquestiondel'évolutiondes prati quespédagogiquesen isolant lesinspecteursd'écoles des autresintervenants en matière de pédagogie. Onsedoit premièrement de jeter unbrefregardsurl'évo lution de lapenséepédagogiquedanssonensemble et duprogrammed'étudesdes écolesnormalesduQué gogiques et, d'autre part, dans l'application qui en découle et qui seraimposéeauxtitulaires des classes primaires et secondaires.Toutcecinouspermettra d'évaluerlerôledesinspecteurs d'écolesdanslepro cessus d'évolution des pratiques pédagogiques auQuébec.Maisavanttout, ondevralivrer unbrefaper çu des acquispédagogiquesauQuébecdudébutdu XXesiècleainsiquede lafonctioninspectoraleàla mêmeépoque. De1875audébutdes années 1960,lesystèmescolaire québécoisest régi parunDépartementetunConseil en deux secteurspratiquementautonomes. Nos pro posne concernentquele secteurcatholique,sans pour autantvouloirnierl'importancedu secteurprotestant.Le département del'Instructionpubliqueest chargé

de coordonner etd'appliquerdans les commissionsscolaireslesdécisionsdes comités catholiqueet protestantdu Conseildel'Instructionpublique.Ilest aussi

chargéd'émettre des directives auniveaudes programmesd'études, des structures pédagogiques,des

structionpublique.

Mais,comme sonnoml'indique,ledépartementde

l'instructionpublique n'a sous sa juridictionque les écoles publiques, celles régies par les commissions scolaires.Ilfautajouteràcesinstitutionssous contrôle lesécolesnormaleset les écolesménagères.Maislui échappenttoutl'enseignementclassique, universitaire etspécialiséde mêmeque les écoles indépen dantes. Ce n'estdoncpasl'ensembleduréseauscolairequébécoisquiestsous sajuridiction.Telleest donc,en cedébut duXXesiècle,et cejusqu'audébut des années1960,la structure régissant les écolespu bliques. laprofessionenseignante:passeravec succès le ques, ou bien êtrediplôméd'uneécole normale.Au début de cesiècle,les écoles normales ne sont pas légion. Enfait,on neretrouvequedeuxécoles nor- 191
cunede cesdeuxécolespossèdesa section féminine.

filles,dixscolasticats-écolesnormales pour les religieuxtandisquelenombred'écolesnormalespourles

dantqu'unfaiblepourcentagedes effectifs ensei gnants. Au débutduXXesiècle,deuxmanuelsdepédagogie sonttouràtourobligatoiresdans les écoles normales. Le premier estPédagogiepratiqueetthéoriqueàl'usage Ahern,publié en1901et en usage de1901à1916.Il prône unenseignementdes plusclassiques,c'est-à- dire l'assimilation parla répétitiond'unsavoirdéjà construit. Le deuxièmemanuelest celuide MgrF.-X. Ross,Pédagogiethéoriqueet-pratique,publié en1916et Malgré son adéquation aux doctrines pédagogiques d'inspirationcatholique, il a lemérited'introduirela psychologie del'enfantEn effet, Mgr Ross propose que"dans sonenseignement,lemaître(suscite)l'inté rêt del'enfant,(fasse)appel à ses sens, (maintienne) sonattention,(conduise)son apprentissagedu concret àl'abstrait etdusimpleau complexe,(coordonne)les acquis enayantrégulièrementrecours aux procédés cependantpas appliqués dans les écoles normales avant1936. Deuxfaitsrestentàsignaler:la fréquentation des écoles normales se féminise et les diplômés de ces écoles,hommeset femmes,neprésententpaslamajo complémentairesafin dehausserleursavoirensei gnant.C'estenpartiel'oeuvredes inspecteursd'é coles. L'INSPECTORATRUQU6BCCRU DÉBUTDUXXeSI€CL€ Lors de lacréationdu servicede l'Inspectorat auQué becen1851,latâche première desinspecteursd'écoles primairesestde fairerespecterl'impopulairelégisla tionscolaire. Ussontavanttoutdesagentsdepropa gandeet de coercition. La fonctionpédagogiquene sur lesvingt-troispremiersinspecteurs,seulement cinqsontd'anciensinstituteurs.Parmiles autres,nous leurnominationà leurprestige,àleurascendantsur lapopulationainsi qu'àleurpositionpolitique face auxtroublescausés par la"guerredes éteignoirs» 192

