Cas d'un mélange d'un acide fort et d'un acide faible Page 4 3 2 6 Cas d'un mélange de deux acides faibles
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Exemples de réactions de dissolution de bases et d'acides forts : • L'acide acide faible : c'est un acide dont la réaction sur l'eau n'est pas totale base faible
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pKa = -log Ka Plus la valeur de pKa est faible, plus le Ka est grand, plus l'acide est fort 4 Table de pKa http://evans harvard edu/ pdf /evans_pKa_table pdf
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faible ssi la dissociation est une réaction équilibrée ssi pKa > 0 Dans le cas d'un acide fort, totalement dissocié dans l'eau, la concentration finale
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Déterminer si une espèce chimique est un acide fort, un acide faible, une base forte ou une base faible aussi bien à partir d'une formule brute que du nom de l'
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7 II – LA REACTION ACIDE/BASE 8 1 LES ACIDES FORTS ET LES BASES FORTES 8 2 LES ACIDES FAIBLES ET LES BASES FAIBLES : CONSTANTE
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2) Acide fort 1 + acide faible 2 On calcule souvent le pH en négligeant l'acide faible Cette approximation grossière n'est justifiée que si l'apport d'ions
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•pKa faible « Ka élevé : acide fort •pKa élevé « Ka faible : acide faible Les acides faibles en solution aqueuse se dissocient seulement partiellement,
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Coefficient d'ionisation (de dissociation) d'un acide ou d'une base faible Pourcentage effet, HCl est un acide fort totalement ionisé en solution aqueuse
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UNIVERSITE CADI AYYAD
Faculté Polydisciplinaire
SafiDépartement de Chimie
COURS DE CHIMIE GENERALE
Semestre 1
SVIPréparé par :
Moulay Rachid LAAMARI
2017-2018
1SOMMAIRE
Partie I :
CHAPITRE I :
I. INTRODUCTION
1. Représentation
2. Les isotopes
3. Mole et masse molaire
4.CHAPITRE II:
I. MODELE DE RUTHERFORD
II. MODELE DE BOHR
I. PROBABILITE ET DENSITE DE PROBABILITE.
II.III. LES NOMBRES QUANTIQUES.
III. LES ORBITALES ATOMIQUES : O.A.
CHAPITRE IV: LES ATOMES POLYELECTRONIQUES
I. CONFIGURATIONS ELECTRONIQUE DES ATOMES.
1.2. Principe de stabilité. Règle de KLECHOVSKI.
3. Règle de HUND.
II. LA CLASSIFICATION PERIODIQUE DES ELEMENTS
1. Les périodes.
2. Les groupes (ou familles).
3. Les principales familles du tableau périodique.
PARTIE II : THERMOCHIMIE
CHAPITRE I : INTRODUCTION A LA THERMODYNAMIQUE CHIMIQUEI. INTRODUCTION
II. LE SYSTEME
III. LES VARIABLES D'ETAT
2VI. TRANSFORMATION THERMOMECANIQUE
V. TRANSFORMATION CHIMIQUE
CHAPITRE II : PREMIER PRINCIPE DE LA THERMODYNAMIQUE ENERGIEINTERNE ET ENTHALPIE
I. II. ÉNONCÉ DU PREMIER PRINCIPE DE LA THERMODYNAMIQUEIII. ÉCHANGES
IV. ÉNERGIE INTERNE
V. DETERMINATION DE CHALEUR DE REACTION
VI. EFFET DE LA TEMPERATURE
PARTIE III : CHIMIE DES SOLUTIONS
Chapitre I : rappels et généralités
1. Définitions
1.1. Solution
1.2. La masse volumique
1.3. La densité
1.4. Pourcentage ou Fraction
CHAPITRE II : REACTIONS ACIDO-BASIQUES
1. Définitions
1.2. Définition de BRONSTED
1.3. Couple acide-base conjugués
1.4. Force des acides et des bases
2. CALCUL DE PH DES SOLUTIONS AQUEUSES
forte2.4. Cas des bases faibles.
33. Solutions tampon.
3.1. Définition de la ST.
3.2. Propriété de la ST.
3.3. Préparation de la ST.
3.4. Calcul du pH de ST
4. Titrages acide-base.
1.1. 1.2. -REDUCTION1. Généralités.
