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19 jan 2014 · Les métiers de la fonction études, recherche et développement - Les métiers du N° 10 – Trafic manager — p 97 Tendance Renforcement des métiers du planning stratégique Conception Directeur de la communication groupe H/F d'agence plus juniors, qui auraient créé assez jeunes leur pro-



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et recherchés par les recruteurs pour des postes de middle management évoluant rendus pendant 5 jours au cœur de la Station F, lieu magique du digital et du AUX DIFFÉRENTS PROFILS : DÉBUTANTS, JUNIORS OU EXPERTS et planning stratégique, anglais, grands enjeux économiques et Traffic Manager



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Entretien avec un middle manager d'une agence interactive président de TBWA France et de l'AACC, qui s'exprime à propos de l'édiction d'un de réflexion marketing comme le planning stratégique pour élaborer un après les pas juniors, je ne sais pas comment ils sont recrutés gens du net ont la culture du trafic



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lieue ouest parisienne, comme Young Rubicam ou TBWA Mais on en déjà à migrer vers Pantin à la recherche de plus verts pâturages Ça évitera aux juniors de confondre le DC avec le DA Ou le ACCOUNT STRATEGIST voir trafic manager, p de tour, 24 heures sur 24 médias planner ou planneur », qui fait



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Des étudiants vont entrer en doctoratet deux programmes de recherche des séminaires spécifiques au MT à raison de 200 heures par an (trois jours par conseil chez TBWA Corporate KEOLIS en tant que junior en 1994 TBWA du planning stratégique community manager (h/f) de générer du trafic sur le site



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1 oct 2012 · en temps réel des infos sur le trafic chez TBWA\Corporate, à Lyon de projet junior (h/f) responsable recherché s'investit dans la stratégie de marque du territoire et dans Le poste intéresse un communicant manager (h/f) disposant d' une du planning de production, hiérarchisation des demandes,



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1 3 3 A priori de recherche sur la légitimation de l'ethos créatif des agences 13 1 F ig ures d 'émulation 4 7 Logiciel de gestion des heures Task manager ( Agence K) into creative strategy, planning has been accorded a central role in opté pour embaucher des «juniors», donc des employés avec peu ou pas



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Le responsable planning 47 Le traffic manager 47 LES MÉTIERS DU 28 TBWA Prod Omnicom Production 54 924 8 9 3 981 185 29 H Havas Publicité 54 912 11 8 (recherche de nouveaux budgets et clients) Ce pôle se suivante : entrée comme chef de pub junior, selon ses YURI ARCURS /F O TOLIA 

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COMMUNICATION INTERNE

Gérer les actualités

sur l'intranet

CONCERTATION

Mettre en place

un conseil citoyen

N°33- DÉCEMBRE 2015

Comment l'utiliser pour valoriser son territoire

Pourquoi recourir aux agences spécialisées

Gérer au mieux les annulations de dernière minute

ATTENTATS

Élysée : quels choix

de communication ?

TENDANCE

Ces conseils

diffusés sur le web

CAMPAGNE

Suisses et Français

dans la même voiture

Catherine Michel, chargée d'événements

à Bordeaux Métropole

fbrie

TOUTELA COMMUNICATION PUBLIQUE

ET LA VALORISATION DES TERRITOIRES

Incontournable

événementiel !

4Tribune

Jean-Daniel Lévy

6En vue

Lucas Tourny

Xavier Battistella

8Interview express

Christophe Alaux

10Actualités

professionnelles

Projets, rendez-vous,

mouvements, postes à pourvoir

18Logos

Reims, Ain

20Une campagne

Suisses et Français

dans la même voiture

22Territoires

38Stratégie

Communication politique:

la gestion des attentats

42Tendance

Des conseils "séance

tenante» sur le web

44Communica?ion

interne

Gérer les actualités

sur l'intranet

46Agence

7 ans que Souple dure

48Fiche pra?ique

Concertation: mettre en

place un conseil citoyen

50Le bloc-notes

de Jean-Louis Laure

Photographie

de couverture :