A.R.CJActesdo colloque 94

chent davantage sur leurs tâches adrninistratives. Us surveillent aussi de prèsles officiersscolaireslocaux, secrétaires-trésoriers. normaledoiventobtenirun brevetdecapacité.Dans examinateurs. Lesinspecteursd'écolessonttenusde siégerex-qfftciodans lesbureauxde leur district.Cette procéduren'étantpastoujoursfacileà suivre, on dé cerneaux inspecteurs d'écoles le pouvoir d'octroyer auxfuturstitulairesdes brevetstemporaires.Usont blentincompétents.Finalement,ilsdoiventfaire en les prescriptions de la loi relative àl'embauchedes maîtres.

Ces moyenscoercitifsne sont pas la seule arme des

inspecteursd'écolesdanslebutde hausserlaqualité destitulairesdeclasses.L'inspecteur seveutaussiun conseillerpédagogique.Lors de leursvisitesbi-an- nuelles desclasses, les inspecteurs prodiguent de précieux conseilsaux maîtres, conseilsprovenantde leurexpérienced'anciensinstituteurs. Car depuis la

législationscolairede1875,toutcandidatau posted'inspecteurdoitêtreunancienenseignant.Lerègle

mentstipuleque l'aspirantau posted'inspecteur d'écoledoitêtred'au moinsvingt-cinqanset demoinsde

cinquante-cinqans,etdétenirun brevet de capacitéou élémentaire.Le candidat doit posséder cinq années té l'enseignementdepuis plus de cinqans.A ces cri nicipalitésoù lecandidataenseigné.Mais ces conditions nesontpas suffisantes. Lecandidatdoit té catholiquedu conseilde l'Instructionpublique,un examen"satisfaisant sur cesaptitudesàremplirla charged'inspecteur, letouten conformité des règle gueur dans les écoles primaires,modèlesetacadémi fait,cetexamenesttrèsexigeantetpermet,entre au tres, de nesélectionnerquelesmeilleurscandidats. Lesinspecteurs d'écolessontdonc desprofessionnels del'enseignement.Ussontaptesàprodiguer auxmaî-

AJLG/Rctesducolloque94

trèsqu'ilsinspectentdesconseilssur la façond'ensei gner etde parcourir leprogrammed'étude.Usdon classes.Ilsleur procurent aussi des traités depédago gie et lesincitentàs'abonner aux journauxpédagogi ques,telleJournal del'Instructionpublique et l'Enseignementprimaire.Usorganisentdans leur di pédagogiqueetprofessionnel.

Cependant,ungrandroulements'opèrechez lestitu

lairesde classes.Eneffet, lesinstitutrices,quisontde mentsuiteà leuréventuelmariage,pourincompé tenceoutoutsimplementdanslebutd'une capacité.L'inspecteurBeaulieudéploredansunde ces d'instaurerdes conférencespédagogiquesqui"profi connaissentgénéralementpas unmotde lapédagogie etquidirigentleur école toutà fait àl'aveuglette, Sonvoeuest exaucé en 1897par lecomitécatholique duconseil del'Instructionpubliquequi décide de d'écoles parunesérie de quatre ou cinq conférences pédagogiques,étalées surdeuxjours,etréunissantle personnelenseignant d'unemêmelocalité.Afind'ap porterunpeud'uniformitédans cesconférencespé dagogiques, lesurintendantfournità sesinspecteurs lessujetsdesconférences.Aucours desannées,de

1897à 1909,lesconférencesporterontsurl'enseigne

(français,arithmétique,géographie, histoire, etc.),sur donner,surl'organisationde l'école et leclassement desélèves,surl'enseignementintuitif,etc .

Lasituationscolaire

duQuébecde la finduXIXesiècle nel basé sur la mémorisation;unmanquechronique demain-d'oeuvrespécialiséediplôméede ces écoles; le biais desvisitesde classeet des conférencespéda

émergence del'importancede la pédagogie.