1.1. Oxydant, réducteur, oxydation, réduction.
1.2. Réaction -réduction
2.1. Définition.
: Equation de Nernst3.1. Potentiel normal (standard)
3.2. Equation de Nernst :
4. Réaction -réduction
4.1. Définition :
4.2. 4.34.4. -réduction
CHAPITRE IV : REACTIONS DE DISSOLUTION-PRECIPITATION1. Solubilité
2. Réaction de précipitation.
3. Produit de solubilité.
4. Facteurs influençant la solubilité.
4I. INTRODUCTION
La matière peut être décrite à deux niveaux : macroscopique qui concerne la partie observable et mesurable à notre échelle (Ensemble microscopique qui concerne les particules réelles (molécule, atome ou ion).92 sont naturels et les atomes restant
Chaque atome est désigné par son nom et son symbole. Exemple : Oxygène : O Chlore : ClLes atomes diffèrent par leurs structures et leurs masses, et sont eux même fragmentés en petites
particules : les électrons, les protons et les neutrons. -24 g à 10-27 g. Ces chiffres ne sont pas pratiques, on utilise la notion de mole.Une mole correspond à la quantité de matière contenue dans 6,02 ×1023 particules (atome ou
molécule). N= 6,02 ×1023 de particules " indivisibles ». La matière est formée de molécules qui sont constitué des contient essentiellement des électrons, des protons, et des neutrons.élément charge ( C ) masse (Kg)
électron -1,6 10-19 9,11 10-31
proton 1,6 10-19 1,672 10-27 neutron 0 1,6747 10-27 N.B. - Les protons et les neutrons sont appelés " les nucléons ». L'atome est un ensemble électriquement neutre comportant un noyau (protons + neutrons), où est centrée pratiquement toute sa masse, autour duquel se trouvent des électrons.III. LES CARACTERISTIQUE DE
5. Représentation
5A chaque
Z est appelé numéro atomique ou nombre de charge, il désigne le le A est appelé nombre de masse, il désigne le nombre de nucléons (protons + neutrons). Si N représente le nombre de neutrons, on aura la relation: A=Z+N.Exemple
6. Les isotopes
é, des atomes ayant le même nombre de protons (mêmeZ) mais un nombre de neutrons différent (A différent). Les isotopes ne diffèrent alors que par
la composition des noyaux.Exemple
7. Mole et masse molaire
Une mole correspond à la quantité de matière contenue dans 6.02 10 23 particules
élémentaires.
pourcentages restent constants. s. Elle correspond à la moyenne des masses des isotopes pondérés par leurs pourcentages.Exemple :
Le Bore existe sous forme de deux isotopes 10B et 11B avec les proportions respectives de19,91 % et 80,09 %. La masse molaire donnée dans les tables est 10,83 g. Cette
valeur est la moyenne des masses molaires des deux isotopes. ivement 10,0129 g et 11,0093 g. 6 8.Le Kg est mal adaptée
appelée unité de masse atomique noté u.m.a. Par définition une masse de 12 g de carbone renferme N atomes, donc1 u.m.a = Or N = 6,02 1023 donc 1 u.m.a = 1,6604 10-24 g.
Exemple :
Masse du proton = 1,6724 10-24 g = 1,0072 u.m.a.
Masse du neutron = 1,6747 10-24 g = 1,0087 u.m.a.
7CHAPITRE II:
I. MODELE DE RUTHERFORD
F c du noyau. (mouvement circulaire) de la compensation de la force ttraction Fa par la force centrifuge Fc due à la rotationT = EC + EP
on a : Ce modèle présente les inconvénients suivants : 8 une accélération elle doit rayonner. ETII. MODELE DE BOHR
1. Pour lever les contradictions précédentes, Bohr propose quatre hypothèses : du noyau selon une orbite circulaire de rayon r. on les appelle " orbites stationnaires ». (quantification du moment cinétique). h : constante de Planck = 6,626 10-34 j.s n : entier naturel 2. Le système est stable par les deux forces Fa et Fc. Le système est en équilibre si : F a = F c 9Les relations (1)et (3) donnent :
Si on remplace (4) dans (2) on obtient :
quantifiée. E = -qv = 1,602 10-19 X 1 = 1,602 10-19 J = 1 ev ; Donc : 1 ev = 1,602 10 -19 J3. Absorption et é
niveau (orbite) à un autre. niveaux (relation de Plaǻ Ȟ Ef : état final ; Ei : état initial ; h : Cste de Planck ȞAbsorption : à un niveau p (p>n)
Ȟn-p .
Emission :
de fréquence Ȟp-n ENE. 10 11I. PROBABILITE ET DENSITE DE PROBABILITE.
En mécanique classique (Théorie de Bohr), l'étude du mouvement d'un électron consiste à
chercher avec précision sa trajquantique on parle en terme de : Probabilité de présence de l'électron dans une certaine région de - son état énergétique - sa probabilité de présence à un endroit donné.