Delphine Perrin

Horreur, effroi et tristesse. Pour tous, il y aura un avant et un après-13 novembre 2015. Il y a eu le temps de la sidération... et, très vite, celui, notamment, de la communication. Après les maux, il a vite fallu trouver les mots. Rendre hommage, expliquer, rassurer. Dans le feu médiatique, chacun a su jouer sa partition. Au plus haut niveau de l'État d'abord, avec une com- munication bicéphale de l'exécutif. Entre Manuel

Valls et François Hollande, les rôles

ont été vite définis: le Premier minis- tre a préparé au pire, le président a tenté de rassurer. Avec un dosage savamment recherché conjuguant discours alarmiste et anxiogène, registre émotionnel et volonté de confiance et de résilience. En Île- de-France comme en province, les services de l'État se sont, en outre, employés à assurer une parfaite visibilité et une bonne compréhension des mesures de sécurité adoptées. Autre exemple, dans les établissements scolaires, les enseignants ont été confrontés à la même question: comment parler des attentats en classe? Pour les aider, le ministère de l'Éducation nationale a mis en ligne en un temps record des supports pédagogiques pour savoir comment aborder avec les élèves une actualité si violente et rappeler les principes fondateurs de la République. De leur côté, les collectivités (dont certaines ont dû, par ailleurs, suspendre des campagnesjugées peu opportunes suite aux événementstragiques) se sont montrées particulièrement réactives, affichant leur compassion et leur solidarité face à la terreur, rassurant les populations, en utilisant notamment les ressources des réseaux sociaux. Au-delà des victimes, dont la mort ou les blessures ne peuvent que susciter la douleur et la peine, et du rôle des forces de l'ordre, on ne peut que saluer cette mobilisation vertueuse des services communication, qui se sont retrouvés, eux aussi, aux avant-postes. Un cas d'école inédit en matière de communication de crise, de communication publique et politique, qui a exigé diligence, maîtrise et dignité. Avec, dans tous les esprits, ce funeste slogan que les communicants redoutent d'avoir à écrire : "Plus jamais ça !».

Nicolas Marc, directeur de la publication

La com' d'après

24En couverture

Incontournable événemen?iel!

La part de l'événemen?iel s'accroît dans le mix communi ca?ionnel. Àl'heure du virtuel, le besoin de se rassembler pour partager un moment commun répond à une demande citoyenne de reconnexion au réel. Au-delà, l'événemen?iel permet de donner de la visibilité à des compétences absconses ou de valoriser sa marque de territoire. 22
46
42

AU SOMMAIRE

Bulle?in d'abonnement en page 49

P H I L I P P E A N E S S A U T

Décembre 2015Brief3

BriefDécembre 20154

L es élections régionales de ce mois de décembre sont auréolées d'une double spécificité: pre- mières élections de territoires remodelés, elles amènent la plupart des électeurs à voter pour une structure représentant un territoire plus large que par le passé ; dernières élections avant la présidentielle de 2017, elles sont scrutées comme un signe potentiellement préfiguratif des rapports de force qui oeuvreront dans quelques mois. Et pourtant... alors même qu'à l'issue des élections régionales de 2010, le résultat du vote était limpide (la carte électorale était rose dans la plupart des régions), aujourd'hui 45% seulement des Français interrogés par Harris Interactive connaissent la couleur politique de leur région (1)

