vérer dans son accomplissement afin d'atteindre un but » (Viau, 1994, p 7) pales sources de la motivation des élèves en contexte scolaire (Schunk, 1991
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Viau (1994) propose la définition suivante : « La motivation en contexte scolaire est un état dynamique qui a ses origines dans les perceptions qu'un élève a de
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1 déc 2016 · Jacquelynne Eccles et Allan Wigfield, le modèle de la dynamique motivationnelle de Rolland Viau et le modèle de la motivation scolaire de
Les perceptions de lélève : sources de sa motivation dans - Érudit
vérer dans son accomplissement afin d'atteindre un but » (Viau, 1994, p 7) pales sources de la motivation des élèves en contexte scolaire (Schunk, 1991
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Le modèle de Rolland Viau est animé de ces conceptions et sera exposé ici Introduction Comme tout champ d'étude en psychologie et en sciences de l'
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La motivation : condition au plaisir d'apprendre et d'enseigner en contexte scolaire Rolland Viau 3e congrès des chercheurs en Éducation Bruxelles, mars
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Rolland VIAU Université de Sherbrooke / Département de pédagogie / Québec Les nombreux échecs qui façonnent leur histoire scolaire les amènent souvent
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Ces trois concepts sont repris par Viau et Vianin La motivation d'un élève pourra être liée à deux dimensions principales telles que : - Sa perception de valeur de
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Tous droits r€serv€s Les Publications Qu€bec fran'ais, 1998 (including reproduction) is subject to its terms and conditions, which can be viewed online. Universit€ Laval, and the Universit€ du Qu€bec " Montr€al. Its mission is to promote and disseminate research.
Number 110, Summer 1998Les repr€sentationsURI: https://id.erudit.org/iderudit/56310acSee table of contentsPublisher(s)Les Publications Qu€bec fran'aisISSN0316-2052 (print)1923-5119 (digital)Explore this journalCite this article
Viau, R. (1998). Les perceptions de l...€l†ve : sources de sa motivation dans les cours de fran'ais. , (110), 45‡47. péd gie Le s perception s de l'eleveSOURCE
S DE SA MOTIVATION DANS LES COURS DE FRANÇAIS
Comm e leur s collègue s d'autre s disciplines le s enseignant s d e françai s son t d e plu s e n plu s confronté s de sélève
s démotivés E n effet i l es t deven u couran t pou r u n enseignan t d e constate r qu'u n bo n nombr e d e se sélève
s n e montren t aucu n engagemen t n i aucun e persévéranc e accompli r le s activité s pédagogique s qu'i l leu r propose Ce sélève
s semblen t constammen t applique r l e princip e minima x l e minimu m d'effor t pou r l e maximu m d e points S i ce s manifestation s d e l a démotivatio n son t bie n connue s pa r le s enseignants le s raison s o u le s source s qu i e n son t l'origin e leu r demeuren t cependan t inconnues PA RROLLAN
D VIA U * fi n d'aide r les enseignants de français à mieux cerne r les sources de la démotivation de leursélèves
nou s avon s men un e recherch e ' auprès A r ^ m de 2400 élèves de sixième année et de tous les .UL . -^L. niveaux du secondaire dans le but de détermi ne r leu r profi l motivationne l fac e aux trois grands types d'acti vité s qui leur sont proposés dans les classes de français : les activité s de lecture, d'écriture et d'expression orale 2. Notr eétud
e est fondée sur une approche sociocognitive de l a motivatio n dan s laquell e o n peu t défini r celle-c i comm eétan
t " un phénomène dynamique qui a ses origines dans les per ception s qu'u nélèv
e a de lui-même et de son environnement e t qui l'incite à choisir une activité, à s'y engager et à persé vére r dan s so n accomplissemen t afi n d'atteindr e u n but » (Viau, 1994, p. 7). Les perceptions de l'élève sont donc à l'origine d e sa motivation. Elles sont si importantes que certains cher cheur s von t mêm e jusqu' affirme r que ce ne sont pas seule men t le s capacité s réelle s de l'élève qui comptent pour sa réus site , mais bien celles qu'il pense avoir. Cette affirmation s'est d'ailleur s confirmé e dan s un e
étud
e su r l'écritur e mené e auprè s d e 18 1élève
s américain s du secondaire. En effet, les résultats d e cett eétud
e montren t qu e la perception que les élèves avaient d e leur s capacité s à écrire correctement avait eu autant d'in fluenc e sur leur performance finale que leurs capacités réelles (Pajare s et Johnson, 1996). Notr eétud
e a porté sur trois perceptions de l'élève : sa per ceptio n de la valeur de l'activité ; sa perception de sa compé tenc e à l'accomplir ; sa perception de contrôlabilité sur le dé roulemen t et sur les conséquences de l'activité. Le choix de ces perception s nou s a été dicté par les recherches en psychopéda gogi e qui considèrent ces perceptions comme étant les princi pale s source s de la motivation des élèves en contexte scolaire (Schunk , 1991 ; Tardif, 1995). Dan s cet article, nous présenterons les résultats obtenus au regar d de ces trois perceptions et nous en dégagerons trois constantes . En guise de conclusion, nous ferons état de la pour suit e de nos travaux qui ont pour but d'offrir aux enseignants de s stratégie s d'interventio n pou r suscite r la motivation de leur sélèves
L a perceptio n d e l a valeu r d'un e activit L a perceptio n de la valeur d'une activité se définit commeétan
t le jugement que l'élève porte sur l'intérêt ou l'utilité d'un e activit é en fonction des buts qu'il poursuit (Viau et Louis, 1997). Des interrogations comme : " Pourquoi je ferais les lec ture s que le prof m'a demandé de faire ?» ; ou " Discuter en tr e nou s des romans qu'on doit lire ! À quoi cela va me servir plu s tar d ? », traduisent bien le peu de valeur que certains élè ve s accorden t à des activités pédagogiques qui leur sont pro posée s dan s les cours de français. Un élève qui ne voit aucun intérê t ou aucune utilité aux activités qu'il doit accomplir est généralemen tquotesdbs_dbs47.pdfusesText_47