L€VIRRG6P€DRGOGIQU€

Ilappartientà Mgr Ross lemérited'avoirintroduitla notiondepsychologiedel'enfantet ce,dès 1916.Il faut sonapparitionofficielle dans leprogrammed'études des écolesnormales'pourgarçons et1938dans les écolesnormalespourfilles.Cet enseignement, autant chez les filles que chez les garçons,tourneautour de trois grands thèmes:lesfacultésphysiques, intellec tuelleset moralesdansle processusd'apprentissage vers une modernisation de laconceptionde la péda gogieauQuébec. Undeuxièmepas est franchidanslesannées1940avec les principesdel'écoleactivetels que développés au Québec par Roland Vinette. Les principes de base suruneattituderéceptivede lasciencetoutefaite du maître»En fait,"l'enfantestvucommeunagentactif etlemaîtrecomme un guide.Ce dernier apourtâche de rendre les savoirsscolairesdésirables pour l'élève en les insérant dans des situationsdynamiqueset attrayantes,enfaisant appel auxexpériencesperson nellesdel'enfantet en suscitant saparticipationactive, spontanée(et)originale»18. Peut-onparlericide"révolution pédagogique»? Quoi

qu'il en soit, on assisteàunerupturede lapédagogiecatholique traditionnelle basée sur la suprématie du

savoirdumaîtrequel'élèvedoitimiter.La connais "constructionà laquellel'individudoitparticiper li brement». gnante. Leprogrammed'étudesdes écoles primaires catholiques avait déjàétéréforméen1923.On passait ducoursélémentaire(4 ans),modèle(2 ans) et acadé mique(2 ans) àuncoursélémentairedesix anssuivi

1929,on décided'ajouterle cours élémentaire supé

rieurdemandanttrois annéessupplémentairesd'é tudes.Notonsqu'onajoute,en1939,uneannée au changéesjusqu'auxannées 1956-1957oùl'onintroduit principes directeurs,nommésplushaut,dans le pro instructionspédagogiquesprécises pourchacune des matières enseignées, accompagnées de notices sur les "méthodeset (les)procédésjugés lesplusrecomman- dables»20.

Cefoisonnementdenouvellesapproches pédagogi

d'étudesdes écolesnormales.Deuxélémentsmajeurs mènentcette réforme:l'émergencede lapsychologie formation professionnelle s'acquiert par le biais de quatredomainesde laconnaissance,enl'occurrencela logie. 193
males. En effet, lesstatistiquesscolaires de1933-1934 nouslaissentvoirquesurles10451titulairesde classes d'écolenormale. En1946-1947,cesontunpeuplus de 50% 1500
gnement. Lesinspecteursd'écolesnepeuventdonc passedéroberdeleurtâche depédagogueambulant. fl)Uneculturedelacompétence laformationet le degrédecompétenceducorps ins pecterai.Hcomptedanssesrangs,en1930,un inspec districtsruraux.

En1952,lenombred'inspecteursde

districtsurbainspasseà27etcelui desdistrictsruraux à 90. En 1960,cesnombressontrespectivementde 37 urbainset 112ruraux;lesinspecteursrégionauxpas sentdehuitàonze. teurs dontnousavonsparléplushaut.Dansson rapportde1943-1944,l'inspecteurgénéralfaitétat des sociales,économiquesetpolitiques, unendroit,unen philosophie,unenpédagogieetunautreen sciences pédagogiqueset enpsychologieexpérimentale.Qua (9),eslettres(3), enpédagogie(3)et enscience-ensei gnementmoderne(1) (certainsenont deux).Quant ajoutefinalement qu'unedizained'inspecteurssui pasd'éloges sursesouailles,etpourcause. Lesinspecteursseper développementsdela sciencepédagogique. 194

A.fi.C/A concerne leslecturesplus"littéraires»,lesécrivainset et Jean-Paul Desbiens(95%),Roland Vinette(92%), André Laurendeau(82%),René Lévesqueet GérardPelletier (80%),LionelGroulx(79%),G.-H.Lévesque etArthurTremblay(77%).Lesinspecteurs complètent égalementleur formation académique ensuivantdes caines,etc.