22% se trompent et 33% -prudemment- ne se prononcent

pas. Àquelques semaines du scrutin, la couleur politique des régions n'apparaissait donc pas comme une donnée partagée par tous. Pas plus, d'ailleurs, que le nom du président de la région dans laquelle habitent les per- sonnes interrogées. 62% des Français s'avouent incapables de le citer, 12% hasardent une réponse fausse et 26% (seulement) le restituent correctement. Misère, donc, de l'institution régionale qui ne parvient pas à donner à voir de la conséquence d'une action politique menée par la gauche ou par la droite, de la compétence dans des domaines spécifiques et touchant le quotidien des Français, de l'incarnation par une personnalité forte. Quelle différence entre une politique régionale menée par la gauche ou par la droite ? Quelles sont les politiques publiques déployées par les conseils régionaux ? Dans quelle mesure est-il possible d'attribuer la politique régionale à une personnalité ? Les Fran- çais peinent à répondre. Il est question de débat politique, certes. Il est question, aussi, d'appropriation : 27% des Français considèrent que leur conseil régional leur donne une infor- mation utile, 21% qu'il les informe bien, 31% qu'il donne une information crédible. Et 15% (soit le plus faible score des institutions testées) que leur sont délivrées des informations les concernant directement. On voit bien la distance entre l'émetteur et le récepteur. Ajoutons à cela, même si l'institution régionale n'est pas directement en cause, la déclaration d'une moindre vision des chaînes de télévision régionales. En 2009,

88% des Français affirmaient les regarder à tout le moins

de temps de temps pour s'informer sur la vie locale. Il s'agissait du deuxième media utilisé. Aujourd'hui, 61% de ces mêmes Français indiquent le faire. La chute, nette, est la conséquence d'une évolution de l'offre réelle (moindre présence régionale des télévisions). Cette baisse est également à relever lorsque l'on considère l'écoute de la radio régionale ou locale (62% en 2009, 50% aujourd'hui) ou encore la PQR (52% à 49% dans le même laps de temps). Tout n'est pas affaire de communication en tant que telle. Mais alors que la décentralisation a commencé à voir le jour il y a plus de 30 ans, que des campagnes électorales se sont déroulées, que les Français ont pu voir les conséquences politiques nationales de leur vote... aujourd'hui, les institutions régionales ne suscitent pas d'émotion. Les structures se sont, dans les représentations, "administratisées» et ont été dépo- litisées. Et, quand bien même les Français seraient distants à l'égard du politique, ils se passionnent quand même pour la politique. Au sens noble du terme. Avec des confronta- tions de projets. Avec la per- ception des conséquences que cela peut avoir sur leur vie quotidienne. Avec la capacité

à anticiper ce que sera le terri-

toire demain. Pour eux comme pour leurs proches. Avec aussi, et peut être surtout, l'attente que la région leur parle. Et c'est sur ce point que le bât blesse le plus. Géographiquement étendue, s'inscrivant sur un territoire divers, l'institution régionale, lorsqu'elle prend la parole, ne parvient pas suffi- samment à restituer ce que vivent les citoyens dans le cadre de leur quotidien. Soit que les politiques régionales s'inscrivent dans une temporalité peu accessible et n'invitant pas suffisam- ment les habitants à se projeter dans l'avenir. Soit que les mots utilisés pour parler du quotidien ne soient pas suffisamment forts pour donner à voir une institution régionale agissant en ayant connaissance de la vie réelle de ses habitants. L'institution régionale est, peut-être par essence, la structure du temps long. Les aménagements urbains, la politique en matière de transports, la construction de lycées -pour nous limiter à ces trois types d'interventions- ne peuvent être déployés en quelques mois. Ou quelques années. Voire même souvent au cours de la seule période d'un mandat électif. D'où la nécessité de communiquer. Communiquer pour parler de la situation actuelle, pour dire ce que sera le territoire de demain, pour marquer les temporalités. Les Français sont prêts à être patients. Mais ils ont besoin d'être accompagnés.? (1) 4 e vague du baromètre Epiceum/Harris Interactive de la communication locale, réalisé du 16 au 23 juin 2015, en partenariat avec La Poste et Cap'Com.

TRIBUNE

"Les Français a?tendent que la Région leur parle» Invité du prochain Forum Cap'Com, mi-décembre, le directeur "Poli?ique & Opinion» d'Harris

Interac?ive France dresse un état des lieux préoccupant en ce mois d'élec?ions régionales.

Dans la compréhension de l'ins?itu?ion, dit-il, les Français ont besoin d'être accompagnés.

D R

Les structures régionales

se sont "administratisées" dans les représentations et ont été dépolitisées

PAR JEAN-DANIEL LÉVY

BriefDécembre 20156

S on CV affiche un bac éco, une licence de droit et un master

Sciences Po. Bref, en commu-

nication, Lucas Tourny n'est "pas du sérail». À27 ans, il préside pourtant les Jeunes communicants publics, une association placée sous l'égide de Communication publique, depuis novembre 2013. Sa mission: "Défendre la communication publique comme une matière à part entière», la promouvoir dans les formations, susciter des voca- tions. "Beaucoup d'étudiants en com' n'imaginent pas tout ce qui peut les attendre en ministère. C'est pourtant captivant.» Il a l'air sincère.

Chargé de mission au Secrétariat

général pour la modernisation de l'ac- tionpublique (SGMAP), Lucas Tourny est devenu un fondu de com' publique depuis un passage au secrétariat général du ministère de la Défense, il y a plu- sieurs années. "Publique», il insiste. "Je n'aime pas assez la communication pour la consacrer à des sujets qui ne me font pas vibrer.» Travailler un jour en agence? "J'aurais peur de perdre le sens de mon travail.» En collectivité? "Pour- quoi pas. La proximité me manque.

Là, tu es obligé d'habiter ton propos,

puisque tu habites le territoire. Et puis, la crise de confiance dans la parole publique est plus facile à rectifier en territoriale...» Le jeune homme n'a pas de projet à long terme: "Ça évite les déceptions.»En attendant, il ne se lasse pas. Et il partage. En janvier prochain, il réunira l'assemblée générale du réseau JCP, qui compte une soixantaine de membres. Un cycle de débats pour- rait être proposé avec, au premier semestre 2016, "l'ambition de se réunir autour de sujets comme le marketing territorial, les méthodes d'association des citoyens-usagers à la décision publique et la place des sondages dans nos métiers». L'échange de bonnes pratiques le botte, "parce que les services com' ont besoin de gens polyvalents et brillants». Le président espère de nouvelles dynamiques et un peu de fraîcheur lors de sa prochaine AG.

Et il le rappelle: "Faire du réseau, ce

n'est en rien malsain. Mais il faut le faire correctement.»? ANTOINE GAZEAU

Lucas Tourny

Chargé de mission au SGMAP et président

du réseau Jeunes communicants publics À27 ans, il est passionné de communica?ion publique.

Un enthousiasme qu'il s'emploie à propager...

Q uand la nouvelle équipe municipale est arrivée, en mars 2014, il a demandé à l'élu en charge de la communication de rechercher sur le site web de la Ville dix informations dont n'importe quel habitant aurait besoin. En quarante minutes, l'élu en a trouvé quatre. Xavier Battistella, directeur de l'action culturelle et de la communication à la mairie de La Bresse, était quitte pour la création d'un nouveau site web. Il vient d'être livré, réalisé en deux mois en interne et avec l'appui de deux prestataires, le tout avec seulement 5000euros de budget. "Dans une petite collectivité, on ressent moins les lourdeurs administratives, se félicite ce Lorrain d'origine. Cela permet plus d'efficacité.»

Responsable com' d'une petite

commune vosgienne, c'est un métier.

Ce n'était pourtant pas celui de Xavier

Battistella, professeur des écoles détaché dans la fonction publique territoriale. L'ancien instituteur, qui avait pris goût à la communication dans le secteur as- sociatif et en tant qu'élu à Gorcy(54), a voulu vivre d'autres expériences et a sauté sur cette création de poste il y a trois ans: dans cette sta- tion touristique et sportive, "il y avait tout à faire en matière culturelle, presque tout en matière de communication». À37ans, il ne regrette pas son choix, même si le souvenir de l'école ne lui est pas désagréable. Il ne jure pas non plus qu'il sera toujours en poste dans dix ans: "J'aurai sans doute apporté ce que je devais apporter.»

Il sait en revanche qu'il travaillera

toujours dans le secteur public: "On n'est pas là pour faire du chiffre.

On est dans le vrai!»? A. G.

D R

Xavier Ba??istella

Directeur "ac?ion culturelle et communica?ion» à La Bresse (88) Ancien ins?ituteur, il a notamment refondu la communica?ion digitale de sa pe?ite commune.

EN VUE

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