Paquin

quiproduisentdeslivrestraitant,naturelle d'organisationscolaire,etc. matériel didactique. Onpenseici,entreautres,àl'ins qui consisteen une série deblocspourl'enseignement concretderarithmétique29. Si lesinspecteurscomplètentleurcultureetleurfor mation académiqueindividuellement,deleurpropre cultiverleurcompétence.En effet, lacréation,en1901, de l'Associationdes Inspecteurs d'écoles catholique, congrès où ilsapprennentà se connaître,échangent des idées etdiscutent"sur lesmeilleursmoyensà tion» .On discute, dans les congrèspléniers,des lois nombrede visitesannuelles,desstatistiques,del'hy giène,descertificatsd'études,etc. paraîtreen 1937sous le vocable deCorporationdes Inspecteursd'écolesprimairesde laprovincede Qué becet sous celui del'Associationprofessionnelledes voyage, caisse deretraite,coopérative,etc.),l'APIEC a pourbutd'améliorerle service del'inspectionpar l'améliorationdesesmembres. Un despremiersleitmotivede l'APIEC est lacréation fLILC/Rctesdocolloque94 comptesrendusdes dernières parutions dans le do mainede lapédagogie.

L'APIECestaussiactivedansledomainedelare

cherche enpédagogiepar le biais de soncomitéde recherchespédagogiques,alimentantles séances d'é tudes des congrès.Ce comité s'intéresse,à partir de

1946,àl'orientationscolaire et produira plusieurs

qu'àlapsychologie.

Finalement,l'APIECencouragesesmembresàpersévérer dans leurs étudesacadémiquesenpublicisant,

entreautres,les coursd'été de supervision pédagogi d'orientation31.

B) Lesinterventionspédagogiques

Les interventions pédagogiques que font les inspec teursd'écoles auprèsdupersonnelenseignantàpartirdes années

1930sont sensiblement lesmêmesqu'avant. Elles sont cependant plus fréquentes et plus

ciblées.Lesvisitesdemeurentcequ'elles sont sauf en ce qui concerne la préparation des examens par les inspecteurs. C'est la tâche de l'inspecteur régionalde veiller àcequelesinspecteursruraux sous sarespon sabilité fassent cette préparation. Lesinspecteursré mundes questionnaires uniformes. Ceci permettait d'uniformiserleprogrammed'étudeset de faire dis paraîtrel'enseignementlivresque.Et très tôt, certains objectifs,tel LionelAllard,dès1942,alorsinspecteur

l'assemblée généralede l'Association des inspecteursdemandait au Comité de régie d'appliquer, "à titre

d'essai, dansquelquesmatières, le genred'examens Cesouci de bien évaluerlaprogressiondel'enseigne tudes primaires. Suite auxdemandesrépétéesdusu catholiquemetsur pied un comité de régie des exa menschargéde préparerles questionnairesservantà sanctionnerlesétudes de6eet8eannées.Viennentpar lasuite, en 1939,les certificatspour les 10e,lieet 12e des inspecteurs, dont l'inspecteurgénéral.Ce sont inspecteurs régionaux, qui, tour àtour, lescorrigent. Là encore, en plus de sanctionneruncycled'études, onvoulaitcombattrel'enseignementlivresque. Les questionsétaientposées de façon à ce quetousles élèvespuissentrépondre, peu importe lemanueluti quelamémorisation. Les conférencespédagogiques sont elles aussi deve nues, àpartirde1930,plussystématiques.Leurste nuessontindispensablesvuleroulementdes institutriceset lemanquedeformationdesnon-nor scolaire les directives générales surdifférentsdo mainesreliés àl'enseignement. instaurent,à partir de 1933,des cerclesd'étudesréu tion de l'inspecteur quiparticipele plus souvent possibleàleursdélibérations.Làencore,on y aborde toutes les questions relatives à l'enseignement. Les réunissant5 137membres.En1962, cesont1 445 Deplus,lesinspecteursd'écolescontribuent,de 1937 à1944,dansl'organisationde coursde perfectionne Lesinspecteursd'écolesserontaussiles artisans de l'implantation dunouveauprogramme scolairedes années1940,celuide"l'écoleactive».Le congrèsan nueldesinspecteursde1947,y étaitentièrement teurs»,lesinspecteurssesontdivisésen comitéspour alorsrentréschezeux "bienaucourantdel'espritdu nouveauprogramme,remplisd'enthousiasmeet ani dunouveauprogramme d'études, les inspecteurs é- taientdéjàsensibilisésaux méfaitsde l'enseignement livresaueetprônaientun enseignementpluspragma tique .Eneffet, dèsles années1920,certainsinspec

teurs d'écoles connaissent les principes de l'écoleactiveet prônent leursapplicationsdans le courspri

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